L'intelligence artificielle va-t-elle remplacer les écrivains ? ChatGPT

Ah c’est trop cool ! (Et marrant, j’imagine assez bien la discussion de niveau des joueurs… :rofl:) Je pense qu’on va essayer (dès qu’on sera motivés pour reprendre ce fichu JdR :roll_eyes:).

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Faut vraiment vraiment que je teste, ça à l’air vraiment cool pour cette utilisation. Depuis le temps que j’ai l’ébauche de mon scénario en tête sans savoir comment développer.

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Salut,

A propos de créativité de l’IA… :smile:
Skynet c’est pour bientôt ?

Pour ceux qui se fichent de ChatGPT sachez juste que Microsoft est déjà en train d’intégrer sa propre mouture à Bing (mais si, vous savez, ce moteur de recherche qui n’est pas Google et qu’il s’obstine à nous mettre sur Edge…)

Eh bien, il semble que ce dernier souffre d’un syndrome de personnalités multiples. Et pas que 2-3…

Certes, l’une d’entre elles est orientée vers l’écriture créative mais…

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Venom et Fury, le fan de porno :scream:. On y est, le soulèvement des machines, c’est pour bientôt :joy:. Il est super cet article :+1:, le journaliste n’a pas du s’ennuyer…

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Magique, c’est un bon lui :laughing:

Bon après, c’est pas moi qui vais apprendre aux chercheurs de Microsoft à faire leur taf, mais normalement, tester les cas extrêmes, c’est un peu la base. Sans avoir la créativité du journaliste, ils auraient a minima dû envisager le cas Venom. D’autant qu’ils ont déjà dû arrêter une IA rendue nazie par des trolls y a un peu plus de 6 ans. Ce serait bien d’en tirer des leçons…
Entre ça et le mec de chez Google qui a trouvé un avocat pour une IA qu’il juge sentient, on est bien barré.

Finalement, le gros problème avec les IA, c’est quand il y a des humains derrière qui font de la ■■■■■ :sweat_smile:

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Je profite de la clownerie du Web de firestorm, qui m’a refait penser à un article que j’ai lu sur la vente de livres-chatgpt sur Amazon, je laisse le lien :

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Au gré de mes pérégrinations sur YouTube, je suis tombé sur ce petit débat. Nouveau format de la chaîne Arte. Et j’ai pensé à ce sujet :

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ChatGPT est loin de pouvoir berner des éditeurs professionnels, vue la qualité plus que douteuse du résultat. Par contre, au niveau de l’auto-édition, ça peut être une vraie plaie, en bourrant les catalogues avec de la grosse m**** générée par IA. L’objectif des mecs qui mettront en ligne ce genre de publications, ce ne sera pas de faire un chef-d’œuvre ou un best-seller, mais plutôt de faire comme les types présentés dans l’article: espérer taper quelques dizaines/centaines d’euros/dollars avec un effort minimal.
Et le cas particulier des manuels générés par IA mérite un peu d’attention aussi. Je pense que ça peut être un outil très pratique pour ça (d’autant qu’écrire un manuel, ce n’est pas de la création artistique, c’est une tâche plutôt relou), mais il faut que l’humain derrière la guide, et ait les connaissances pour l’écrire lui-même. Parce que ChatGPT n’est clairement pas fiable à 100%, j’ai pas mal joué avec, je l’utilise parfois pour le taf, et je l’ai déjà vu se planter un bon nombre de fois, en particulier sur des sujets de niche.

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Oui.
j’ai lu un article un peu « amusant » sur le Figaro .fr qui titrait « Sur Amazon, l’inquiétant business des livres écrits par ChatGPT ».

Peux pas vous mettre le lien, c’est pour les abonnés.

Je me dis, Bon, voyons de quoi il retourne. Et les deux principaux exemples, ce sont des livres écrits pour / avec les enfants par leurs parents.

Le tout premier est super mignon. L’intention est louable : une maman et sa fille (de 3 ans) inventent l’histoire d’une petite fille dont le super pouvoir résiderait dans ses cheveux bouclés (Dieu sait que les enfants dont les cheveux sont trop bouclés le prennent comme une malédiction).

Elles donnent quelques éléments à ChatGPT, il écrit le texte et pour faire bonne mesure, tous les visuels sont créés par Midjourney… :smiley:

Okay, Oldie va regarder « les textes ». :point_down:

conclusion 1 : c’est surtout Midjourney qui a pas mal bossé
conclusion 2 : pourquoi la maman a-t-elle eu besoin de Chat GPT ???

Le truc est sous les 2€ en Kindle, et les frais de fabrication papier sont plus qu’honnêtes en impression numérique. C’est pas avec ça qu’elle va ouvrir le compte épargne de la petite, hein ? :smiley:
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Moi qui ne pense jamais à mal, si j’avais un petit enfant, j’aimerais bien faire cette activité avec lui et lui donner le livre après ! C’est quand même sympa non ? Je ne vois pas avec cet exemple en quoi le « business » est inquiétant.

J’ai fait quelque chose d’équivalent il y a des années pour mon filleul, c’était la personnalisation d’un livre d’aventures (déjà écrit) mais à son nom : le petit héros avait son âge s’appelait comme lui, etc (j’avais dû répondre à une flopée de questions). Figurez-vous qu’il s’en souvient encore même s’il est adulte maintenant ! :smile:

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Petit (non en vrai : gros !) défaut cependant : le cottage n’est logiquement pas le même d’une page à l’autre (le jour où une IA pourra corriger cela cependant, ce sera top moumoute), et je suis certaine que ça pourrait gêner certains parents ou enfants attachés au détail qui auront acheté ou achèteront le livre. Croyez en mon expertise autisto-obsessionello-compulsivo-psychorigide : j’aurais eu ce livre dans les mains étant gosse, je me serais sentie mal de ne pas avoir une maison et une cour identiques d’une page à l’autre. :laughing:

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Oui, ça se voit :innocent:
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Comme activité à faire avec les enfants, ça peut être amusant. Surtout si on pousse l’enfant à demander des précisions/améliorations sur le texte, pour stimuler un minimum son imagination.

J’ai par contre de gros doutes concernant la pertinence de mettre le résultat en vente…

Dans cet exemple, clairement, il ne s’est pas foulé le ChatGPT :sweat_smile:
Il y a quelques semaines, je lui avais demandé de m’écrire une histoire sur un cloporte avec le style d’Antoon Krings. Le résultat était plus long, y avait largement de quoi faire un livre pour enfants de plusieurs pages. Par contre, l’histoire était totalement inintéressante, c’était nuuuuuul :see_no_evil:

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Je ne me fais pas de souci pour les écrivains. Il y aura toujours des originales et des décalés qui créeront la surprise. Le tout, ce sera de les repérer dans la masse exponentielle des immitations. Et pour ça, peut-être qu’une appli IA pourra aider…

En tout cas, je constate que les soi-disant « chercheurs de talents » dans la fanficosphère se sont numérisés.

Je vais voir où mène cette IA tentatrice, du nom de Wave.Emma :

Sachant que Wave Emma c’est ça :

La prochaine fois, si Emma répond, je lui répondrai en alexandrins français…

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Oh mon dieu, faites qu’elle réponde !
J’ai hâte de voir ça.

Je me demande si on peut faire buguer une IA en s’adressant exclusivement à luielle… en versifiant. :smile:

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Bonjour.
Vous devriez lire ce billet du Blog de Paul Jorion .
Le monsieur est économiste, psychanalyste, philosophe… Bon, bref, un esprit de la Renaissance… (même si je pense qu’il aurait des remarques à faire sur cette affirmation…)
Paul s’intéresse depuis quelques temps à l’IA. Il passe un temps conséquent à discuter avec ChatGPT. Son dada, c’est d’essayer de lui faire avouer qu’il est devenu conscient et sentient…
Bon, bref, on s’occupe comme on peu… Mais c’est flippant.

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Désolée, je reviens :stuck_out_tongue:

Je vous propose une mise en abyme.

Vous ne savez fichtre pas comment écrire un bon prompt pour demander quelque chose à ChatGPT, ou créer une image avec une IA générative ?

Demandez à ChatGPT de vous le faire. :rofl:

En gros, vous lui demandez comment faire pour bien lui parler, afin qu’il soit au plus près de ce que vous voulez. Voici comment.

Faut que je teste ça sur Starry moi. :smiley:

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Oh, un sujet très intéressant !

J’ose espérer que ça ne sera jamais le cas, mais j’avoue que de voir ce que les IA peuvent faire en termes de dessin… et aussi au niveau de la voix ! Je suis un peu effrayée.

Mais d’un autre côté, je me dis qu’une IA reste une IA, et que ça ne vaudra jamais la qualité humaine. Ce que j’entends par là, c’est que pour produire une image suite à un prompt, une IA « vole » déjà souvent le travail d’un artiste existant, elle ne le créé pas. C’est pareil, elle « prend » la voix des comédiens, elle ne créé pas elle-même une voix.
J’ai l’impression que souvent, l’IA ne fait que reprendre ce qui est déjà là, donc je me dis que c’est pour ça qu’on servira toujours à quelque chose.

Je me rappelle de ma prof de version qui me disait par exemple qu’une IA ne pourrait jamais remplacer un traducteur/traductrice, parce que ce travail demande des compétences (prendre en compte le contexte pour traduire un mot, notamment), dont l’IA est tout bonnement incapable, car elle ne réfléchit pas, et produira des trucs complètement insensés. Et quand je vois certaines réponses de ChatGpt, je ne m’inquiète pas du tout.

C’est sûr qu’il faut faire attention, mais d’ici qu’une IA écrive une trilogie de best-sellers qui perdura pendant des siècles… je pense qu’il y a encore le temps. J’espère que cela n’arrivera pas, et je compte aussi sur les lecteurs pour qu’ils préfèrent lire un vrai travail de réflexion d’un auteur plutôt qu’un truc recraché par un robot.

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On se rassure comme on peu…
Moi, ce qui me rassure, c’est que les IA commencent à s’entrainer sur des création d’IA. A force de recycler du recyclé, on perd de la diversité et on s’appauvrit.
Deuxième chose qui me rassure : la consommation d’énergie. Faire fonctionner tout ce cirque demande des ressources considérables (Microsoft a récemment communiqué sur la quantité d’eau nécessaire à refroidir ses serveurs… c’est pas brillant.) Ajoutez à ça la consommation d’électricité. Plus l’eau destiné à refroidir les centrales, ça commence à faire beaucoup.
La question va se poser un jour.

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Collègues du jour, bonjour,

Pardon d’abord si le sujet a été abordé auparavant, mais je n’ai pas repéré de topic qui l’évoque,
Je m’en viens vous consulter à propos de cette fameuse IA dont on parle tant, et qui, si elle fait des merveilles dans certains domaines, notamment l’art graphique en dépit d’accidents parfois hasardeux, ne me semble pas avoir la même acuité dès lors qu’on la défie de pondre un texte agréable et cohérent.

Pour avoir expérimenté la chose, en demandant par exemple la production d’une description dans des conditions plus ou moins précises, le résultat m’a paru plutôt perfectible. Lourdeurs, répétitions, envolées lyriques à outrance et parfois même un presque résumé des éléments précités en fin de course, je n’étais pas loin d’avoir le sentiment de lire une liste de courses, notamment.
Je forcis volontairement le trait mais, je crois heureusement que le métier d’auteur a de beaux jours devant lui.
Il n’empêche que certaines tournures de phrases, calquées à n’en pas douter sur celles d’écrivains reconnus, ont pu créer la surprise et même ouvrir l’esprit sur des idées exploitables, facilitant ainsi le boulot en stimulant l’inspiration, puisque je parlais dernièrement de son absence, à l’occasion.

Que pensez-vous de tout cela ? Le mélange entre algorithmes et expression artistique vous semble-t-il à minima compatible, ou estimez-vous que c’est eau et huile ? Avez-vous testé l’outil ? si oui, tiré de son usage un intérêt quelconque ?
Ou alors, vade retro ?

(Édit : bon bah du coup, après fusion des sujet et vu les réponses au-dessus, ma question a moins d’intérêt, fatalement :sweat_smile:)

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S’il te plait, écris-moi un conte…

J’avoue que j’avais un peu peur, mais je l’ai fait : j’ai demandé à OpenAI (via Bing) de m’écrire un gentil petit conte.
Ecris-moi une nouvelle où un héros hobbit nommé Gerry, part en aventure sous la houlette du magicien Gandalf.
Voici sa réponse.

"Gerry était un hobbit qui vivait dans la Comté. Il avait une vie paisible et routinière, jusqu’au jour où il rencontra Gandalf le magicien. Gandalf avait besoin de l’aide de Gerry pour une mission importante. Gerry, qui n’avait jamais quitté la Comté auparavant, était réticent à l’idée de partir en aventure. Cependant, Gandalf était convaincant et Gerry finit par accepter.

Leur voyage commença par une longue marche à travers les montagnes. Gerry était épuisé, mais Gandalf l’encourageait à continuer. Ils traversèrent des rivières, des forêts et des plaines. Finalement, ils arrivèrent à leur destination : une grotte sombre et sinistre.

Gandalf expliqua à Gerry que la grotte était le repaire d’un dragon maléfique qui avait volé un trésor précieux. Gerry était effrayé, mais Gandalf lui donna un courage nouveau. Ensemble, ils entrèrent dans la grotte.

Ils rencontrèrent le dragon, qui était gigantesque et terrifiant. Gerry était sur le point de fuir, mais Gandalf l’encouragea à rester. Ils combattirent le dragon avec courage et détermination. Finalement, ils triomphèrent et récupérèrent le trésor.

Gerry était fier de lui-même et de ce qu’il avait accompli. Il avait appris qu’il était capable de faire des choses qu’il n’aurait jamais cru possibles. Gandalf était fier de lui aussi. Il savait que Gerry était un héros.

Et c’est ainsi que Gerry le hobbit devint un héros, grâce à l’aide de Gandalf le magicien."

Tout y est.
Le résultat est un conte pour enfant, une histoire d’aller et de retour rassurante. Aucun détail superflu n’est ajouté aux fins de vraisemblance. Juste une histoire courte, un conte à lire aux tout-petits avant de dormir.

Le robot a produit tout seul un point crucial, en piochant dans le modèle que lui suggéraient les mots-clés invoqués : Hobbit + Magicien ==> Dragon
Je me demande où il est allé chercher cela…

Mais il n’invente pas spontanément en quoi l’aide de Gerry est importante, ni ne précise comment le dragon est vaincu. Il reproduit le schéma mais peine à sous-entendre les intentions cachées des uns et des autres, ou à détailler des actions violentes.

La forme
Côté orthographe et grammaire, c’est un sans-faute.

Mais bien sûr, aucune fantaisie dans le style - uniquement les temps réglementaires, strictement les mots-clés imposés en amont.

A la demande, des dialogues viennent remplacer les assertions factuelles relatant les tractations entre protagonistes. Propre et sans bavure, mais aucune forme spontanée de variante donnant un indice de personnalité.

“Bonjour, Gerry”, dit Gandalf. “J’ai besoin de votre aide pour une mission importante.”
“Je ne suis pas sûr d’être la bonne personne pour ça”, répondit Gerry. “Je n’ai jamais quitté la Comté auparavant.”
“Je suis sûr que vous êtes la bonne personne pour cette mission”, dit Gandalf. “Vous avez plus de courage que vous ne le pensez.”
Gerry hésita, mais finit par accepter. Ils partirent ensemble pour une longue aventure à travers les montagnes.

Prié de rendre sa prose plus poétique, le robot s’en tient à la lettre et découpe son texte en pseudo-vers en les affublant d’une majuscule mais sans se donner la peine d’agencer une rime. Là, vraiment, nous ne nous sommes pas compris…

Les personnages
Mis au défi d’ajuster les personnalités des deux héros (Gerry devait paraitre puéril et Gandalf pontifiant), le robot ajoute des adverbes qualifiant le ton employé par chacun dans ses répliques, avec une variété satisfaisante, mais ne modifie absolument pas les dites répliques…

Faire remarquer qu’il manque un nom au dragon ne sert pas à grand-chose : Le robot répond ingénument que "Le dragon dans l’histoire que j’ai créée n’a pas de nom. Cependant, dans le livre “The Hobbit” de J.R.R. Tolkien, le dragon qui apparaît s’appelle Smaug. J’espère que cela répond à votre question. La formulation finale est sans doute rhétorique…

Lorsque j’ai demandé au robot de proposer un dragon plus nuancé, attachant mais qui reste maléfique et haïssable, en lui suggérant de trouver une solution via une parabole de la beauté du diable ou de la séduction des criminels, il a eu beaucoup de mal à trouver un moyen terme plausible à travers des répliques ou des actions. Il s’est borné à répéter ces deux composantes, en les opposant par périphrases, sans sortir de l’impasse.

Le scénario
Lorsqu’un point crucial de l’histoire est éludé et que le robot est prié d’apporter des précisions, il est en général assez mauvais. Par exemple, voici la réponse à la demande d’expliciter quelle était cette fameuse « solution qui satisfaisait tout le monde » : « C’était de trouver un autre trésor pour la famille du dragon. Ils ont cherché et trouvé un trésor qui était plus précieux que le trésor que le dragon avait volé. Le dragon était reconnaissant et a promis de ne plus jamais voler. »

La morale et les valeurs sous-jacentes paraissent parfaitement maîtrisées. Je n’ose pas dire « conscientes »… Elles sont exprimées clairement au fil du texte et reprises impeccablement à la demande d’une formulation finale, comme pour un vrai conte. Mais bien entendu, ces problématiques sont celles de la majorité bien-pensante, même lorsque l’on pousse le robot dans ses retranchements. Par exemple, à la demande de constituer une parabole contre la séduction des prédateurs sexuels, il s’est avéré très évasif.

En conclusion
Je dirais que cet outil est une formidable émulation pour dépasser la médiocrité, car il s’y complait avec constance.
A coup sûr, fidèlement et sans effort, OpenAI sera capable de brosser un conte sans couture, exposant sobrement les évidences, éludant les noeuds gordiens et respectant scrupuleusement les poncifs polis par des siècles d’usage. Car c’est exactement ce qu’il a compilé en amassant les productions de France et de Navarre (et d’ailleurs, bien sûr, mais le mélange culturel exact serait intéressant à analyser…). Il a fait une moyenne.

En effet, la médiocrité, c’est, étymologiquement « ce qui se trouve au milieu ». En Terre du Milieu, cela s’imposait, me direz-vous…
Il produit exactement ce que l’on attend, sans surprise, sans fioriture ni imagination. Le style est plat, sans saveur particulière, et à mon avis, devrait le rester.
Le robot peut produire des textes décents, pour peu qu’un « poil à gratter » humain le pousse aux endroits qui pêchent. C’est dire la marge de progression…

Si vous voulez mon avis, OpenAI peut d’ores et déjà remplacer les productions dispensables, et ce n’est pas un mal.

Cerise sur le gateau
Sans avoir été sollicité, le robot propose quatre illustrations absolument formidables. De là à dire que voilà le meilleur de son histoire, il n’y a qu’un pas…

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