Bonjour,
En ce jour consacré à la paresse, voici un petit chapitre de Hot Church qui vous attend.
Au menu : des figures de style pas du tout subtiles, quelques souvenirs d’une certaine nuit et bien des choses encore !
Chapitre 7 : Swipe-moi si tu peux
Bon dimanche !
Mais c’est Byzance ce WE ! C’est plus la fête des pères, mais la fête des pairs ! 
Edit première lecture : c’est bien écrit, drôle et truffé de références, comme j’aime.
Et - ne fais pas l’innocente - la scène de tir à la fin est diablement 
Je ne vois vraiment pas de quoi, tu parles. 
Mon deuxième prénom est innocence ! 
Aussi crédible qu’une auréole sur la tête de Crowley.
Sinon, pas vu de fautes en première lecture, si ce n’est « nouveau héros » à la place de « afin d’entamer la rédaction d’une page Wikipédia à la gloire de leur nouvel héros »
Lu, commenté, adoré 
. Qu’est-ce que j’ai rigolé, merci 
Merci. 
C’est le but de cette fanfiction.
Bonsoir orageux,
Le chapitre 8 sort tout juste du four : Chapitre 8 : Les joies matrimoniales
Comme d’habitude, n’hésitez pas à me signaler les éventuelles erreurs (de recette) ou si le classement (le dégrès de cuisson) n’est pas assez élevé.
Tu nous fais un beau papier cadeau pour emballer nos larmes maintenant ?
Oui, tu as vu ça? Je m’amuse avec Canva. J’envisage même de faire une fausse affiche pour le Festival de Tadfield qui aura lieu dans quelques chapitres. Je vais essayer de me remettre à la création de bande annonce car j’aimerais en faire une pour Hot Church. 
Et qui sait… dans quelques chapitres, le faire-part de mariage.
Je suis plongée dans la lecture. Déjà, je t’offre un
pour avoir casé le podomètre 
En fait, la création du Club des Joyeux Pédestres a été motivée par ce podomètre que je tenais ab-so-lu-ment à caser. ^^
Oh non, moi qui croyais que c’était une référence au clan autonome des Petits Pédestres…
Même pas, ou alors de façon très inconsciente, alors… ça m’arrive aussi de ne pas le faire exprès (maudite cervelle farcie de choses…). Une lectrice de la fanfiction traduite en anglais avait remarqué une référence à Macbeth que je n’avais même pas perçue.
En ce jour glorieux du 28 juillet pour le fandom Good Omens, voici le chapitre 9 de Hot Church :
Magnifique hommage que tu as réalisé là ! 
Mille mercis.
Je ne pouvais pas passer à côté des chèvres. 
Tu mets pas ta belle cover ??
Mais oui, quelle idiote je fais !
Cette semaine, j’ai eu le bonheur de recevoir un très joli cadeau, un fanart de Hot Church, de la part de Pingu.
Vous pouvez le retrouver sur le Tumblr suivant :
Je mets également le lien vers l’Instagram de Pingu :
Bonjour,
Voici le chapitre 10 de Hot Church :
Chapitre 10 : La Salsa des canards
Au programme : un Plan diabolique est mis en place, la disparition d’un canard champion d’accordéon et quelques notes de Velvet Underground.
Quand les palmipèdes font la java:
Ceci est un Arlequin gallois :
Cela est un Canard des Shetland :
Bonjour,
Le chapitre 11 de Hot Church a été publié.
Il s’intitule L’Ange du Foyer.
Ce chapitre a été classé en MA car évoquant des sujets sensibles et peu adaptés à un jeune public.
L’Ange du Foyer est un poème de Coventry Patmore qui a connu un très grand succès à son époque. Le poème, destiné à son épouse et exaltant les vertus de celle-ci, a servi de référence pour créer l’idéal de la « bonne épouse » selon la bonne société victorienne : la femme douce, aimable, qui se sacrifie pour le bonheur de son foyer (son mari et ses enfants). Cette image idéalisée sera dénoncée quelques années plus tard par Virginia Woolf dans son essai Une Chambre à soi (dont je vous recommande la lecture)
En ce qui concerne l’arc narratif de l’Aziraphale de Hot Church, ce poème n’a pas été ma seule source d’inspiration. J’ai également été inspirée par le film Gone Girl (un thriller) dans lequel le personnage d’Amy, la femme disparue, a inspiré dans son enfance, le personnage créé par ses parents, ce qui n’est pas sans conséquence sur son développement psychologique.
A cette première inspiration, s’est également greffé le souvenir d’un documentaire consacré à Björn Andrésen qui est devenu objet de fascination et de fantasmes à l’adolescence en incarnant le personnage de Tadzio dans le film La Mort à Venise de Visconti. Ce rôle a eu de terribles répercussions notamment psychologiques sur le jeune interprète.
