Ouf! J’ai à peu près réussi à reprendre mon rythme de croisière! 
Le chapitre 64 est un de mes préférés! Les taquineries Silyen/Luke font leur grand retour, avec leur incontournable humour. ^^ Allez, quelques extraits, parce que j’ai ri moi-même en les relisant. 
-Voyez-vous, il existe dans ce pays une notion nommée l’hospitalité , Madame Hadley. Alors, la moindre des choses, lorsque vous voyez une personne avec un bouquet de fleurs et des chocolats, serait de la laisser entrer. J’ajouterais qu’il existe par ailleurs une deuxième notion, tout aussi intéressante, nommée le savoir-vivre…

Luke n’avait connu cette autorité dans la voix de sa mère qu’à quelques rares reprises.
Lorsqu’il avait volé le journal intime d’Abi et avait refusé de le rendre, par exemple.

-Laisse-moi tranquille, grommela-t-il.
-Quel dommage, dire que ta mère m’a si gentiment invité à entrer…
-Sil! Tu aurais au moins pu me prévenir! Je t’ai dit que ma mère pouvait te chasser à coups de fourche !
L’Egal fit mine de chercher quelque chose, touchant négligemment les figurines d’Assassin’s Creed que Luke avait posées partout où c’était possible, promenant un regard intéressé sur les posters, puis sur une carte postale des Cyclades.
-Une fourche? Où ça? Je ne vois rien.
-Bon sang, Sil.

(Et je vous laisse découvrir la scène avec le voisin fan de fitness^^)
Sinon, pour vous remercier pour votre patience et votre fidélité, voici une petite illustration. 