Bien,
Avant propos
La disparition du carrousel me chagrine beaucoup, en tant que lectrice et auteur. Je suis donc contrainte de trouver une solution drastique : promouvoir.
C’est parti.
Titre : When in Rome
Type : Continuation, 30 ans après la chute de Sunnydale
Personnages principaux : Spike, Dawn Summers, Andrew Wells, Maya Wells (OC)
Secondaires : Angel, Faith Lehane, Willow Rosenberg
Genres : Romance slow burn, drama, famille
Rating : T
Présentation :
15 ans après le décès inopiné de Buffy, Spike est à la dérive depuis longtemps. « Comme un automate », il accomplit des missions free-lance, mais son existence est vide de sens.
A l’occasion de bouleversantes retrouvailles à Londres, il fait face à sa lâcheté : il a abandonné Dawn face au deuil. Aujourd’hui, entourée, mariée et mère, elle a terriblement changé. Elle n’a plus besoin de son aide et c’est peut-être aussi bien parce qu’il n’a rien à offrir. C’est regrettable dans les deux cas.
Parce qu’elle est magnifique.
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Lire le premier chapitre : Invitation formelle
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La couverture peut comprendre un léger spoiler.
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Note de l’auteur :
Cette fanfiction s’est imposée à moi, à la suite d’un Défi qui devait intégrer un échange de lettres.
Après la rédaction de « Un bon jour pour mourir », j’ai réalisé que le sujet même d’un monde sans Buffy me donnait des perspectives et des idées de thématiques, qui n’auraient jamais pointé le bout de leur nez, si j’avais su écrire une de ces romances à succès que je lis ordinairement dans le fandom.
J’ai donc embrayé immédiatement sur l’écriture d’une suite. J’ai mis deux ans à l’écrire, pas faute d’envie, mais faute de disponibilités.
Que chaque fan de Spuffy soit assuré que j’adore ce pairing, que je l’aimerais à jamais, mais… j’avais rien à dire de plus qui n’aurait déjà été fait.
Il n’y a pas de bashing, pourtant l’image de Buffy est ambiguë dans cette histoire car elle porte le point de vue de Spike. Sa quête éperdue de rédemption ne lui a apporté que l’occasion de mourir en Christ, en faisant le sacrifice de lui-même. Mais pour l’amour de sa belle, bernique.
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En vérité cette fic n’est qu’un vil prétexte pour évoquer des sujets outrageusement psychologiques : le deuil (pas fait), le transfert, le lâcher-prise…