RECO : Calvin et Hobbes

Je n’ai jamais recommandé de fiction, jusqu’à présent, alors n’hésitez pas à me dire si je fais quelque chose de travers !

Titre : :computer_mouse: 25 ans
Auteur : :computer_mouse: lebibou (qui n’est pas inscrit sur le forum et n’est pas revenu depuis onze ans, malheureusement…)
Genre : Continuation / Drame d’après l’auteur ; je suis assez d’accord avec cette classification.
Rating : T
État : One-shot de 4276 mots (avec huits évaluations dont une review par Aya Volsunga)
Connaissance du fandom : je dirais conseillée, mais pas nécessairement obligatoire (dans le sens où il y a quelques éléments du canon mentionnés, mais sans que cela n’empêche la compréhension totale de l’histoire.)
Fanfiction centrée sur les personnages de : Calvin et Hobbes, naturellement, même si la mère de Calvin est brièvement présente au début/à la fin de l’histoire et que son père est mentionné.
Résumé de l’auteur :

Calvin sans Hobbes, 25 ans plus tard

Avis : je vais commencer par dire que le résumé, quoique terriblement court, dit en fait tout.
Quand je suis tombée sur cette fic, je n’y ai pas cru, parce que des connaisseurs de Calvin et Hobbes, c’est rare, très rares, soyons honnêtes. J’ai eu le privilège d’entrer dans ce fandom via les BDs que je lisais pendant mes heures de permanence, au collège alors cette fic me rend très nostalgique.

L’histoire se déroule donc vingt-cinq ans après les événements des différents tomes de la bande-dessinée. Calvin, autrefois garçon turbulent, est devenu un adulte, et retourne dans la maison de son enfance suite à un « problème familial » (je ne veux pas spoiler, vous comprendrez si vous lisez l’OS). Ce faisant, nous allons dire que les souvenirs de sa jeunesse affluent et qu’il retrouve un vieil ami trop longtemps mis au placard (c’est le cas de le dire)…

Que dire, sinon que cette fic est une véritable perle, un petit bijou sur ce fandom. Pour vous dire, j’ai pleuré à chaque fois que je l’ai lue (je viens de la relire pour faire cette recommandation, ça n’a pas raté…) , et pourtant, je ne verse pas de larmes si souvent que ça. On retrouve les codes du canon pour les connaisseurs, on entre dans un monde inconnu sans pour autant être perdu pour les autres. L’écriture est plutôt simple, pas compliquée, et il n’y a ni trop de détails, ni trop peu, et en même temps, elle est incroyablement profonde à certains moments.

Bon, je ne suis pas aveugle non plus, elle a des défauts. Plus précisément, un défaut : l’orthographe, qui picote les yeux, je ne le nierai pas. Honnêtement, si c’était possible, j’adorerais en corriger les fautes pour qu’elle puisse être republiée au propre (je ne pense pas qu’il faille attendre après son auteur, malheureusement), parce que vraiment, à part ça, et un manque de ponctuation parfois, elle est tout simplement géniale et mérite d’être connue. Voilà donc pourquoi je me décide enfin à la recommander aujourd’hui.

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