C’est tout à fait ça. Je partage ce point de vue.
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Moi aussi je partage ! J’écris pour m’évader aussi 
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Je suis d’accord avec toutes les dernières réponses !
J’ai écrit au départ parce que j’avais besoin d’évasion.
Je connais par coeur l’animé et les jeux du monde que j’utilise, ça ne me demande pas trop d’effort et me permet d’explorer à ma façon cet univers.
C’est assez jouïssif =)
Et si en plus ça peut faire passer un bon moment à d’autres personnes, c’est super =)
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Les mois se sont écoulés, je peux répondre à ta question maintenant…
Au départ, j’étais « contre » l’idée. Peur de supprimer l’essence même d’une oeuvre que j’ai apprécié. Mais… Toujours un mais… Dans la vraie vie, j’ai un besoin irrépressible de savoir ce que pense les gens. Pourquoi se comportent-ils de telles ou telles façon ? Leur vécu, etc… C’est pareil dans les livres.
Comme citer plus haut, c’est toujours frustrant que certains personnages soient relégués au second plan et laissé pour compte.
Ensuite, il y aussi les séries qu’on débutent, où on imagine la suite, des théories… et tout ne va pas forcément dans notre sens. Un mal pour un bien.
Et depuis quelques temps, je viens de réaliser que l’écriture me permettait d’extérioriser certaines choses à travers les personnages crées ou existant.
Mon cerveau est sans cesse parasité par de nombreuses pensées. À force de tout garder pour moi et cogiter, je tourne en rond et ne fais plus rien.
Je suis plutôt du genre à m’exprimer à travers le dessin, mais pas toujours motivée.
J’ai aussi une fâcheuse tendance à m’éparpiller. J’ai envie d’essayer et d’apprendre pleins de choses.
Du moment que je peux manifester ma fibre artistique sur un support, ça me convient en fait.
Graphisme, illustration, on nous apprends à annoter, créer un plan… avant de commencer le boulot. Rare chose que je réussissais à faire. Toujours dans le brut.
Mon projet d’écrire une BD/ Roman illustré est toujours présent. Je traîne cette idée avec moi depuis le lycée maintenant, mais je suis loin d’être compétente en écriture. Alors pourquoi pas apprendre en écrivant une fan fiction. Et j’ai encore du chemin à faire
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Coucou!
Pourquoi avoir écrit des fanfictions, la première idée était de « prolonger » un manga que je trouvais trop court, et voulait poursuivre, et créer de nouvelles aventures pour la petite héroïne (Sakura de Clamp). Une fois, cette fanfiction terminée, j’ai essayé avec Harry Potter et puis voilà une autre fanfiction et … une autre.
Aprés effectivement, il y a aussi le côté « facile », parce que l’univers et les personnages sont déjà crées, (même si j’en ai crée d’autres pour mes fanfictions. Je suis particulièrement « fière » de ma petite TJ). De pouvoir utiliser le canon, est effectivement facile de pouvoir écrire sur un livre qui nous a plu, et enchanté.
Et enfin, c’est vrai que c’est aussi un peu de « test » pour la suite. J’ambitionne d’écrire ma propre histoire, mais cela va prendre encore pas mal de temps. Mais j’aime écrire, donc ça sera fait… un jour^!
A trés vite!
Tchii.
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bon allez, j’ai vu que ce salon existait, autant y prendre part et rajouter ma patte ici aussi ^^
J’ai commencé la fanfiction au lycée, en fin de seconde pour être plus précise. Pourquoi exactement ? Je vais être honnête, je ne sais pas exactement. Volonté de m’évader d’un monde auquel je ne pensais (et ne pense toujours) pas appartenir, coucher sur papier les histoires que je m’inventais le soir avant de dormir aux côtés de personnages que j’aimais ? Détailler, à ma façon, la vie de héros oubliés dont le passé ne nous est qu’en partie connu ? Tromper l’ennui lors de mes heures de trou, que je passais à remplir des pages sur les ordis du lycée ou sur ma tablette, le soir, chez moi ? Soulager mon esprit bouillonnant d’idées, d’histoires qui se mélangeaient dans ma tête et prenaient presque plus de place que mes cours ? Ou peut-être simplement m’exercer à l’art de l’écriture dans un univers rassurant, familier, qu’un crossover léger suffisait à moduler ? Un mélange de tout ça, certainement.
Toujours est-il que, malgré la rédaction et la publication de quelques histoires originales toujours en cours, je ne quitterai probablement jamais entièrement le monde de la fanfiction. Aujourd’hui, lorsque j’écris des fanfictions, je le fais surtout par volonté de me projeter dans un univers qui me fait rêver. Un univers auquel je rêve d’appartenir, même si je ne le pourrai jamais. Et puis, sans les fanfictions, je n’aurai probablement jamais commencé mes histoires originales 
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Parce que je m’ennuyais pendant le confinement ? ^^
Ma première fanfiction…si je ne m’abuse…doit remonter au collège ou au début du lycée. Originellement, c’était pour « inventer une suite » comme beaucoup. Rien d’original là dedans. Juste j’appréciais beaucoup certains univers et l’envie me prenait d’imaginer ce qu’il pourrait se passer après. Mon premier sujet de fandom a certainement été Dragon Ball Z…si je ne m’abuse.
Mais avec le temps j’ai un peu changé le style. Par deux fois je me suis lancé dans de très grosses Fanfictions autour de Harry Potter, toutes deux des suites mais pas dans le sens où l’on se l’imagine. Je ne voulais pas écrire « la suite des aventures de Harry Potter » donc il m’a fallu chercher des concepts plus originaux. C’est à cette époque que j’ai réalisé que je ne voulais pas faire de suite.
Aujourd’hui quand j’écris une fanfiction c’est surtout pour mettre en avant un personnage que j’apprécie afin de le mettre plus en avant que dans l’oeuvre originale. Ou alors, comme expliqué dans un autre sujet je pars sur un What If, et m’amuse à imaginer comment une oeuvre évoluerait si un détail changeait. « Et si Luffy était devenu marine plutôt que pirate ? », « Et si Freezer n’avait pas détruit la planète Vegeta ? », « Et si Zack n’était pas mort dans FF7 ? » etc…
Mais tout récemment j’ai trouvé un nouveau concept qui me plait et qui fait beaucoup travaillé mon imagination. L’extension d’univers, voir même univers alternatif. Comment des personnages originaux s’en sortirait dans un monde et un univers déjà créé ? Me permettant de faire vivre à la fois mon amour pour tel ou tel fandom tout en me donnant beaucoup de libertés s’approchant d’une fiction originale.
Mais à la base de la base, si j’écris des fanfics, c’est que j’aime écrire et que j’aime le fandom. Une façon pour moi de manifester mon amour pour le monde en question, si possible honorer l’oeuvre originale, et pourquoi pas faire plaisir aux potentiels lecteurs.
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Bon, pour tuer l’ennui je vais répondre à cette question qui me paraît très intéressante!
Alors… J’ai toujours aimé écrire. D’aussi loin que je me souvienne, déjà lorsque j’étais en primaire, j’écrivais des histoires (certes avec les fautes d’orthographe et de grammaire qui brûlent les yeux, mais j’écrivais.) Arrivée au collège, je m’ennuyais en cours, et tout ce que je voulais était de rester dans ma bulle, celle qui me permet de développer mon imagination à l’infini sans que personne ne puisse me juger! Néanmoins, au bout d’un moment, cela ne me suffirait plus. J’ai alors débuté ma première fanfic, qui était sur DW, avec mon cahier et mon stylo. À cette époque, je ne savais même pas que ce type d’écriture portait un nom bien spécifique : celui de fanfiction.
Pendant longtemps, j’ai abandonné l’écriture dans le but de me consacrer pleinement à une seule personne. Et même si cette personne m’a fait énormément souffrir, elle m’a encouragée à écrire, ce que j’ai fait. J’avais déjà le soutien de mes professeures de français mais je ne les croyais pas, car pour moi, j’étais absolument dénuée de talents et personne n’était honnête avec moi.
Ma première fanfic était un exploit, je dois l’admettre, et je ne l’ai jamais fini car ma séparation avec celle qui m’avait soutenue m’a détruite. Pour moi, reprendre cette fanfiction serait un cauchemar, ce serait une torture psychologique qui me ramènerait tour droit dans les griffes d’un méchant balrog sortant tout droit des mines de la Moria. 
Cependant, après plusieurs années et de très nombreux journaux intimes rédigés (ok, après une année seulement), je me suis repenchée sur le thème de la fanfiction, avec un autre univers. J’avais de nombreuses vues, de bons commentaires, mais je pensais passer inaperçu car je n’écrivais pas sur le même couple que les autres. Je sortais du lot, ce qui avait tendance à amener les éloges, mais également à créer un énorme fossé avec les autres. Finalement, en début d’année, j’ai pris la dure décision de supprimer ces fanfictions du forum même si elles me tenaient à cœur. Une d’entre elles en particulier car elle est née d’un projet que j’ai depuis très longtemps.
Enfin, c’est l’année dernière, au début de ma première année de fac, que j’ai de nouveau saisi l’opportunité d’écrire afin de me changer les idées. Je vivais plutôt mal les énormes changements que ma nouvelle vie d’étudiante avait amené, et je n’avais plus le moindre espoir. Écrire m’a vidé la tête et m’a fait ressentir un bien fou, celui que j’ai toujours eu. Je ne pensais plus à rien qu’à mes personnages, devenant eux afin de les comprendre davantage.
Bon, assez tergiversé, je vais répondre plus proprement à la question. La fanfiction, je l’utilise pour soigner une frustration vis-à-vis de certains personnages. J’ai toujours eu la fâcheuse tendance de m’attacher aux personnages secondaires, ceux qu’on laisse de côté et qui ne sont pas développés à leur juste valeur. Alors j’ai pris le parti d’essayer de les développer moi-même, de les faire vivre afin de mieux les comprendre. En même temps, comme je l’ai dit, cela me permettait de me plonger dans un univers autre que la réalité, qui me paraît être un milieu de souffrance dans lequel je ne suis qu’un pion. Je me vidais la tête tout en abandonnant douleur de me sentir différente, ma douleur de vivre. Je vivais et je vis pour les personnages que je développe, auxquels je donne une probable continuité. Et je pense être fière de cela, même si cela me donne la sensation d’être un alien dans de nombreux fandoms.
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Je passe ici poser un article qui ne répond pas tout à fait à la question, mais un petit peu quand même.
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Je suis plutôt « Emotionnel » alors. (comme beaucoup non ?) x)
Je me retrouve là-dedans aussi
Excellent article, que je n’avais pas encore lu 
Après lecture, je dirais que je suis plutôt un Architecte Viscéral C’est sans doute un peu contradictoire et je pense que c’est justement pour ça que j’ai du mal à finir mes histoires… Une fois que j’ai posé les grandes lignes ainsi que quelques passages précis, je n’arrive pas à « architecturer » l’histoire autant que je le voudrais, ce qui m’amène à ne jamais la terminer 
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Super article, merci de partager ! Je pense que je suis entre émotionnelle et viscérale.
Je trouve l’explication extraordinairement limpide (et je rentre totalement dans ces cases)…
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Ça compte si je vous dis que Julien Hirt a dit merci quand j’ai partagé cet article sur FB ?
Du coup, j’ai mis celui des types de lecteurs aussi. Ça ne mange pas de pain.
Et pendant que j’y suis, je suis Exploratrice Émotionnelle ascendant Bricoleuse
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Moi je suis Explorateur Cérébral.
Il n’y a pas une once d’émotionnel dans ce que je fais.
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Je me retrouve pas mal là dedans !
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Oh voilà un sujet qui me plaît ! Il y a pas mal de diversité dans vos raisons, c’est assez sympa à découvrir ! Du coup, à mon tour de vous raconter ma petite histoire de la fanfiction.
Ça commence en 2010, pourquoi ? C’est toujours un mystère ! J’ai plusieurs pistes ! Les séries Stargate SG-1 et Stargate Atlantis n’ayant pas de fin véritable ? Un personnage pas assez présent à mon goût quelque part ? Une manie a se dire « Et si » à chaque fois ? Bref, c’est venu sans prévenir…
Ma première fanfiction était assez vide, je savais pas trop ce que je voulais faire, ni pourquoi.
Plus tard j’ai commencé à apprécier explorer la personnalité des personnages de mes séries et films favoris.
En plus, ça permet de faire durer des univers qui ont connu un arrêt trop sec à mon goût, snif, mon Stargate pleure toujours.
Je fais beaucoup d’original à côté, j’ai un univers que je développe mais c’est différent. Je sais déjà comment réagirais mes personnages facent aux diverses situations.
En fanfiction, j’ai envie de dire que je découvre en écrivant ?
Ça me plonge encore plus dans des univers que j’affectionne.
Et puis, la communauté est assez encourageante. Quand j’ai commencé à écrire nous étions un petit groupe à partager cette activité, c’est de suite devenu une. bonne façon d’apprendre à se découvrir.
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Hello !
J’adore ta question ! Et j’ai qu’une hâte, c’est d’y répondre
Donc voici mes raisons d’aimer écrire des fanfics :
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La 1ère, c’est de pouvoir TOUT changer à ma guise
Faire en sorte que tel personnage soit comme ça, lui créer une toute autre vie dans un monde totalement parallèle, que machin finisse avec machine, que truc ne soit pas mort, de mettre en avant telle ou telle personne car elle est beaucoup trop en retrait, ou l’inverse, effacer celles qui sont toujours en vedette. En gros, de pouvoir faire libre cours à mon imagination et mes envies 
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La 2ème, c’est que le fait de simplement écrire me permet de m’évader de ma petite vie tranquille et de rejoindre le monde de l’imaginaire, où tout est possible. A ce moment, je peux évacuer tout ce que j’ai sur le coeur, quelles que soient mes émotions. Je sais que c’est con, mais étant donné que ma vie amoureuse n’est pas au top en ce moment, j’aime savoir que je peux en créer une bien plus palpitante, et d’une certaine manière, ça me réconforte (et me redonne du courage !)
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La 3ème, c’est que j’aime partager ma passion avec les autres, j’aime aussi savoir qu’on a chacun notre propre façon d’écrire et que, pour le coup, tout le monde y trouve son bonheur.
C’est aussi grâce à cette passion que j’ai rencontré tout un tas d’amies formidables. J’avoue qu’aujourd’hui, je n’ai contact plus qu’avec une seule personne. Mais ça ne m’empêche pas de garder des souvenirs extraordinaires avec tous les fous-rires, les moments de complicités, les hauts et les bas qu’on a eu. A cette époque, même si j’avais des amies « non virtuelles » ça restaient quasiment elles avec qui je me sentais le plus proche.
Voilà pourquoi j’aime écrire 
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Une crise de foi carabinée
Je suis tombé hier sur ce témoignage d’une québécoise, autrice fameuse et prolixe, mais en proie à une crise assez profonde :
« À quoi bon, tandis qu’un bon tiers de la planète flambe, continuer d’inventer des histoires ? », par Dominique Fortier (nouvelobs.com)
Voilà bien une question existentielle, pour quelqu’un qui a fait de l’écriture son métier, c’est-à-dire à la fois une partie de sa raison d’être et son moyen de subsistance.
Bien sûr, nous autres gratte-papier numériques de fanfictions ne sommes pas professionnels.
Pourtant, au-delà de l’intérêt personnel - conscient ou latent - de divertissement, d’épanouissement, de catharsis, d’exploration ou de partage, qu’ont développé certains témoignages ci-dessus, les histoires - nos histoires aussi, toutes modestes soient-elles - ont également une fonction sociale.
Pour Dominique Fortier, une histoire remet en cause l’ordre du monde. Modestement, momentanément, pour de faux, pour « voir ce que ça donnerait » et en commençant par la place de l’auteur lui-même. Dans notre environnement croulant sous les propagandes et les néo-prosélytismes, la littérature serait surtout un espace, une pause, où l’on prend le temps de chercher en s’avouant que l’on n’a pas toutes les réponses.
Qu’en pensez-vous ?
De mon côté, l’écriture répondrait plutôt à un besoin de transmission. Mais de quoi exactement ? Et mon besoin de transmettre trouve-t-il un écho, un besoin de la part du lectorat ? Pas sûr du tout…
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