Tu veux dire, le 3e épisode de la première saison ?
Ok il vaut mieux éteindre ta télé "et aller te coucher…* 
Je suppose que c’est comme le verre à moitié vide et à moitié plein. En t’arrêtant si tôt tu n’as pas pu voir les éléments plus positifs qui viennent contrebalancer les machinations du Comte ni les gens bien qu’ils peuvent brièvement rencontrer.
Grâce à eux, il y a un espoir qui émerge.
La série qui enquille pertes et séparations sur la tête des orphelins ne me semble pas misérabiliste. Ce qui leur arrive leur permet aussi de se faire confiance à mesure qu’ils grandissent. Violette et Klaus sont à un âge « intermédiaire ». Ils attendent beaucoup des adultes au départ. Les potentiellement gentils, je veux dire.
Ils restent optimistes, raisonnables, centrés sur les valeurs de leur famille et on voit qu’ils se sortent des situations parfois désespérées.
Le script joue un peu avec nos nerfs mais on voit qu’ils s’en sortent avec intelligence, astuce, foi… et qu’ils sont tout autant aidés (même petitement).
Il y a aussi une enquête et un mystère qui court tout du long et se superpose à leurs aventures.
Le ton reste léger par rapport au niveau d’accablement. Sans ça, je pense que ce serait complètement insupportable.
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Oups, mon message précédent, s’est trouvé dupliqué…
Je sucre les fraises, déjà ?
‹ Sucrer les fraises › est une expression métaphorique et argotique qui désigne le mouvement – involontaire – des mains qui tremblent des vieilles personnes. En l’occurrence, comme je n’ai pas acheté les fruits qu’il faut pour ce midi, il ne faut pas la prendre au pied de la lettre.
(Tentative de faire mon Lemony). 
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Oui, c’est ça !
Merci pour le reste de ton post Oldie, ça m’encourage d’autant plus à reprendre .
Bien sûr il y a du positif. Les 3 premiers épisodes l’ont déjà montré avec la juge et le professeur (même si bon la juge a sacrément manqué de discernement au départ !). C’est un univers très décalé au ton volontiers désinvolte et on se doute bien que le sort des enfants finira par tourner en leur faveur. Mais j’ai quand même eu du mal à supporter le négatif d’emblée et à patienter jusqu’au point où les ficelles narratives des premiers épisodes cessent de se répéter et laissent la place à d’autres schémas. Je suppose que cette histoire serait mieux passée en livre pour moi, mais je ne sais pas si je les lirai un jour.
Alors ça oui c’est un point de l’intrigue qui m’a plu dès le début !
Je suis 100% d’accord, en dépit de ce que j’ai baissé les bras trop tôt.
Bon ben sur ce tu as raison je vais me coucher, il est tard ; mais pas avant d’avoir consulté les derniers postes du forum .
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Voilà je viens de finir !
Moi je dis qu’ils sont orientés vers des explications parcimonieuses… c’est cohérent avec tous les épisodes, cependant.
J’aurais aimé en savoir plus sur les parents.
La fin me paraît aller un peu vite, façon : bon les gars, on n’a plus que 2h pour conclure ! 
On nous balance des révélations où je me suis dit « what??? Rembobinez et remettez ça plus doucement ! »
Comme je m’en doutais, l’ensemble n’est qu’une métaphore (ou une allégorie ? Je ne sais jamais) du passage de l’enfance à… plus de maturité avec une insistance sur la capacité de discrimination (ne pas tout gober, réfléchir) mais aussi sur la relativité des notions de Bien et de Mal qui varient selon les individus, leurs objectifs et de la connaissance / compréhension qu’ils ont d’une situation dans sa globalité.
Bref, une assez bonne série d’initiation, si on arrive à déceler l’intention qu’il y a derrière, au delà de la forme des mésaventures qui sont pensées comme des épreuves formatrices d’un point de vue strictement intellectuel.
Pour Stellios, il y a quand même quelques moments qui m’ont tiré des larmes. Si, si. 
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