J’ai passé un petit moment à trifouiller dans mes anciennes fics car je me suis rendu compte qu’il y en a un certain nombre que je n’ai pas rapatriées ici… J’ai donc relu et remanié l’incipit d’une fic de 5 chapitres (d’environ 10 000 mots chacun, je préviens tout de suite ), écrite à l’époque où je ne jurais que par Sherlock Holmes. Je n’avais pas encore découvert la série BBC, j’étais sous le charme des récits de Conan Doyle.
Voici donc, mesdames et messieurs, Altisidore, une fanfic racontée par le docteur Watson, centrée sur une intrigue policière mais également sur l’analyse du personnage de Sherlock Holmes, et notamment de sa relation avec les femmes. Je n’en dis pas plus, je vous laisse découvrir si le cœur vous en dit.
Pitch : Londres, 1896. Sherlock Holmes reçoit la visite d’une jeune femme de sa connaissance qui vient solliciter son aide. Une lettre substituée, des objets qui disparaissent, le fantôme d’un ancien fiancé : il en faut moins que cela pour décider le détective à se charger de l’enquête, et accessoirement pour faire naître chez Watson des questions concernant cette mystérieuse Mlle Swann. Car, après tout, même les détectives ont un passé…
… Et après une absence de presque un mois, voici la suite. J’ai une petite excuse pour mon silence radio : je me suis foulé un doigt il y a un peu plus de deux semaines et j’avais interdiction de me servir de ma main droite, ce qui n’est pas très pratique pour écrire et / ou taper sur le clavier d’un ordinateur.
Voici donc le chapitre 2, durant lequel vous pourrez faire connaissance avec les habitants de Limbrough Hall, là où ont eu lieu les disparitions mystérieuses mentionnées dans le premier chapitre. Les relations de Sherlock Holmes avec Martha Swann semblent de plus en plus suspectes à Watson, mais Watson est un sentimental, alors…
Il s’est passé un truc incroyable dans ma vie aujourd’hui, c’est que j’ai eu du temps pour écrire, me relire et avancer dans mes fics. Grande première depuis quelques mois… Je ne pense pas que la suite de cette histoire ait manqué à grand-monde, mais sait-on jamais, voici le chapitre 3 de ma fic à rallonge… Sherlock Holmes n’aime pas l’inaction, et comme il ne se passe rien dans ce manoir paumé au fin fond de la campagne anglaise, il se barre, laissant Watson se débrouiller avec la déception de habitants de Limbrough Hall qui comptaient quand même vaguement sur lui pour débrouiller l’intrigue…
Dans ce chapitre, je m’interroge sur ce qu’a vécu Holmes pendant cette période que les holmésiens (dont j’ai fait partie dans une vie antérieure) appelle « le hiatus ». Pour celles et ceux qui l’ignoreraient, Sherlock Holmes, après son combat contre le professeur Moriarty, a disparu dans les chutes de Reichenbach, mais on n’a jamais retrouvé son corps. En réalité, il a vécu pendant trois années à l’étranger pour démanteler le réseau de Moriarty, sans rien dire à personne. De ces trois années, Watson n’a pratiquement rien dit. On sait que Sherlock est allé en France, en Italie, an Népal et au Soudan. J’ai passé du temps à imaginer sa vie sans Watson et loin de Londres, et le personnage de Martha Swann, une jeune femme avec qui il aurait tissé des liens d’amitié à Montpellier (ville où il a séjourné sous le nom de Sigerson), s’est imposé à moi…
J’arrête là mes élucubrations. Bonne lecture à ceux qui auront le courage de lire les quelque 10 000 mots de ce chapitre…
Euh… J’ai oublié de poster, on dirait bien. Voici le chapitre 4, et je retourne me cacher dans un coin.
Petit teaser quand même :
– Holmes ! Attention ! Reculez-vous !
Surpris, il se retourna vers moi ; je le poussai violemment tandis que se faisait entendre le claquement sec d’un coup de feu. Je trébuchai sur une aspérité du sol, entraînant Holmes dans ma chute. La lanterne, jetée à terre, se brisa dans un bruit cristallin, la bougie s’éteignit, et je me retrouvai dans le noir le plus complet.
Hello, dear ! Et merci beaucoup ! J’espère que ça te plaira. Je vais poster le chapitre 5 (le dernier) bientôt. Je crois qu’il fait aussi aux alentours de 10 000 mots…
Je viens de commencer la lecture, et by jove ! Holmes ! It’s brillant ! Maybe, if i may, maybe better than Ol’man Doyle !
Dés le premier paragraphe, j’y étais ! J’étais à Londres, dans ce salon !
Mais chose curieuse, l’image mentale que j’en avais, à la lecture de ton texte, était différente de celle que j’avais en lisant, une nouvelle de Conan Doyle. Bizzarre, ,hein ?
Par contre, rien à faire, Holmes aura toujours la tete de Jeremy Brett.
… et voilà le dernier chapitre ! 10 000 mots environ, comme pour les autres : accrochez-vous ! Quelques révélations finales, la fin de l’enquête, et l’explication du titre. Merci à celles et ceux qui ont suivi (et parfois commenté) jusqu’ici ! J’espère que ce dernier chapitre vous plaira. Pour lire, c’est par ici : Chapitre 5.
Ah, la série Granada… J’ai l’intégrale en DVD et avant que la série BBC avec Cumberbatch ne sorte, je la regardais en boucle. Je me suis remise à l’anglais grâce à Jeremy Brett et David Burke (que j’aime particulièrement) parce que ces DVD sont en anglais sous-titrés… espagnol (je vivais en Espagne quand je les ai achetés) et j’ai donc dû faire un gros effort pour suivre ! Cela dit, c’est en effet une excellente adaptation du canon. Les deux dernières saisons sont décevantes, notamment les grands formats, mais les premiers épisodes sont absolument géniaux. Et Jeremy Brett est en effet un excellent Sherlock !
Il ne faut pas que je manque ça, alors ! Je veux savoir la fin. Il faut que absolument que je me remette à lire ta fanfiction, parce que j’ai arrêté de lire après le deuxième chapitre. Je pense que c’est surtout la pause entre les publications qui a fait que je n’ai pas continué et aussi la longueur assez imposante des chapitres qui peut décourager sur le coup.
Mais l’histoire était vraiment bien ficelée et plaisante à lire.
Je ne te garantis pas de tout lire d’un seul coup, mais ça viendra
Désolée pour le retard que j’ai pris… alors que la fic est écrite depuis longtemps ! Et oui, je sais que la longueur des chapitres peut décourager. Quand j’ai écrit cette histoire, j’appartenais à la SSHF (société Sherlock Holmes de France) et je savais que j’aurais des lecteurs qui ne se laisseraient pas impressionner par la longueur : du moment que ça parlait de Sherlock, ça leur allait ! Quoi qu’il en soit, merci pour vos compliments @HawthorneAbendsen et @Emma.Indoril !
), écrite à l’époque où je ne jurais que par Sherlock Holmes. Je n’avais pas encore découvert la série BBC, j’étais sous le charme des récits de Conan Doyle.
Je ne pense pas que la suite de cette histoire ait manqué à grand-monde, mais sait-on jamais, voici 
(Honnêtement, je ne sais pas quoi dire, juste merci.)
Il faut que absolument que je me remette à lire ta fanfiction, parce que j’ai arrêté de lire après le deuxième chapitre. Je pense que c’est surtout la pause entre les publications qui a fait que je n’ai pas continué et aussi la longueur assez imposante des chapitres qui peut décourager sur le coup.
