J’ai vu 6 épisodes !
Plus que deux !
Je comprends que l’on puisse rester sur sa faim parce que malgré les évolutions de l’arc de la saison très centrée autour de la famille, on a l’impression qu’ils les distillent et s’économisent.
Sur le plan émotionnel par contre, je trouve qu’ils ont mis le paquet !
Mieux vaut pour moi garder le paquet de kleenex pour certains épisodes.
Ce qui me dérange c’est qu’ils peuvent mélanger des moments passablement lourdingues et embarrassants (gros sabots) avec d’autres qui ne sont pas dénués de subtilité.
Le clash entre les deux est parfois violent et nuit à la cohérence.
Lucifer remporte la palme ! On dirait qu’il est écrit par deux équipes différentes dans un cadavre exquis ! 
A contrario, je trouve que Chloé, après avoir été plutôt maltraitée, est plus gâtée cette fois. Elle garde son cap : fiable, bon sens et affection – ce qui n’est pas facile avec le zozo susdit.
Je trouve aussi qu’Amenadiel est rassurant et solide.
Le traitement des autres personnages est problématique (pour moi).
Peut-être sommes-nous désarçonnées parce que l’arc va trop lentement et un peu trop timidement et que les émotions et décisions (radicales) viennent trop vite ?
Je pense que c’est inhérent à une série qui doit tourner autour d’une « affaire ».
Et même si ces enquêtes sont piratées en permanence par des préoccupations personnelles. 
De nombreuses fanfics évacuent sans vergogne tout ce qui a trait au travail de police le plus quotidien et le plus trivial. Donc on est mal habituées ! 
Je me fais l’avocate : Les enquêtes sont ennuyeuses car elles volent du temps d’antenne qui aurait été mieux mis à profit pour parler des choses « vraiment importantes », hein ?
Ah, triste destin que celui des hybrides, toujours considérés comme trop ceci et pas assez cela. 
L’episode 10 est bon sur l’intention envers les fans (songfic) et maladroit sur la forme.
C’est souvent le cas, ils essaient d’être sympas et… c’est mal cuit.
Cinq ans que l’affaire Chloé n’avait toujours pas été « conclue » par Lulu. Et puis quoi ? Bah rien ! Allez, travaillons plutôt que d’en parler. Deux lignes de dialogues et pouf ! Discretos, sous le tapis. 
Les scénaristes sont tellement terrorisés par l’effet Moonlighting…