Titre de la fiction : Si tu le dis… Chapitre 11 du recueil “C.H.C.H. ou Courtes Histoires de City Hunter”
Fandom : City Hunter
Type : Continuation.
Nombre de mots : 3765 selon Google Doc, 4052 selon le site.
Genre : Humour, réflexion (oui, les 2… enfin j’espère qu’il y a les deux !)
Personnages :
Saeba Ryo
Makimura Kaori
Rating : M
Le ton est léger mais il y a quand même quelques gros mots et surtout une consommation abusive d’alcool. D’ailleurs, j’en profite pour ajouter que boire et fumer sont des comportements dangereux pour la santé.
Niveau de connaissance du fandom requis : Moyen.
Comme toujours, il suffit de connaître un peu le passé de Ryo et de savoir qu’il entretient une relation platonique mais parfois ambiguë avec sa partenaire, Makimura Kaori, petite sœur adoptive de son ancien partenaire Hideyuki. Voilà, c’est bon, vous êtes prêts pour me lire.
Prélecture:
Merci @elane67 pour ta relecture rapide et efficace. Les petits ajouts devraient te plaire
Présentation : Cette histoire se déroule à la fin de l’épisode 125 “Adieu, la silhouette !” (Tome 24, édition J’ai Lu). Il s’agit de l’affaire Mashiba Yukari, une ancienne armurière de renom, fille d’un armurier légendaire et mère d’une petite fille : Shiori. Yukari confie la Shiori à la garde de Ryo pour échapper aux hommes qui veulent la forcer à reprendre le métier qu’elle a abandonné à la mort de son mari.
Cette affaire va quelque peu perturber Ryo…
Niveau de défi : 1 et 2.
Résumé :
De retour d’une soirée bien arrosée, Ryo se retrouve confronté à ses pensées : pourquoi reste-t-il bloqué sur le souvenir de Kaori portant tendrement la petite Shiori dans ses bras ? Sa conscience n’a qu’à bien se tenir !
J’espère que ce petit opus vous plaira. C’est sans prétention aucune si ce n’est d’aborder le sujet du défi par un point de vue un peu moins dramatique que le voudrait le passé de nos deux protagonistes. En effet, ils sont orphelins tous les deux, ce qui n’aide pas à aborder la parentalité d’une façon sereine. J’ai essayé de prendre la thématique avec un angle de narration léger et (je l’espère) drôle, parce que j’aime bien ce genre de contraste.
Oups, j’ai failli oublier…
Je fais référence à une image dans cette histoire, la voici :
J’en profite pour en ajouter une autre que je trouve très jolie :