Mais qui peut se permettre de dégoter une fic répondant à des critères aussi précis tellement il y a de choix ?
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Et encore, je me suis aperçue après coup que j’avais oublié les critères animaliers. ^^
Wow, impressionnant !!! OK, merci, je prends note du barman ! (Quoique le titre « Chocolarcadia » soit assez prometteur et intrigant…)
… Les ours en peluche, ça me va. Les koalas aussi, les girafes, les poulpes (mon animal préféré) et à peu près n’importe quelle bestiole sauf les araignées.
Ah, Chocolarcadia fait partie (comme son nom l’indique) de l’arc du chocolat, de même que Points de vue notamment. Il se croise avec celui du barman sur trois histoires et un chapitre d’Eternal Captain, si mes souvenirs sont bons.
Il est par ailleurs intéressant de noter que « Un poulpe ! » est une apostrophe qui désigne le barman (et qui est prononcée par un poney, mais je crois que la phrase était assez bizarre sans cette précision). Sinon j’ai déjà utilisé un koala mais c’était pour une métaphore (dans Points de vue, de mémoire), jamais de girafe, des tas d’autres bébêtes louches dont des ratons laveurs, et je te conseille donc d’éviter Zweisamkeit pour cause de présence de machins pleins de pattes mangeurs d’hommes.
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Hello all,
tandis que mon ordinateur agonise dans des soubresauts désespérés de tortue asthmatique, je profite d’avoir réussi à ouvrir cette page web (au contraire de twitter, que j’ai définitivement renoncé à consulter par ce biais) pour vous faire part de mes avancées :
- Je viens de boucler mon chapitre 6 dans la foulée du chapitre 5, ce qui confirme une très bonne reprise d’écriture (la joie m’étreint).
- Ce chapitre 6 est n’importe quoi. J’aime quand c’est n’importe quoi. Le captain ne me remercie pas, mais il n’a qu’à pas se comporter en psychopathe s’il ne veut pas que je lui taille des cravates.
- Tuer des gens, c’est pas bien. En tout cas je me suis débloquée à partir du moment où j’ai décidé d’épargner le perso que j’avais initialement prévu de tuer.
- Ceci étant acté, je vais peut-être réussir à débloquer mon bombardement orbital, coincé quelques scènes avant que je n’aie à tuer quelqu’un.
- Je me tâte à commencer « Quatre », mon chapitre sept.
- Je n’arrête pas de bidouiller mon premier post, une manœuvre légèrement folklorique lorsqu’on ne dispose que d’une tortue asthmatique comme tout moyen informatique.
- Je pense que je vais aller dessiner un truc en tradi.
Edit : voilà. J’ai mis plus de temps à charger l’image qu’à la réaliser.
Edit2 : wééé !
Edit3 : tandis que je teste avec joie une petite bête de course (en revanche ma connexion est toujours pourrie, c’est moche), je profite d’avoir un post en cours par ici pour vous présenter ma première dédicace du petit dernier.
Edit4 : profitons de la soirée pour reprendre le rythme. Et donc, lançons-nous dans « Quatre », mon chapitre sept. Je vais faire de la pré-pouponnade.
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Hello all.
Point d’étape en demi-teinte ce soir, du coup je viens coucher mes atermoiements par écrit, on ne sait jamais, il arrive que ce procédé me débloque.
-
Je ne suis pas satisfaite de Quatre, mon chapitre sept. Même si j’ai trouvé comment le conclure via un changement de POV, la tonalité initiale ne me plaît pas et je me demande si la deuxième partie sous autre POV ne va pas dépareiller. Je vais m’acharner, mais du coup j’hésite à délayer ou à clore en mode abrupt.
-
Je pense que je vais doubler avec un autre texte ce week-end, histoire de reprendre une dynamique positive, et pour mettre toutes les chances de mon côté je vais partir sur le bon POV cette fois-ci. Ce qui est sûr c’est que j’ai une thématique à creuser. Mais est-ce que je titre ça « Points de vue 2 » ou « Barbotages 2 » ?
-
Je vais probablement retenter du drabble, j’ai besoin de produire un truc rapidement. Je crois que je vais me réserver un créneau ce week-end. Avant les cookies. Et faut que je me trouve des prompts.
-
Je n’ai pas encore fait mon dessin du mois. Vais-je avoir le temps de m’y mettre ce week-end entre les drabbles et les cookies?
Victoire et confettis !
J’ai le plaisir de vous annoncer que « Elle s’appelait Astéria » est maintenant terminé sur dix-sept mille mots et une brouette ! J’ai en effet réussi à boucler Quatre à partir du moment où j’ai ouvert un autre projet (oui, mon cerveau a horreur de travailler sur deux projets en même temps, du coup il s’est dépêché de terminer celui qui pataugeait). Bien sûr, comme Astéria est davantage un recueil qu’une histoire continue, je pourrais toujours envisager d’ajouter d’autres chapitres après Quatre, mais il faut bien avouer qu’au bout de sept je suis tombée à court d’idées.
Je vais donc pouvoir me lancer dans « Avant que la porte ne s’ouvre », ma série de drabbles que je viens de créer, et embrayer sur « Barbotages 2 », la suite de « Points de vue ».
Et je vous laisse avec la présentation technique :
Titre : Elle s’appelait Astéria
Nombre de mots : 17k
Rating : K+ à T
Genre : tranche de vie, semi-autobiographique
Résumé :
Les filles… Que des ennuis avec elles.
À bord d’un vaisseau spatial, il faut s’accommoder de contraintes bien spécifiques à la vie embarquée : l’espace exigu, le rythme de quart, la promiscuité, la mixité… Tout se passe très bien, en général.
Thématiques abordées :
1 : De la répartition équitable des chambres
2 : De l’utilité de connaître les bonnes adresses
3 : Des bizarreries des corvées de poubelles
4 : De l’intérêt d’atteindre ses omoplates
5 : Des moyens de s’occuper pendant un quart de nuit
6 : De la gestion du personnel
7 : Des aléas médicaux
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Hello all.
Comme on n’est jamais aussi bien servi que par soi même, je me suis donc lancée un petit défi technique amusant avec les modalités suivantes :
- le texte se termine par « la porte s’ouvre » ;
- 3ème personne / présent ;
- l’histoire doit tenir sur un tweet.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que ça fait travailler la concision. J’aime assez, d’autant que la rédaction n’est (fort logiquement) pas très chronophage.
Je viendrai probablement compléter ce post au fil des chapitres que j’arrive à pondre. Je vais déjà viser cinq ou six, et après on verra.
Titre : Avant que la porte ne s’ouvre
Rating : K
Genre : synthétique
Nombre de chapitres : 2 4 5 7 10
Edit : +2. Je vais viser dix. C’est très court, un tweet, en fait.
Edit2 : à votre avis, combien de fois peut-on légitimement ouvrir une porte ?
Edit3 : wééé ! (non en réalité, autant certains sont naturellement concis, autant pour d’autres c’est un peu l’enfer). Enfin voilà, sept. Encore trois. Je vais tenter l’humoristique pour les suivants, mais ce n’est pas facile en très court, surtout avec des portes ouvertes.
Mais bref, à défaut de me lire, n’hésitez pas à me féliciter avec des écureuils à roulettes.
Edit4 : tandis que je me demande s’il est judicieux de répondre à des topics alors que mon opinion diverge (la réponse est non), je viens vous signaler avec tout mon enthousiasme monomaniaque que mon objectif est atteint ! Dix portes ouvertes ! Yeah !
Je vais aller fêter ça avec un chocolat chaud et de la pâte à tartiner au caramel.
Ensuite, j’écrirai au propre « Barbotages 2 ».
Edit5 : il n’y avait pas une liste de mots qui traînait par ici ? Bien sûr que si ! En plus, elle n’a rien à voir avec le thème, c’est formidable. Je vais donc pouvoir réfléchir à un emploi judicieux du mot « classeur » alors que je suis en vacances à la plage (non, les autres mots ne me posent pas de problème particulier).
Soit dit en passant, je me demande s’il faut que j’installe des cabines de plage sur cette plage, ou si j’envoie le captain à l’eau en pantalon.
Edit6 : le dilemme du jour : est-ce que l’appelle mon médecin « Zero », comme je l’ai toujours appelé, « Ban », comme il est censé s’appeler, ou « MacIntyre », comme il s’appelle sur ma ligne chronologique parallèle ? Je pose la question parce que Warrius Zero rôde toujours dans les parages et que c’est pénible, ces homonymes.
Edit7 : le point du soir concerne les comparaisons absurdes, et je viens l’écrire ici parce que c’est encore le meilleur endroit pour conserver mes réflexions.
Or donc : soit le très classique « il pleuvrait des chatons avant qu’il ne se décide », dont ma dernière variation est « il neigerait des ours polaires ». Et je viens donc fixer ici pour un usage futur un « les volcans cracheraient du pop-corn » ou n’importe quel dérivé équivalent.
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Hello all,
avant de passer à la suite, quelle qu’elle soit, je viens vous parler de mon texte du jour en courte finale - une technique éprouvée pour qu’il se termine plus rapidement, sinon je digresse.
Titre : Barbotages 2
Sous-titre : Un château, un canoë, un plongeoir. Baignade. (Option trois)
Nombre de mots : 4k
Rating : K
Genre : côte d’Azur
Résumé : Une petite fille, une plage. Le lendemain. Revenir pour des éclats d’éternité. Et pour une gaufre, aussi.
Contraintes particulières : utilisation d’une liste de mots écolière en mode « vacances » (laquelle n’a pas vraiment posé de problème hormis pour le classeur, beaucoup trop spécifique).
Victoire personnelle : avoir écrit la phrase « cette enfant avait la capacité de concentration d’un bulot ».
Notes : Le résumé vous aura indiqué qu’il s’agit de la suite de « Points de Vue ». Ce texte prend donc place juste après le chapitre 3.2 de « Elle s’appelait Astéria », et s’il est titré ainsi c’est évidemment parce qu’on peut le mettre en lien avec « Barbotages »… d’un certain point de vue.
Edit : terminé sur 4200 mots. Félicitez-moi. ^^
Edit2 : bon, je m’aperçois avec horreur que je n’ai plus d’os à ronger. C’est embêtant, d’habitude j’ai toujours deux trois thématiques d’avance à traiter; mais là y’a rien.
'fin, j’ai rien pour du court, ça veut probablement dire que je vais devoir me pencher sur mes projets longs…
- bien sûr, je pourrais reprendre ma schoolfic, si toutefois j’arrive à me décider à bombarder (en plus la stratégie est bancale, faudrait que je la refasse) ;
- en interrompu, j’ai aussi Eternal Captain 2, qu’il va bien falloir que je boucle un jour ou l’autre. Mais avant, faut que je le sépare de son titre et je n’ai pas encore le scénario qui va avec ;
- je ne suis pas sûre de mes cormorans-dragons parce que j’ai déjà fui dans une forêt, et aussi parce que les dialogues avec des cormorans sont assez limités (je pense que je devrais reconsidérer mon POV) ;
- enfin, les zombies-garous de Mabrus ne sont pas vraiment matures, mais c’est quand même ceux-là qui ont le plus de potentiel.
Ou alors je retente l’andine cornue. J’hésite.
Edit3 : après étude, je dois reconsidérer le POV des cormorans-dragons, et basculer donc en mode « sauvetage » plutôt que de rester en mode « survie ». Le problème c’est que les zombies-garous sont aussi en mode sauvetage.
Bleurg.
Edit4 : eh bien, en attendant de me fixer un sujet « détente » qui soit le moins accessible possible aux gens qui connaissent le fandom (non, il n’y a pas d’erreur dans cette phrase), je vais plutôt me dessiner un petit truc selon le même principe. En l’occurrence, qu’est-ce que je peux trouver qui soit le moins attractif possible ?
Je pense que je suis plutôt pas mal.
Je vais maintenant m’attacher à démolir ce crayonné avec un encrage et des couleurs digi approximatives (on s’amuse comme on peut).
Edit5 : que ce soit clair, après tout ce temps je n’ai toujours aucune idée de la façon dont on se sert d’un logiciel de dessin.
Edit6 : bon, voilà. Du coloriage à la souris.
Mais bref, tout ceci ne fait pas avancer l’écriture… Hélas, la reprise automatique ne s’est pas amorcée, il faut donc que je m’occupe l’esprit autrement en attendant que ça revienne.
Le dessin c’est fait. Est-ce que ça signifie que maintenant il va falloir que je poste des fics ?
Je suis sûre que je peux encore trouver autre chose à faire.
Edit7 : Trouvé ! Je vais faire « Points de vue 3 ». Qui ne sera pas lié à « Points de vue » mais au crossover avec Franklin la tortue.
Et je vais le titrer « Une belle journée » parce que mon bingo manque de titres en U.
La vraie question maintenant, c’est est-ce que je continue à faire des points d’avancement ici ou pas ?
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Etant donné que je viens tout juste de rentrer dans ton univers par la petite porte que tu m’avais très gentiment entrouverte, j’aurais tendance à dire oui. Ne serait-ce que pour pouvoir lire d’autres phrases du genre
Houlà, si tu commences à vouloir lire cette phrase, ça signifie qu’il va bien falloir que je finisse par la poster (et j’ai six textes de retard au postage ici, je devrais peut-être m’y mettre).
Heureusement il y en a d’autres qui traînent déjà dans le coin.
« Ce melon m’a mordu le mollet, » par exemple. Elle avait fait son petit effet à l’époque.
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D’autant que d’ordinaire, choper le melon est un problème qui affecte une zone nettement plus septentrionale…
PS : le forum me dit que je dois « laisser d’autres rejoindre la conversation » ce qui signifie que je monopolise…
Les gens, lisez AuBe et ses nombreuses fics courtes dont certaines sont assez déjantées et pourvues de répliques tout à fait pince-sans-rire.
Ainsi le forum arrêtera de me dire ce que je dois faire…
Il n’est pas nécessaire de connaître à fond le fandom. La preuve, je peux lire sans rien y connaître – 3-4 pauv’ épisodes oubliés devant le Club Dorothée ne pèsent pas bien lourd dans la balance. Et je ne peux vraiment pas dire ça de tous les fandoms…
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Tu ne monopolises rien du tout, si l’on considère le nombre de posts tu n’en possèdes que 23% alors que moi j’en ai 64%. Sans compter que je les édite beaucoup trop et que certains atteignent une longueur indécente, donc en temps de lecture je pense que tu es dans les choux.
Après c’est un peu chez moi ici, donc ça doit expliquer pourquoi le forum n’a pas encore osé me faire de remarque (il a peur, haha !).
Par ailleurs, concernant « Une belle journée », je vais appeler le stagiaire Alvin. Ce choix me fait personnellement ricaner, donc je valide.
Edit : alors que je réfléchissais à des bribes de scénario, j’ai soudain été percutée de plein fouet par un bombardement orbital. Toujours le même : celui qui me bloque. Et j’ai bien l’impression d’avoir visualisé le débloquage.
Et vous savez ce que ça signifie ? Reprise de la schoolfic avec son insupportable Mary Sue !
Et donc, chapitre 6 : groupe de camarades de classe monte, Grovilain descend et bombarde en traître, Mentor profite de la situation et Mary Sue fait n’importe quoi pour monopoliser le devant de la scène. Des ennuis s’ensuivent.
L’inspiration m’habite.
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Je crois t’avoir déjà lu quelques parts, y a quelques années (y a 6 ans je crois). Tu étais sur fanfictionnet ? ou pas ? Peut être que je te confonds avec quelqu’un d’autres. x)
Alors je n’ai plus mis les pieds sur ffnet depuis octobre dernier parce que ma stratégie de postage est aléatoire et que j’ai investi dans un DD externe en janvier, mais j’étais déjà là-bas il y a six ans, oui.
J’étais déjà ici aussi, d’ailleurs.
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Ah oui, ça y est, Aerandir Linaewen ! Je me souviens que j’avais adoré certaines de tes fanfics (j’ai pas tous lu donc c’est pour ça) et que tu m’avais laissé des commentaires particulièrement sucrés-salés sur une ou deux fanfics Albator que j’ai pu écrire (et tu avais totalement raison de le faire, je me mettrais les mêmes commentaires aujourd’hui mdrrrr).
Moi je viens d’arriver donc je savais pas que tu étais ici. 
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Ah oui, je me souviens :
« Le style percutant et le rythme adapté aux thématiques traitées contribuent à mettre en place une véritable atmosphère dans le texte. Pour le reste, mange un Bescherelle. »
Soit dit en passant je note que ce dernier conseil a été suivi d’effet 
Edit : Ce chapitre 6 est très confus. En effet, il y a là-dedans huit personnages différents plus Grovilain, et ils ont tous des objectifs distincts. Ça me fait une guerre avec neuf camps, oui…
Bien sûr, je peux simplifier à quatre camps, mais c’est encore beaucoup trop (sans parler du fait que Mary Sue est un peu un camp à lui tout seul quoi que je fasse. Il est très pénible, ce petit saligaud).
Le point positif c’est que tout le monde est à présent presque à la bonne place pour que je puisse commencer à bombarder.
Je hais cette schoolfic.
Edit2 : point schoolfic !
Alors d’après mon compte de mots je suis à peu près à la moitié du chapitre 6 et tous mes vaisseaux sont parés au décollage. J’ai maintenant besoin :
- de faire décoller vaisseau 1 ;
- de faire décoller flotte de vaisseaux 1 ;
- de faire bombarder flotte 1 par flotte 2 ;
- de jeter Mary Sue par-dessus bord pour qu’il fasse n’importe quoi ;
- d’utiliser vaisseau 1 pour sauver les fesses de Mary Sue ;
- de perdre un commandant.
Mais la question la plus importante pour le moment, c’est de savoir ce que je fais de la fille phosphorescente aux cheveux rouges. Est-ce qu’elle reste dans vaisseau 1 ou est-ce qu’elle rejoint Mary Sue ?
Techniquement, elle devrait rejoindre Mary Sue, mais elle n’est pas au bon endroit, et je ne sais pas si elle sait piloter un Phantom…
Flûte.
Edit3 : reprenons ce chapitre avec un POV Mary Sue.
- voilà qui devrait me débloquer, je suis toujours plus à l’aise avec ce petit crétin qu’avec les gens raisonnables ;
- figurez-vous que je viens de lui fixer un deuxième prénom. Ça ne va pas lui plaire, mais de toute façon il ne supporte pas non plus son prénom d’usage ;
- vous n’imaginez pas le temps qu’il faut pour faire décoller des trucs.
Edit4 : c’est l’heure du point schoolfic ! Parlons donc un peu tactique :
- soit une protection de convoi. Il est donc important de faire décoller les escorteurs en premier (j’y travaille), avec les dispositifs de défense habituels ;
- les codes de brouillage ont été cassés, ce qui signifie que pour la discrétion, c’est raté (notez que de toute façon, c’est assez difficile de camoufler une flotte). En revanche, il faut toujours tenir compte du reste, ie les boucliers magnétiques et les armes ;
- lorsqu’une flotte en surplomb bombarde la flotte en contrebas, au décollage et donc moins manoeuvrante, quid des dommages collatéraux ?
- combien de vaisseaux taille « gros » peuvent raisonnablement être détruits par Mary Sue dans son chasseur monoplace avec son petit canon ? (méthode à retenir : rentrer dans le hangar au moment où les chasseurs ennemis sortent et tirer dans le tas sur le modèle Starwars 1)
- quelle est la probabilité pour que des chasseurs expérimentés se rallient à Mary Sue, qui pilote son monoplace en plein espace pour la première fois (comme un dieu, il faut bien l’avouer) ?
- à quel moment Mentor va-t-il bien pouvoir se ramener tel Obi-Wan Kenobi face à Dark Vador, sachant que tout ce petit monde se balade dans des vaisseaux distincts ? (option 1 : crasher Mary Sue, à condition de lui trouver un autre vaisseau une fois au sol // option 2 : se donner rendez-vous dans un des vaisseaux taille « gros » de Grovilain)
- est-ce que j’envoie Obi-Wan dans un chasseur, ou est-ce qu’il vient avec son propre vaisseau, sachant qu’il y a d’autres gens à l’intérieur qui n’ont rien à faire là ?
- maintenant que la fille phosphorescente est montée avec Obi-Wan, doit-elle le suivre et repartir avec Mary Sue ? Si oui, que devient Bob ?
… et : 9. comment Petit Ami est-il lui aussi arrivé devant le hangar alors que normalement, il devrait être dans un vaisseau avec ses petits camarades ? (je vais considérer que sa dulcinée l’a prévenu par téléphone, même si ce n’est pas vraiment logique considérant son caractère. En tout cas Mary Sue n’avait pas la tête à ça et ne l’a donc pas fait, je viens de l’écrire). Deus ex machina, hop.
Edit5 : décollage, wééé ! Et mon premier obus à fragmentation laser vient de tomber ! Je vais bien finir par le vaincre, ce bombardement orbital !
Et maintenant, il ne me reste plus qu’à construire trois vaisseaux pour le trio infernal en moins de cinq minutes. Heureusement que Mary Sue a un tournevis.
… et comme d’habitude dès que la situation se corse, le protagoniste ne fait rien et les persos secondaires font tout le boulot. Mary Sue n’est rien d’autre qu’une grosse feignasse, en fait.
Edit6 : et voici donc le point schoolfic : « Tout le mode a décollé ! Je répète : tout le monde a décollé ! » (merci de me féliciter)
Et maintenant… Bataille spatiale !
J’ai cinq escorteurs, trois frégates, deux transports de troupes, un cargo modifié et trois chasseurs. En face, j’ai une flotte d’invasion. Question : comment rendre tous les piou-pious laser qui s’entrecroisent sans que ce soit trop fouillis ? J’ai 1500 mots. Voilà qui promet des heures d’amusement.
Edit7 : tiens, aujourd’hui au boulot j’ai produit un petit croquis à peu près potable de Mary Sue.
Je pense qu’à terme il finira par perdre sa cicatrice… du moins dessinée de cette façon - après tout, il s’est quand même pris un méchant coup de baïonnette à cet endroit, ça laisse forcément des traces…
Edit7bis : tandis que je planifiais tranquillement mon POV actuel (et que je suis revenue à un POV Mary Sue, je fais beaucoup de sauts de POV en ce moment), il m’est soudain venu à l’esprit qu’écrire « sa première fois ne se passait pas exactement comme il l’avait imaginé » n’était peut-être pas une bonne idée.
Mais est-ce ma faute s’il a un peu fantasmé sur sa première fois, m*rde !
De toute façon Mary Sue a toujours été beaucoup trop jeune pour toute cette histoire. Petit crétin.
Edit8 : Fin du chapitre 6 ! Fin du chapitre 6 ! (ou presque, il me reste deux phrases, mais j’ai toujours un léger décalage à ce sujet).
Bon finalement je n’ai pas réussi à mettre tout ce que je voulais dedans, mais ce n’est pas grave : ça me permet de terminer sur un petit cliffhanger tout en délicatesse.
Évidemment je ne fais pas ma bataille spatiale de manière aussi exhaustive que je l’aurais souhaité, mais bon… Faut faire des choix, et pour la fluidité du schmilblick il a fallu trancher dans le vif (en plus aucun des POV que je suis n’est véritablement dans la bataille, mais ils cherchent tous en réalité à rester en marge de la bataille - ce qui n’est pas plus mal pour leur santé soit dit en passant).
Je vais à présent embrayer sur l’acte héroïque gratuit de Mary Sue, parce que pour l’instant il se contente juste de suivre le mouvement et que j’aimerais bien qu’il aille visiter de près un Grovaisseau™.
Mais bref, chapitre 7. Et vous savez ce que ça signifie ?
Ça signifie que je vais cesser d’éditer ce post et en créer un nouveau. Je crois qu’il est temps.
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Holala! Je viens de lire toutes tes élucubrations et je kiffe ! J’ai rit! J’ai envie de découvrir tout ton univers et de m’abonner à tes pensées quotidiennes
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Hmm, c’est dangereux de dire ça, parce que comme je suis monomaniaque, « tout mon univers » ça signifie à la louche 700 000 mots et 90 histoires.
Du coup va falloir me préciser tout ça parce qu’il y a plusieurs portes d’entrées :
- je vais avoir tendance à toujours proposer un panel de décors plutôt que des personnages (parce que non, les persos ne m’intéressent pas) : campagne, montagne, plage, marais, forêt, jungle, lave, désert, neige, autre, le choix est vaste (j’ai beaucoup plus de choix de forêts que du reste, par contre)
- je peux malgré tout faire un tri par type de personnages : j’ai des archétypes classiques un peu partout, demande-en un au hasard, il est fort probable que j’ai écrit quelque chose dessus. Sinon faut taper en termes d’âge (parce que je traîne toujours avec Mary Sue plus ou moins vieux) : tu préfères jeune et irresponsable, moins jeune et dépassé, standard et grognon, vieux et désabusé ?
- je peux aussi faire du tri par genre : même si j’ai mes préférences et que j’ai particulièrement horreur des personnages qui souffrent, si tu veux du dark, j’ai du dark (j’ai aussi beaucoup de stupide et j’en suis très fière). J’écris pas plus haut que T, par contre, ce qui me permet à l’occasion des jeux de mots cryptiques du genre « j’ai fait un petit texte hanté » (haha)
- dans tous les cas, n’hésite pas à faire des combinaisons improbables, j’ai probablement déjà écrit un truc sur le sujet (ou au moins quelque chose qui s’en rapproche). Aventure/melon, par exemple. Ou spirituel/tentacules.
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Je vais y réfléchir