[In Arcadia] Histoires de pirate

Hello all.
en ce temps où il ne faut pas approcher les gens, vous vous languissez de longues promenades en solitaire dans la nature vierge et sauvage ? Figurez-vous que je trie mes photos (et que j’ai horreur de me balader dans les endroits où il y a des gens) :

Vous souhaitez constater à quel point je suis monomaniaque ? Je compile mes dessins (et je ne jette jamais rien, un dessin commencé est un dessin gardé) :

Genre vraiment monomaniaque ? Ici, en plus de mes dessins, il y a aussi (entre autres) les pièces de ma collection (qui reste modeste, soyons honnête, après tout il n’y a qu’un mètre cube de cartons) et depuis peu quelques archives extraites d’un disque dur antédiluvien :

Vous êtes effrayés par toutes mes fics postées sans préavis, sans explications et sans ordre chronologique ? Elles sont classées là, rangées par thématique, avec des tags par personnage (utile si vous ne cliquez pas sur le tag « harlock » qui fait sortir 99% des posts) et les dernières nouveautés (les textes aussi bien que les dessins) :

Quant à moi, je vais trier des photos, ranger un disque dur et m’échiner sur de l’aquarelle.

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Oh, certaines de tes photos de mars me plaisent beaucoup. :heart:

Plein les yeux ! C’est magnifique !!!

Les photos postées en mars, ou celles prises en mars ?
Merci, en tout cas !

Euh… Celles postées en mars ?
Elles sont parmi les premières qu’on voit quand on ouvre ta page de voyages.
J’ai regardé les suivantes.

J’ai regardé un bon paquet d’illustrations Albator (plus ou moins couvert) et trouvé qu’il abusait avec sa cicatrice en bandoulière… :slight_smile: J’ai beaucoup aimé les t-shirts que tu leurs a collés à un moment…

#commentpasserletemps

Si tu veux celles prises en mars, faut taper « mars » dans la barre de recherche du blog. J’ai fait beaucoup de photos en mars. Les plus vieilles datent de 2004.

Quant à la cicatrice d’Albator, sa plus vieille occurrence remonte à février 2007. Et son origine a été fixée par fic en janvier 2015.

Oui je fais un peu d’archéologie en ce moment (mais il va falloir que je me fasse un planning, j’ai beaucoup trop de trucs à faire pour que ça rentre dans mon emploi du temps).

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Hello all.

Aujourd’hui j’ai sorti ma peinture à l’huile, avec les constatations suivantes :

  1. ce pinceau de 25 ans, aux poils raidis par la peinture et qui fait « scritch scritch » quand je l’utilise est-il récupérable ? (la réponse est oui, avec de l’eau chaude et du savon… mais il fait toujours « scritch scritch »)
  2. cette peinture de 25 ans ne serait-elle pas périmée ? (la réponse est non. Elle a un peu séché en revanche, et j’ai l’impression que le blanc fait des grumeaux. En plus elle n’a pas 25 ans… seulement 20 ans)
  3. j’avais oublié à quel point c’était salissant, cette salop*rie
  4. pourquoi ai-je un jour trouvé judicieux d’acheter une toile aussi grande ?
  5. j’ai fait le fond. Je vais attendre que ça sèche.

Aujourd’hui j’ai aussi entamé un petit challenge technique sur le même principe que « Avant que la porte ne s’ouvre » et je vais donc vous le présenter ci-après :

Titre : Pony Express
Rating : T
Genre : western express
Nombre de chapitres : 1 2 3 4 5 6 7 8 10

Et donc pour les informations pratiques : chaque histoire tient dans un tweet, le thème directeur est « western », je vais en conséquence faire du Gun Frontier et pour recaler le contexte Tochiro est un samouraï, Harlock tire comme un dieu, la fille est nue à chaque épisode et personne ne sait s’occuper des chevaux.

Edit : à raison d’1h30 par jour et en comptant le temps de séchage (ça sèche horriblement lentement, cette m*rde), en combien de temps puis-je estimer finir cette toile ?


Bon, je vais maintenant consacrer une heure à mon challenge du Pony Express.

Edit2 : point du soir : objectif Pony Express réalisé à 40%. Je vais essayer de faire du western plus neutre, parce que là c’est n’importe quoi.

Edit3 : je vous épargne le point « peinture à l’huile » parce que ce n’est pas le sujet de ce forum (j’ai fait des nuages et des p’tites branches), et je vais donc plutôt vous annoncer avoir atteint le cap des 50% 60% de mon Pony Express. C’est toujours n’importe quoi, en revanche.

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T’es une visionnaire, toi. :smiley:
J’dis ça, j’dis rien. Vous comprendrez le 1er avril… :stuck_out_tongue:

Mais sinon j’aime bien cette « merle » qui sèche pas vite et qui ressemble à un problème de maths :

Sachant que je peux peindre et sécher 1h30 par jour, que le degré de décrépitude de mon pinceau est de 4 sur 10, et que je n’ai plus de bleu cobalt pour finir la mer…

  1. calculez le nombre de jours que je vais mettre à terminer mon oeuvre
  2. pondérez votre calcul en estimant le temps que je vais mettre à trouver un nouveau pinceau et à acheter de la peinture en plein confinement.

Vous avez une heure. :smiley:

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Je ne sais pas si je visionne ou pas, mais je suis en période de transition entre deux chapitres, mon emploi du temps est contraint (parce que j’aimerais bien refaire un peu de plastique fou, et aussi tester mon fond de pâte à modeler qui sèche à l’air), je tiens à garder une dynamique productive et du coup il me faut quelque chose de rapide pour ne pas perdre mon rythme.
Et dans ce cas-là, rien ne vaut le drabble à prompt. La nanofiction, en l’occurrence.

Quant à mes pinceaux, ils vont bien, même si Monsieur Gropinceau fait scritch scritch, que Pinceau Souple a les poils courbes et que Petitpinceau est hirsute. Dans le pire des cas, je pourrais toujours tester Pinceauneuf et ses amis, que j’ai toujours boudés au profit de ma bande de pinceaux de 1995.

Edit : 70% ! Plus que trois micro-drabbles ! Yeah !
(nota : il a fallu que je vérifie le terme pour « buisson qui roule ». C’est néanmoins toujours n’importe quoi)

Edit2 : 8/10 ! J’aurai terminé aujourd’hui.
J’ai du mal à déterminer le degré de spécialisation de ces textes, mais du fait de leur taille ultra-réduite, je pense qu’on flirte avec le « inaccessible ». Je m’amuse bien, en tout cas.

Edit3 : mon après-midi a été productive.

Edit4 : et fin du challenge « Pony Express » ! Wééé ! Je vais maintenant pouvoir reprendre une activité normale. A savoir : dessiner un deuxième screenshot « jacuzzi ».

Edit5 : on va dire que c’est plus ou moins de la fanfic, hmm ?

Edit6 : @OldGirlNoraArlani j’ai poursuivi ma croûte avec Petitpinceau Hirsute. Et j’ai toujours eu tendance à faire de la couleur flashy, tout à fait (en plus c’était pas du cobalt, c’était un fond d’outremer grumeleux).


Je vais maintenant décrire par le menu le quotidien mouvementé d’un stagiaire dans un parc de holodecks de loisirs.

Edit6bis : écriture en cours de « Une belle journée », le chapitre 2 de Points de vue 3 qui est la réécriture du crossover avec Franklin la Tortue, lancé avec le défi de juin. Atteint : 600 mots (non je ne suis pas très rapide). Ma motivation pour le chapitre 7 de ma schoolfic est dans le même temps retombée à zéro (mais je sais pourquoi : de l’aventure, du drame, des persos qui souffrent, bleurgh).

Edit7 : c’est une fanfic.
Série dite « du jacuzzi », troisième.

Edit8 : en attendant de dessiner la quatrième partie du jacuzzi et pendant que je rédige des prises d’initiative de stagiaire, laissez-moi donc vous présenter ma fic en cours :

  1. parce que comme ça c’est fait et ça me permettra de ne pas le faire quand je la posterai ;
  2. parce que j’ai trouvé le résumé parfait qui, j’ai le plaisir de vous l’annoncer, rentre dans mon top 3 des meilleurs résumés que j’ai jamais écrits, juste derrière « Haridelle de printemps » et « Wanderlust ».

Titre : Une belle journée
Nombre de mots : 3500
Rating : K+
Genre : POV machin
Résumé : C’était une belle journée.
Spécificités : one-shot chapitre 2 d’une histoire sans titre dont le chapitre 1 est une fic de Noël. Par ailleurs, présence d’un stagiaire s’appuyant sur le défi de juin.
Degré de connaissance du fandom nécessaire : [incorrect data]
Notes : aucun jacuzzi ne sera présent dans cette fic.

Edit8bis : 'tain, c’est quoi cette fic ?
Respect des caractères des personnages du canon : non
Respect de l’univers canon : non
Présence des personnages du canon : non (en guest uniquement)
Présence de matériel typique de l’univers canon : non
Utilité de faire ce genre de liste : [processing]

Mais bon, j’ai mis 1600 mots pour appeler la police, plus qu’à attendre qu’elle arrive.

Edit8ter : reprenons.
Description physique et développement du background de l’OC : non
Définition des contours et nommage des OC secondaires : non
Bashing de perso : oui
Intrigue principale : en arrière-plan
Libertés typographiques : [testing]

Edit9 : c’est amusant, j’ai l’impression d’être dans la même configuration que pour mon crossover avec Narnia : ma caméra n’est pas placée au bon endroit.
Mais bref.
Poursuivons l’autre fanfic. Celle en images. Voilà.
Mimee adore le canard. Il est formidable, ce canard.

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Tiens, je vais ouvrir un nouveau post.
Aujourd’hui, j’ai fait de l’encre.

Je pense également qu’il me reste à peu près 500 mots pour clore « Une belle journée ».
Ce qui me donnerait un texte à 3500 mots, un score intéressant pour une histoire qui, en fin de compte, n’est pas du tout racontée avec le bon personnage narrateur.

Edit : terminé sur 3500 mots (une excellente estimation), et aussi un peu en jus de boudin, en particulier à cause de cette histoire de personnage narrateur. Je me suis dit que ça pouvait être sympa un changement de POV, mais en fait ma caméra était beaucoup trop loin de l’action… et dans ce cas-là c’est juste, hem, pas très intéressant, en fait.
Mais bref.
Du coup je voulais la poster seule, mais je me demande s’il ne faut pas plutôt la raccrocher à son histoire-mère. D’un autre côté si ça devient un chapitre 2 non indépendant, je ne peux probablement plus la compter dans mon bingo.
J’hésite.

Je vais plutôt m’interroger sur quoi écrire maintenant. Est-ce que, par le plus grand des hasards, je vais retrouver un peu de motivation pour ma schoolfic ?

Quoi qu’il en soit, j’ai également monté « Stroboscopie 4 », que je suis présentement en train de remplir de nanofictions tournant autour de peinture de coque.

Edit2 :

  1. j’ai encore fait de l’encre et je viens vous le montrer,
  2. je savais bien que j’avais autre chose à faire : poster « Une belle journée ». Tant pis.
  3. aujourd’hui j’ai entièrement monté un patrouilleur et son équipage, et j’ai bien avancé dans la scénarisation de mon histoire de zombies-garous. Je dois encore trouver le nom des personnages les plus importants et caler avec davantage de précision le rôle de l’euqohp et de son commando, mais je pense que je serai bientôt prête pour de la rédaction.

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Hello all.
Aujourd’hui j’ai continué à faire de la construction, et si les travaux de terrassement ont malgré tout tendance à générer de nouvelles questions (en particulier « à quel âge et comment Mary Sue a-t-il perdu son œil ? »), je suis toutefois désormais en mesure de vous présenter avec fierté mon projet « schoolfic 2 ».
Et j’ai l’honneur de vous annoncer que c’est de la fic longue, et que je vais donc probablement vous embêter avec « ma deuxième schoolfic » durant toute l’année à venir.

Titre : Les sirènes d’Yblane
Genre : planet opera - action/aventure
Rating : T
Type de fic : à chapitres - en cours
Particularité amusante : absolument aucun élément du fandom d’origine n’est respecté
Repères chronologiques : à situer après le groupe de fics comprenant notamment « La marche à suivre » et « Barbotages »

Accroche : Sur la planète Yblane, un jeune lieutenant impulsif et tête brûlée s’allie à un ingénieur astronaval et un pélican pour sauver son capitaine d’une embuscade tendue par les autochtones.

Résumé : Tout juste diplômé de l’Académie Astronavale Terrienne, le lieutenant Harlock rejoint sa première affectation sur l’EFS Hayabusa, en patrouille le long de la frontière avec les Colonies Radioactives. Sa réputation de casse-cou ingérable l’y a précédé. Dès son arrivée, le jeune officier doit à la fois composer avec l’intransigeance du commandant et la défiance du reste de l’équipage.
Lorsqu’un message de détresse leur parvient de la planète Yblane, Harlock, qui y voit une occasion de redorer son image, insiste pour être inclus dans l’équipe envoyée au sol. Après tout, récupérer une douzaine de scientifiques dans un avant-poste isolé ne devrait pas être bien compliqué, pas vrai ?
Hélas, ce qui était répertorié comme une planète déserte ne l’est en réalité pas du tout.
L’exfiltration tranquille se transforme en guet-apens, la mission en débandade. Séparé de ses coéquipiers, privé de tout moyen de les contacter, Harlock doit maintenant atteindre l’avant-poste assiégé avant que celui-ci ne tombe à l’ennemi. Il pourra compter sur des alliés inattendus… et peut-être trouver une solution pour quitter Yblane en un seul morceau.
La défaite n’est pas une option.

Présence de fanarts : oui (le « Have another look » juste au-dessus - d’où mon interrogation sur l’œil de Mary Sue, d’ailleurs)

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VOILA. ça c’est un résumé qui donne envie d’y aller.
Il est généreux. On sait à quoi s’attendre.

Et il vient admirablement remplacer le :
« le jeune officier tête-brulée et rebelle arrive sur une planète pour faire une mission de sauvetage. Là bas, des événements inattendus le propulsent dans des aventures trépidantes »

:smiley:

Non mais sérieusement, faites comme AuBe (enfin comme au-dessus, pas ce qu’elle met dans les zones descriptives du site) :smiley:

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Oh, je ne prends pas trop de risque à faire ça proprement, parce que je tente un 30k-50k et vu son état de rédaction il n’y a rien qui arrivera sur le net avant des mois.
D’ici là le post sera depuis longtemps tombé dans l’oubli. :yum:

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Allez, un petit point schoolfic !
(parce que ce truc ne va pas s’écrire tout seul, hmm ?)

Aujourd’hui dans le prologue, la direction annonce l’arrivée prochaine d’un nouvel élève, et Erin la première de classe est catégorique : qu’on ne compte pas sur elle pour lui faire bon accueil ! Et puis si ce Mary Sue arrive en cours d’année, c’est forcément qu’il s’est fait virer de son ancienne école, non ?

Edit : Point schoolfic !
« Après avoir volé un véhicule pour ne pas arriver après la sonnerie de début des cours, Mary Sue se demande s’il va réussir à convaincre le corps professoral qu’il n’est pas le petit voyou qu’il semble être. »
Quant à moi je me demande si je ne vais pas faire du chapitre très court (de l’ordre 500-1000 mots) histoire de bien coller au genre.
(bon pour l’instant j’avance un peu dans le désordre, mais comme j’ai fini ma peinture à l’huile je planifie de bonnes séances bien cadrées pour mettre tout ça sur les rails)

Edit2 : Hmm, il semble que Mary Sue soit bien en train de se fixer avec des caractéristiques propres à son espèce… en l’occurrence, des yeux de couleurs différentes. Un bon point pour lui, ils ne sont pas violets.
(J’ai fait un petit sketch sympa aujourd’hui)
harlock1a harlock1b
Le problème évidemment, c’est que s’il commence à décolorer aussi tôt, ça signifie que je vais devoir revoir (encore) l’autre schoolfic. Et probablement le one-shot au phénix, aussi.

Edit3 : point schoolfic ! (oui je trouve ça pertinent de continuer à taper sur cette histoire à coups de batte de base ball cloutée)
Alors…

  1. j’ai un prologue de 600 mots qui se complaît dans l’exposition selon le principe « le plus possible d’éléments techniques nouveaux dans un minimum d’espace »
  2. en fait, je constate une fois de plus que les personnages ne m’intéressent pas (et accessoirement, que l’intrigue se joue sans eux). Je me suis plutôt attachée à décrire le plus précisément possible chaque véhicule que je croise.
  3. j’ai décidé de ne pas nommer mes chapitres « chapitres ». J’hésite encore entre une numérotation brute ou le terme « segment ».
  4. Pendant ce temps, Mary Sue râle d’avoir été réparti à Pouffsouffle alors qu’il voulait être Gryffondor, et décide en conséquence d’initier un petit chahut en salle d’étude pour montrer sa désapprobation.

Edit4 : vous ne l’attendiez pas, voici le point schoolfic !

  1. le format de chapitre choisi me permet de pondre un chapitre par jour (bon, probablement plutôt un chapitre par jour et demi, je verrai demain si j’en produis un troisième)
  2. si je fais des sauts de POV, est-ce que je pousse le vice à intituler mes chapitres POV machin ?
  3. cette histoire est beaucoup trop technique. Et autobiographique, encore une fois. Je suppose que je ne saurai jamais créer un monde à partir de rien.
  4. je suis plutôt contente de moi.
  5. c’est complètement inabordable.
  6. Dans l’intervalle, Mary Sue agit à l’encontre de toute logique, son interlocuteur a confiance et lui donne une tâche impossible à l’encontre de toute logique également, puis détention. Mary aura probablement le droit à des travaux d’intérêt général par la suite, qu’il sabordera. Tout le monde trouvera ça normal, à l’encontre de toute logique.

Edit5 : point schoolfic !
Alors je ne tiens pas le chapitre par jour, mais presque. Je vais donc entamer le chapitre 4 dès que j’aurai fini de parler cartographie.
De son côté, Mary Sue conduit alors qu’il n’a pas le permis (mais il le fait mieux que tout le monde). Dans une zone interdite, évidemment.
Edit de l’édit : j’ai trouvé un super résumé !
(je vais maintenant penser « composition de couverture »)

Edit6 : point « couverture de schoolfic » !
Bon je n’ai pas avancé sur mon chapitre du jour, mais j’ai dessiné un pélican.

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Allez, Mary a le droit à un nouveau post.


Et figurez-vous que je me suis aperçue après coup que je l’avais habillé exactement comme il y a quinze ans.
Comme quoi je suis d’une constance inébranlable (et ça, c’est pour ne pas dire « je n’ai aucune imagination » :yum:).

Point positif tout de même, j’ai fait de nets progrès en dessin (et accessoirement, j’ai arrêté d’utiliser Paint).
sa-1

Mais bref. Je vais maintenant continuer mon chapitre 4. Et le terminer aujourd’hui, je suis confiante.

Edit : j’ai maintenant terminé mon chapitre 4. Mary Sue vient d’être intégré à un groupe d’élite alors que 1) ce n’est pas son job, 2) il n’a pas la formation pour ça, 3) il a carrément pas montré les bonnes dispositions pour y être intégré jusqu’à présent.
Mais bon, tout est normal.
Je vais aller mettre en couleur un pélican.

Edit2 : fausse alerte pour le pélican, j’ai mis en couleur l’autre dessin.
Parce que bon, dans toute schoolfic qui se respecte, il faut le meilleur ami geek à lunettes qui adore faire des bricolages dans son garage.
Dont acte.
Celui-là est probablement capable de fabriquer une bombe nucléaire avec deux trombones, du scotch et les restes de pâtes de la veille.

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Bon, voilà. Ça fera bien l’affaire.
Bien sûr j’aurais pu prendre davantage de temps pour le fond, mais je suppose qu’il faudrait aussi que je cesse de dessiner à la souris…
Je vais maintenant poursuivre cette histoire, parce qu’elle ne s’écrit pas quand je ne m’en occupe pas, figurez-vous.

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Très classe la couverture. Bravo ! Je suis assez curieuse de voir le rôle exact du pélican dans l’histoire…

Comment ? Avec toutes les bestioles que tu offres à droite et à gauche sur le forum, tu n’as pas sous le coude un orang-outan bibliothécaire qui pourrait te filer un coup de main pour la rédaction de ta schoolfic ???

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Si, mais cette sale bête n’arrête pas de rajouter des tortues partout. Qui crois-tu a écrit le crossover avec Franklin ?
Et là, il ne me faut pas de tortue, il me faut un pélican, parce qu’un pélican c’est plus gros qu’un canard.

Mais bref, point schoolfic !
J’ai maintenant terminé mon chapitre 5. Mary Sue râle pour ne pas changer, et s’aperçoit que peut-être il aurait pu être un peu plus consciencieux dans son job. Mais bon, comme il voulait absolument aller crapahuter dehors, il a bâclé le boulot (ce qui, soit dit en passant, arrange bien l’auteur). Des ennuis s’ensuivent.

En route pour le chapitre 6 !

Edit : en route pour le chapitre 7 ! (ce sont de tout petits chapitres)
Aujourd’hui, Mary décide d’aller à la plage et se lance dans un concours de plongeon. Réussira-t-il à s’élancer depuis la plus haute plateforme sans faire un plat lamentable ?

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Aaaaaaaaaaah mais tout s’explique !!! Une petite référence métaphysique à la Grande A’Tuin ???

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Oui, tout à fait. Je produis des textes hautement métaphysiques moi madame, et s’il y a une tortue c’est évidemment pour lancer une réflexion sur le cosmos, pas pour jouer au foot en mangeant du chocolat.

Bon.
Pendant ce temps, Mary se noie. Je vous ai dit qu’il n’aimait pas tellement l’eau ?

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