Je viens de tomber sur cet article :
J’ai commencé à le lire, je poursuivrai ma lecture tout à l’heure, en attendant je vous partage le lien.
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Alors, là, il y a un truc que je ne pige pas :
Comment ça peut être une fanfiction Twilight ? un autre univers, d’autres noms de personnages, d’autres situations, pas de vampires … Ce n’est plus une fanfic, non ?
Dans l’article, je trouve que le côté « oeuvre collective » est trop mis en avant. Autant j’ai en effet l’impression d’appartenir à une communauté, autant, non, mes fics je les écris toute seule (avec une beta, certes, mais si j’en ai écrit à 4 mains, c’était totalement volontaire).
Heuuu, là pareil … Je ne me reconnais clairement pas. On dirait que la fanfic est de la « fic à la demande » … pis alors, si on attend les commentaires pour publier la suite … 
on va pouvoir attendre longtemps !
J’avoue que ce qui est dit sur les droits d’auteur me laisse également perplexe… on ne s’en sortira donc jamais ?
Bref, c’est intéressant de voir comment "le reste du monde " nous perçoit mais comme je l’ai dit plus haut, je ne me reconnais pas dans le profil de la fanfiqueuse… d’ailleurs, c’est aussi un peu réducteur, cette féminisation… ca va les mecs ? 
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Ça y est, j’ai tout lu.
C’est un peu « la fanfiction expliquée à ma mère »… Mais ça a le mérite d’être très clair et je n’y ai vu aucune chose surprenante bizarre (à part peut être le terme de ficwriteuse – à la saveur indéniablement globish).
Du coup, si vous cherchez plus ou moins comment expliquer à votre entourage intello, ça peut être bien.
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Je ne sais pas pour vous, mais ma famille n’avait aucun intérêt pour l’historique ou le pourquoi du comment. 
Une fois que je leur ai dit que c’est de l’écriture de nouvelles ou de petits romans portant sur un roman, un film, ou une série, c’est bon, ils étaient briefés.
Le truc qu’ils n’ont pas compris c’est quand j’ai parlé de « publication », qui évoquait autre chose pour eux (et qui du coup, sur un malentendu, suscitait plus d’intérêt et d’étonnement admiratif).
Hélas j’ai dû corriger : « mise un ligne sur internet ».
Et là (c’est le drame), extinction immédiate de l’etincelle « oh oui, boh(f), sur internet » (sous-entendu, comme n’importe qui peut y écrire n’importe quoi…).
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Ma victoire du mois dernier, c’est quand – après 8 ans – ma mère a accepté de lire un court OS (dans un fandom qu’elle connaissait). Court, c’était l’argument de vente.
Elle a tout lu, elle s’est marrée plusieurs fois, a convenu que « si, c’était bien »
Et là, j’ai lâché la bombe : ah oui, ça t’a plu ? Eh bien c’est moi qui l’ait fait !
En face, silence effaré et clairement incrédule.
Si si, j’ai tout écrit moi-même.
Bouche bée.
Des années de rediff, ça laisse des traces, hein ?.. (Petit sourire en coin)
intérieurement : danse de la joie 
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Alors, je suis comme toi, mais c’est un phénomène que j’ai lu par ailleurs. Visiblement c’est assez standard, mais peut-être aussi générationnel ?
Nous sommes dans l’ère réseaux sociaux et le regard (l’avis) des autres est plus important que le reste. Il faut plaire, plaire et c’est tout. Je crois que pour une partie de la (jeune) population, ça détermine un peu ta place dans la société, ça forge ton égo et c’est un nouveau mode de communication. Je trouve ça d’ailleurs paradoxal car à côté il y a le mouvement « sois toi même » qui est à mon sens le complet opposé (mais c’est peut-être une fausse impression de ma part, après tout l’idée est aussi d’être soi-même pour trouver des gens qui nous ressemblent et former avec eux une autre communauté, c’est un peu le concept de tous les mouvements identaires divers et variés).
Je ne suis pas à la course aux commentaires, mais en avoir est plaisant, ça veut dire qu’on est lu (le nombre de lectures parfois je me dis que ce sont des bots ou jesaispaskoi).
Ensuite, un commentaire du genre « c tro bien continu ! » est appréciable, je suis contente de savoir que quelqu’un aime bien, mais sa portée est limitée. Alors qu’un commentaire bien construit, plus développé, voire analytique, aide à s’améliorer. Je me rends bien compte par ce biais que ce qui me plaît à moi ne plaît pas forcément à d’autres. Et autant je peux être inflexible sur certains aspects, autant sur d’autres j’aime bien me dire que telle ou telle ouverture ou tel changement serait peut-être une bonne chose pour améliorer mon texte.
Pareil, je trouvais que ça faisait sexiste, mais justement je parlais avec Bucky par MP du sexisme dans l’univers Batman, y compris dans Gotham d’ailleurs alors que la série est très moderne dans sa conception. Je trouve que ça manque de personnages féminins « intéressants » et dégagés des clichés sexistes. Au final, même les perso les plus développés et les plus badass comme Catwoman et Harley Quinn sont imprégnés de sexisme, en partie parce qu’ils sont décrits par des hommes. La fanfiction peut permettre de corriger un peu le truc (selon les fandoms, selon les styles de fanfiqueuse).
@ensorceleurisee ma mère rêverait de lire mes oeuvres… Si elle savait que j’écrivais. 
Je lui cache exprès car elle est envahissante et « mêle brun » comme on dit par chez nous, ça m’oppresse énormément.
Elle rêvais d’avoir une fille écrivaine. Cela dit, je pense qu’elle serait perdue dans tous mes fandoms qu’elle ne connait pas, ou méprise carrément. Sans parler que ce qu’elle préfère c’est les polars et elle n’aime clairement pas la romance (je n’écris pas de polars - je ne sais pas le faire, pourtant j’ai quelques idées - et je mets de la romance partout).
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Ah bah tiens, j’ai le même chez moi. Façon de parler.
Mon père lance parfois, assez innocemment, qu’avec « le nombre de livres que [j’ai] lus, il serait temps que [j’en écrive] un ».
S’il savait !
Mais venant de quelqu’un qui n’ouvre jamais un livre, je sais pas comment le prendre… Peut-être que si ça venait de moi il ferait un effort ? Je sais pas quelle fanfiction lui envoyer cependant… 
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Salut. Je m’immisce un peu.
La définition que je fais, moi, d’une fanfiction, c’est un novel (roman en français) qui traite d’une autre œuvre, mais en apportant des idées nouvelles. Une façon de dire en gros que l’auteur de fanfiction refaçonne les histoires déjà écrites. Enfin, c’est un peu ma vision de ce c’est qu’une fanfiction. Mais voilà, j’ai remarqué que la majorité des fanfics se concentrent sur la partie romance des personnages de l’œuvre originale, ce que je ne trouve pas si aberrant. L’amour a toujours été la meilleure formule pour faire de son œuvre quelque chose d’accrocheur. Personnellement, j’aime plus le côté « univers alternatif » de la fanfiction. Du genre « Et si Naruto était un méchant? », « Et si Kakashi avait un frère jumeau? », « Et si… » Autant de choses. La fanfiction est le prolongement d’une œuvre originale, que dis-je, un hommage non déguisé.
S’agissant de mon entourage, tout le monde est au courant que j’écris. Et ce n’est pas pour me vanter, mais je crois que j’ai été un pionnier de la lecture dans ma famille. J’ai un ami d’ailleurs qui me soutient fortement. Tout ça pour dire que je n’ai pas honte de dire que j’écris des fanfics, peu importe les idées pré■■■çues qui s’y sont attachées.
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Bonjour Bonsoir ^^
Mais c’est une excellente question ça !
Pour ma part, je pense aujourd’hui correspondre davantage à ta dernière description : auprès de mon entourage, la fanfiction, j’assume pas du tout x) Et sincèrement, j’en suis pas fière, car je sais que ça revient à ne pas m’assumer.
À l’époque du lycée où j’avais plus confiance en moi, j’avais énormément de plaisir à en parler avec les copains, qui en écrivaient aussi ; j’étais dans un environnement social qui me mettait très à l’aise, même si parfois on n’avait pas du tout les mêmes goût avec certains ^^ Mais même à cette époque, auprès de ma famille, qui ont l’esprit plutôt intellectuels, je n’assumais pas du tout, je ne pouvais pas en parler.
Un peu plus tard, pendant la fac, je me rappelle de deux fois où j’avouais en prenant mon courage à deux, en essayant de « décomplexer », à mon frère que j’écrivais une fanfiction, au moment où il demandait à l’instant t ce que j’étais en train de faire, par curiosité. J’ai eu un silence. (ce qui, mine de rien, était moins pire que ce à quoi je m’attendais en fait !)
Ces dernières années, j’ai malheureusement un peu perdu confiance en moi. Pour assumer la fanfiction, c’est devenu plus dur. Car je ne vais pas vous cacher qu’un bon nombre de clichés correspondent assez, en ce qui me concerne : j’écris parfois du smut, beaucoup de romance, je vis actuellement une période où j’ai du mal à vivre avec mes émotions, je me trouve parfois trop vieille pour recourir à ça (donc je n’assume même pas auprès de moi-même), j’ai parfois en tête une idée de roman mais je ne m’y mets jamais donc je ne sors pas de ma zone de confort. J’ai à peu près fait le tour. Évidemment, ce genre de réflexion ne m’aide pas à avoir plus confiance. Alors, je n’en parle à pas grand monde, si ce n’est des amis de lycée qu’il me reste. Quoiqu’à la fac, auprès de certains copains, c’était facile. Mais je ne les ai pas gardé malheureusement.
Donc oui, je dirai que peu de gens dans mon entourage est au courant si ce n’est que j’écris de la fanfiction ^^’ Et oui, je me retiens par peur des réactions que j’appréhende.
Maudit soit la mauvaise réputation de ce domaine !
(P. S. : J’adore la réplique d’« à vous les studios »)
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et bien … viens ici en parler avec nous ! C’est pas parce qu’on n’est pas les uns en face des autres et qu’on utilise des pseudos qu’on n’en est pas moins vrais.
Moi aussi, je suis vieille, moi aussi, j’écris de la romance 
sur un fandom pour préados qui plus est.
Alors non, j’en parle à personne de mon entourage « réel physique » mais à mon « entourage-fanftictions.fr. », comme des marraines-les-bonnes-fées toujours dans un coin de mon tél ou de mon PC ^^
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Mon dieu, mais les gens sont-ils tous aussi adorables ici ? 
Sérieusement, j’arrête pas d’avoir des réponses hyper gentilles sur ce forum x’)
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On est tous des chamallows et des oursons en guimauve au début … ensuite, ça change, c’est comme les grimlins
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Mais c’est totalement moi ça !! 
(Je suis Gémeaux, donc j’ai un double maléfique, t’as rien à dire 
)
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Je rejoins @Angel-Dust, viens en parler avec nous !! Les romances, c’est pas tellement mon truc (en tant que genre littéraire à part entière cependant. Je ne crois pas avoir une seule histoire qui ne comporte pas un minimum de romance, du moins dans mes fics à chapitres. Les OS, c’est facile de les tourner vers autre chose 
), mais discuter de fanfictions, c’est toujours plaisant !
Idem ici !
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En fait, beaucoup de gens de notre (nos ?) générations ont dans l’idée que c’est un truc de lycéens ça, la fanfiction. Me souviens y’a pas très longtemps d’une question posée sur un forum généraliste francophone de Reddit (j’arrête pas d’en parler ici sur le forum je sais ) qui demandait quelle phase embarrassante les Redditeurs avaient traversée durant leur adolescence… Certains ont répondu qu’ils écrivaient de la fanfic… et que Dieu merci, ça leur était passé. Bon c’est bien parce que je n’ai plus de compte là-bas, mais si ça avait encore été le cas je leur aurais sauté à la gorge. Non, je plaisante, mais j’aurais simplement expliqué que des adultes de tous âges en écrivent encore (oui ! Même des papys et des mamies), que ça n’a rien de gênant, sinon leurs préjugés, et qu’au fond ce qui peut être vraiment gênant, c’est le caractère non abouti de son style d’écriture à l’adolescence, lorsque une fois adulte on retombe sur ses textes d’antan . C’est sûr que quand on est bien plus âgé, le style est plus mur et plus solide, et puis l’expérience de vie supplémentaire compte joue aussi beaucoup dans la balance : les histoires sont forcément meilleures, et celles qu’on a écrites dans le passé par comparaison paraissent tout de suite ridicules.
Pour ce qui est de l’entourage familial et intellectuel, je pense comprendre ce que tu as vécu, et le fait de porter un masque et de se réprimer à se montrer tel que l’on est vraiment. Parce qu’en retour, les réactions et le shaming, ça marque profondément.
Mais oui si tu veux parler de ce qui te tient à coeur dans la fanfic le forum est là pour ça. 
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Haha, tu es sur Reddit toi aussi 
Je suis d’accord, la fanfiction est connue pour avoir une réputation « enfantine » plus qu’autre chose…Alors que honnêtement j’ai lu il y a quelques années une fanfiction sur Wattpad qui était une continuation d’un manga shojo sur des magical girls avec une ellipse, qui mettait en scène les personnages qui ont pris dix ans dans la tronche, dans une atmosphère beaucoup plus sombre et sincèrement beaucoup plus adulte (et j’entends par là beaucoup de violence et de sang ). Donc sincèrement la fanfiction dont je parle n’était très honnêtement pas destinée à tout le monde, comme quoi…
On va dire que ma famille est un peu…« old school » en quelque sorte On va simplement dire qu’ils ne sont pas de ma génération. Quand ils étaient jeunes, le concept de la fanfiction n’existait pas encore.
J’ai noté quelque chose cependant : arrêtez moi si je me trompe, mais j’ai la sensation que la fanfiction ne semble concerner que les personnes se sentant parfois « exclues » de la société, des personnes plutôt dites « marginales ». J’ai été attirée par la fanfiction dès le collège, en quatrième. (À cette époque je ne faisais qu’en lire) Et d’une certaine manière, des relations parasociales que j’entretenais avec des personnages fictifs, à une époque de ma vie où ma vie sociale n’était pas vraiment florissante, m’aidaient à compenser en quelque sorte. Pour autant que je me souvienne, tous les élèves de mon secondaire n’étaient pas particulièrement attirés par la fanfiction. Et quand j’y pense, mes copains du lycée étaient plutôt marginaux…
Bien sûr, je me doute que ma réalité n’est pas LA réalité. Peut-être que ça n’est pas pareil dans votre entourage ? Je serai curieuse de savoir 
Mais c’est vrai qu’en fin de compte, c’est une question qui m’interpelle : est-ce que la fanfiction semble plus attirer des personnes plus réservées que d’autres ?
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Est-ce que ce n’est pas juste le lot de l’écriture ? Certaines personnes s’expriment par la parole, d’autres par la musique ou l’écriture. Ca peut être un manque social, manque d’intérêt, manque de contact. Reste qu’il faut bien s’exprimer quand même.
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Disons que je n’y suis plus activement c’est-à-dire que je n’y écris plus (sinon c’est la fin des haricots : ce réseau social est déjà bien assez addictogène comme ça), mais je continue d’y lire… tout aussi activement quand même.
Intéressant, ça m’intrigue ! Te souviens-tu de l’œuvre originale ? Je ne suis pas fan de beaucoup de séries magical girls, mais je ne sais pas pourquoi, j’ai pensé direct, sans doute à tort, à Ojamajo Doremi…
Difficile à dire, il faudrait sans doute une étude sociologique en bonne et due forme (voire psychologique ?) pour cela, et encore que l’étude en question dégagerait probablement seulement une tendance, et certainement pas une réalité objective absolue et quantifiable…
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Et bien c’est presque ça !
Il s’agit du manga Tokyo Mew Mew, mais qui s’est très probablement inspiré de l’anime Ojamajo Doremi, dont les personnages et leurs relations sont quasi pareils (sérieusement, Doremi est Ichigo, l’héroïne, trois à cinq ans plus tard, elles ont le même physique).
La fanfiction en question s’appelle « Rose Noire » (rien que le titre veut tout dire finalement), elle se veut très réaliste et dark fantasy. L’auteur s’appelle IDareToWrite.
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Merci beaucoup ! 
Je ne connaissais pas Tokyo Mew Mew, peut-être juste de nom, ça me dit quelque chose, mais de très loin. Je suis à l’instant allée voir des images sur Google et… oui, c’est plus que très inspiré, en tout cas au niveau du style et de l’apparence des personnages, mais aussi de l’environnement dans lequel ils évoluent . Je vais aller creuser tout ça, et TMM, et la fanfiction que tu m’as signalée.
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L’écriture est une activité solitaire, de fait ce sont plutôt les personnes introverties qui s’y adonnent. Ce n’est pas une règle universelle bien sûr, mais je pense que ton impression vient de là. Au final, les auteurs à succès sont souvent des loups solitaires aussi, même ceux qui font le tour des plateaux télé pour s’écouter parler.
La fanfiction est un peu différente parce qu’on se repose sur une communauté de fans existante, enfin pas trop ici mais sur Wattpad c’est ça. Il y a une recherche d’acceptation de la part des autres. Alors peut-être est-ce un moyen pour des gens réservés de tisser des liens avec d’autres fans ? Dans tous les cas, choisir ce modèle d’expression montre qu’on est avant tout centré sur sa vie intérieure. (Psychologie de comptoir bonsoir )
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