Histoires non-écrites

Salut, c’était pour savoir si vous étiez beaucoup à avoir un jour imaginé une histoire, mais que vous ne l’avez jamais écrite.
Moi, quand j’étais plus petit, j’avais eu envie de commencer une histoire originale, mais je n’étais pas encore à l’aise avec les blogues et les sites comme celui-ci, donc je ne l’ai jamais vraiment écrite.
L’histoire s’intitulait « Demon Knight », c’était durant ma période où j’aimais bien tous ce qui se rapportait aux enfers. Dans mon histoire, les démons sont en fait les premiers êtres créés pour servir le grand créateur, l’entité responsable de l’apparition de la vie dans tous l’univers. Cependant, cette entité crée la vie pour ensuite la reprendre et s’alimenter, le rôle des démons étant de faire croire aux différents peuples que leur maitre viendrait un jour élever leur existence à un niveau supérieure, de façon à ce qu’ils ne soient pas hostile envers l’entité. Mais les démons refusèrent de poursuivre les intentions de leur créateur et se retournèrent contre lui. L’entité créa alors une seconde génération de serviteur, les anges. Créés de façon à être plus puissants que les démons, les anges prirent rapidement le dessus. Pire encore, les anges apparaissaient comme des protecteurs auprès des peuples des différentes planètes et firent passer les démons pour des êtres diaboliques et mauvais. Les démons virent alors ceux qu’ils voulèrent protéger se retourner contre eux et participer à leur propre destruction. Lucifère, l’un des anges les plus puissants, changea cependant de camps et permis de rééquilibrer les forces, mais pas assez pour pousser les démons aux bords de l’extinction. Alors qu’ils ne sont plus très nombreux, Satan, l’une des plus jeunes, tente de sauver une dernière planète prise pour cible par les anges et le créateur : la Terre. Malheureusement pour la jeune démone, le premier bataillon d’ange envoyé sur Terre est dirigée par la guerrière archange qui été autrefois son amante : Raphaël.
Les deux s’affronteront, bientôt suivit par des renforts dans les deux camps, et le sort des humains reposera dans le choix de leur partie pour cette guerre.

Voilà, c’était le prologue et le résumé de mon histoire.
Dans mon histoire, une grande partie des personnages étaient en faite féminins.
Pour les démons, à part Lucifère, tous les personnages principaux (Satan, Belphégor, Léviathan, Mammon, Asmodeus, Beelzebub et Alastor) étaient des femmes.
Pour les anges, Raphaël, Uriel, Azraël, Sariel et Métatron étaient également prévues pour êtres des femmes.
Cependant, ce n’était pas un harem, je préviens, presque chaque personnage était prévu pour faire partie d’un couple.

12 « J'aime »

Ce que je trouve intéressant dans ton récit, c’est justement que ce n’est pas une histoire.
C’est une cosmogonie, un schéma de création du monde, une théorie des origines.

Elle répond probablement à un besoin, largement partagé, d’expliquer les transformations
du monde, de notre planète et de notre société humaine. Les personnages y ont une valeur archétypale, exemplaire, pour les humains.

Il est donc assez rassurant pour moi d’observer que ton modèle est largement féminin ! :innocent:
Et sans doute moins de constater que chaque personnage est astreint à n’exister qu’en couple… :smiling_imp:

Mais je m’aperçois que je n’ai pas répondu à la question.
Oui ! mes histoires mûrissent lentement. Mais depuis que j’ai écrit la première, j’ai besoin de l’écriture pour les faire progresser pas à pas.

9 « J'aime »

Moi, étant plus petite, j’étais fasciné par Harry Potter. Bon par contre desoke ce n’est pas vraiment évolué
Donc tous les soirs dans ma tête je m’inventais une fiction sur H.P
Dans cette fiction il y avait une jeune fille, de l’âge d’Harry qui était la fille de Volemort et la petite fille de Dumbeldore ( sa mère, la fille de Dumbeldore était morte très jeune )
A cause de cette configuration, car elle était la fille du bien et du mal, elle avait un accès infini à la magie. Mais par contre elle n’avait pas le pouvoir de redonner la vie aux morts ou de soigner des blessures graves.
A sa naissance, une prophétie avait dit : *lorsque la fille du bien et du mal trouveras la fin pour obtenir le pouvoir ultime, elle perdras l’amour d’un autre mais devras aussi faire sacrifice de la vie promise. *
en gros quand elle la mort pour pouvoir faire revivre les morts, celui qu’elle aime ne maideras plus et elle ne pourras plus avoir d’enfant. Donc on part sur de bonnes basessssssssss
La jeune fille a grandis à Poudlard aux côtés de son grand-père et elle évolue dans ce monde avec les autres ( je vous la fais courte)
Elle partiras chercher la mort dans sa 6 ème année, elle accompagnera Harry à la chasse aux orcuxes, souffrant beacoup de tuer son propre père et les orcuxes la brûlant à chaque fois un peu plus. Mais elle attendrais toujours de perdre là pour de quelqu’un et se replira chaque jours un peu plus sur elle même.
Puis lors de la bataille finale, étant donné qu’elle ne peut pas tuer son père, elle va faire revivre tous les morts de son camp mais atrocement souffrir car en réalité ce pouvoir est à double tranchant : elle prend en elle toute la souffrance des gens qu’elle sauve.
Et voilà ma petite histoire même si après j’avais fait une autre suite, je vais finir ce message !

7 « J'aime »

J’imagine de la « fanfic » depuis mes 14 ans, quand au collège ( qui était dans une « cité ») j’essayais de m’évader mentalement d’une classe où j’étais harcelée et où l’anarchie était telle que le prof ne pouvait même pas faire cours.

Ma toute première à l’époque était sur Pokemon, je me suis imaginé toute une vie dans ce monde, pendant des mois. Je n’ai jamais arrêté depuis, à chaque fois qu’un univers me plait assez je m’y évade. Soit avec des personnages originaux soit avec les personnages de l’oeuvre. Je m’imagine leurs histoires pendant les moments d’ennui, comme étendre le linge ou cuisiner ou conduire ou au boulot… tout ce qui ne nécessite pas l’attention de mon cerveau droit, le gauche restant bien sagement concentré sur sa tâche rébarbative. Je sursaute du coup très souvent car la moindre intrusion me « réveille ».
Avant de m’endormir également, avec inlassablement l’espoir que je pourrais en rêver la nuit aussi, même si ça n’arrive jamais ^^’

Mais je n’avais jamais écrit aucune de ces histoires avant cette année…
Des années et des années de fanfic mentale et je n’en ai écrit qu’une seule.

6 « J'aime »

Cette question est très intéressante ! :grinning: C’est quelque chose d’assez mélancolique et instructif d’entendre les histoires qui n’ont pas eu l’occasion de trouver leurs encre. Cela montre que nous avons tous un esprit de création unique, ainsi qu’un rythme qui nous appartient (du moins, c’est comme ça que je vois les choses).

Il y à de nombreuses histoires qui sont passées dans ma tête, qui ont défait leurs bagages, mais qui ont finies par s’empoussiérer dans le grenier de mon imaginaire. Je parle par exemple de l’histoire d’une fille qui trouve un miroir ancien au milieu d’un carrefour empli de vie, qu’elle peut emmener partout avec elle, et qui à le don de ‹ ‹ révéler › ›. Elle l’utilise à un moment comme une naïve moquerie de son monde, dont la difformité est une source de jeu : elle s’amuse de voir sa voisine avec des mains verdâtres, sa mère avec des yeux et des oreilles plus grands que sa bouche, son père avec un cœur qui dissimule une horloge à coucou (étant assez jeune, et cela n’étant pas une part de sa réalité, la peur passe très vite et elle prend ses distances). Le miroir donne aussi des réponses aux énigmes, aux calculs, ect…, et elle en profite pour réussir secrètement dans ses travaux scolaires. Mais peu à peu, elle va se rendre compte que la réalité du miroir va peu à peu influencer son existence, que les personnes autour d’elle vont subir ces ‹ ‹ difformités › ›, sans même qu’elles ne s’en rendent compte, et cela était censé devenir un conte horrifique, où la jeune fille cherchait à trouver un moyen pour détruire le miroir, sachant qu’elle commençait peu à peu à se ‹ ‹ déformer › › elle aussi, et que le Gardien du Miroir, le descendant de sa créatrice, allait tout faire pour la tuée, car elle est le noyau de toutes ces anomalies. La dernière idée que j’ai eu, c’était qu’en réalité, elle était la seule à se déformer, et que c’était en réalité les personnages du miroir qui remplaçaient ceux de sa réalité, faisant que tout ceux qu’elle croisait basculaient dans le monde des reflets (c’est là où je me suis perdue). Donc, je comptais modifier l’histoire, pour que les personnages de la réalité se retrouvent prisonniers du miroir.

Bref, j’ai abandonner cette histoire, comme beaucoup d’autres, et pour maintes raisons plus ou moins justifiables : je ne savais pas si j’arriverai à faire ressentir le ‹ ‹ body-horror › › que je comptait narrer, je me demandais si je n’allais pas basculer dans les stéréotypes ou le cliché, et d’un autre côté, je trouvais de nombreuses incohérences. Je suis également une girouette en matière d’histoire : j’en avais une autre qui germait, ou deux, un terreau incontrôlable. :joy:

Voilà pour moi, du coup ! C’est assez confus, car je suis une personne assez désorganisée et versatile en matière d’invention, donc je peut m’égarer moi-même. Cette histoire date aussi, et il y avait tellement de choses qui ont débordées, que je ne peux pas vraiment dire tout (je me souviens plus de grand chose, à vrai dire).

(C’est bon, j’ai fini de parler ! :rofl:)

J’adore ton idée, MajorCam ! Elle est très intéréssante. :slightly_smiling_face:

9 « J'aime »

Oh, je connais ça le harcèlement qui amène à l’évasion mentale via des histoires et des rêves… j’y ai eu droit dès la primaire :sob: (bon les parents ont assez vite réagi mais ça a pas empêché que j’ai eu un mal fou à m’intégrer réellement avant… heu… la quatrième ?) et pourtant, j’étais dans une école catho privée ! Mais bon, j’ai passé une classe contre l’avis de la directrice alors forcément après fallait pas compter sur son aide :roll_eyes: ( « c’est sa faute elle a qu’à se défendre » méwi méwi… )

Perso c’était surtout le soir que je rêvais. ça a commencé très tôt, en primaire (même si je sais plus quelle classe exactement), et je crois que c’est plus ou moins ça qui a fini par me lancer dans l’écriture :thinking: la différence, c’est qu’à l’époque, je m’imaginais aux côtés de mes personnages préférés à vivre des histoires assez incroyables… j’ai eu ma période winx, ma période harry potter, puis ma période vampires qui s’est éternisée pendant pas mal d’années. Pour dire, je m’imaginais être la fille d’un puissant seigneur vampire… l’histoire que c’était m’amenait à un groupe de chasseurs de vampires qui avaient enlevé ma mère peu après ma naissance, après qu’elle m’ait cachée pour me protéger des chasseurs qui la traquaient. Comme les bébés vampires étaient rares, c’était moi la cible, donc… mais un jour je me perdais en forêt, je retrouvais par hasard le château de mon père, qui s’occupait de moi et doutait de mon origine puisque je ressemblais beaucoup à ma mère. Puis des chasseurs de vampires nous enlevaient, je réussissais finalement à nous libérer avec mes pouvoirs, mais je me faisais blesser et mon père devait me mordre pour me sauver. Et après ça je devenais une princesse vampire heureuse aux côtés de mes parents…
Ce scénario « de base » s’est retrouvé pas mal décliné, avec parfois l’influence du seigneur des anneaux, parfois celle de harry potter, parfois celle de skyrim… mais l’histoire de base était toujours la même, seuls les péripéties et mes pouvoirs changeaient.

Voili voilou ^^"

8 « J'aime »

Tu n’avais pas encore fini de raconter que je me disais déjà que tu avais dû t’amuser avec Skyrim ! :slight_smile:
ça me rappelle un peu Serana du DLC dawnguard. :wink: Et un petit côté Twilight mais avec l’amour parental au lieu de la romance :slight_smile:

Le harcèlement dès le primaire, c’est dûr … :frowning: A cause du saut de classe, c’est classique… En France on aime bien couper les têtes qui dépassent …

Moi c’est le contraire tu vois, je suis restée en école privée catho jusqu’en 5eme et même si j’étais plutôt introvertie/à l’écart, on me fichait la paix. Je n’ai pu analyser ça que bien plus tard, avec du recul, mais je me souviens qu’on était un petit groupe de 4 marginales en fin de primaire: celle qui souffrait du combo lunettes-appareil dentaire, celle que sa maman habillait punk (en école privée catho ça passait mal), celle qui était musulmane ( ses parents voulaient qu’elle aille dans une école religieuse même si ce n’était pas la même religion et je n’avais sincèrement AUCUNE IDEE de pouquoi les autres la rejetaient alors qu’elle était sympa comme tout), et moi qui préférais généralement lire des pavés que jouer à l’élastique à la récré.

Quand en 4 eme je me suis retrouvée dans la zone, j’ai été cataloguée direct comme « celle qui vient du privé » ( alors que bon, on était loin d’être favorisés financièrement…). Quand j’ai osé repousser un garçon qui s’amusait à embrasser tour à tour toutes les filles de la classe alors que j’étais prude comme tout ( j’ai un bon pied ou deux dans le spectre autistique) c’était fichu … Après ça, j’ai passé 2 ans en enfer: insultes, coups de pied dans le dos dans les escaliers, menaces de mort…
Ah oui j’oubliais aussi, on m’a appelée raciste parce que le garçon que j’avais repoussé se trouvait être d’origine maghrébine (mais en réalité je n’en avais rien à faire, j’aurais repoussé n’importe qui qui aurait eu ce comportement, même le garçon dont j’étais amoureuse ) … le raccourci était vite fait entre « elle vient du catho » et « elle est rasto ». Bon, j’ai laissé trainer l’info ( véridique) que ma mère était née en Algérie et ça leur a vite passé, ils ont préféré m’appeler juste « la folle ». J’ai beaucoup d’affection pour le personnage de Luna Lovegood allez comprendre…

Bref Il m’a fallu plusieurs années de Lycée pour réapprendre à m’ouvrir aux autres… mais cette manie de m’évader par ces « rêves éveillés » ne m’a jamais quittée…

9 « J'aime »

Je trouve le sujet sympa. :slight_smile:
Il y a deux histoires que j’avais envie de faire que j’ai abandonné. Par manque d’idée mais aussi je l’avoue par flemme surtout.

Une sur Gears of War. J’avais écris le chapitre 1 mais après je l’ai totalement abandonné.
ça raconter l’histoire de Gary Carmine et de Gwen Damon la fille d’un grand vétéran de guerre Baird Damon. À la fin de la guerre sa mère a quitté la CGU pour rejoindre un village de Paria ( c’est des marginaux qui vivent loin de la CGU et ils pillent leurs vieilles installations pour survivre. Pour faire court ) 25 ans plus tard, nos deux héros découvrent une nouvelle menaces " la vermine" et assistent à la destruction de leur village. Ils vont suivre la trace de ses choses et découvrir l’horreur. Ils devront survivre dans un monde où l’humanité est de nouveau menacé. Cette histoire se plaçait du point de vue des parias et non des Gears de la CGU comme dans le jeu.

L’autre c’était sur The witcher ( Baser sur l’univers des jeux qui différent un peu des livres )

C’est l’histoire d’un sorceleur elfe de l’école du chat, Il parcoure le monde à la recherche de contrat pour survivre. Déjà qu’un sorceleur a le droit à du mépris et de la haine. Etre un sorceleur elfe ne fait que empirer sa situation déjà précaire et il se rapprochera des monstres qu’il était censé pourfendre.

Voilà voilà. :slight_smile:

7 « J'aime »

Vous apprendrez que quasiment tout ce que j’ai fait, fût-ce en écriture ou sur le net, avant mes 14-15 ans…était HONTEUX.

Remettons-nous dans le contexte. J’ai treize ans, je m’ennuie dans la vie, j’ai six ans de traumatismes derrière moi, j’ai pas d’amis, je vis à travers mes notes, BREF j’ai la panoplie parfaite du futur patient de choix pour le service de psychiatrie de ma région. Qui sait, peut-être que si j’avais continué comme ça, j’aurais fini ici.

Bref, c’est à cette époque qu’au détour de « je me perds sur la toile », je découvre le mouvement gothique et m’y réfugie (étonamment c’était pas une phase, j’y suis toujours). Comme j’aime bien lire, je décide de m’atteler à la lecture des classiques qui y sont associés (j’étais allé jusqu’à lire du Ann Radcliffe devant toute la classe en cours de français) et je découvre DRACULA. Avec le recul, c’était peut-être pas la lecture la plus judicieuse pour un pré-ado et je devrais le relire pour bien saisir tous les sous-entendus que j’avais pas compris.

Puis me vient une idée…merveilleuse. Comme Twilight, ça m’a limite em****é depuis le jour où j’ai su lire, je me suis dit « hé, je connais rien à la littérature vampirique, j’ai lu Dracula une fois et j’ai joué à Symphony of the Night une fois, si j’écrivais mon propre livre sur des vampires ? ». Ouais, je sais, pire idée ever.

Comment vous dire que cette histoire n’a jamais dépassé le stade de brouillon avec quelques avatars pour les persos ? Au moins, elle a eu le mérite de me donner les premières clefs pour mon projet de Fantasy actuel, le Domaine de Saphir : l’idée de père mortel / mère qui est un être surnaturel, l’idée de secte vampirique, l’idée de la déchéance du père parce que sa femme est morte, bah tout ça vient de cette histoire qui n’en a pourtant jamais vraiment été une.

6 « J'aime »

Oh tiens, le mouvement qui me fait rêver depuis mon adolescence et ce, malgré les énormes clichés qui circulent dessus !

Il fait partie de mes lectures de collège, lui :thinking: faudra que je le relise aussi, tiens…

Ou pas hein, les vampires tu peux faire tellement de choses avec… perso j’en suis à une histoire (clichée un peu :thinking:) avec un vampire (une belle romance étonnamment), mais j’en ai toute une panoplie sous le coude (au moins une centrée sur les vampires mais qui tombe dans la SF assez vite, une autre limite fantasy/SF) en cours d’écriture et c’était mon principal sujet de rédactions en quatrième ! Vive les vampires !

Oh, dommage ça :confused:

Tu le publies quelque part ? ça m’intéresse, ça :grin:

6 « J'aime »

Je vous présente le cimetière à projets ahah. Il y en a beaucoup que j’ai jamais terminé pour X ou Y raison.

Il y a beaucoup de songfics dans le tas, parce que souvent je change de chanson inspirante en cours de route. Il y en a d’autres où je ne sais plus ce que je voulais faire (genre tous ceux qui ont un nom bizarre là), il y en a d’autres où je me suis juste rendu compte que ça ne marchait pas, et il y a aussi mes textes « défouloirs » que je posterai jamais, puisque c’est juste du massacre de personnage en boucle pour passer le temps ahah.

Hors fanfiction, il n’y a qu’un projet de roman que je n’ai jamais terminé, parce que c’est arrivé dans une période pas ouf de ma vie, j’ai reçu des critiques vraiment moches dessus sur un forum bien pourri qui commence par Jeunes et fini par Ecrivains, et ça m’a dégoûtée à vie parce que je l’ai assimilé à cette période et j’ai jamais pu produire dessus. C’était de la SF, un alien envoyé sur Terre pour analyser les humains, mais qui se retrouve bloqué après un moment.

En fanfictions longues, j’ai aussi toutes mes fanfictions Sherlock qui étaient très bien parties mais que j’ai stoppé net après avoir reçu des menaces de mort par courrier parce que je n’écrivais pas du Johnlock. Folle ambiance dans ce fandom toxique à souhait. Il y avait une fanfiction sur Sherlock à qui on avait diagnostiqué un cancer et qui écrivait ses mémoires, un autre post-apo zombies, et un sur la famille Holmes super sombre que j’aimais beaucoup aussi.

Et après, il y a le cimetière des fanfictions self-insert de ma jeunesse, mais celui-là, il vaut mieux le laisser enterré à jamais ahahahah.

9 « J'aime »

J’arrive trente ans après la bataille, mais je suis actuellement en train de travailler sur la première novella (oui, le format « roman long » si cher à la SFFF s’est avéré très peu concluant pour cette histoire, donc on sera probablement sur un système très proche des arcs dans la bande dessinée est-asiatique) de l’histoire. Je la publierai certainement ici et sur Wattpad quand elle sera terminée ^^

4 « J'aime »