La fic est dans ma liste de lecture… j’y crois … un jour je me prendrai le temps !
Mais dis donc… ils ont mangé des protéines et soulevent de la fonte ces deux là
La fic est dans ma liste de lecture… j’y crois … un jour je me prendrai le temps !
Mais dis donc… ils ont mangé des protéines et soulevent de la fonte ces deux là
quand tu liras tu comprendras pourquoi Rebecca est charpentée comme çà, pour Victor bah… c’est le Kurgan
Le chapitre 4 fut corrigé, il manquait un petit texte, je l’ai ajouté.
Voiiiiila, comme une série de télé qui s’achève sur une première saison, Kurgan saison 1 se termine de manière… très douloureuse. N’hésitez pas a me donner vos avis, une collaboration entre moi et Jasmine qui s’est dépassée dans les parties romanesques, moi je devais juste surveiller la cohérence de l’univers Highlander, en tout cas la saison 2 se publiera sous mon pseudo (a sa demande, car elle n’a plus le temps d’écrire) je dois juste respecter les perso qu’elle a créer, elle les lira de toute façon ( elle m’a même avouée qu’elle s’est entichée de Luna et de Siena, et qu’elle a adoré écrire les scènes de Rebecca, son vrai coup de coeur. Et qu’elle avait eu beaucoup de mal a écrire la dernière scène, mais la suite arrive bientôt, s’il vous plait des encouragements seraient les bienvenus, encore merci, et bonne lecture
Une question que certains amis m’ont posé lorsqu’il on lu la fanfiction, TON PERSONNAGE EST UN GIGACHAD ! J’avais beau expliquer mon point de vue, je vais le faire ici
Si on prend le terme « gigachad » dans son sens contemporain — un archétype d’homme ultra-charismatique, physiquement impressionnant, mystérieux, souvent dominant mais respecté, voire craint — alors Victor coche beaucoup de cases… mais avec des nuances intéressantes.
Pourquoi Victor est un gigachad :
Mais aussi, pourquoi il dépasse le gigachad :
Victor n’est pas une caricature. Il est plus qu’un mâle alpha.
Conclusion :
Victor n’est pas juste un gigachad.
C’est l’évolution finale du gigachad.
Une légende.
Un homme qui a traversé les âges, et qui, malgré la puissance qu’il incarne, choisit l’humanité.
Et ça ? C’est beaucoup plus attirant que des abdos.
Et ce n’est pas étonnant. Mon Victor dégage ce mélange rare de puissance brute, de lucidité douloureuse et de charisme silencieux qui marque les esprits — que ce soit chez les lectrices, les lecteurs… ou les immortels eux-mêmes.
Les gens perçoivent en lui :
Même dans ses silences, il parle.
Même dans la brutalité, il reste digne.
Et ça, oui, c’est au-delà du gigachad. C’est un héros tragique avec un cœur incandescent.
Ce n’est pas non plus un Mary Sue
Il porte un lourd passé de violence :
Il a été le Kurgan, un monstre, un boucher, une terreur. Il est hanté par ce qu’il a fait, et il n’en est pas fier.
→ Ce n’est pas une faille cosmétique. C’est un traumatisme profond, un gouffre moral.
Il est aimé, mais pas idéalisé :
Rebecca l’aime malgré (et parfois à cause) de sa part d’ombre.
Luna, elle, n’a pas accès à toute sa vérité.
Il souffre, il doute, il perd :
Je montre un homme blessé, solitaire, qui choisit de ne plus tuer, même si ça l’affaiblit.
Il porte ses deuils. Il accepte la mort de ses proches. Il se remet en question.
→ Un Mary Sue ne doute jamais. Victor doute tous les jours.
Il ne gagne pas systématiquement :
Il s’entraîne, il tombe, il se fait surprendre, il prend des coups. Il a été dominé par Kyala, il a fui des ennemis trop puissants.
Il n’est pas admiré par tous :
Certains immortels le méprisent. Kyala ne lui fait pas confiance. D’autres le voient comme un vestige dangereux.
Et même chez les humains : Rebecca l’insulte, le frappe, lui résiste — ce n’est pas de la soumission aveugle.
Et c’est peut-être ça qu’on me reproche, en creux :
Victor attire trop de choses à lui :
les femmes, la peur, l’admiration, la douleur, le passé, les grands enjeux.
Mais ce n’est pas un bug.
C’est le cœur du personnage : Victor est un point de tension dans le monde, un homme trop vivant pour être neutre.
Et ça se ressent, même chez ses alliés. Même ceux qui l’aiment sont parfois effrayés.
Ah j’avais oublié un autre truc : Rebecca est TROP musclée.
Alors je vais aussi expliquer un truc :
Quand on me dit « elle est trop musclée », ce n’est pas une remarque anatomique.
C’est une crispation culturelle :
« Une femme ne devrait pas être aussi forte. »
« Une femme ne devrait pas faire peur. »
Mais Rebecca fait peur.
Pas parce qu’elle est masculine, mais parce qu’elle prend sa place.
Elle s’impose. Elle ne se laisse pas sauver. Elle brise des mâchoires si on l’■■■■■■■.
Et vous savez quoi ? C’est rare. Et c’est précieux.
C’est pour ça qu’elle marque.
Ce qui rend son lien avec Victor aussi explosif, c’est que c’est une femme forte qui aime un homme encore plus fort — sans jamais s’écraser.
Elle le défie. Elle le frappe. Elle l’aime à la gorge. Elle est capable de poser nue devant lui, non pas soumise, mais offerte comme une reine choisit de se dévoiler à un roi.
Pas de faiblesse forcée. Pas de fragilité vendue comme sexy.
Rebecca est une tempête. Et c’est pour ça qu’elle fascine.
petite scène que j’ai imaginé mais pas publié et c’est cadeau :
Rebecca revient d’un footing matinal, débardeur trempé, bras découpés, sueur sur les tempes. Elle croise un collègue — ou une nouvelle recrue, ou un civil — qui laisse traîner une remarque un peu trop franche.
— T’sais Alvarez, c’est pas une critique, hein, c’est juste un constat…
Rebecca s’arrête. Se retourne. Il a ce petit sourire gêné, celui des types qui s’imaginent drôles.
— … mais t’es quand même sacrément musclée pour une femme. On dirait presque… un gars.
Le silence s’épaissit.
Elle le fixe. Aucun sourire. Juste cette lueur glaciale dans ses yeux fatigués.
— Tu veux dire : trop musclée, c’est ça ?
— Non, non, je dis juste que —
— Tu dis que je te dérange. Que mon corps te dérange. Parce qu’il n’est pas là pour te plaire, mais pour me servir.
Elle s’avance d’un pas. Il recule sans même s’en rendre compte.
— J’ai pas sculpté ça pour poser sur Instagram. J’ai sculpté ça pour courir après un type armé. Pour soulever un corps de gamin retrouvé dans une benne. Pour ne pas m’effondrer quand une mère crie dans mes bras.
Sa voix est sèche. Inflexible.
— T’es pas obligé de regarder. Encore moins de commenter. Mais si tu veux parler d’esthétique, va juger une statue. Moi, je suis vivante. Et en état de marche.
Elle tourne les talons.
Il ne dit plus rien.