LA BOITE A IDEES des Défis et jeux

On dirait un défi pour moi, littéralement. :sweat_smile:

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En niveau deux, je me la joue sadique mais limiter/interdire le champ lexical de la mort/la maladie me paraît pas mal pour pimenter tout ça (bon, la douleur okay, quand même, ne soyons pas trop méchants) :smiling_imp:
Et puis ça serait l’occasion de dépeindre tout ça de manière plus douce, après tout :thinking:

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Maiiiiiiiiiiiiiiiiiiis

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Et la team auteur sadique, elle fait comment :sweat_smile: :scream:

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Ou tout l’inverse…

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L’idée d’Enso est vraiment excellente (et vu le nombre de likes qu’elle a reçus je crois qu’on est unanimes là-dessus :smiley: ) et comme tu dis, applicable à des tas de fandoms.

Pour ce qui est du niveau 2, je me permets à mon tour d’apporter ma suggestion qui rejoint et complète celle de @firestorm61, quoiqu’en effet ce soit pas du gâteau. En tout cas je sais qu’elle va paraître redondante avec le niveau 1 mais je me lance :

Niveau 1 : le perso est en convalescence et on raconte cette dernière jusqu’à son rétablissement. Mais la convalescence n’est pas chose aisée. Il y a des « douleurs », une « immobilisation forcée » (pour reprendre les mots d’Enso), des doutes, des contraintes diverses… Quoiqu’il en soit, il y a un retour à la normale à la fin. Le héros redevient pleinement lui-même. Ce niveau pourrait raconter tout cela à la fois.

Niveau 2 : il n’y a pas de retour à la normale. Le héros peut certes se remettre du gros de la crise initiale (la phase aiguë de la maladie ou de la blessure, ou la phase post-opératoire, ou la phase suivant directement un trauma psychique) mais il reste invalide (physiquement et/ou mentalement) pour de bon. Cela implique une crise identitaire grave qui peut durer pour toujours ou pour des années. Il lui faut composer avec ce manque, avec son nouveau soi. Le niveau 2 pourrait raconter ce combat pour accepter l’inacceptable, l’abandon obligé de ce qui le constituait et la frustration et tous les autres sentiments négatifs qui en découlent, jusqu’à ce que, finalement, il parvienne à se trouver une nouvelle raison de vivre en composant avec ses maux. Une sorte de réparation, de rédemption (je me sens d’humeur dostoïevskienne ce soir…). Certes, un tel exercice d’introspection semble dépasser les limites de l’OS, mais voilà, je pose ça ici quand même :slightly_smiling_face: .

Édit : Ou alors, en autre idée de niveau 2 : raconter la phase de convalescence et le retour à la normale à la première personne, selon le point de vue ou du malade lui-même, ou d’une personne proche chargée de veiller sur lui et de lui prodiguer tous les soins. Ça ne doit pas être simple de se mettre directement dans la peau d’un perso souffrant qui rencontre ses limites, ou encore dans celle d’un perso proche qui voit un être qui lui est cher souffrir, tout en tâchant de lui apporter le maximum de réconfort… (Cela impliquerait donc que le niveau 1 soit raconté à la troisième personne, chose a priori plus simple.)

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Mais du coup n’est-ce pas plutôt une continuité qu’un niveau 2 ? :thinking:
En tout cas sur le dernier défi on pouvait superposer les deux niveaux sur un même récit, ici il s’agit plutôt d’une potentielle suite logique.

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Ah oui, c’est pas bête tiens, tu as raison, je n’y avais pas pensé.

C’est pour ça que j’avais dit dans mon post du dessus que trouver un niveau 2 c’était pas de la tarte. Et en effet ça n’en est pas, lol.

(Mais du coup dans mon édit j’avais proposé 2 autres idées, qui concernent le point de vue du narrateur.)

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Je n’aime pas ce sujet. :expressionless:
Mon conjoint, ma fille et moi on est cloués au lit avec une saleté de gastro-entérite ou je ne sais quoi (covid d’après le médecin). J’ai pas envie de prolonger le plaisir en écrivant un truc que la convalescence. :nauseated_face: :face_vomiting:
Je n’arrive même plus à lire sur écran Beuah… :pensive:

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Pauvre de vous ! Je vous envoie plein de douceur !

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@Tracy

Je comprends que ce sujet ne parle pas à tout le monde, ça peut remuer des choses douloureuses, des traumas, présents ou passés. C’est un sujet délicat.

Pour ma part, ce serait justement une sorte de catharsis, c’est pourquoi on va dire que ma suggestion de niveau 2 pour accompagner l’idée principale d’Enso et compléter celle de Firestorm avait des implications personnelles et que j’ai puisé dans mon propre vécu pour la soumettre.

Mais tout le monde ne vit pas cela de la même manière et on peut concrétiser ces propositions sans forcément les mettre en défi.

Je vous apporte tout mon soutien amical, puissiez-vous guérir rapidement :sunflower: .

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Je dirais que ce sont deux niveau de gravité face à des conséquences plus ou moins grave.
A toi de voir si tu veux te la jouer Fenêtre sur Cour ou si tu y vas a fond. (L’un ne faisant pas spécifiquement suite à l’autre).

Bon courage :slightly_frowning_face:
Honnêtement, pour avoir vécu une chimio il y a quelques années, je trouve le sujet intéressant a explorer. Après c’est effectivement loin d’être joyeux. Je t’envoie des ondes positives en tout cas :muscle:

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Merci, mais c’était juste pour faire la conversation. :sweat_smile:

Sur ce plan là aussi j’ai d’assez mauvais souvenirs. Intéressant oui complètement ! La souffrance ne fait simplement pas trop partie de mes sujets d’intérêt littéraire (je réserve ça au monde réel).

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Je voulais simplement dire que ça me fait plaisir de voir quelqu’un d’autre dire ça. Je me sens un peu moins seule… :brown_heart:
Techniquement, j’en aurais des choses à dire sur ce sujet de la maladie/blessure ! Toutefois, il y en a suffisamment dans la vraie vie pour que je me l’impose lors de mes lectures/écritures, surtout de manière aussi abrupte que le possible niveau 2 cité.
Mais en soi, je trouve vraiment sincèrement que c’est un super sujet et c’est certain que plein de monde adorera écrire dessus mais ce sera sans moi, mieux vaut.

7 « J'aime »

Après : convalescence n’est peut-être pas à prendre comme une souffrance …
Mais on pourrait peut-être étendre l’idée à une sorte de « repos du guerrier ». La quête est terminée, la vengeance assouvie, le gros lot remporté … ET ? Que faire APRES ??? Alors, oui, faut soigner les bobos (plus ou moins graves) et ensuite, faut trouver sa voie … Revenir à la « vie d’avant », aller retrouver un amour perdu (ou en profiter, ça dépend ^^) changer de métier … (Et oui, tout le monde devient pas Roi du Gondor, quoi …)

Mais je me demande si y’a pas déjà un défi dans le genre …

Edit : certainement celui sur les vacances des héros: Défi VACANCES, J'OUBLIE TOUT ! (juillet août 2019)

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Voici :

Ainsi, il n’y avait pas que l’idée de la souffrance pure et simple dans ce que je proposais non plus, et je regrette que cela n’ait pas été compris, même si je n’ai peut-être pas assez insisté là-dessus. Personnellement, c’est justement ça qui m’intéresse : faire avec ses maux, trouver une issue malgré eux, composer avec eux jusqu’à trouver une certaine forme de sérénité, une nouvelle raison de vivre qui nous porte, en un mot, retrouver la lumière, même si le mal est là, nécessairement, et même si dans l’idéal il n’est absolument pas souhaitable et qu’il est bien au contraire le plus grand scandale qui soit. De fait, je ne suis pas une doloriste. La souffrance n’a aucune valeur morale pour moi, elle est absurde et n’a rien de glorieux et ce qui m’intéresse bien plutôt, c’est la manière dont on compose malheureusement avec elle, la façon dont on peut parvenir à la dépasser après bien des épreuves. Un chemin vers le retour au bien. Toute une équation personnelle, en somme… Exemple : un héros est blessé au combat et perd toute capacité à se battre. Il ne peut plus, selon la définition classique du héros, en être un. Comment le vit-il ? C’est une perte d’identité. Mais après une lutte intérieure que l’on s’imagine âpre et longue, il se « reconvertit », trouve une autre voie d’accomplissement, qui va le satisfaire, soit pleinement, soit en lui laissant malgré tout toujours une nostalgie pour son ancienne vie, son ancien soi. Mais au fond, il a quand même retrouvé un équilibre.
Enfin, voilà, c’était juste pour clarifier mes intentions car il semble que ma suggestion ait déclenché des réactions fortes (et en soi tout à fait valides).

Cela étant, j’adhère à 100% à l’idée d’@Angel-Dust :wink: .

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:sweat_smile: Ca pourrait être le pitch de la fic de je publie en ce moment le mardi, « Yes or No ? » … et ■■■■■, on est mardi … oublié … Bon, je poste demain ^^

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Bonjour,

Je propose pour un prochain défi de raconter une histoire avec un narrateur personnifié intégré au récit (un peu comme Lemony Snicket dans Les Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaires ou le narrateur de Jane the Virgin) : soit un personnage créé de toutes pièces, soit un des personnages du fandom (mais pas le personnage principal du coup) qui raconterait l’histoire a posteriori, selon son point de vue et à sa manière ^^ .
Et donc le narrateur pourrait se permettre des commentaires, des digressions, des retours en arrières, des ellipses ou même de dynamiter le 4ème mur !

13 « J'aime »

C’est amusant, je suis en train de bricoler un défi en seconde chance et je me suis imposé la première personne :sweat_smile:

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Un thème « cuisine » ! :japanese_goblin:

Et il y a de quoi faire en cuisine ! Les patates, les aubergines, les carottes, les navets, les courgettes… « Mais… Il se fiche de nous ? :smiling_face: » Non, messieurs dames ! :japanese_goblin:

L’important, ce n’est pas ce qu’on cuisine mais comment on le cuisine ! Un terroriste récalcitrant ? Cuisinez-le donc, qu’il passe aux aveux ! :japanese_goblin: Un monstre à chasser ? N’oubliez pas de le cuisiner… Un mélange douteux, du sucre, des épices, un agent chimique X ?.. Mais qu’est-ce que c’est que cette cuisine ?! Une manœuvre bien obscure… Encore une cuisine politique.

A vos fourneaux ! :nerd_face:

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