[The Elder Scrolls] fanfiction "Le Khajiit aux millions de vies"

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Bonjour bonsoir !

Parce qu’on ne voit jamais assez le fandom de The Elder Scrolls apparaître sur la page d’accueil de FFR, permettez-moi d’en rajouter une dose ! :grin:

Courte fanfiction en trois chapitres, d’un peu plus de six mille mots sur Word, c’est avec humilité que je vous présente une petite histoire dont la trame me trottait en tête depuis bien longtemps…

:computer_mouse: Le Khajiit aux millions de vies

Type : univers étendu, side story, slice of life

Personnages principaux : Aemillia Chenius (OC) ; le Khajiit aux millions de vies (OC) ; Octavia (OC), Cicéron, Ri’saad.

Genres : famille, amitié, drame, conte pour enfants (dans un sens)

Nombre de chapitres : 3 ; fanfiction terminée.

Rating : G

Niveau de connaissance du fandom pour suivre : j’ai envie de dire « pas besoin » parce que, techniquement, on peut se laisser aller et lire cette histoire à travers la lecture faite par les trois autres personnages…
Mais je recommande toutefois d’être familier avec le personnage d’Aemillia (grâce aux fics Un simple assassin, Une lueur dans l’obscurité, et/ou Hiraeth) pour au moins situer ces trois étapes dans sa vie, et ses liens avec les trois narrateurs.
En tous les cas, ne laissez pas votre méconnaissance du fandom vous empêcher de jeter un oeil à cette fanfiction ! :blush:

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Présentation :

« Il était une fois, un Khajiit qui vécut un million d’années. Depuis l’Ère de l’Aube, il vécut de nombreuses vies. Même s’il mourrait, il renaissait, encore et encore. C’était un beau Khajiit au pelage tigré, de la couleur des cendres. Et il avait côtoyé des millions de personnes, qui avaient toutes pleuré lorsque le Khajiit était mort. Mais jamais le Khajiit, lui, n’avait pleuré. »
Trois occurrences où l’on raconta à Aemillia l’histoire du Khajiit qui eut un million de vies.

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Note de l’auteur :
Ce n’est pas pour rien que je me suis lancée dans cette courte fanfiction.
Inspirée, et basée sur le livre d’images Le chat aux millions de vies (１００万回生きた猫, Hyakumankai ikita neko) de Sano Yôko, cette histoire reprend donc la trame de ce petit livre pour enfants que j’ai découvert en 2018, et duquel il m’arrive fréquemment de parler. L’histoire d’un chat qui vécut un million de fois, mourrant et renaissant à chaque fois, que chacun pleurait, mais qui jamais ne pleurait. Cette histoire me tient vraiment à coeur, et cela faisait un bout de temps que je cherchais l’opportunité de la transcrire dans l’univers de TES.
J’ai commencé à la rédiger le 19 novembre, soit il y a deux jours (oui, je l’ai rédigée en deux jours… ça arrive, des fois). Cette date qui peut paraître anodine est celle de l’anniversaire du départ de mon premier chat, du nom de Rufus, parti il y a deux ans maintenant. Aujourd’hui, nous sommes la St Rufus, et ça m’a paru être l’occasion idéale pour lui rendre hommage une nouvelle fois.
Aborder l’histoire du chat qui vécut un million de vies à travers les yeux (et oreilles) d’Aemillia, étant enfant, via la narration de trois personnes qui lui ont été chères – et l’une d’entre elles ayant adopté les traits de Rufus dans mon esprit à force d’écriture --, m’a paru être une jolie façon de lier plusieurs choses qui me tiennent à coeur.
J’espère qu’à travers cet humble three-shots vous pourrez découvrir l’histoire du chat aux millions de vies, dont je ne cesserai de raconter l’histoire… :blush:

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Vous pouvez dès à présent lire le premier chapitre ou, plutôt, la première fois que quelqu’un lut cette histoire à Aemillia, :computer_mouse: Octavia.

Bonne lecture, et merci pour votre attention ! :blush:

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Bonsoir !

Finalement, c’est arrivé plus vite que je ne l’aurais pensé.

Voici dès à présent le deuxième chapitre, ou la deuxième fois où quelqu’un raconta l’histoire à Aemillia, :computer_mouse: Cicéron.

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À titre de précision :
Octavia (qui est un OC, je le rappelle) est la domestique / femme à tout faire au manoir Chenius, et accessoirement nourrice d’Aemillia. Puisque la mère de cette dernière ne remplit pas réellement son rôle de mère, c’est Octavia qui endosse le rôle de figure maternelle, ce qui rend sa mort encore plus traumatique pour Aemillia. Etait-elle triste d’avoir perdu ma mère, ou bien d’avoir perdu Octavia ? Un peu des deux, mais sûrement plus de l’un que de l’autre…
Quant à Cicéron, il est la première figure paternelle / fraternelle qu’a eue Aemillia, ainsi que son mentor, celui qui lui a tout appris. L’ayant sauvée de la noyade tandis qu’un groupuscule de bandits l’enlevait de la demeure familiale (le soir même de l’assassinat de sa mère et d’Octavia, tandis que son père était parti en voyage d’affaires dans une autre ville) avant de lâchement la lâcher dans la rivière, il l’a introduite au sein de la Confrérie Noire, la guilde d’assassins qui oeuvre en Tamriel, et dont l’un des sanctuaires se trouve à Cheydinhal. C’est la personne qui a donné à Aemillia une raison de vivre, de s’accrocher, et le courage de se rebeller et de vaincre. Une fois encore, la perte de cette personne (tandis que le groupuscule de bandits l’enlève à nouveau, et y parvient réellement cette fois-ci) laisse un trou béant dans le coeur d’Aemillia, ainsi qu’une idée fixe : le retrouver, et revenir à ses côtés.
Enfin, la troisième personne (que vous découvrirez dans le troisième et dernier chapitre), remplit un second rôle paternel, mais cette fois-ci moins ambiguë. Car si Cicéron voit en Aemillia une seconde chance pour se racheter, et une opportunité de se libérer des fantômes de son passé (spoiler alert, ça ne marche pas), cette troisième et dernière personne sait d’avance qu’il devra tôt ou tard se séparer d’Aemillia, car elle n’est pas née pour rester avec lui.

Bref, je m’épanche, je m’épanche, mais il n’y a pas que ça ! :grin:
Bonne lecture, et bonne découverte de la suite de l’histoire du Khajiit qui vécur un million de vies ! :blush:

J’ai aussi oublié de préciser que je m’appuyais ici sur la version originale du texte, en japonais – si d’aventure vous parvenez à mettre la main sur l’édition française, ou si vous la possédez déjà, veuillez m’excuser du non-respect du texte officiellement traduit !

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Quand j’ai lu le résumé, je me suis dit : « tiens, ça me rappelle un épisode de Cowboy Bebop ».
Et pour cause ! :blush:
Bon, on va le lire, mais je sais pas quand ! :rofl:

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Oh, ils font référence au livre illustré ? :blush:
Faut dire qu’il date un peu, je crois… :laughing:

En tout cas merci pour l’attention que tu portes à cette fic ! :pray: Elle ne disparaîtra pas, alors prends ton temps !

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Bonsoir !

Nous y voilà, alors, le troisième et dernier chapitre… !

Finalement, la publication de cette fic sera allée bien plus vite que prévu ! :laughing:

Nous y voilà donc : la dernière fois où quelqu’un raconta à Aemillia l’histoire du Khajiit aux millions de vie, ou bien la seule et unique fois où elle entendit la véritable fin de cette histoire, narrée par :computer_mouse: Ri’saad.

Ri’saad, ce papi chat (bon, même s’il a bien dix ans de moins que dans les premiers chapitres de Hiraeth), qui aujourd’hui encore réchauffe mon petit coeur…! :blush:
À force d’écrire sur lui, bien qu’en le mentionnant seulement pour son importance dans la vie d’Aemillia, il a peu à peu adopté les traits de Rufus dans mon esprit. Donc écrire sur Ri’saad, sur sa douce personne et sa gentillesse, me fait toujours penser à mon compagnon de route :blush:

Bref, j’espère que vous aurez passé un bon moment en lisant cette courte histoire.
Merci d’avoir accordé un peu d’attention à un projet un peu sorti de nulle part, mais qui me tenait grandement à coeur ! :pray:
Et si vous avez eu la larme à l’oeil lors de la conclusion… eh bien sachez que ça me fait le même effet à chaque fois que je relis le livre illustré. :laughing:

Si vous avez découvert ma plume et mon univers étendu sur TES via cette fanfiction, et si vous avez découvert TES grâce à cette fanfiction, eh bien félicitations ! Il vous reste une petite quarantaine de fanfictions à lire, et un peu plus d’une douzaine dans ce fandom… :stuck_out_tongue:

Au plaisir de vous retrouver ici ou ailleurs, et d’échanger avec vous ! :blush:

Bonne lecture !!

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Non, pas directement. ATTATION SPOILER !

Résumé

Spike raconte à Jet cette histoire du chat qui a vécu mille et mille fois.
C’est une allégorie de sa vie.

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