[In Arcadia] Histoires de pirate

Wééé, point schoolfic !
Alors que j’approche de la moitié du chapitre 13, je note que je suis tombée dans un ventre mou : ça papote tranquille. Je vais donc veiller à ce que ça papote concis, parce qu’on n’est pas là non plus pour la causette, hein…
Aujourd’hui donc, Mary et son sale caractère agressent les gens sans raison, tandis que les gens trouvent Mary totalement digne de confiance et amical (sans raison non plus, si ce n’est le pouvoir ancestral de la Sue).
Pendant ce temps, le pélican niche sur une boîte de doliprane.
De la planification foireuse se prépare à coup de « séparons-nous en équipes de un », heureusement en compagnie de matériel surpuissant de type « deus ex machina ».
Etape 1 : le Fusil à Mammouth™.

Par ailleurs, je viens de boucler un brouillon de fic stupide, qui non seulement ne ressemble à rien mais en plus n’a même pas de fil directeur cohérent. Plus qu’à le mettre au propre et à l’illustrer, parce qu’il faut absolument que j’illustre ça.
J’ai donc besoin d’un poulpe.

Edit : Point schoolfic !

  • ça papote toujours. De toute évidence ça va papoter jusqu’à la fin du chapitre et probablement au-delà (c’est un ventre très mou) ;
  • voyons le côté positif, ça discute tactique (pour le côté négatif, c’est une tactique idiote) ;
  • non mais c’est pas grave, deux ados contre une armée c’est totalement crédible, non ?
  • heureusement qu’il me reste encore du deus ex machina en soute (et un gros en plus, j’ai hâte qu’il arrive) ;
  • j’ai l’impression d’être arrivé à mon point de bascule habituel de résolution d’intrigue : le personnage principal a-t-il nécessairement besoin d’être le moteur de sa propre intrigue et l’acteur qui permettra de la mener à son terme ? Bien sûr que non, il n’a pas besoin ! Quelle drôle d’idée !

Mais bref. Chapitre 14 en vue !

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Hello all.
Aujourd’hui j’ai passé ma fin d’après-midi à mettre en couleur un… truc. Qui illustre mon dernier texte, celui qui est stupide.
Du coup, voilà la bête. Mine de rien je suis assez fière de moi.

Titre : La théogonie des peluches

Résumé : Au commencement était le lapin. Puis vinrent les ours. Et le fluffy fut.

Type : blague interne
Nombre de mots : env. 2300
Genre : je ne parlerai qu’en présence de mon avocat
Rating : K
Fandom : oui
Références IRL : oui
Divers : oui
Illustration : oui

Edit : oh ben j’avais oublié de mettre à jour mon bingo, dis donc…

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Hello all, petit point « mise à jour de site » !

Or donc, aujourd’hui j’ai fini une mise à jour de site :

  • j’ai ajouté des résumés des fics sur les pages thématiques, avec parfois une petite note explicative (parce que certains de mes résumés sont très abscons, il faut le reconnaître) ;
  • j’ai importé sur le site la totalité de mes fics longues, soit plein plein de chapitres ;
  • je suis également passée (en partie) sur la nouvelle interface de Wordpress et sa construction « par blocs », mais je suppose que ces détails techniques ne vous émeuvent pas.

Enfin bref, je remets le lien dessous. Pas grand chose de changé, in fine, mais désormais vous pouvez lire au même endroit les 251 chapitres que j’ai produits. Sur le même fandom. Non je ne suis pas très variée.

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Ah bon ? :smiley:
Abscons et succincts, en même temps. Enfin, sur FFR.

Sur ton site, je vois que tu as fait un effort. Tu t’en fiches de mon appréciation mais bravo ! Avec le volume d’histoires publiées, un peu de classement, c’est mieux.
En plus je vais pouvoir lire une fic antédiluvienne sur Stargate… :yum:

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Oh, tu as trouvé Feyjd ?

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Hello all.
Il fait trop chaud pour sortir, donc je passe vous faire… un point schoolfic ! (yeah)

Or donc, chapitre 16. Mary sort d’un puits avec un pélican sur le dos et va maintenant pouvoir jouer à John McClane contre des otaries. Heureusement, il possède un fusil à mammouth. Et il n’est pas pieds nus.
Yipee ki-yay, comme on dit dans ces cas-là.

Par ailleurs, c’est l’été.

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Non mais dites-donc, il y a du relâchement. Cachez cette balafre que je ne saurais voir… :smiley: En même temps, voilà de quoi alimenter les songes d’une nuit d’été.

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Y’en a surtout un qui va faire des cauchemars si sa copine l’entraîne dans l’eau.
Parce que elle, c’est une surfeuse émérite. Et lui… ben il nage un peu comme une brique.

Et tu ferais mieux de le féliciter de s’être mis en short de bain plutôt que de critiquer sa balafre. C’est déjà assez compliqué de lui faire ôter son col roulé, faudrait pas me le vexer…

Edit : je vous l’ai dit, que je dessinais par séries ?
Donc voilà : je dessine par séries. Et c’est toujours l’été.

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Ah, les fanarts par série qui sont en fait des fanfictions…
(bon je reconnais qu’il manque des étapes intermédiaires, mais c’était une commande)

Enfin voilà, le short de bain du captain est un peu trop large pour lui. Du coup il glisse. Et d’aucuns en profitent.
Reste à espérer que cette plage n’est pas trop fréquentée.

Par ailleurs, je me suis fait une carrd :

Sinon, vous ai-je parlé de Pou-poulpe y doo, ma dernière fic ?

Edit : Point schoolfic !
Les températures baissant, mon cerveau redevient capable de produire autre chose que du poulpe (notez que j’ai toutefois encore un chapitre 3 à recopier).
Mary hésite donc à exploser une grille avec son fusil à mammouth™, mais heureusement sa radio a cessé de grésiller. Ou alors ce sont ses oreilles, tout ceci n’est pas très net.
Et, tandis qu’il dialogue avec son sidekick favori, j’ai nommé « le pélican », l’auteur en profite pour capillotracter des sirènes.
Parce que bon, vu comment l’histoire avance, ça m’étonnerait que je puisse les présenter tranquillement.
Objectif : finir le blabla et faire du kaboom. C’est pas tout ça mais Mary a une armée à combattre à lui seul.

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Je tiens à préciser que cette histoire n’est pas postée dans l’ordre.


Mais bref, Mary est à la plage.

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Et… point schoolfic !
Aujourd’hui, Mary est sorti du placard et a balancé un canard dans l’assistance, puis s’est ensuivie une démonstration des formidables capacités d’une Sue, et croyez-moi ça va continuer sur la même veine. Quelle idée de lui avoir donné un fusil à mammouth™, aussi…
Mais bref, tout ceci pour me plaindre que je ne vais pas pouvoir utiliser le syndrome du téléporteur de Star Trek cette fois-ci, parce que toute la finalité de cette schoolfic est de lui donner ces p*tains de capacités surpuissantes. Et ça ne va pas aller en s’arrangeant parce que maintenant il est censé s’en servir.
Il ne me reste plus qu’à aller tuer des ennemis par paquets de douze, pff.

Je vais plutôt tenter de bombarder une verrière.

Edit : tiens avant que je n’oublie, je vais fixer par ici ce titre qui m’a été suggéré. « La grande andouille en cape et le petit sucre ». Je ne sais pas encore ce que je vais faire avec, mais je vais faire quelque chose. J’envisage d’y mettre un fédora.

Edit2 : point schoolfic !
Aujourd’hui je n’ai finalement pas bombardé de verrière, mais j’ai plutôt fait coulisser une fontaine vide. Le pélican ouvre la voie tandis que Mary fait son intéressant avec son fusil à mammouth™. Malheureusement pour lui, l’auteur a une intrigue à faire avancer (et en plus je tiens en piètre estime les compétences de ce petit crétin, fusil à mammouth ou non). Des ennuis surviennent.
En parallèle, je me suis également fendue d’une petite notice explicative sur comment il n’est pas possible de trouver une boule hérissée qui transperce un donut dans le fandom. Après je comprends que la question ait été posée, l’univers est très vaste et un donut transpercé aurait très facilement pu passer inaperçu. A condition que je joue au bon endroit, bien sûr…

Edit3 : point « andouille » ! (oui cet intitulé est stupide, et alors ?)
Aujourd’hui, j’ai poursuivi mes réflexions pour le montage de LGAECELPS (sérieux, c’est quoi ce titre ?). Il s’avère qu’il faut définir ce que l’andouille porte sous sa cape, et les options actuelles s’échelonnent entre 1) un pantalon, 2) un caleçon, et 3) rien. Par ailleurs, on m’a commandé un animal chelou (je suis spécialiste dans les animaux chelous et j’assume), et les hypothèses de travail sont donc pour l’instant 1) une moufette, 2) des loutres.
J’envisage également l’utilisation d’une laisse (et non, pas pour les bestioles).
Cette histoire s’annonce bizarre.
Formidable.

Edit4 : point schoolfic !
Figurez-vous que Mary a croisé des gens. Figurez-vous qu’il s’agit d’un personnage du fandom. Figurez-vous que ce personnage n’a donc pas le même background, pas le même caractère, pas la même apparence, pas la même taille, pas la même couleur de peau… D’ailleurs, il n’a pas le même nom.
Mais alors, me direz-vous, que reste-t-il ?
Un bandana. Il reste un bandana.

Faudrait que je fasse une liste de ce qui reste, en fait.

Je vais plutôt écrire sur mon andouille.

Edit5 : point schoolfic !
Aujourd’hui Mary et son canard sont retournés dans les souterrains tels des rats fuyant le navire et, tandis que Trou d’Eau est parti sur l’avant, il s’avère que le Fusil à Mammouth™ ne possède pas d’option « brancardage ».
Heureusement Mary est plein de ressources, et bien qu’il ait la carrure d’une chips je présume qu’il n’aura aucun problème à porter 30% de plus que son poids. Je vais d’ailleurs lui demander de courir.
Il va également bientôt être temps de se demander où sont les clés de contact.

En parallèle, je n’avance pas sur mon andouille car il est assez compliqué de convaincre Mary de se faire tenir en laisse à moitié nu, mais je pense que je vais choisir une moufette. Il y a de fortes chances que ce petit crétin n’ait pas la moindre idée de ce qu’est une moufette.

Je dessinerais bien un truc.

Edit de l’édit5 : tiens je pensais à tout autre chose, mais je crois que j’ai trouvé un nom de famille pour Mary. Je vais voir s’il tient dans la durée.

Edit6 : j’ai dessiné un truc.
Ci-dessous, Kei tente de convaincre son capitaine d’aller se baigner. Ou alors elle tente une manœuvre de rapprochement pour lui ôter son short.
(ce dessin s’insère entre le deuxième et le troisième de ma série en cours)

Edit7 : et… point schoolfic !
Bien sûr, la rentrée a quelque peu ralenti mon rythme déjà cacochyme, mais cette semaine j’ai également été retardée par de la stylistique rétive. Les schémas récurrents, c’est très pénible, mais bon… j’en ai besoin, je réutilise. C’est de la chirurgie de précision, en revanche.
Bref.
Aujourd’hui donc et tandis que je me demande s’il n’est pas temps d’ouvrir un nouveau post, le canard soutient Mary (ieeek), Mary stresse mais fait genre « non mais ça va je gère » (il ne fait pas du tout illusion), et les gens s’apprêtent à lui confier les rênes pour la suite, c’est très logique. Je tiens à préciser qu’il va s’acquitter de cette tâche avec diligence et toutes les compétences sorties de nulle part qu’il faut, car Mary a les pouvoirs d’une Sue et ce que la Sue décide, la Sue accomplit. Et la Sue détient la Vérité, donc tout le monde va se ranger à la solution foireuse qu’il va proposer, j’ai personnellement très hâte d’y arriver.

En parallèle, je cherche toujours comment introduire une moufette dans mon andouille.

Edit de l’édit7 : raah les narrateurs non fiables, c’est vraiment la plaie !

Edit8 : point schoolfic !
Fin de chapitre ! Je répète, fin de chapitre ! Et pas n’importe quel chapitre, hein… C’est celui que je cherchais à atteindre lorsque j’ai débuté cette foutue schoolfic ! Douze ans pour en arriver à ce point précis ! Joie, bonheur, raton-laveur !
Je vous invite à me féliciter avec une moufette.

Et maintenant… Bataille ! Kaboom ! Wouhou !
Il est également possible que je crée un nouveau post pour fêter ça.

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Je le fais. Je n’ai pas de photo de moufette, mais le cœur y est. Je sais à quel point c’est génial d’atteindre un chapitre qu’on voulait écrire depuis le début de l’histoire (et douze ans, oui, c’est un joli score). Donc : tu es officiellement propriétaire d’une jolie moufette virtuelle appelée Cassandre (car elle prédit l’avenir).

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Oh chouette, une moufette.
Cassandre m’a donc prédit que l’automne arrivait bientôt, que Noël tombait un 25 décembre cette année et qu’après dimanche prochain viendra un lundi.
J’ignore ce que je vais faire de ces informations.

Bon, j’admets que j’ai un peu triché parce que je suis passée à « schoolfic 2 » étant donné que « schoolfic 1 » ne menait pas exactement au bon endroit, mais l’essentiel c’est le résultat.

Je pense que Monsieur Pélican aura le droit à son ISBN quand il sera terminé. Il l’a bien mérité. Même si la taille du livre papier sera ridicule, mais tant pis.

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Point andouille !
Alors que je remets en ordre mes notes pour « La Gaecelps », qui a été grossièrement rédigée au brouillon pendant que je pensais à autre chose, je constate qu’il s’agit encore d’une fic que je n’aime pas. Bleh.
Mais bref, avançons. Une fois qu’elle sera terminée je pourrai la ranger avec les autres qui possèdent le même « problème » et réfléchir à cette intéressante et récurrente différence de perception.

Enfin voilà. Aujourd’hui donc, Mary fait des courses mais il semble qu’un léger détail vienne perturber une planification minutieuse, s’ensuit une discussion qui tourne un peu autour du pot (en particulier parce que Mary a un sale caractère et que tout le monde le sait), puis l’on partira assister à un festival afin de récupérer un joint de culasse. Un ruban doré aura un rôle assez important dans l’affaire, qui se terminera par une moufette.

Nom d’un pélican, ce paragraphe n’a aucun sens.

Et sinon, vous ai-je parlé de l’exomide ?

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Meilleure nouvelle du jour !
Toi tu ne les aimes pas, mais avec mes goûts frustres, j’en fais mes délices.

Alors je reconnais qu’en général quand je dis que je n’aime pas, c’est parce que le personnage s’en prend plein la tronche tout au long du texte (non, j’aime pas quand les persos souffrent), mais je possède aussi une catégorie « textes dépressifs » et une autre « textes de complaisance » (oui, j’ai des tas de raisons de ne pas aimer ce que je produis). D’ailleurs j’ai des « erreurs techniques », également.

En l’occurrence pour la Gaecelps, j’ai bougé mon curseur humoristique et je suis mitigée quant au résultat. C’est compliqué, l’humour, en réalité.

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Well… J’avais envie de dessiner. J’ai testé un truc.
Le résultat est… fascinant.

Je vais plutôt retourner écrire.

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Et… point schoolfic !
Après une petite pause andouille (4k mots quand même), il est à présent temps de reprendre le pélican et de le mener à son terme.

Etape 1 : voler. Je me demande si je reste en atmosphère ou si je pars en plein espace tout de suite. A noter que je regrette un peu de ne pas utiliser l’option marine, mais je ne pense pas que ça apporterait grand-chose au schmilblick (abandon, donc).

Etape 2 ; nommage. Alors autant Mary possède 1) un prénom, 2) un deuxième prénom, 3) un surnom, 4) éventuellement un nom de famille (ce point nécessite encore d’être testé), autant je suis encore un peu embêtée pour le scientifique. Une consonnance bretonne c’est bien, ça… Non ? Bref, j’ai donc 1) un prénom, et 2) il me faut absolument un nom.
Bien sûr je pourrais réutiliser celui que j’avais pris avec Eternal Captain, mais on va dire que j’ai envie de varier (et puis ça ne colle plus avec le background).

Etape 3 : tout ceci me mène à m’interroger sur la couverture. Je n’aurai aucun scrupule à garder Mary, mais pour l’autre… A mon avis je vais devoir refaire la couleur. Ou alors je l’enlève, de toute façon il n’est même pas dans la scène normalement.

Etape 4 : tandis que Mary s’installe là où est sa Place, tout s’effondre fort opportunément pour ajouter à l’intensité dramatique de la scène. Heureusement, je viens de lui donner un jouet encore plus puissant que tous les jouets que je lui ai successivement mis entre les mains, et il va donc pouvoir faire plein de dégâts sans aucune considération pour les lois de la physique.
J’envisage des torpilles.
Et, bien évidemment, j’ai planifié la manœuvre favorite de Mary. Petit inconscient.

Edit : mon ISBN progresse par bonds.

… bien sûr qu’il me faut un nom à consonnance bretonne, suis-je bête !
J’avais oublié l’autre ISBN. Parce que tout est toujours lié.

Edit2 : Point schoolfic !
Aujourd’hui j’ai fait un peu de worldbuilding. Et de nommage. Et je m’aperçois que je n’ai pas besoin de renommer un des persos principaux (pas Mary, l’autre), parce que j’ai en réalité déjà fixé son prénom dans un texte précédent. Il va juste changer de surnom, ce qui en définitive importe peu.
(et je vais avoir un léger faux raccord avec « Eternal Captain » et « Charlie Quatre », mais je m’en fiche : je peux toujours réajuster « Charlie Quatre »)

Bon sinon pas vraiment de production écrite ce week-end, mais j’avais envie d’un vaisseau.
Du coup, le voilà :

Edit3 : Point schoolfic !
Cette semaine j’ai jeté mon canard hors de l’ascenseur et j’ai construit une passerelle.
Eh bien figurez-vous que cette construction de passerelle m’a amené à mon plus haut niveau de satisfaction créative depuis longtemps. D’un point de vue « planification d’écriture », du moins. Pour le dessin il suffit de se rapporter à celui qui est posté juste au-dessus.
Mais bref. La dernière fois que je m’étais fait autant plaisir en termes de préparation d’écriture, c’était quand j’avais construit la moitié arrière du pont principal (ce qui m’a d’ailleurs remis en mémoire la fois où j’avais construit tout le circuit de distribution d’eau des tranches arrières).
Ca me rappelle le Teddy Smith de Zweisamkeit, tiens… Il avait une chouette passerelle aussi celui-là…
Enfin voilà. Je n’ai maintenant plus qu’à sélectionner avec soin les éléments essentiels pour une description efficace.
Ce qui signifie que je ne vais donc pas pouvoir faire un tour d’horizon exhaustif, c’est très frustrant. Comment je fais pour parler de mes p’tites trappes sympas et des tubes Jefferies, moi ? Et des emplacements pour les cafetières ?

Edit de l’édit : j’ai en outre réfléchi à d’autres formidables aventures entre le captain et la petite blonde timide (non, pas celle que je dessine tout le temps, une autre), et j’en suis arrivée à la conclusion qu’il me faut un chapitre 3 de « Consultation sans rendez-vous ».
Oui je fais des liens de cause à effet abscons.

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Hello all !
Aujourd’hui j’ai réactivé un bloc qui n’avait pas servi depuis 5 ans, comme quoi le temps est une notion toute relative.
En effet, figurez-vous que j’ai lu un super livre avec des pirates de l’espace du ciel, du coup je lui ai fait une fifiche.
Sans prétention la fifiche, mais j’ai eu envie de marquer le coup.

(oui par contre, il s’appelle pareil que mon site principal)

Elle est super ta fiche ! Elle donne envie.
De nazie à nazie, je te tends ceci de bon cœur car pile à ce moment de ton argu, c’est comme un cadeau inespéré :

image

Comme l’amour, la coquille est aveugle. Elle frappe là où on ne l’attend jamais. :smiley:

Au passage, ne t’inquiète point. C’est moi la mouette cheloue ayant liké ta note de blog.