Titre: Lorcana Monde Patchwork (violence) Résumé : Invoqués par magie hors de leur propre récit, plusieurs personnages vont devoir se faire un chemin au travers Lorcana, un monde étrangement familier. Lien:
Lorcana est un jeu de cartes à collectionner (type Magic) qui puise sont bestiaire dans les classiques de Disney. Certains personnages sont des versions classiques d’eux même, d’autres plus vraiment. On peut y voir une armée de Dalmatiens combattre Maléfique dans le Bayou à l’aide de la lampe magique, pour vous donner une idée.
Un délire aussi malléable a automatiquement fait démarrer mon imagination, et après quelques parties je me suis mis a imaginer un récit utilisant les mécanismes et les possibilités du jeu.
J’espère que cela trouvera des lecteurs. En attendant, c’est mon gros délire du moment et je m’amuse
Ça c’est le principal. J’essaierai de trouver un moment pour jeter un oeil dessus.
Peut-être que tu me donneras envie de me mettre à Lorcana. Auquel cas, je risque de te maudire fortement. ^^
@elane67
Je vais te répondre ici ce sera plus limpide j’espère
Les personnages qui peuplent Lorcana sont invoqués. Ils sont l’essence du personnage d’un conte, d’une histoire.
Si Winnie a l’esprit confus c’est parce qu’il se souvient de l’ensemble de ce qu’il a vécu dans ses histoires. C’est vagues, c’est confus, parce qu’il y a beaucoup d’éléments à assimiler.
Gaston a « vécu » la mort dans son histoire, sur l’ensemble de ce qu’il a vécu dans son récit, c’est un « moment » suffisamment marquant.
Certains ont un meilleur souvenir que d’autres de ce qu’ils sont dans leur récit.
J’ai vraiment voulu prendre en compte le fait qu’ils sont une version invoqué d’eux même.
Mais comme c’est assez compliqué a expliquer, donc dans mon récit je reste sur ça: certains se souviennent plus précisément que d’autres.
Bref une fois encore mille mercis pour vos messages et vos retours positifs
Je me suis dit qu’il était temps de faire un point sur quelques personnages secondaires et lieux cités ça et là depuis mon chapitre un.
N’étant pas des éléments indispensables à la compréhension, il m’a semblé que l’ajout d’asterix en bas de texte alourdirait la lecture.
Mais force est de constater que certains bloques sur ces éléments éparpillés. Donc:
Bon, je vais devoir me rendre à l’évidence, il n’y aura pas de chapitre cette semaine.
Je n’ai pas tenu la cadence (formation, malade…). Je ne voudrais rusher les chapitres, je essayer de faire ça bien. Le prochain chapitre a beau être bien avancé, je vais tout de même prendre mon temps
Et j’ai quasiment l’équivalent quantité chez mes parents aussi. Mais bon, moi j’ai commencé à 12 ans alors forcément.
J’ai quand même 4 cartes Lorcana chez moi, qu’une voisine a offerte à ma fille.
C’est un Mimiqui, un pokémon de type spectre qui utilise un déguisement de Pokémon (en l’occurrence de Pikachu) pour amadouer ses futures victimes. C’est creepy comme tout mais aussi mignon que Firestorm (si ce n’est plus).
Je dois avoir une chanson dessus dans « Rock’n ball » 2 (celui interdit au moins de 18 ans, parce que la chanson est un peu glauque)
Dans le pokédex (l’encyclopédie dans chaque jeu), tu as des tas d’histoires ignobles de ce style, mais concrètement les pokémon d’une même espèce ont chacun leur caractère, ils peuvent être gentil ou méchant (t’as d’ailleurs certains jeux qui ajoutent une variable « caractère » = doux, timide, bizarre, gentil, méchant, foufou, etc. qui influe sur leurs stats de combat). Et puis la morale de l’histoire c’est que les pokémon dressés, c’est un peu comme les chiens : ils deviennent ce que leur maitre font d’eux. Un dresseur bienveillant aura des gentils pokémon, un humain cruel rendra ses pokémon cruels.