Les personnages marquants du jeu vidéo

Quand c’est des cinématiques de qualité Blizzard, c’est toujours un énorme plaisir que de tomber sur l’une d’elle au détour du jeu et de poser le clavier pour la regarder (puis la partager avec Fah xD) Évidemment que les quêtes et les dialogues ont leur importance, mais les cinématiques c’est le dessert ^^

3 « J'aime »

Je suis d’accord les cinématiques de blizzard que ça soit du réalistes ou du in game c’est toujours très agréable. ( Surtout quand les personnages que j’aime sont dedans) Les cinématiques pour moi sont les grandes lignes de l’histoire, le reste c’est les petites lignes qui apportent plus d’histoire que les grandes lignes ) C’est mon point de vu, rien qu’une petite quête anodine peut donner une foule d’information sur un personnage. Deux, trois exemples une quête de cuisine coté Alliance qui m’a apprit que Anduin raffole du cidre. Une suite de quêtes côté Horde qui m’apprends que Eitrigg à peur des sorcières ou encore dans un dialogue Nathanos appelle clairement Sylvanas " MON AMOUR" ^^

3 « J'aime »

Nathanos et Sylvanas sont trop choux :heart_eyes_cat: Comme quoi, on peut être la pire ennemie de la moitié (voire de la totalité :thinking:) d’Azeroth et avoir un coeur ! (bon j’ai dû louper ce passage vu que je joue pas sur offi et qu’avec la moitié des quêtes buggées, tu laisses vite tomber le jeu…)

3 « J'aime »

Honnêtement je pense que Nathanos aime bien plus Sylvanas que Sylvanas ne l’aime. Après tout Nathanos lui a toujours été fidèle n’a quasiment jamais rouspéter sur les ordres. C’est son gentil toutou qui remue la queue devant sa maitresse. Il est mort pour elle, vraiment mort cette fois xD ( Vu c’était un réprouvé il été déjà mort ) Par Tyrande. J’ai un peu de peine pour lui quand même.

3 « J'aime »

J’ignore si le but premier était de parler de personnages marquant « pour tout le monde » ou juste pour moi… mais vous saviez pertinemment qu’en lançant ce sujet, vous me verriez déblatérer une nouvelle fois sur l’un des personnages qui m’ont le plus marquée depuis que je suis en âge de tenir une manette en main… :stuck_out_tongue:

J’ai nommé ce très cher bouffon, Cicéron (The Elder Scrolls V: Skyrim).

Il n’apparaît que pour la route de la Confrérie Noire (et seulement si on ne vise pas à la détruire), un groupement d’assassins œuvrant autrefois à travers tout le continent, mais peinant aujourd’hui (je veux dire, en 4E 201) à survivre.
La première rencontre possible avec Cicéron se fait sur une route de campagne ; on tombe sur un type plutôt petit (comparé à la taille standard des personnages non-jouables), qui parle bizarrement et d’une voix très aiguë, et habillé comme un bouffon. Littéralement, comme un bouffon. Il dit qu’il transporte le cercueil de sa mère et que sa charrette a perdu une roue. Comme le fermier voisin se méfie de lui, on a le choix entre convaincre le fermier d’aider le pauvre bouffon pour qu’il reparte, ou bien dénoncer le voyageur aux autorités.
La seconde révèle son véritable personnage : un assassin, membre de la Confrérie, qui a émigré en Bordeciel pour rejoindre le dernier sanctuaire de la guilde. Bon, d’assassin, il n’en porte plus tellement le nom : il doit s’occuper de la momie vénérée autrefois par la guilde, en laquelle ne croient plus les membres du dernier sanctuaire (qui d’ailleurs se méfient énormément de lui – moi-même le trouvais très louche et le soupçonnais de cacher quelque chose la première fois que je l’ai rencontré).
Finalement, les événements s’enchaînent, l’animosité croît, et Cicéron, dans un accès de folie, rage ou autre, tente de tuer quelques membres du sanctuaire. Ni une ni deux, il est chassé et poursuivi, et le joueur est chargé de le retrouver, et de le tuer. C’est là qu’a débuté ma réelle fascination pour ce personnage.
En quittant sa « nouvelle demeure », Cicéron a laissé ses journaux personnels. Une collection de cinq journaux intimes, qu’il tient depuis presque vingt ans. Il faut trouver le dernier pour découvrir le mot de passe permettant d’accéder à sa cachette, mais j’avais pris le temps de lire les quatre autres tomes. Et là, mon cœur s’est brisé pour la première fois en jouant à Skyrim.
Sous ses airs de bouffon complètement frappé, Cicéron est en fait un homme brisé. Il a vu tous ses frères et sœurs mourir, les sanctuaires tomber, il a connu la chute de la Confrérie Noire, et a complètement perdu la raison en se retrouvant seul, cloîtré dans un sanctuaire vide, avec pour seule compagnie la momie dont il devait prendre soin, et qui jamais ne s’est adressée à lui peu importe combien il faisait de son mieux pour s’en montrer digne.
Seul, « abandonné », Cicéron a été longtemps hanté par le rire du bouffon qu’il a tué, sa dernière victime avant de devenir le Gardien de la momie, et d’être privé de contrats d’assassin.
Lorsqu’on le retrouve, au fin fond du sanctuaire d’Aubétoile, il est à l’agonie. Blessé, à bout de forces, il nous supplie de l’épargner. Nous sommes la personne choisie par la momie pour entendre sa voix, il croit, au plus profond de son esprit dérangé, que lui et nous pourrons redorer le nom de la guilde d’assassins. Le choix se pose alors. Le tuer, ou l’épargner.
Si on le tue, son histoire s’achève là. Mais comme le dit le fantôme de Lucien Lachance, un assassin décédé dont nous pouvons invoquer l’esprit en tant que compagnon temporaire, ce n’est pas encore son heure. Si on le laisse vivre, il ira panser ses plaies, et reviendra vers nous lorsqu’il sera de nouveau sur pied, plus heureux que jamais, et apaisé d’avoir enfin retrouvé un semblant de sens à sa vie.

Tout le pathos mis dans son histoire, racontée par ses journaux (et donc d’une manière très personnelle), a directement touché mon petit cœur de pierre. Il est devenu, très soudainement, mon personnage préféré de ce jeu. Alors qu’en soi, il n’est pas si important que ça, complètement indispensable ; il ajoute juste du « piment » à l’histoire de la Confrérie.
Il m’aura fallu quelques huit ans avant d’enfin écrire sur lui. Jusque-là, je n’avais pas d’histoire convaincante à raconter. Quasiment tout son développement de personnage résidait dans ses journaux, canons, et comme Skyrim est un RPG, son histoire pendant la trame du jeu (et après) ne relevait, au final, que du fanon/de mes propres headcanons.
Finalement, j’ai fini par trouver l’inspiration pour lui « rendre hommage » (si je puis dire), et ça va bientôt faire un an et demi que je n’écris que sur lui, quand il s’agit de TES. :stuck_out_tongue:

Le plus drôle, dans tout ça, c’est que dans mon regain d’intérêt récent pour le fandom, j’ai découvert que des gens écrivaient encore sur lui, presque dix ans après la sortie du jeu, et dans des langues que je n’aurais jamais soupçonnées. Ici, le japonais. Comme quoi, les fandoms s’étendent vraiment partout.
(et puis, c’est très fun de lire son journal en japonais, la transcription des noms et la traduction des autres m’amuse beaucoup, mais peut-être suis-je bizarre.)

Je reviendrai probablement une autre fois pour parler d’autres personnages qui m’ont bien marquée dans mes pérégrinations vidéoludiques ! Mais il fallait à tout prix que je vous rabâche une nouvelle fois l’histoire de Cicéron ! :stuck_out_tongue:

7 « J'aime »

Vous le savez peut-être, moi et les RPG, c’est l’amour pour l’éternité. Et j’aime particulièrement la série des Elder Scrolls, donc vu que je ne l’ai pas encore vu ici, je pose THE antagoniste que je mettrais en haut d’une tier-list des méchants de TES.

Voryn Dagoth / Dagoth Ur / Le Sharmat (Morrowind)

Alors. Les gens qui ont joué à n’importe quel TES savent que le lore de la série est un bazar sans nom. Genre une race qui peut donner des hommes-chats, des trucs qui ressemblent à des humains, des chats normaux et des hommes-tigres de trois mètres en fonction du placement de la lune. Ou un empereur qui sait qu’il va mourir et s’en beurre considérablement l’oignon.

Eh bien, Morrowind n’échappe pas à cette règle, en nous donnant en plus des versions conflictuelles de certains éléments du lore. Et l’un des personnages dont le passé est le plus obscur, c’est Dagoth Ur.

Je vous fais un bref résumé. Il y a TRÈS longtemps vivait un type appelé Indoril Nerevar. C’était un héros chez les Chimer (les elfes noirs, mais avant qu’ils soient maudits par Azura), et il était à la tête de l’alliance Chimer/Dwemer (les Dwemer, ce sont les nains) après que les Nordiques occupant Morrowind à l’époque aient été renversés. Son pote, son gars sûr, son bro, c’était Voryn Dagoth, un mec relativement haut placé puisqu’il était Haut Conseiller de sa maison.

Un jour, on ne sait trop comment, Dagoth a découvert que les nains avaient forgé des outils pour utiliser le Coeur du dieu Lorkhan afin de créer une machine et de s’en servir contre les Chimers. Du coup PAF ! une guerre entre Chimers et Dwemers. Et pas une petite hein, la race naine entière a disparu à la fin.

Bon. Le problème, c’est que les outils, il fallait bien en faire quelque chose une fois les nains disparus. Du coup, Nerevar les a filés à Dagoth en lui demandant de les surveiller. Et là, on a plusieurs versions qui divergent :

  1. Dagoth a fait mumuse avec les outils en essayant de piquer du pouvoir à Lorkhan, ça l’a rendu fou et Nerevar a dû le tuer, puis est mort ensuite (version des dieux-rois locaux, qui se sont servis du coeur pour devenir immortels, donc autant vous dire qu’il y a un léger déficit d’objectivité).

  2. Dagoth était avec les nains depuis le début pour faire nawak avec le Coeur, et était donc concrètement un traître, puis a fait nawak avec le Coeur après la disparition des nains.

  3. Dagoth ET Nerevar ont été trahis et assassinés par les dieux-rois en question (version des nomades du coin).

Dans tous les cas, Dagoth n’est PAS mort à ce moment-là. Il a survécu plus de 1000 ans grâce au Coeur, et c’est l’antagoniste principal de Morrowind. Qu’a-t-il fait pour être le méchant ? Oh, pas grand-chose. Il répand juste une petite maladie mortelle dans l’espoir que ça fasse dégager les envahisseurs de la province et que ça élève les autres au rang de dieux, mais sinon, le mec est réglo. Ah, et pour ceux qui se poseraient la question, sa stratégie est assez inefficace. Ça ne transforme pas les gens en dieux, mais plutôt en zombies, en fous, en gens morts ou en infirmes.

C’est un personnage qui m’a marqué parce que, de tous les antagonistes de TES, c’est celui qui illustre le mieux le fait que les gens vraiment mauvais pensent faire le bien.

Parce que bon… Jagar Tharn dans Arena, c’était un méchant très classique, qui savait que ce qu’il faisait était mal mais s’en fichait assez lourdement. Mankar Camoran dans Oblivion, même s’il est plutôt bien écrit, est un monstre sur toute la ligne doublé d’un fanatique religieux. Alduin dans Skyrim, on nous dit limite que c’est dans sa nature de tout détruire.

Mais Dagoth ? Bah dépendant de la version à laquelle on se fie, c’est soit un gars qui a été trahi dans tous les coins et un pion sur l’échiquier des trois dieux, soit un gars qui a, comme tout être mortel, été tenté par le pouvoir et qui n’a pas su résister. Et dans tous les cas, on peut lui reprocher d’utiliser les pires méthodes au monde (qui sont ce qui en font un méchant), mais son objectif de rendre sa grandeur à Morrowind est, si pas louable, compréhensible. Regardez la mentalité de la plupart des Dunmer dans ce jeu (on se fait traiter d’esclave/étranger dans la rue quoi) et osez me dire que si ces gens étaient à la place de Dagoth, ils ne chercheraient pas à faire la même chose.

5 « J'aime »

J’avais déjà mis ma pierre à l’édifice ( c’est pas comme si j’étais à l’origine de ce post. :wink: )
Il y a un autre personnage qui m’a marqué et j’avais pas pensé à le mettre. ( Je vais pas mentir qu’il m’est revenu à l’esprit que récemment grâce au DLC de Watch Dog Legion : « Bloodline » où il a fait son grand retour ! )
Par la lumière ! ( comme dirait un personnage de WoW que je présente plus xD ) J’ai pris un plaisir pas permis de pouvoir le jouer et retrouver son caractère atypique ( Dans WD 2 c’était un personnage non jouable mais très présent. )

Laissez moi vous présentez « Wrench » !


Il fait sa première apparition dans Watch Dog 2, c’est un hacker du collectif DedSec une bande activiste qui combat le CTOS ( Un programme informatique déployait dans toutes les villes qui contrôles toutes les donnés informatiques de la population, contrôle de toutes les caméras, sécurité etc… un big brother quoi ) et les grosses entreprises et politiciens qui s’en servent à leurs avantages.
Wrench a une personnalité sauvage, explosive et humoristique qui tombe parfois dans le vulgaire. Il est très impulsive, agressive en plus être très intelligent et méthodique. Tu mélanges tout ça et ça donne homme totalement imprévisible. Après tout c’est un ingénieur de génie,il est à l’origine d’invention qui vaut le détour. ( Comme ça massue qui pirate ! Alors oui, j’ai dit qu’il était violent et déjanté. Donc concevoir une massue pour défonçait des crânes et qui pirate le matos du mec en même temps c’est du Wrench tout craché :sweat_smile:)
Sous le pseudonyme de « Wrench » et ses air de guignol de service ce cache un homme blessé par la vie et très touchant avec une timidité maladive en plus de détester son physique, son visage. Il a construit un masque électronique qui l’aide à exprimer ses émotions.
Oui je pourrai dire son vrai nom mais j’en ai pas envie :upside_down_face: Je pourrai vous montrer son visage mais j’en ai pas envie. :upside_down_face: Je préfère garder une part de mystère sur Wrench.

Ce court extrait de WD legion : Bloodline que j’ai malheureusement pas trouvé en français lol ! Suffit à lui même pour définir la personnalité de Wrench.
https://www.youtube.com/watch?v=TKnVJQk2msg&ab_channel=AnarchySaint

Si vous en voulez un peu plus ( Cette fois en français ! ) Voilà un extrait de WD 2
https://www.youtube.com/watch?v=IK_RXGoE0XI&ab_channel=DarkWolfInc.

4 « J'aime »

C’est vrai que je le trouve bien plus marquant que les autres protagonistes, comme Marcus ou Aiden, bien que Aiden et lui se retrouvent à collaborer dans le DLC (je n’y ai pas joué, mais j’ai vu quelques vidéos et c’est ce que j’en ai compris, en tout cas, ne m’en veuillez pas si je divulgâche quelque chose :relaxed:). J’imagine qu’on doit en apprendre plus sur Wrench, et je trouve ça cool. Après, la complicité entre Wrench et Marcus justement était aussi intéressante à voir dans Watch Dogs 2, donc c’est un peu dommage qu’on ne les voit plus ensemble.


Pour ma part, j’ai envie de vous parler de BioShock, comme toujours. Encore, oui, je sais :hugs:. Mais ne vous inquiétez pas, le personnage dont j’ai envie de vous parler ici n’est pas le seul personnage que j’adore dans l’univers du jeu vidéo. Je pense surtout à Ezio Auditore Da Firenze, l’assassin le plus charismatique de toute la saga Assassin’s creed, que l’on suit au cours de trois jeux, qui font partie, à mon humble avis, des meilleurs de la saga (surtout parce qu’ils avaient une ligne directrice).

Ezio n’est au départ qu’un bébé, qui né à Florence en 1459. Il grandit dans une famille aisée, et vit sa jeunesse comme personne, en multipliant les conquêtes et en participant à des combats de rue. Mais tout change pour lui lorsque son père et toute sa famille sont accusés de choses qu’ils n’ont pas commises. Ils sont alors pendus, mais Ezio réussit à s’enfuir, et comprend que son père faisait partie de l’Ordre des Assassins. Il récupère sa tenue et commence sa quête de vengeance, avant de mettre au jour un complot bien plus important. Il fera équipe avec des personnalités bien connues comme Machiavel ou Leonard de Vinci. Au cours de sa vie, il rencontrera d’autres personnages et d’autres ennemis comme Cesare Borgia. Vers la fin de sa vie, il se mettra en quête des souvenirs laissés par son ancêtre, Altaïr Ibn-La’Ahd et se dirigera vers Constantinople.
Pourquoi Ezio est marquant ? C’est le seul personnage qui ait eu droit à trois jeux entiers sur son histoire. Le seul personnage que l’on a suivi du berceau et pratiquement jusqu’au tombeau. Il est charismatique, profond et ses quêtes sont très intrigantes. De plus, il avait une véritable connexion avec Desmond Miles, le protagoniste que l’on suit dans le présent.

Mais le véritable personnage dont je voulais vous parler, c’est bien-sûr Andrew Ryan. Un personnage qui est présent tout au long de la saga BioShock.

Sa présence se ressent partout, la ville de Rapture est d’ailleurs comme son ombre. Elle a sa propre identité, mais on ne peut s’empêcher de voir son grand fondateur au travers. Ce qui rend ce personnage d’autant plus impressionnant, c’est aussi le fait qu’il soit inspiré par une femme qui a vraiment existé, Ayn Rand, et qui a inspiré sa philosophie aux développeurs. Le mouvement philosophique qu’elle a engendré est celui de l’Objectivisme.
A partir de ce mouvement, les développeurs du jeu ont imaginé ce que donnerait une ville qui n’avait pour crédo que cette école de pensée. Et ils lui ont donné un créateur à la hauteur : Andrew Ryan. Cet homme a finalement eu une vie assez similaire à celle d’Ayn Rand, puisqu’il est né en Russie et a subi de plein fouet les révolutions qui s’y sont déroulées. Il a émigré au Etats-Unis afin de fuir la dictature communiste et est devenu un magnat de l’industrie. Tout allait bien pour lui, et il pensait se trouver dans un pays qui respectait et admirait les gens comme lui, malgré les programmes sociaux adoptés dans les années 30, jusqu’au jour où les Américains ont lâché les bombes nucléaires sur Nagasaki et Hiroshima. Il a considéré qu’il s’agissait d’une atteinte immense à sa façon de penser, la science utilisée par les Hommes pour s’auto-détruire.
Pour fuir les « Parasites » et grâce à tout son argent, il a décidé de fonder une ville au fond de l’océan, afin d’être libéré. Il a créé cette ville comme son paradis, où il n’y aurait pas de roi ou de dieu, seulement le pouvoir à l’homme. Il n’y aurait pas de service public, toutes les entreprises seraient privées, aucune religion ne serait tolérée, chacun devrait s’occuper de ses affaires et travailler dans son propre intérêt pour faire avancer la société, sans pour autant devenir altruiste. En outre, la science étant bien plus libre et sans aucune éthique, elle ferait des progrès bien plus importants qu’à la surface.
Mais à cause de sa philosophie, sa ville est devenu chaotique. La science a fait tellement d’avancées que les gens ont pu accéder à des sortes de supers-pouvoirs, les Plasmides, qui eurent cependant de nombreux effets secondaires très indésirables.
Andrew Ryan a fini par détourner sa philosophie à ses propres fins, en ordonnant des exécutions, en enfermant des prisonniers politiques, en nationalisant à outrance d’autres entreprises en faisant passer cela comme une nécessité, et, en dernier lieu, en contrôlant les derniers habitants drogués à l’ADAM par le biais de phéromones.
Ironiquement, il meurt sous les mains de son propre enfant. Mais les joueurs n’en ont pas fini avec lui. Dans BioShock 2, de nombreux journaux audios venus de lui sont encore présents dans Rapture et montrent la lutte qui l’a opposé à Sofia Lamb, une psychiatre adepte du collectivisme, antagoniste du deuxième opus. Enfin, on le retrouve également dans les DLC L’Antre de Minerve et Tombeau sous-marin deuxième partie, grâce à quelques journaux audio et grâce à une apparition remarquée dans le deuxième DLC (par écrans interposés, mais tout de même ! :joy:).

Bien que j’apprécie les autres antagonistes de la saga, comme Sofia Lamb ou Zachary Hale Comstock, aucun d’entre eux n’arrivent à la cheville d’Andrew Ryan. Sa volonté de fer, sa détermination et sa conviction font de lui un ennemi redoutable, qui serait prêt à tout pour sauver sa ville ou pour prouver qu’il a raison. D’ailleurs, je vous laisse avec une de ses citations qui montre bien ces aspects de sa personnalité :
« Il y a longtemps, j’ai acheté une forêt, à la surface. Les Parasites ont déclaré que c’était le pays de Dieu et que je devais ouvrir un jardin public. Pourquoi ? Pour que la vile multitude puisse souiller de son admiration stupide la canopée et se figurer, l’espace d’un instant, être en Paradis ? Quand le Congrès a nationalisé ma forêt, je l’ai réduite en cendres. Ce n’est pas Dieu qui a planté les graines d’Arcadie. C’est moi. »

6 « J'aime »

Il est vrai qu’ils sont très proche après tout c’est son meilleur ami mais il est également très proche de Sitara et Josh. Oui on voit pas Marcus mais t’inquiète pas il est pas laissé de côté car Wrench en parle. Oui dans le DLC Aiden et Wrench coopèrent ensembles chacun pour des raisons différentes et tous deux ont une fin satisfaisante. Entre WD 2 et Legion il s’est passé pas mal d’années et effectivement on n’apprends un peu plus sur Wrench. Déjà la confirmation de son vrai nom qui est différent dans la version originale et française va savoir pourquoi. Deux, il a accepté la personne qu’il est sous le masque, il a abandonné le « Wrench » pour être le vrai lui, on apprends qu’il a fondé une entreprise de robotique. J’était vraiment surprise de le voir retiré son masque aussi facilement dans le DLC et surtout de se qualifier par son prénom plutôt que Wrench dans certaine situation. Mais tu te doutes bien que si il revient entant que Wrench c’est qu’il sait passer quelque chose qui la replonger dans ses vieux démons. Je spolierai pas l’intrigue du DLC. :slight_smile: En tout cas on sait toujours rien sur son passé avant WD 2 mise à part un truc déjà connu son enfance très troublé.

Bioshock et AC sont deux licences que j’aime même si j’adore Ezio je suis d’accord avec tout ce que tu dis sur le personnage. J’avoue j’ai plus posé mon dévolu Ratonhnhaké:ton ouais Connor pour aller plus vite xD
J’ai un gros faible pour Bioshock infinite et pour son personnage principal Booker DeWitt.

3 « J'aime »

Ah bah je l’attendais ici Wrench :joy: Et faudra VRAIMENT que je me mette à assassin’s creed un jour, rien que pour Ezio qui avait déjà attiré mon attention même sans y jouer :thinking:

3 « J'aime »

J’aime bien Connor également, même si sa modestie le rend parfois énervant, à la longue. La relation qu’il avait avec son père était intéressante à explorer.
Et évidemment, j’adore Booker DeWitt. Les développeurs nous font ressentir qu’il a un background assez complexe, même si finalement, on ne l’explore pas beaucoup. Le côté désabusé et cynique lui sied à merveille.

J’espère que je n’ai pas trop divulgâché son histoire, alors ! :hugs:. Pour moi, la série de jeux vaut le coup jusqu’au troisième ou au quatrième épisode. Après, je trouve que la saga se perd un peu et va dans tous les sens. Mais ce n’est peut-être que mon avis !

5 « J'aime »

Connor est bien plus naïf que modeste mais en vrai ça fait son charme. De toute façon vers la fin du jeu après tout qu’il a prit dans la figure, Connor change sa façon de percevoir le monde. Un personnage qui évolue c’est bien. Surtout en un seul jeu, il y a plein d’assassins de la licence qui ont pas eu la chance d’être développé sur 3 jeux.
Yep, j’adore le personnage son traitement surtout le délire des versions alternatives de lui même, ça pousse le personnage vraiment loin lui donnant une complexité plus pousser.

Je la partage ;O Avant la série avait une ligne directive après la mort de Desmond c’est parti dans tout les sens. ( niveau scénario gameplay.) La meta-histoire était la fil rouge, c’est devenu des passages mou sans saveur… Puis apparemment Ubisoft préfère la « développer » dans des livres ou autre BD. Les jeux sont devenus juste une vitrine sur une période historique. L’animus, les précurseurs, assassins, templiers, les reliques des précurseurs c’est devenu superflu.

Depuis que j’en parle xD Surtout que je refais l’histoire de légion (le jeu base pas le dlc) avec le personnage de Wrench ça rends bizarrement le jeu bof mille fois mieux xD Bonne chance, le lore est parti dans tout les sens on pige plus rien.

4 « J'aime »

Je rejoue à Dragon Age 2 en ce moment, bien que le 2 soit le moins bon de la licence. Pas en terme de scénario ou de personnage parce que là c’est impeccable ! Rien à dire niveau gameplay non plus c’est du DA. C’est surtout le design de l’environnement et les groupes de pnj caché sans texture dans les recoins… :sweat_smile: Le jeu se passe exclusivement dans la même cité et ses environs.Quand une histoire se passe toujours au même endroit la moindre des choses c’est de travailler ses décors, parce que quand les grottes, souterrain, ruine naine, égout se limite à 3 maps qui se recyclent en boucle c’est pas ouuuuuuuf !!! Mais heureusement que le scénario et les personnages sont la pour rattraper se défaut. :stuck_out_tongue: Surtout que le scénario s’étale sur 3 actes où plusieurs années s’écoulent. Je vous laisse imaginer ;D Le jeu reste très bon merci Andrasté ! Bref j’ai papillonné

Je voulais vous parler d’un personnage qui m’a marqué ; l’Arishak.


Il est le commandant et de facto le chef spirituel de l’ expédition Qunari dans la ville de Kirkwall. Il s’est retrouvé bloqué à Kirkwall après qu’une tempête est détruit sa flotte au large de la côte sud des Marches libres. Il réside dans le complexe de Qunari qui se trouve sur les quais de la ville. Les tentions entre résidant de la cité et les Qunari sont très tendu on s’en rends vite compte des les premiers instant du jeu. Rien que dans l’Acte 1 et 2 nous seront amener faire des quêtes pour lui ou indirectement. On pourra celons nos choix gagner son respect. C’est un homme pragmatique ni gentil ni méchant mais il est très dévoué au Qunn ( c’est pas une religion, ni un dieu mais une philosophie de vie. C’est trop complexe pour en parler en détail. ) Bien sur, on apprends plus tard que sa vrai raison dans la cité, c’est qu’il recherche la voleuse qui a volé une relique importante à son peuple qui concerne le Qunn justement. Qu’il mentait quand il disait attendre que les siens viennent le chercher. Bien sur c’est l’un de nos compagnons qui a causé du tord à l’Arishak. ( Sinon c’est pas drôle ! ) Donc qu’est-ce qu’il fait ? Bah il mets la ville a sac ! Pas part plaisir ou vengeance mais plutôt par devoir pour ses préceptes lié au Qunn ( Oui c’est compliqué ! ) C’est une poignée de Qunari et ils mettent la garde et les templiers de la cité en PLS. xD La scène ou il prends le palais du Vicomte et tranche la tête de se dernier qui roule sur les marches restera gravé dans ma mémoire ! :star_struck: 3 choix s’offrent à nous un dépends des choix on n’a fait précédemment et sont crucial pour la soluce 1. 1 : On lui livre la relique on n’a récupéré avec notre compagnon en cadeaux et il partira sans réclamer son reste. 2 : On l’attaque à plusieurs. 3 : On le défi en duel. Le duel est le combat de boss le plus dur que j’ai fais ! Surtout quand tes mage. Il y a deux poteaux dans l’arène et je tournais autour avec lui en lui balançant mes sorts xD Parce qu’il me découpait au corps à corps. :stuck_out_tongue: Un des meilleur personnage de DA2 inoubliable !

Musique du combat de boss.

3 « J'aime »

Pour avoir récemment fini Final Fantasy IX, je me dois de parler de ses personnages qui sont la principale raison pour laquelle j’ai tant voulu jouer à ce jeu sans avoir le bon support à ma disposition.

Bien entendu, je devrais commencer par Bibi, le petit mage noir qui franchement n’est pas le préféré de tout le monde pour rien.


Déjà, on craque facilement pour ce petit bonhomme et son air d’enfant timide, maladroit, candide — et perso, je lui trouve un côté Caliméro, le genre à dire d’un ton triste ou blasé « c’est vraiment trop injuste ». Ajoutez à cela le fait que c’est le genre de mage qui a peur de ses propres pouvoirs, soit parce qu’il se sent incapable de s’en servir soit par peur blesser quelqu’un par inadvertance. Ce qui peut facilement se comprendre quand on découvre que dans le jeu, les mages noirs sont en fait des golems créés pour la guerre, pour tuer et détruire (et met Bibi dans une situation délicate chaque fois qu’il se rend dans un lieu où les mages noirs ont fait un carnage).
Mais toujours est-il qu’au fil de ses aventures, on le voit gagner en courage et en confidence tout en démontrant l’étendu de ses pouvoirs. Et se posant également des questions existentielles sur sa condition, ses origines, ce qui les différencie des autres mages noirs et même sur son espérance de vie dès lors qu’il apprend que les mages noirs ont une durée de vie très limitée et très courte. Du coup, on a une scène où a force de se poser des questions sur la mort et ce qui se passe après, il en tremble de peur. Et on parle d’un personnage qui a l’apparence et la mentalité d’un enfant de 9 ans.
En prenant tout ça en compte, on pourrait rapprocher Bibi de Pinocchio ou d’un de ses robots de fiction doté d’une personnalité, d’une autonomie, d’une conscience et d’un discernement morale qui les distingue des autres.

Et ce qui m’amuse aussi avec Bibi c’est la manière dans il est embarqué dans l’histoire en début de jeu. À savoir par pur hasard.
Pour ceux qui ne connaissent pas l’histoire, le jeu débute avec une troupe de voleurs-comédiens ayant pour mission d’enlever la princesse Grenat en se servant de leur pièce de théâtre comme couverture. Du coup, parmi les personnages principaux, on a Djidane faisant parti de la troupe et chargé d’enlever la princesse, qui elle a justement décidé de profiter de la pièce et de la présence de l’aérothéâtre pour faire le mur et Steiner, capitaine de la garde qui est chargé de retrouver la princesse dont l’absence a fini par se faire remarquer et qui du coup les a suivi jusque dans l’aérothéâtre.
Et Bibi, alors ? Que vient-il faire dans tout ça ? Qu’a-t-il à voir avec cette histoire de rapt et de princesse en fugue ? Rien du tout ! Lui, il voulait juste voir la pièce. Seulement son billet s’avérait être un faux, il a dû s’associer avec un enfant-rat, Puck, pour y assister quand même en passant par les toits, les gardes les ont repéré et pris en chasse, Bibi se retrouve séparé de Puck et tente d’échapper aux gardes en montant sur scène. Ah, et en voulant se défendre, il met accidentellement le feu à la cape de Grenat (se faisant passer pour une comédienne pour dissimuler sa fugue), l’obligeant à l’ôter et révélant sa vraie identité à la foule.
Ce qui fait qu’on a un enfant mage qui participe malgré lui à l’enlévement-fugue d’une princesse et s’embarque dans un périple où il apprendra la vérité sur ses origines, assistera à des scènes de guerres et autres drames terribles, voyagera à travers le monde voire les dimensions et finira par affronter la Mort en personne, juste parce qu’il voulait assister à une pièce de théâtre.
Sérieusement, il n’y a que moi qui trouve ça drôle ?

6 « J'aime »

Sérieusement ? Il y a encore quelqu’un qui sait qui est Caliméro ??? :laughing:
Parlons-en de personnage marquant !
Bon je sors parce que c’est pas des personnages de jeu vidéo…
mais c’est vrai qu’il a été marquant. Non ? Avec son goût immodéré pour la justice… Plus que la Noiraude et ses angoisses existentielles au téléphone, ou les Chapi Chapo et leur combat pour l’égalité rouge-bleu… Les programmes des années 80, des vrais bouillons de culture psychosociaux…

6 « J'aime »

En autre personnage marquant de Final Fantasy IX, il y a la princesse Grenat… pour laquelle je reconnais avoir eu le béguin quand j’ai commencé à m’intéresser au jeu.


Et pas seulement pour son jolie minois ou de sa voix quand on l’entend chanter (même si je me dois de vous en faire écouter un échantillon, rien que pour le plaisir des oreilles)
https://youtu.be/RsYSvikc2M4

Déjà, ce n’est pas une princesse qui se cantonne paresseusement au rôle de demoiselle en détresse qui ne peut rien faire sans quelqu’un, de préférence un homme séduisant, pour la tirer d’affaire. Il y a bien des moments où elle est se retrouve dans une fâcheuse posture, se retrouve totalement dépassé par les événements et a besoin d’être sauvée, certes, comme n’importe quel être humain normal qui se trouverait dans la même situation qu’elle.
Mais sinon, c’est un personnage actif, dans le même sens où elle veut agir dans la mesure du possible, où elle prend des initiatives, où elle fait preuve d’autonomie, cherche des solutions quand elle est confrontée à problème et prend part à action — à part « action » j’entends faire avancer l’histoire, pas juste bagarres, fusillades, explosions, course-poursuites servant plus au spectacle qu’autre chose comme dans un mauvais film d’action — au lieu de rester bêtement plantée comme un piquet en attendant que le problème se résout de lui-même et qu’un autre le fasse à sa place. C’est même le genre de personnage qui ne supporte pas d’être inactif, qui déteste se sentir inutile ou comme un fardeau.
Elle ne réussit pas toujours tout ce qu’elle entreprend et il lui arrive de faire erreurs, certes, comme n’importe quel être humain. Mais à mon sens, ça suffit à en faire un personnage de femme forte sans pour autant en faire une femme d’action limite garçon manquée qui tabasse ses ennemis à coup de pied au derrière (ce qui n’est pas en problème en soi, juste pas un gage de qualité). Elle reste très féminine et généralement non-violente (durant les combats, elle se charge principalement de soigner ses coéquipiers et se sert tardivement de ses pouvoirs d’invocations).

Elle peut sembler naïve en début de jeu, dû à son enfance cloitrée dans un château, mais cela ne l’empêche pas d’être débrouillarde et vive d’esprit.
Je veux dire, en début de jeu, elle fait le mur de sa propre initiative pendant une pièce de théâtre dédiée en son honneur, infiltre l’aérothéâtre et va jusqu’à demander aux comédiens de l’enlever sans même savoir que c’était leur intention, surpassant ainsi une troupe de voleurs aguerris. Et on parle d’une gamine de seize ans qui a passé la majorité de son enfance dans un château sans rien connaître du monde extérieure si ce n’est dans des livres.

Aussi la raison de sa fugue. On pourrait croire au début qu’il s’agit d’une simple désir de liberté, une envie ardente d’explorer le monde et de ne plus sentir comme un oiseau en cage mais on apprend que c’est parce qu’elle s’inquiétait du brusque changement de comportement de sa mère, la reine Branet, suite au décès de son père et qu’elle cherchait désespérément de l’aide. Et ses craintes se confirment quand sa mère entre en guerre contre les royaumes limitrophes.

D’ailleurs, on sent assez vite que Grenat n’a rien a voir avec sa mère (et pas seulement pour ce qui est du physique) et oui, on apprend plus tard qu’elle n’est pas sa mère biologique mais ce n’est pas où je veux en venir.
Dès le début, on sent que c’est quelqu’un de humble, sincère, attentionnée et compatissante, le genre à ne jamais abuser de son statut de princesse pour avoir ce qu’elle veut. Il y a bien des moments où elle se montre ferme vis à vis de Djidane quand il joue les dragueurs un peu lourds ou de Steiner quand il fait son difficile et se la joue papa poule, mais c’est jamais abusé.
Elle est même le genre de princesse qui culpabilise en voyant tout le monde autour d’elle risquer leur vie pour elle et aimerait leur rendre la pareille — encore une fois, elle ne supporte le fait d’être fardeau pour les autres et elle fait de son possible pour se rendre utile.
Et puis, on sent qu’elle est horrifiée des exactions de sa mère. Rien que la cinématique où on la voit effondrée en assistant à la destruction de Lindblum en est le parfait exemple.
Il y a bien on a un moment où Branet justifie ses actions à sa fille et où doit choisir entre la croire et la pas croire. Alors que peut-être que l’option « La croire » c’est pour pas que Grenat se la mette à dos (même si ça n’a pas de réelle influence sur le reste de l’histoire) mais perso, je privilégie l’option « Ne pas la croire » parce que je ne la pense pas assez sotte pour penser que sa mère aurait une raison légitime d’entrer en guerre mais quand même assez brave à ce stade de l’histoire pour rembarrer ceux qui profiteraient de sa naïveté.

Un autre truc que je trouve impressionnant de la part de Grenat c’est que malgré les atrocités commis par sa mère, le sang qu’elle a sur les mains et le fait qu’elle ait voulu faire exécuter sa propre fille après lui avoir extrait ses chimères, elle rechigne à lui ôter la vie. Même si elle en a l’opportunité ou si c’est pour la punir pour ses crimes et son mauvais traitement à l’égard de sa fille. Sous prétexte que malgré ses atrocités, le désir de Grenat de l’arrêter ou même le fait qu’elle ait entretemps découvert la vérité sur ses origines, Branet restait sa mère, biologique ou pas.
En temps normal, je serais comme Djidane en mode « comment peux tu encore la considérer comme ta mère après ce qu’elle a fait ? après ce qu’elle a voulu TE faire ? », mais on nous répète au cours du jeu que le comportement a radicalement changé depuis le décès de son mari et que cela inquiétait son entourage. Du coup on peut assumer qu’avant les événements du jeu , avant d’être une va-t’en-guerre cupide et assoiffée de pouvoir, c’était une reine pacifique et débonnaire doublée d’une mère attentionnée. Donc toujours une mère pour Grenat malgré ses crimes et lui ôter la vie, même pour mettre fin à ses exactions et sauver le monde, ne ferait que lui déchirer l’âme. Ce qui fait que vu sous cet angle je comprends mieux son dilemme.
Aussi, le fait qu’elle rechigne à lui ôter la vie démontre qu’elle n’est pas du tout pressée à lui prendre sa place, que le pouvoir n’est pas dans sa priorité. Qu’elle n’est pas un énième Iznogoud désirant être calife à la place du calife, qui s’est juste trouvé une bonne excuse pour prendre le pouvoir sans se faire passer pour le méchant et va jusqu’à poignarder sa propre famille dans le dos pour parvenir à ses fins.

Ce qui ne l’empêche d’être reine à son tour à la seconde moitié ou troisième tiers du jeu.
Et là aussi c’est intéressant car on sent qu’elle ne se sent pas à la hauteur d’une telle tâche, qu’elle n’est pas prête émotionnellement à endosser une telle responsabilité (ce qui peut se comprendre au vue de son jeune âge) et qu’elle a peur d’échouer.
Si bien que quand sa ville et son château est réduit en ruine alors qu’elle est à peine intronisée, après qu’elle ait tenté en vain d’empêcher leur destruction, elle est tellement sous le choc et rongée par la culpabilité qu’elle en perd la parole (momentanément mais quand même).
Rien que le fait qu’elle ait des doutes sur sa capacité de régner et peur d’échouer rend son personnage que plus sympathique, respectable et plus rassurante en tant que future reine, plus que n’importe quel gus tellement désireux et pressé de prendre le pouvoir qu’ils sont prêts à sacrifier leur propre famille et inventer des complots pour parvenir à leur fin. Car au moins, ça prouve qu’elle est non seulement intègre mais qu’elle prend cette tâche très au sérieux, que pour elle, être un souverain ne se limite pas avoir une couronne sur la tête et le ■■■ posé sur un trône fait d’épées rouillées (qui doit être très inconfortable, en plus), qu’elle est consciente que c’est une grosse responsabilité à ne pas prendre à légère. Ça montre aussi qu’elle est consciente de ses limites, de ses lacunes et qu’elle doit se surpasser si elle veut mener à bien sa tâche. C’est d’ailleurs ce que j’apprécie également chez Anduin dans World of Warcraft.

Après, tout comme Bibi, elle gagne en assurance au fil du jeu, surmonte ses démons intérieurs et finit par se prendre en main en retrouvant la parole, se libérant même symboliquement de son fardeau pour aller de l’avant en se coupant les cheveux avec la dague de Djidane.
Ce que j’adore à ce propos c’est que juste avant la cinématique où elle change de coupe, on la voit jongler avec la dite dague comme une lanceuse de couteau professionnelle, alors que la seule fois où elle a tenu une dague avant ça c’était quand Djidane lui suggérait de prendre un nom de couverture et de changer son langage pour passer incognito, où ils étaient encore en cavale suite à la fugue de la princesse. Et à ce moment-là, elle n’était pas sûre du nom de l’arme qu’elle tenait dans la main, nom dont elle s’en inspirera pour son nom de couverture, Dagga.
Un autre signe qu’elle a beaucoup mûri depuis sa fugue. Et qu’elle est un milliard de fois plus futée que certains personnages qui même avec un couteau dans la main sont genre « je ne sais pas m’en servir ! » comme si ces gens étaient des poules devant le couteau en question (je dis ça, je ne dis rien…).

Je pourrais en parler encore des heures mais voilà ce qu’il faut retenir : ce que j’aime chez Grenat, voire les autres personnages du jeu (excepté peut-être un ou deux), c’est qu’on a vraiment affaire à un personnage très humain, qui à défaut d’être parfait ou infaillible n’en est pas moins sympathique et admirable, qui prêt à s’améliorer et à surmonter ses lacunes au fil de l’histoire, qui est profond et complexe tout en restant consistent et dans la mesure du perceptible, même dans ses dilemmes.

Bref, un exemple de personnage bien écrit et bien développé.
Et ça me chagrine qu’on ne lui accorde pas plus de crédit que ça.

4 « J'aime »

Parlons encore Dragon Age 2 et cette fois de mon chouchou celui que je romance toujours dans mes parties. :blush: Ce personnage vaut également le coup. Ouais il est un peu le cliché du mec ténébreux au passé douloureux mais sauce Dragon Age.

Fenris ( Je trouve que ce Fanart qui est magnifique suffit à lui même pour décrire le personnage. )

Déjà je dois poser les bases géopoliques sur l’univers de Dragon Age pour comprendre Fenris.

Dans tout le le sud de Thédas la magie est mal vu et considéré comme dangereuse. Alors la Chantrie l’autoritée religieuse « humaine » qui règne quasiment partout. ( Les autres croyances sont vues comme païennes ) La chantrie est partout mais le siège du pouvoir religieux se trouve à Orlais avec sa Divine à sa tête. Les postes les plus important sont seulement occupés par des femmes en honneur à la sainte Andrasté. Donc les hommes ne peuvent pas aller plus haut que frère ou cantor.
I. La magie est la corruption du monde
II. L’orgueil des humains a détruit la Cité d’or de l’immatériel et est à l’origine des engeances, symboles de leurs péchés.
III. Andrasté est à la fois femme du Créateur, prophète et martyre. Son ultime sacrifice se doit d’être honoré.
IV. L’humanité a de nombreux péchés et doit faire pénitence pour mériter le pardon du Créateur. Quand tous les peuples s’uniront pour prier le Créateur, celui-ci reviendra alors et transformera le monde en paradis.

Donc vu que la magie est un péchés, ils enferment les mages des leurs plus jeunes âges dans des cercles. Il y a n’a partout dans le monde. Avec leurs templiers qui les gèrent.

Maintenant l’anomalie dans le nord de Thédas, il y a un royaume seul contre tous. Tevinter la bas c’est les mages qui gouvernent et vivent libres loin de toute oppression. Par contre les gens née sans pouvoir les " Soporati on vraiment peut de droit et non pas leurs mots à dire sur le gouvernement. Mais le plus bas de l’échelle c’est les " Esclaves et Liberati les esclaves n’ont aucun droit si ce n’est celui de servir leur maitre. Un esclave peut être affranchis par son maitre devant un tribunal, mais il ne sera alors pas un Soporati, mais un Liberati.
Tevinter est très mal vu par le sud pour eux magie égale = décadence, chaos, terreur, magie du sang,démon. Tevinter le seul royaume qui pratique l’esclavage ( Quasiment que des elfes ) et même si la magie du sang est proscrit la bas. Dans l’intimité des familles des puissants Altus ( descendant des tout premiers rêveurs ) la réalité et parfois toute autre.

Maintenant que j’ai posé les base à la va vite revenons sur Fenris !

Fenris est un elfe et à toujours vécu dans la condition d’esclave avec sa sœur et sa mère aux ordres d’un magistère Tévintide nommé Danarius. À Tévinter, les mages Altus sont très influents, ce qui les poussent généralement à utilisé la magie du sang pour accroître encore plus leurs puissances. Fenris était le garde du corps personnel de Danarius et il parle très peu de son passé. Les symboles qui couvrent son corps s’apparentent à de l’art runique. Il a été marquer à même la chair d’un mélange de lyrium ( Une substance magique très puissante et très très dangereuse; Le lyrium brut peux tuer un homme rien qu’au toucher. Seul les nains y sont immunisés ) et d’encre magique. Ils imprègnent la chair de Fenris d’un pouvoir dont lui-même ne comprend pas la nature. Leur élaboration fut un véritable supplice, à point que la douleur à changer la couleur de ses cheveux et effacer ses souvenirs. Lorsqu’il se retrouve seul, Fenris tente parfois de contrôler la douleur que ses marques lui infligent encore. Ces symboles améliorent néanmoins ses talents de guerrier, et ont fait de lui un combattant aussi unique que redoutable. Il est capable de tuer quelqu’un sur le coup en le transpercent son ennemis de sa main .Fenris utilise souvent cette capacité comme une arme, cependant, ces marques sont également extrêmement sensible, et les toucher se traduit souvent par une gêne physique. Pour cette raison, il a une aversion d’être touché. Fenris été témoin des horreurs que la magie peut provoquer et une haine viscérale de cette dernière va naitre en lui. Il est extrêmement méfiant des mages, même les plus amicaux. pour lui ils vont inévitablement succomber au pouvoir et aux tentations que les démons et la magie du sang ont à offrir. Etant un ancien esclave lui-même, Fenris voit comme un devoir d’aider les esclaves fuyant leurs maîtres ou de tuer ceux qui détiennent leurs chaînes.

Au court du jeu notre Fenris va rencontrer notre personnage avec qui on va crée un lien ou pas. À partir de la je vais parler de mon Fenris façonner avec MES choix. ( vite fait ) C’est la que le système "Amitié/Rivalité entre en jeu. ( D’ailleurs un point fort de DA2 ça change un peu les cinématiques et les dialogues. ) Je joue une mage et Fenris les a en horreur et c’est la que le petit jeu de la romance rivalité commence. :slight_smile: Alors oui, il va me détesté et ne ratera pas une occasion de me rappeler que je suis qu’une sale mage. Mais au court de nos aventures, je vais lui montré que les mages ne sont pas tous d’horribles monstre. Bien sur, à force de faire des quêtes ensemble et c’est très important de baisser son estime de moi en soutenant les mages bon dès j’en ai l’occasion ( OUI CEST UNE FACON DE DRAGUER XD ) Le passé de Fenris va refaire surface et on va l’aider avec tout notre amour pour qu’il arrive a y faire face et le libéré une fois pour toute du joue de Danarius. Au file du jeu et des dialogues partager en privé, on va se rapprocher et le petit Fenris va tomber amoureux d’une mage ! Il l’a pas vu venir celle là ! Au cours d’une quête dans l’Acte 3, Fenris découvre que son vrais nom est Leto. Si ma mage ne le laisse pas partir avec Danarius, il sera révélé que la sœur de Fenris est, aussi une mage au service de son ancien maitre. Elle mentionne que la vie a été difficile depuis que leur mère est morte, mais sans plus de détails. Si Fenris épargne sa sœur, il apprendra aussi qu’il accepté le marquage au lyrium dans le bute de libérer sa mère et sa sœur de l’esclavage. Bien sur moi j’ai laissé Fenris prendre la vie Danarius et j’ai laissé aussi Fenris tué sa sœur. :smiley: Voilà Fenris libre et il restera au côté de sa bien-aimée.
Phrase dites par Fenris :
"Même ceux qui vivent sans entraves se retrouvent enchaîner d’une façon ou d’une autre, que ce soit par la peur, les traditions ou l’honneur. Les esclaves ne rêvent que de liberté, mais les hommes libres la désirent encore davantage."

Voilà, j’ai fait le tour quoique se qui rends encore plus Fenris Irrésistible c’est le même doubleur Français que mon Anduin Wrynn adoré ! :smiling_face_with_three_hearts:

OST de Fenris.

3 « J'aime »

Je suis née en 2000 et je connais absolument tout ce que tu cites !!!

3 « J'aime »

Je suis également né en 2000, et je connais bien-sûr Caliméro. Je ne vais pas dire que je suivais avec assiduité, mais de visu, oui. Par contre, je vais être honnête, je n’ai jamais entendu parler de la Noiraude ou des Chapi Chapo (j’ai dû regarder sur Internet pour savoir ce que c’était :rofl: :rofl: :rofl:).

3 « J'aime »

Je voulais parler au départ d’un seul personnage marquant de Gears of War… Sauf que cette licence qui m’a bercé, bah, elle a BEACOUP TROP de personnage emblématique… :open_mouth: Je crois que je vais faire toute la team Delta, Ils sont les protagonistes principaux de la trilogie originale et parler d’autre personnage de la nouvelle génération de Gears. :DDD Mes chouchous quoi ! :open_mouth:

Déjà le héro du jeu Marcus Fenix

Fils du célèbre scientifique militaire Adam Fenix, Marcus se taille une réputation de soldat émérite pendant les guerres pendulaires, accumulant promotions et autres décorations. Promis à une brillante carrière militaire, il a le malheur d’enfreindre les ordres de ses supérieurs lors de l’assaut locuste Jacinto afin de porter secours à son père. Condamné à une peine de réclusion dans la prison de haute sécurité. Après l’Émergence, il est libéré quatre ans plus tard, à l’âge de 36 ans, Sa délivrance marque le début de Gears of War 1. Depuis, il est devenu le chef de l’escouade Delta et un héros de guerre renommé. C’est un homme fort, courageux, il porte tout les espoirs l’humanités sur les épaules. Malgré la dure réalité de cette guerre qui n’est pas du tout en faveur des humains, malgré les difficulté les pertes d’être cher comme son meilleurs ami Dom. ( Cette scène tellement prenante ! ) Marcus continue d’avancer et de se battre pour ceux qui l’aime et de leur offrir un avenir ! Pour enfin penser à demain auprès de sa bien-aimée Anya.

Dominic Santiago

Il est un Gear au caractère bien trempé, pragmatique et loyal à l’excès, en particulier envers ses amis. Marcus et lui sont des amis de très longue date. Dom a toujours eu foi en son pays et ses supérieurs, mais sa confiance a été mise à mal par cette guerre interminable. Et pour cause, il a perdu ses enfants le jour de l’Émergence et sa femme, Maria, a disparu quatre ans plus tard. En ce qui le concerne, la lutte contre la Horde est avant tout une affaire personnelle. Dom est un homme bon et vraiment touchant et sensible. Sa sensibilité sera bien montrer dans Gears of War 2, lorsque qu’il retrouvera sa femme dans un piteux état dans une prison locuste. Le voir pleurait et appeler au secours ma brisé le cœur ! Il prendra la vie de sa femme pour son bien parce qu’elle était plus qu’une coquille vide brisée… Après ça Dom sera un homme vide, c’est bien pour ça que dans une mission de Gears of War 3 Dom se sacrifiera pour sauver ses amis. :cry:

Si vous voulez voir les scènes alors oui Gears 2 et Gears 3 surtout le 2 sont des vieux jeux, les graphismes ont un peu vieillir " Retrouvaille Maria" / Mort de Dom

Damon Baird

Membre de l’escouade Delta depuis Gears of War 1. Damon Baird ne fait partie des Gears que depuis le jour de l’Émergence. Son intelligence est sa plus grande force. Non content de se battre contre les locustes, il en profite pour les étudier et les observer. Il est ce qui se rapproche le plus d’un expert, et lorsque Baird ordonne à ses équipiers de se taire et de l’écouter, ils savent qu’ils ont tout intérêt à s’exécuter sans broncher. Baird en plus être l’ingénieur il est le rigolo de la bande. C’est blague bien que le plus souvent sarcastique ou acerbe parfois font toujours mouche. On le voit très peu montrer d’émotion cacher dernière l’ironie mais quand il le baisse son masque c’est un homme bien touchant. Bref il me fait toujours rire ! Il a une super alchimie avec son pote Cole, les deux ensemble sont hilarants.

Augustus Cole : alias Cole, ou encore « Cole Train ».

Il est un ancien joueur professionnel de thrashball accro à l’adrénaline. Il renonce à sa confortable carrière de sportif pour s’enrôler dans l’armée de la CGU après le massacre de sa famille. Il est l’un des premiers volontaires incorporés après le jour de l’Émergence. C’est un individu charismatique, plein d’assurance et à l’enthousiasme débordant. Quelle que soit la situation, cet homme d’action n’y va pas par quatre chemins. Il compense son manque de subtilité par un dynamisme à toute épreuve. Jovial et optimiste, il est toujours là pour réconforter ses frères d’armes Gears, en particulier quand les choses tournent mal. Un moment qui m’a marqué avec lui c’est dans Gears of War 3, lors d’une mission il retourne dans sa ville natale, lorsqu’il rentre dans une vielle épicerie il voit une pancarte géante à son effigie. Il dit alors d’un air débité " T’as jamais eu l’impression d’être mort mais personne te le disait ?" c’est pendant cette mission on voit quel point en réalité il est en souffrance.
Clayton Carmine

Le seul survivant de sa famille avec un autre frère dont on connait pas le nom. ( Il a été sauver par les fan, oui car un Carmine meurs à chaque jeu xD ) C’est mon Carmine préféré. <3
Tous les membres de la famille Carmine sont élevés dans l’espoir de servir un jour au sein de l’armée, au risque d’y trouver la mort. Ils portent tous un casque comme signe distinctif. Clayton est un peu le rigolo même si il est sinistre à certains moments et en tant que tel, il a été décrit comme un homme « à moitié vide » par son amie Sam. Cependant, Clayton se souciait profondément de ses frères, comme le montre clairement son tatouage commémoratif sur son bras. Le tueur de larve a forgé sa réputation dans le sang, en écrasant sans pitié les locustes qui avaient le malheur de croiser son chemin. Il s’est fixé comme objectif de venger les membres de sa famille tombés au combat en piétinant les crânes de ses ennemies un par un.

Anya Stroud

Elle apparaît pour la première fois dans Gears of War 1 en tant que bras droit du colonel Victor Hoffman. Chargée de transmettre des informations capitales aux unités déployées sur le terrain, son rôle principal consiste à évaluer la situation et à prodiguer des conseils stratégiques quand le besoin s’en fait sentir. Elle finit par rejoindre les soldats du front dans Gears of War 3. Intelligente, méthodique et fiable, Anya ne laisse jamais rien au hasard. Les membres de l’escouade Delta mettraient leurs vies entre ses mains sans la moindre hésitation. C’est la femme la plus badass de de l’univers de Gears ! Désolée Kait j( Un des personnage principaux de la nouvelle génération ) tes cool et je t’adore mais à côté d’elle tu lui arrives pas à la cheville !

Pensons à la nouvelle génération ! 25 ans après GOW3 les locustes sont vaincu mais enfaite non ! Ils reviennent muté et se sont renommer les Sions. Les voilà accompagnaient de nouvelle créature. Tu sais pas d’où elle sortent mais elle sont là. Il y a quelque faille dans le scénario quand même ( des choses inexpliqués, parfois flou, espérant que Gears 6 rentre plus dans les détails que Gears 4 et 5 ) Mais je suis quand même très satisfaite faut pas se mentir j’aime beaucoup les deux jeux et leurs personnages !

James-Dominic Fenix alias JD pour les intimes.
Avant ( GOW 4 début GOW5 )

Après ( GOW 5 )

JD est le fils de Marcus et Anya, il fut nommer James Dominic en l’honneur de son ami Dom décédé pendant la guerre Locuste. Tout le monde l’appelle JD, j’imagine que c’est plus court que dire son prénom en entier. :smiley: JD a suivi la voix de ses parents et c’est engager dans la CGU. Mais ce dernier à du mal à sortir de l’ombre de ses illustres parents et à trouver sa place. C’est une tête brulée, il s’attire des tas problèmes et joue au guignol. Une façon à lui de se démarquer j’imagine. Il a déserté la GCU avec son ami Dell après avoir regretté d’avoir obéit a un autre qui le hantera toute sa vie. Tirait sur des civils c’est pas jojo. Il rejoindra les " étrangers" groupe qui refuse de vivre sous la coupe de la nouvelle CGU, les civils ont pas oublier les tires des rayons de l’aube. C’est avec ses deux amis Dell et Kait et son père qu’il découvrira le retour des locuste. Il reviendra dans la GCU après ça. Comme il veut sortir de l’ombre de son papounet ! Il va jouer les héros plus d’une fois et cette manie va couté la vie une de ses amies Lizzy Carmine ( encore une Carmine qui crève c’est devenue une blague da la licence le Génocide des Carmines. ) Il se blessera au bras gravement. Le nouveau JD nait ( la version chauve et cicatrice ) D’abord ça sera Dark JD, froid distant rejetant ses amis puis il redeviendra le bon JD qu’on connait mais la manie du héro en moins, prêt à faire ses preuves. Un personnage que j’aime BEAUCOUP !

Kait Diaz

Kait Diaz a grandit en dehors de la sécurité des murs de la CGU. Comme tout les étrangers, elle est donc débrouillarde et tenace. Elle a beau avoir intégré la CGU, elle ignore elle même a quel camps elle appartient. Elle est en quête de réponse, veut découvrir pourquoi elle a un lien particulier avec les Locustes d’où ça vient. Sauf que le scénario est un peu prévisible et n’a tous déjà compris qu’elle est la petite fille de la Reine Locuste lol !

Ouais c’est long xD

4 « J'aime »