My name is Bond. James Bond

Hello à tous,

L’agent 007 fait jaser dans une autre branche qui n’est pas le meilleur lieu pour en parler, alors qu’à cela ne tienne ! Vite, on en crée une rien que pour ses yeux. :stuck_out_tongue:

Firestorm avouait :

Je suis un gros gros fana de James Bond (chaque acteur apporte un cachet différents), les bouquins sont vraiment sympa (j’ai dû lire Bon baisé de Jamaïque, L’Homme au Pistolet d’or, DrNo…) Mais le personnage y est presque antipathique en comparaison :sweat_smile:

Au final c’est la formule des derniers films également mais quel formule ! :smiling_face_with_three_hearts::cocktail: La saga évolue lentement finalement. Ce qui est intéressant c’est la relation entre Bond et l’antagoniste (perso GoldenEye reste le meilleur exemple :+1:).

Et à partir de là, les posts se sont enchaînés… :point_down:

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Ce qui m’intéresse, dans les derniers James Bond, c’est l’humanité qui est redonnée au personnage. Il devient plus qu’un agent secret séducteur…

5 « J'aime »

C’était le cas depuis Dalton. L’armure tombe vraiment sur GoldenEye. Brosnan troque le costume de mâle alpha pour celui de chevalier blanc.
Bref, je suis véritable fan de cette saga :sweat_smile:

4 « J'aime »

Nettement. Il devient une vraie personne avec une psychologie élaborée au dela de « kiss kiss bang bang ».
Amoché, plein de sang (au lieu de brushing et costard impeccables en toutes circonstances), rafistolé, sonné, malade, coureur de fond plutôt que de jupon, et surtout, surtout, il a une conscience qu’il protège de la brutalité atroce de sa profession en maniant le sarcasme comme une arme de précision et avec une grande économie de mots.
Ce que je préfère, c’était quand Vesper pouvait faire briller et pétiller son regard et qu’il s’autorisait tout juste l’ombre d’un sourire. :broken_heart:

3 « J'aime »

Je suis pas là pour briser quoi que ce soit hein… Mais en même temps, si c’était une vraie personne, il serait pas tout ce que tu décris non plus. Il serait comme, bah… une vraie personne. Dans un sens, ils l’ont rendu plus parfait qu’avant.

4 « J'aime »

Torturé, méconnaissable, hospitalisé au début de Meurt un autre Jour.

Dès GoldenEye il se focalise sur un seul « love-interest », et dans Demain ne Meurt jamais c’est le décès d’une ancienne conquête qui le motive.

Chaque « nouveaux éléments » de la période Craig sont des éléments qui ont étaient testé dans les films précédent. De manière générale, une fois la période Moore passé, ils ont cherché à revenir aux sources. Au final, aussi bon soit il, le Bond de Craig c’est la même Bond que Connery, le machisme, sexisme et le racisme en moins…

(On s’égare, non?)

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