Titre de la fiction : « Pagne, Porte-Jarretelle et Magnum 357 »
Type : Continuation
Personnages principaux : Ryo Saeba, Kaori Makimura.
Genres : Action, Humour et Romance
Rating : M, (quelques chapitres pour public (un peu) averti. Ils seront publiés en MA)
(Hum, hum, je m’éclaircis la voix … je lisse mon t-shirt, je remets mes cheveux rebelles en place )
Avant ma présentation, je commencerais, si je peux me permettre, par un petit résumé de ce manga, puisque beaucoup m’ont signalé mal le connaitre.
(Petit) Résumé de City Hunter
XYZ - On contacte City Hunter en écrivant ces trois lettres à la craie sur un tableau des messages situé à la sortie Est de la gare de Shinjuku, quartier populaire de Tokyo. C’est ainsi qu’on peut rencontrer Ryo Saeba (alias Nicky Larson pour ceux qui connaissent le dessin animé du Club Dorothée 
), nettoyeur professionnel - un tueur à gages, qui déblaie les « ordures » de la ville. Ses spécialités sont l’investigation et le travail de garde du corps (souvent d’une beauté fatale, c’est mieux, il ne travaille que pour les femmes, jolies de préférence). Dans le milieu, il est le Numéro Un et son habileté au tir est sans égal. Les autres pros le défient souvent pour prendre sa place. En vain. Evidemment.
Au début de l’histoire, il fait équipe avec un certain Hideyuki Makimura, flic ayant pris « sa retraite » pour une raison qui reste mystérieuse. Et puis, ce partenaire de confiance est assassiné par une dangereuse organisation criminelle. Au moment de mourir, Hideyuki lui demande de veiller sur sa jeune sœur, Kaori qui fête son vingtième anniversaire le jour même.
Ryo prépare sa vengeance et conseille à Kaori de s’enfuir mais elle refuse. Elle veut remplacer son frère et régler ses comptes. Elle devient sa partenaire. Maintenant, City Hunter, c’est eux deux et ça sera une collaboration pour le moins … explosive … Le duo se chamaille pour tout et rien, se moque l’un de l’autre, se dit des vacheries pour ne pas avoir à s’avouer des choses plus sérieuses et importantes. Pourtant, quand il s’agit d’une question de vie ou de mort, Ryo et Kaori ont une confiance absolue l’un dans l’autre et malgré son inexpérience dans le domaine, il s’avère rapidement que la jeune femme est la meilleure partenaire que Ryo ait jamais eue.
Voilà pour le pitch de départ et il devient rapidement évident que les deux-là ne restent pas de simples coéquipiers. Chacun est la bouée de sauvetage de l’autre. Peut-être même plus.
Pour ceux qui connaissent le dessin animé, un épisode « classique » se déroule souvent ainsi : City Hunter est contacté pour assurer la protection d’une très belle femme qui vient habiter dans leur appartement. Les clientes sont d’abord dégoûtées par les perpétuelles avances (mokkori attack) et les tentatives de visites nocturnes de Ryo. Heureusement, Kaori veille avec ses massues énormes sorties de nul part et punit Ryo de façon radicale. Il finit alors la nuit sur le toit de l’immeuble, enroulé dans sa couette.
Mais dès que le danger se présente, Ryo agit en vrai professionnel et montre une force et un courage qui surprend toutes les femmes. Faisant preuve de courtoisie, voire de délicatesse, il sait les comprendre et ménager leurs sentiments. Les clientes découvrent alors en Ryo un homme sensible, bon et généreux dont elles tombent toutes amoureuses. Certaines, plus observatrices, comprennent que Ryo et Kaori s’aiment et qu’il n’y a pas de place pour elles dans la vie de Ryo.
Le manga est bien évidemment bien plus profond et l’auteur y aborde quelques-uns de ses sujets de prédilections : les marginaux avec les travestis et les sans-abris que Ryo protège dans le quartier chaud de Tokyo, la famille en général en abordant des questions comme l’adoption ou la recomposition familiale, la construction de soi, la rédemption et les nouveaux départs, le deuil …
D’autres personnages s’invitent au fil des histoires, peignant ainsi un monde un peu délirant mais ô combien attachant : un colosse aveugle, ancien adversaire de Ryo qui devient patron de café par amour, une orpheline de guerre devenue mercenaire puis patronne de café (vous avez saisi le lien entre eux ?), un Américain, ancien partenaire de Ryo, tout aussi pervers et obsédé que lui, un vieux Professeur qui soigne les yakuzas dans une Clinique officieuse … sans compter tous les personnages féminins dépeints avec beaucoup plus de bienveillance que dans l’anime, surtout le personnage principal, Kaori qui n’apparait pas aussi nunuche que ça et beaucoup plus débrouillarde. On la découvre entière, honnête, altruiste et généreuse, un peu naïve certes mais beaucoup plus touchante.
On croise aussi des clientes, femmes fortes, féministes à coup sûr, cheffes de clans yakuzas, médecins, militantes écologistes, détectives privés, journalistes, médecins … qui se battent pour leur indépendance et leur reconnaissance dans une société nipponne pour le moins macho et traditionnelle.
Déjà, là, on aurait de quoi faire de belles fanfics … Surtout si on se penche sur le passé de Ryo (pour ceux qui seraient intéressés mais qui n’ont pas envie de lire, il s’agit des épisodes 61, 62 et 63 de l’anime, = triple épisode 35 de la saison 2, ouais, c’est compliqué, qui, pour une fois, respectent assez bien le manga : City Hunter Nicky Larson épisode 35 saison 2 les souvenirs de Nicky premier partie - YouTube et suivants).
Mais c’est sans compter la fin : après avoir été enlevée (pour la énième fois), Kaori entend enfin ce que Ryo aurait dû lui dire depuis plus de sept ans de partenariat : « Je ferai tout pour protéger la femme que j’aime. » Elle, en l’occurrence. Et, je vous le donne en mille, le manga se termine ainsi : eux deux, l’un contre l’autre qui s’enlacent presque. Et on se demande toutes et tous : Ettttttt ??? Et ? Et ? Et ? 
Et, bah, rien, à part quelques maigres indices et une frustration totale. 
Fin délicate, intelligente et romantique me direz-vous mais si cruelle pour nous, fan absolus … car voilà … le fil rouge de tous les épisodes reste quand même ce rapprochement inéluctable mais non assumé de ce duo terrible, et chaque pas en avant se solde par deux pas en arrière.
En gros, la fanfic « de base » de City Hunter raconte ce qu’il se passe après et consiste généralement en un rapprochement pour le moins amoureux, si ce n’est passionné. D’où le certain nombre de fictions classées MA dans ce fandom.
« Pagne-Porte-jarretelle et Magnum 357 » n’échappe pas à cette tendance. C’est une de mes premières histoires et comme toutes les fans, j’avais envie de partager ma version de la fin.
Il s’agissait aussi de répondre à un défi (lancé par deux amies sur un forum) et pas des moindres : insérer dans mon récit, un pagne, comme celui de Tarzan, un ficus et des bas de contention.
Quelle idée, me direz-vous ! Et vous avez raison ! Le risque est évidemment de faire dans le lourdingue ou le ridicule. J’espère avoir réussi à éviter cet écueil. Je voulais faire une comédie un peu romantique, très fraiche et assez drôle. (Au cas où, je précise juste que les bas de contention ne seront pas fixés sur le porte-jarretelle … Ca pourrait faire naître de drôles d’images !!!)
Comme il s’agit d’une de mes premières histoires, la quatrième pour être parfaitement exacte, il manque certainement des choses, il y a probablement de belles maladresses, toute histoire est perfectible. Je n’ai cependant pas envie de la dénaturer en la modifiant. C’est aussi la première sur laquelle, Cristina, ma précieuse béta-reader a travaillé avec moi.
Après, on est loin des univers imaginaires, fantasy, steam punk qui comptent le plus d’afficionados ici mais je tente.
Présentation de « Pagne, Porte-Jarretelle et Magnum 357 » :
Ryo l’a dit : « Je ferai tout pour protéger la femme que j’aime. » Oui, mais concrètement, il se passe quoi, ensuite ?
Ryo et Kaori rentent chez eux, évidemment et, curieusement, cette fois, Ryo n’avait pas l’intention de faire machine arrière. Mais c’est sans compter sur une curieuse malchance qui semble lui coller à la peau. N’ayons pas peur des mots, il a la poisse. C’est comme si tout était en train de lui échapper : d’abord Kaori qui n’est pas là quand il se réveille, ensuite, c’est un post-it posé sur la table du salon, puis elle annonce qu’elle a trouvé un nouveau boulot, elle commence à s’habiller enfin comme une femme … Non mais qu’est-ce que ça cache encore cette histoire ?
Pour jeter un œil, c’est par ici : Pagne, Porte-jarretelle et Magnum 357, une fanfiction City Hunter (Nicky Larson) (fanfictions.fr)
)
non en vrai je regardais Scooby Doo sur Cartoon Network). Ma connaissance des animés japonais se limitait à deux choses : Pokémon et Card Captor Sakura.
Rooo, si peu …
très (trop ?) caartoonesque et pas très cohérent … je te l’accorde !!! C’est pour ça qu’avec le temps, j’en suis arrivée à beaucoup moins utiliser cet outil dans mes fictions 