Triste nouvelle hier : Uderzo est décédé en nous laissant orphelins de tout un village gaulois qui, pour certains d’entre nous, a bercé leur tendre enfance.
Peut-être pouvons-nous lui rendre hommage en évoquant nos personnages préférés, ou nos albums favoris datant de la grande époque ?
Le fandom n’est pas riche, si vous en avez le loisir, peut-être rédiger une petite « pastille » ?
"Organisons un symposium !
– Ça s’impose, ô César."
Rédaction et ajout d’une « pastille » en cours, en plus d’un petit clin d’œil à la BD dans ma fanfic Défi de février-mars 2020 et, si je participe à celui d’avril(-mai), aussi.
J’ai noté de le faire sous ma « fiche de présentation de la fanfic », car, même si je ne commence pas l’écriture avant les autres, j’ai déjà créé le fichier dans lequel je l’écrirai.
Édit : Ce que j’avais écrit n’avait aucun sens !! Merci le confinement qui me met le cerveau en marmelade.
Édit 2 : Et, bien sûr, je tenterai d’écrire un petit OS dans cet univers qui a bercé mon enfance en avril (ajout de l’idée sur mon mois d’avril déjà chargé de nanoteuse).
Je prévois aussi de faire un petit OS sur Astérix pour rendre hommage à Uderzo. Ça enrichira un peu le fandom.
Je précise si besoin, c’est le nom d’un gugusse que la foule encourage et clame tant et plus. Tant pis pour le cagnard, il n’y a pas d’abribus, faites confiance aux Ritals pour trouver une astuce…
Astérix et la Transitalique. octobre 2017
Mon préféré :
Pour apprécier le pastiche dans « Astérix chez les Belges »
Les noces paysannes / Pierre Bruegel
Chez nos amis les Gau… les Gaugau… les Gaulois, les femmes sont cantonnées au service…
Hello à tous
C’est les vacances, j’ai des activités « fandomatiques ». 
Un peu comme tous les ans, j’ai lu le nouvel Astérix : Astérix et le Gryffon (mon écriture prédictive me propose Gryffondor…)
Dans cette aventure, Astérix est appelé à la rescousse par un vieux pote sarmate de Panoramix : Cékankondine.
Les Romains ont enlevé et fait prisonnière une guerrière de son village. Ils attendent qu’elle leur serve de guide et sont envoyés traverser le Barbaricum à la recherche de l’animal sacré des Sarmates : le Gryffon.
Tout ça pour décorer une fête de César…
Mon avis
Très sympa, l’écriture est fidèle à l’esprit originel, sans un seul bémol et les jeux de mots caractéristiques sont tous au rendez-vous pour servir une aventure classique.
Les petits plus ? L’album a manifestement été écrit pendant le confinement (deux trois fines allusions).
Au niveau de la critique sociale, cette aventure se déroule quelque part sur le vaste territoire russe et les villageois restent à la maison à faire la popote, débarrasser et élèver les enfants, tandis qu’il n’y a pas de villageoises mais que des guerrières farouches.
C’est donc l’occasion de souligner par une inversion basique des rôles sociaux leur belle incongruité. 
Les Astérix n’hésitent pas à représenter les accents idiomatiques et régionaux par une graphie bien spéciale.
Vite lu (c’est une BD hein ?) c’est un agréable moment.
