Il y a un début à tout (nos premières fanfics)

Exactement. A l’époque j’écrivais sur Doctor Who, et j’imaginais que si j’avais été parachutée « compagnon » (comprendre sidekick de voyage) ça aurait été en mode boulet, forcément.

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Forcément :wink: après on n’a nos compétences individuelles mais pas sûre qu’elles fassent le poids dans ces univers :sweat_smile:

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Ah, ah, ah. Ma toute première, première histoire, je l’ai écrite en CE2. J’avais 7/8 ans, et c’était une petite nouvelle originale qui racontait le voyage de deux chiots dans une usine à chiots avant qu’ils ne soient abandonnés et euthanasiés, c’était tellement gai xD Il se trouve pour l’anecdote, que, fière de moi, j’ai voulu montrer ça à mon prof de l’époque… Et qu’il m’a envoyé voir un psy parce que c’était vraiment hyper gore.

Pour être honnête, c’était de la grosse bouse. Il n’y avait que des dialogues, clichés, en plus, mais quand tu le relis quelques années plus tard ça donne plus envie de rire qu’autre chose ahah.

Après ça, en CM2/6e, j’ai découvert le magnifique monde d’internet et des forums, et j’ai direct foncé dans la fanfiction, vers 10 ans, avec CSI : NY (et aussi Vampire Diaries et Monk, si vous voulez tout savoir). Je suis restée bien deux ou trois ans dans ce fandom (avec des textes… discutables), avant de bouger vers Doctor Who, qui a vraiment été le lancement de mon potentiel auteur et qui a lancé la suite.

J’ai eu aussi ma période Mary-Sue self-insert, mais par chance, elle est passée assez vite (même si certains de ces textes, sur Doctor Who, sont encore lus et appréciés aujourd’hui sur Fanfiction.net pour une quelconque raison xD)

J’en ai encore plein dans mes archives des textes de cette période, un peu cringy. Mais bon, quand je vois que j’en suis à plus de 400 textes aujourd’hui, je ne peux pas renier cette partie parce qu’elle a été hyper formatrice :smiley:

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Aaaaaah, voilà un sujet qui a fait ressurgir bien des souvenirs dans ma caboche !

La première fiction que j’ai jamais écrite était une sorte de fanfiction sur une fille qui s’appelait Ornella.

Ornella était dans la même école que moi et nous nous sommes suivis de classes en classes jusqu’au CP. Je n’ai jamais été ami avec cette chère bambine, et je ne lui ai jamais beaucoup adressé la parole non plus. Pourtant, j’ai toujours gardé un vif souvenir d’elle, et plus précisément d’un aspect de sa personne : elle était gourmande.

Tout le monde l’appelait « Ornella-chocolat » dans mon école maternelle. Ce n’était pas une moquerie, c’était juste un fait. Ornella avait toujours la bouche remplie de chocolat et d’autres sucreries diverses. De plus, comme je l’ai déjà mentionné, c’était une sacrée gourmande. Mazette ! Je ne puis évoquer la façon dont elle se goinfrait aux repas du midi à la cantine sans un mélange d’admiration et de peur. En effet, la gourmandise, le septième péché, était devenue maître du corps de cette jeune enfant et la poussait souvent aux vices les plus pernicieux. Gare à celui qui laissait traîner ses pitchs sur un banc dans la cours de récré : en instant Ornella, tel un trou noir, les avait ingéré.

A la fin du CP, elle a déménagé avec ses parents dans le Sud de la France, près de l’Espagne. Je ne l’ai jamais revu, et pendant de longues années je l’avais presque oublié.

Son souvenir m’est réapparu un jour où je faisais la queue avec ma mère dans une chocolaterie. L’image d’ « Ornella-chocolat » se goinfrant de mes pitchs que mes parents m’avaient donné pour le gouter est remontée à la surface de mon esprit. C’en est suivie une longue réflexion dans mon esprit : qu’était devenue Ornella dix ans plus tard ? Etait-elle encore définie auprès de tous ces proches uniquement comme une gourmande ? Devenir un être que l’on réduit à son estomac ravageur, n’était-il pas la plus triste des conditions humaines ?

C’est ainsi qu’à 16 ans, j’ai écris en « one-shot » l’histoire de la vie passée et future d’Ornella la gourmande. J’ai imaginé comment son amour du chocolat avait pu définir la personne qu’elle serait à 16, 26, 36 et 56 ans. Je lui ai imaginé une belle vie, remplie de nourriture et de pitchs.

J’ai perdu le texte de cette histoire il y a bien des années mais, sans en être fier, je reste très attaché à cette intrigue saugrenu que mon moi adolescent a pu mettre en place.

La bonne bise à tous

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Oh, suis-je bête ! :woman_facepalming:
Je vous parle de mes bêtises de collège, mais j’avais oublié une histoire écrite en CE2 ! Oui messieurs dames, déjà à cet âge là, j’écrivais des c***eries ! :triumph: J’avais commencé une BD intitulée « Les étoiles » parce que les personnages étaient… des étoiles (jusque là, c’est logique).
En bref, le seigneur Galaxie (… oui…) avait trop taxés ses serfs, qui s’étaient révoltés ! C’était donc une guerre… avec des étoiles…


Je faisais donc du Star Wars avant même d’avoir vu Star Wars :joy: (En fait, si je me souviens bien, c’est justement d’entendre le titre français de la licence dans la cours de récré qui m’a inspiré toute l’histoire… Du coup, ça compte comme une fanfic ou pas ? :thinking: )
Bon, c’était y a longtemps donc je ne me souviens plus trop de ce qu’il se passait… De tête, ça se résumait à « le seigneur et ses hommes attaquent les paysans », « les révoltés vont inciter d’autres villages à les rejoindre », « les paysans attaquent le château », « le seigneur contre-attaque »… JUSQU’À ce qu’un tournoi soit organisé ! Pas pour faire cesser les taxes ou quoi, hein. Non, juste parce que j’en avais marre de faire des batailles et que je voulais changer un peu de truc à raconter :joy:
D’ailleurs, je crois que j’ai jamais fini ce tournoi… Ce qui ne m’a pas empêché de commencer une suite ! Et alors là, j’aime autant vous dire que c’était un autre délire ! Parce que désormais, j’étais grand ! J’allais raconter une vraie histoire, avec des enjeux qui en jetaient un peu plus qu’un seigneur à la campagne et trois villages de péquenots ! Place à une conspiration d’envergure ! Après tout, j’étais en CM1 !
Donc on découvre que le seigneur Galaxie fait en réalité partie d’une conspiration bien plus vaste et que s’il a augmenté les taxes, c’est pour participer au financement d’une armée de robots qui… euh, qui… Enfin bon, c’était le premier ministre le chef de la conspiration, et il avait fait assassiner le roi. Mais le prince avait survécu et il… euh, il…
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Enfin ! Toujours est-il que je n’ai jamais fini ni le tome 1 ni le 2. Je les ai toujours, quelque part au grenier… Faudrait que je les relise, à l’occasion XD

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C’était une histoire sur un génie et des enfants. Ça s’appelait « Le génie qui doutait »
J’étais en CE1 et j’avais 7 ans
C’était une fiction originale
Je voulais faire plusieurs chapitres mais c’est finalement une petite nouvelle
J’en suis fière mais mon style à beaucoup changé

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Sur les deux exemples précédents, j’adore les thèmes.

J’ai l’impression que c’est plus créatif parce que quand on commence à écrire très jeune et bien on n’est pas trop influencé par tout ce qu’on a déjà vu ou lu.

Je me souviens des essais de ma sœur quand elle avait 9 ans, et bien honnêtement, je trouvais qu’elle avait de bonnes idées fraîches pour le scénario et le caractère des personnages.
Son héros devait être un requin bleu assez dominateur, un roi de type tyran de l’océan, des serviteurs serviles. Il y avait une quête au trésor, des enfants enlevés, des rebondissements et révélations…

J’étais fan. :smiley: Surtout la transposition façon Fables de La Fontaine.

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Ma première histoire était à mes 14 ans. Elle se nomme « Dragon White ». J’étais le héros de cette histoire où je trouvais une pierre qui se révèle être un oeuf de dragon. Ce dragon est le dernier des dragons blancs, les dragons de lumière et le héros devient son dragonnier et ils sont liés tous les deux comme dans le film Eragon. Plus tard, la Terre est attaquée par le sorcier maléfique Darkombre, conquérant de l’univers (et oui, dans mon histoire, les dragons, les sorciers, les vampires et autres créatures sont toutes d’origines extraterrestres). Le héros forme un groupe avec différents personnages, (une magicienne, un descendant du roi Arthur, le prince de l’Atlantide,…) et va essayer de vaincre Darkombre, qui, selon une prophétie, ne peut être vaincu que par un dragonnier chevauchant un dragon blanc. J’ai fais en tous 90 chapitres, qui, par groupe de deux, racontent un arc de l’histoire. J’ai voulu l’écrire au début, mais je me suis découragé à l’époque. Maintenant, ce n’est plus qu’une histoire que je raconte à ma fratrie. Je l’ai allongé depuis, les premiers personnages vieillissent et se sont les enfants, puis petits-enfants de ces derniers qui sont au cœur de l’histoire. Ils luttent tous pour protéger l’univers de différentes menaces, les dieux de l’Olympe, l’empire des machines, l’armée des anges, les dieux de la mort ou encore les démons qui sont dirigés par Deadvalon, le fils de Satan, qui est l’antagoniste présent presque tout au long de l’histoire.

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Je me demande franchement pourquoi je m’embête à lire des fanfictions alors qu’un vieux topic me suffit pour combler ma matinée ! :laughing:

Bref, j’ai tout lu autant répondre !

Première histoire je dirai… On a quel âge en CM2 ? :eyes: environ 10 ans je dirais ?
C’était une écriture à quatre mains pour un recueil de contes, donc de l’original !

C’était de la bonne fantaisie aventure pour jeunesse, une p’tite nouvelle.

Je n’ai plus le texte mais je me souviens d’une fille habitée par une fée qui s’échappait d’une prison et d’un dragon en lui volant sa flamme ! (Comment on vole le feu du dragon ? en attrapant la flamme sur sa glotte bien évidemment !) :fire:

Alors fière, pas trop ! C’était pas terrible et je crois même que certaines idées venaient de choses qu’on avait lu ! Mais c’était marrant !
Contrairement à mes premières fanfictions deux ans plus tard qui étaient toutes des deathfic :innocent:

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Je ne me souvenais pas de la première histoire que j’ai écrite jusqu’au jour où un ménage de grenier chez mes parents s’est imposé. En fait, il semblerait qu’à partir du moment où j’ai appris à écrire, j’ai décidé d’user ce pouvoir jusqu’à la corde.
Chansons, poèmes, petites nouvelles (oui, une nouvelle est déjà courte, mais là elles l’étaient vraiment),… tout y était passé.

Mais celle qui pour moi a tout lancé est une histoire qui se trouve encore sur mon skyblog de l’époque. OUAIS… ouais… Passons sur cette info. Très largement inspirée de mes lectures du moment (Twilight et Le Journal d’un Vampire) elle évoquait la sombre histoire d’un vampire qui voyait sa popularité de monstre baisser à cause d’un certain Edward Cullen.
Il me faut admettre qu’encore aujourd’hui le speech me parait pas mal !

Si j’en suis fière ? Je ne sais pas. Le style est lourd, niais, les chapitres ridiculement mal articulés… Mais bon j’avais onze ou douze ans, alors « je m’excuse » (oui, je sais, on ne s’excuse jamais soi-même, c’est bien l’une des seules fois où je peux m’auto-pardonner, alors permettez-moi cette erreur).

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Oh je l’avais pas vu lui ! Bien sûr que je me souviens de la toute première histoire que j’ai écrite ! j’étais en fin de primaire ou tout début collège, à en juger par mon écriture… heu… maladroite ? Une fiction originale, que je n’ai jamais terminée (quoi ? comment ça ça remonte mes fics jamais finies ?), mais j’ai une excuse ! Cette histoire contient les prémices d’Eldalis, qui avait à l’époque un nom à rallonge et à coucher dehors. J’y relatais l’histoire de deux soeurs dont le royaume se faisait détruire par je-ne-sais-plus quoi, et qui s’endormaient finalement dans une grotte après avoir bu l’eau d’un lac qui s’y trouvait. En fait, la cadette avait le pouvoir de sauver leur monde et s’est faite transporter chez nous, où elle a « grandi » sous la surveillance d’un monstre déguisé pour qu’elle ne puisse jamais retrouver ses souvenirs et ses pouvoirs. Elle n’était pas seule, d’ailleurs : le monstre tenait aussi prisonnier un roi et un prince, si je ne me trompe pas… mais par chance, un centaure et la soeur de l’héroïne ont réussi à les sauver ! Je n’avais pas été plus loin, je crois, parce qu’il fallait que je mette au point quelques trucs sur ce monde…
Si j’en suis fière ? Hum, étant donné que l’histoire est toujours quelque part dans mes affaires et pas encore à la poubelle (je l’avais écrite dans un cahier), je suppose que oui, un peu. Mais si un jour je la reprends, je sens qu’il va y avoir pas mal de modifications à apporter avant de la publier potentiellement…

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De belles idées et de chouettes souvenirs ici <3 (salut les Bretons au passage :wink: Mon père viens du Finistère, j’y ai passé de nombreuses vacances) :smiley:
J’ai commencé par une bande dessiné, une histoire originale de chien contre les facteurs (très Tex Avery), j’avais a peine 10 ans. Mes vrais fic c’était du Alien et du X-files de mémoire (avant mes 15 ans), j’était plus atiré par le style (pour l’histoire d’Alien c’était de l’épistolaire par exemple) et de mémoire je ne les ai pas terminées… Je partageai mes histoires avec ma meilleure amie (qui pour faire court est aujourd’hui mon épouse), et on écris encore ensemble et on se lit également <3
J’ai écris quelques histoires originale (de la sf, de la fantasy pulp…) que je n’ai également jamais terminées :confused:
Clairement mes fanfic étaient meilleures que mes histoires originales.
Je suis plutôt chapitre que One-shot (ça donne l’impression d’écrire des épisodes :stuck_out_tongue: )
Dans l’ensemble je n’avais ni honte ni fierté a écrire (jusqu’à il y a peu. Je les kiff mes histoires aujourd’hui :stuck_out_tongue: ). Cela mes fait surtout du bien de sortir des choses et de les écrire, c’est thérapeutique :smiley:

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On est pas mal à avoir commencé avec des chiens fictifs ! :dog:
Moi aussi, j’ai écrit des trucs spéciaux sur les chiens, quand j’avais neuf ans notamment. A l’époque, je n’allais pas spécialement bien, et heureusement que j’ai jeté le « manuscrit » avant que ma mère ne tombe dessus ! C’était sur des chiens de labo, pas du tout glauque à part ça…
Et à dix ans, j’ai imaginé une version alternative à la rédaction que j’avais rendue au prof, ultra gore. Personne ne l’a jamais lue et je ne sais pas non plus si je l’ai écrite, à vrai dire.

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Pas de gore de mon coté :stuck_out_tongue: Quoi que c’était pas mal violent, et il y avait un ou deux démembrements… J’ai encore le petit cahier dans lequel je dessinai (avec une histoire de Batman :bat:)
C’est sympa de voir cette envie très tôt d’assimiler et de régurgiter les histoires qui nous entourent, cette volonté de dompter l’imaginaire que nous offrais la pop culture, déjà très jeune.

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C’est marrant que tu en parles, parce que mes toutes premières histoires, quand j’étais gosse, c’étaient des réécritures d’autres… de la fanfic, quoi ! :smiley:

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Je m’en souviens très bien. Comble de la honte, il me semble que j’ai pas mal traîné sur l’ancienne mouture du site et du forum sous un pseudo que je tairai, et que j’en avais parlé un petit peu à l’époque.

J’avais 12 ans, c’était en 2015. Puisque j’étais isolé des autres écrivains sur Internet (pourtant je n’habite pas dans une prison en Corée du Nord jusqu’à preuve du contraire, alors allez savoir pourquoi je ne suis entré en contact avec personne avant de découvrir les Discord d’écriture), je n’avais pas eu vent de ce conseil important qui est « jeune couillon, d’une grosse oeuvre, ne fais jamais ton premier projet ».

Du coup, comme première histoire, avant même d’entamer mes fanfics FNAF, FF7 et SW, j’ai travaillé de manière très brève sur un roman de High Fantasy. Je ne me rappelle même plus du titre, c’est dire si le truc était bien développé, vous voyez.

En très gros, ça devait être l’histoire d’une jeune voleuse (qui avait un design très kikoolol, puisque j’avais simplement pompé celui de Jinx dans LOL et rendu sa peau sombre), qui, par un concours de circonstances, découvrait qu’elle était apparentée au prince Mékouy qui s’était fait voler son trône par un démon.

Elle devait team up avec une paladine dont la copine s’était faite enlever par le démon en question, avec le frère de cette paladine et avec la fille du démon (qui aurait fini par la trahir à la fin, du moins c’est ce que j’avais marqué dans mes notes de l’époque) pour retrouver un artéfact magique. Le groupe rencontrait des elfes clichés, des nains clichés, les démons étaient très méchants parce qu’ils étaient très méchants, bref, j’aime beaucoup taper sur le Cycle de l’Héritage, mais cette fiction originale était très honnêtement du même niveau.

On peut donc imaginer que j’en suis, euh, PAS FIER DU TOUT DU TOUT. Si je pouvais faire modifier ma mémoire façon Total Recall, je pense très honnêtement que je ferais extraire de mon cerveau le souvenir de ce roman, voire toute cette époque honteuse s’étalant de mes 12 ans à mes 14 ans de manière générale.

Évidemment, je n’ai plus le moindre extrait sous la main puisque j’ai la fâcheuse habitude de lifter à la bombe nucléaire tous mes anciens textes que je n’aime pas (faudrait qu’on m’appelle « le Fourbe », j’aime bien couvrir mes traces), mais le simple fait de me souvenir du scénar, de le comparer à ce que j’écris aujourd’hui et de comparer ma vision de l’écriture à celle que j’avais à l’époque suffit à me convaincre que j’ai fait beaucoup de progrès en six ans. Il suffit de voir le fait qu’aujourd’hui, je m’efforce de créer des races qui s’éloignent le plus possible des archétypes de la fantasy et d’insuffler une véritable profondeur philosophique à un genre qui est souvent dénigré, alors qu’à l’époque, eh bien je nageais en plein dans tout ce qui lasse les lecteurs de fantasy et fait que de tels romans sont parfois considérés comme crétins.

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