Alors que je vois réémerger la branche sur l’absence de commentaires, je trouve ceci qui traite du problème inversé.
Légende : En dépit de toutes les mises en garde, Pandore ouvrit la section des commentaires.
Je pense que ce dessin humoristique vaut davantage pour d’autres réseaux où la liberté de parole autorise des commentaires plus sauvages.
Dans la mesure où l’on n’en recevrait que quelques-uns (dûment modérés ici), laisser un mot pour accuser réception ne devrait pas être insurmontable même en cas de planning chargé.
Mais il reste en effet les commentaires qui sont « perplexifiants » (qui a eu l’idée de remonter les vieux sketches des Inconnus ?) et pour lesquels il n’y a pas de tuto du genre :
5 façons de répondre poliment à un com qu’on ne comprend pas ou bizarre (pas agressif) si on a décidé d’y répondre, et sans se mouiller trop, ni pipeauter, et qui ne serait pas juste « merci pour ton commentaire, c’est gentil d’en avoir laissé un »
- C’est pas faux
un point de vue que je n’avais jamais envisagé
- Et dire que je pensais qu’il n’y avais pas/plus de fans de … Nom_du_fandom ! C’est une bonne nouvelle ! (Insérer une émoticône)
- Oui. Je me demandais si quelqu’un y serait sensible (rigolez pas, ça peut le faire dans beaucoup de cas)
Avez-vous des idées pour compléter le 4 et le 5 ?
11 « J'aime »
Alors tout de suite, ce qui me vient à l’esprit 
Résumé
10 « J'aime »
J’ai pas osé inclure celle-ci même si j’y ai pensé dans les 5 secondes. 
J’étais partie du principe que le commentaire était seulement déroutant ou pas clair et ça me semblait un peu dur de partir là-dessus d’emblée.
De même que :
Résumé
Non mais je crois qu’il faut que vous arrêtiez d’essayer de dire des trucs… Moi quand vous faites ça, ca me flanque une angoisse !
10 « J'aime »
Bonsoir,
Il y a quelques années de cela, lors d’une émission radio, Amélie Nothomb avait raconté une anecdote : un jour, elle avait reçu une lettre d’une bonne dizaine de pages d’un monsieur qui lui donnait une leçon d’écriture et lui disait ce qu’elle aurait dû faire dans tel et tel roman. Elle lui avait répondu en une phrase : « Vos conseils sont sans doute excellents mais que puis-je en faire? ». J’ai toujours dit que cette phrase pourrait éventuellement servir en tant que réponse à un commentaire « doctoral ». 
7 « J'aime »
Je pense que ça va rassurer tous ceux qui veulent se faire éditer. Pas de kikoulol, mais 10 pages d’analyse et la preuve que quelqu’un a lu in extenso plusieurs de vos romans…
Et puis 10 pages, ça en fait 5 recto verso, et faut compter trois ou quatre timbres quand même.
Un lecteur attentif et motivé.
Il faut se méfier des souhaits que l’on formule, ils pourraient être exaucés !
9 « J'aime »
Il faut être aussi sacrément motivé (ou avoir du temps à perdre) pour être un lecteur aussi dévoué.
Ce type de correspondance peut aussi mener à une belle histoire d’amour : Balzac a fini par épouser une fan qui lui écrivait des pages et des pages sur ses romans.
Il y a toujours de l’espoir !
12 « J'aime »
Pour rester dans le thème, si vraiment je comprends pas le commentaire, au pire…
Résumé
Mais faut pas le sortir tout le temps, celui-là 
11 « J'aime »
Je dirai que quand c’est trop perplexifiant -ou étonnifiants- le mieux c’est de le prendre avec humour (la dérision ça peut rester poli).
- Si on n’a pas d’humour, déléguer la responsabilité de la réponse à une intelligence -maléfique- (non pas ce
là) artificielle et voir si ça donne des résultats sympathiques.
- J’apprécie d’autant votre retour que je le comprends à moitié moins que je l’aurais aimé, et le considère sans doute moitié moins que ce que vous méritez.
- Je suis bien d’accord avec la première partie de votre commentaire mais la fin me trouble : il ne faut pas cautionner l’irréalité des idées iconoclastes et désoxydées à moins de vouloir que l’absolu soit annihilé.
Mais la botte secrète est toujours le meilleur remède en cas de doute ou de fatigue intellectuelle 
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Oh non, pitité, je lis ça juste avant d’aller me coucher, je vais l’avoir dans la tête jusqu’à demain matin 
9 « J'aime »
Mais surtout : il faut que tu arriveras à laminer tes rancœurs dialectiques…
(desolée, c’était vraiment trop tentant).
8 « J'aime »
