Les personnages marquants du jeu vidéo

Un faux air de Kain (physiquement) de l’excellente saga Legacy of Kain (of course) :sweat_smile:

Je ne vais pas dire que j’ai fait tout les jeux Ff (qui peut dire ça en vrai :sweat_smile:), mais le 9 est mon favoris : design, histoire, gameplay et personnages attachants :+1:
Incontournable :grin:

Je vais tenter l’expérience. Jusqu’à présent, ça parle beaucoup de rpg, de jrpg, de MMORPG. Ce ne sera pas mon cas :sweat_smile:
Pèle mêle, voici les personnages de jeux vidéo qui ont marqué mon looooong parcours de joueur:

Abe

Employé modèle de l’abattoir Rupturefarm, ce mudokon trouillard fait un jour une affreuse découverte : ses employés utilisent ses semblables dans leurs recettes.
Pourchassé par ses employeurs, Abe va se voir devenir martyr et messie de son peuple afin de guider les siens vers la liberté.
Tout en lâchant une caisse de temps en temps.

Jeu de plateforme hallucinant de PlayStation, a base de plateforme exigeante, de discussions pour diriger ses alliés hors des pièges et de possessions pour diriger ses ennemis vers la mort.
Le jeu ouvre la voix à l’univers d’Oddworld et ses nombreux personnages haut en couleurs :+1:

Guybrush Threepwood

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Imaginez Rincevent dans Pirates des Caraïbes, en un peu plus courageux, et vous obtenez Guybrush Threepwood, le wannabe pirate de la saga Monkey island.
La magie vaudou, un concours de crachat, transformer un singe en manivelle, rien ne l’arrête dans sa quête pour percer les mystères de l’île aux Singes.
Ron Gilbert son créateur ne s’est jamais cacher de s’être inspiré de l’attraction Pirates des Caraïbes des parcs Disney. La boucle est bouclée puisque les films du même noms puisent leur inspiration de la série de jeux :+1:

Conker

Cet écureuil tout mignon se remet tout doucement d’une grosse murge (la consommation d’alcool est dangereuse pour la santé) lorsqu’il devient l’objet d’une chasse à l’homme. Le Roi, qui vient de casser l’un des pieds de son trône, s’ai mis en tête de remplacer le dit pied, par le dit écureuil.
Conker devra commencer le combat pour sa survie en affrontant un monstre fécal chanteur d’opéra.

Voilà voilà, ça vous donne le ton de ce plaformer 3D complètement allumé qu’est Conker’s Bad Fur Day

Mais grave :joy:

:video_game: Je pourrais continuer avec toute la clique Belmont, la fabuleuse Lara, le crasseux Duke…:joystick:

Merci pour ce topic qui m’a rappelé que j’étais plutôt éclectique comme joueur. Et qu’avant les programmeurs prenaient pas mal de risques en vrai :sweat_smile:

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Comment j’ai pu passer à côté de ce sujet !? Faut que je me rattrape.
Avec une icône de la bagarre : Chun-Li

Artwork de Kinu Nishimura :
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La première dame des jeux de combat, un titre donné car elle est le premier personnage féminin à être jouable dans cette catégorie de jeu via Street Fighter 2 sortie en 1991.

Son histoire : Née en Chine, elle est la fille d’un maître d’arts martiaux très réputé dans le pays. Pendant son enfance, elle est tombée amoureuse de la grâce exercée par les opéras de Pékin et décide, d’intégrer ses mouvements dans la discipline du Taichi, qu’elle apprit des mains de son paternel. Elle considérait que le Taichi n’était pas assez extravagant. Et donc pour créer son propre style et se différencier de son paternel, elle apprit d’autres arts comme le Hongquan et le Wushu. Son père réalisa rapidement son potentiel en observant la force et la dextérité des mouvements de jambes de sa fille et lui conseilla et continuer et améliorer son jeu de jambe.

Malheureusement, un jour son père disparut sans laisser de trace. Souhaitant le retrouver et obtenir des réponses, elle devient détective à Hong-Kong puis investigateur au sein d’Interpol. Toutes les traces semblent indiquer que le responsable est l’organisation criminelle : Shadollo . Spécialisée dans l’espionnage, l’expérimentation humaine et trafic d’arme. Encore têtu et impulsive, elle fonce seule dans son périple et finit par retrouver M.Bison, le dirigeant de Shadollo . Le combat est à sens unique, elle est écrasée et humiliée. Le pire, étant que son père était mort depuis longtemps. Bison insista sur le fait que sa vie ne vaut rien et que son objectif ne sera jamais réalisé. Mais, au lieu de la faire abandonner, cela a revigorer son esprit. Gagnant en maturité et humilité, elle est prête à accepter de l’aide, qu’elle recevra de la part d’un militaire américain, Guile. Un membre du delta force britannique, Cammy et deux combattants, Ryu et Ken. Cela a pris des années, mais au final Bison et Shadoloo sont tombés. Vengeance et rédemption obtenu, elle décide de se tourner vers l’avenir. De retour à Hong-Kong elle ouvre sa propre école pour les enfants et une en particulier. Une orpheline, Lei Fan deviendra officiellement sa disciple primaire car Chun-Li se voit en elle à son âge. Pour la première fois, elle peut enfin savourer une vie plus ou moins normal.

Chun-Li est un personnage qui a laissé un impact dans l’industrie, elle est la mascotte féminine de Capcom, intégrant maintes crossover comme Brawhalla , Power Ranger Battle for the grid, Marvel vs Capcom … pour rester dans les jeux de combats. Également dans Fortnite, Megaman et tant d’autres. Elle a son propre film live-action (Street Fighter : Legend of Chun-Li ) et des caméo dans d’autres adaptation comme celle de City Hunter avec la fameuse scène ou Jackie Chan cosplay en Chun-Li, par exemple.

Récemment dans Street Fighter 6, Capcom l’a choisi pour la confronter à Yor Forger de Spy x Family dans une collaboration entre les deux franchises. Elle touche donc le média du cinéma et des mangas/animés :

Dans la scène compétitive, son personnage avec celui de Ken ont crée l’un des moments des plus cultes de l’Evo : le moment 37. Ce qui rend cette scène si folle pour les aphysionado des jeux de combat, c’est que non seulement il fallait contrer le coup spécial de Chun qui était considérer comme le plus difficile dans l’opus 3rd Strike à contrer. Mais aussi en profiter pour remporter la victoire. Je vous laisse savourer ce moment ici :

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Ils ont sûrement déjà été mentionnés ici, mais je vais citer certains personnages de l’univers Warcraft.
Quoiqu’on pense de ce jeu, il a sûrement l’un, si ce n’est l’univers le plus riche de toute l’histoire du jeu vidéo. Un peu trop peut-être comme je l’ai déjà signifié dans le topic sur les limites du world-building ; mais quoiqu’il en soit, il a fourni pléthore de personnages merveilleusement écrits, dont certains m’ont vraiment marqués. Je vais en citer deux :

Mon préféré :

Grommash « Grom » Hellscream (NON je ne dirais pas Hurlenfer, je déteste la VF de 2004. Et je parle du Rédempteur des Orcs de Warcraft III, pas de sa version aseptisée de Warlords of Draenor…)

Ce personnage représente tout ce qui fait l’intérêt et l’originalité des Orcs dans l’univers Warcraft. Dans la quasi-totalité des autres univers de fantasy, les Orcs/Orques/Orks sont des aberrations de la nature, des créatures fondamentales démoniaques et destinées à le rester ad vitam eternam.
Warcraft est, il me semble, le premier jeu à avoir créé des Orcs qui naissent bons, ou en tout cas pas fondamentalement mauvais. Ils sont maîtres de leur orientations et des causes qu’ils servent ; bien qu’ayant des moeurs brutales et martiales. Seulement, leur peuple a fait un très mauvais choix à un stade de leur histoire, en rejoignant la Légion Ardente et en se laissant ainsi corrompre par les démons…

Grom, leader puissant et charismatique, dernier chef invaincu après la Deuxième Guerre, modèle du parfait guerrier orc tout en crocs et en muscles, semble porter toute cette complexité en lui et être une incarnation warcraftesque du Yin et du Yang. D’un côté, colérique et impulsif, capable de violence, de sauvagerie, prisonnier de sa soif de puissance et de gloire, il symbolise la tentation du mal. De l’autre, doté d’un grand sens de l’honneur, affectueux envers Thrall, conscient de ses faiblesses et honteux de ses choix du passé (la malédiction que lui et les autres chefs ont infligé à leur peuple), il cherche aussi la rédemption et l’émancipation.
Lui qui pensait les orcs condamnés au malheur et à la servitude, il va, dans ses derniers instants, porter toute la destinée de son peuple sur ses épaules et racheter leurs fautes en donnant sa vie.

Bref, oubliez ce nullard d’Azog dans le Hobbit : le plus grand orc de l’histoire de la fantasy, c’est lui !

Et en deuz’, le plus célèbre personnage d’Azeroth, le GOAT de Warcraft, celui dont les joueurs parlent encore avec nostalgie :


Arthas Menethil !

Ceux qui comment moi ont découvert l’univers d’Azeroth avec Warcraft III ont commencé avec lui. Et beaucoup ont eu le sentiment que, lors de sa mort à la fin de la géniale Wrath of the Lich King, tout s’est fini avec lui.

Le jeune prince brillant, champion de Lordaeron, figure chrétienne parfaite, devenu un militaire extrémiste capable de massacrer des villes entière pour le plus grand bien, puis le pire félon du royaume, et ensuite une véritable incarnation du mal. Son parcours, sa tragédie, sa folie sous-jacente, tout est parfait dans la campagne humaine du premier opus, où les ingrédients de sa chute vers le mal sont progressivement et savamment distillés. Un méchant n’est jamais aussi génial que quand il le devient en étant persuadé de servir le bien…

La cinématique de conclusion, où l’on voit l’ancien paladin blond et beau gosse en armure dorée revenir dans une panoplie métallique truffée de pointes et de crâne, aux cheveux décolorés cachés sous un capuchon sombre… s’agenouiller, faire mine d’écouter le discours pompeux de son père au nom duquel il a commis ses atrocités, avant de se décider à « prendre la succession », sans attendre que la vieillesse ait raison du roi… un grand moment de jeu vidéo.
Une extension plus tard, il trônait sur l’Everest et régnait sur les morts. Et nous joueurs de Wow, avons attendu pendant 5 ans en se demandant ce qui se passerait le jour où il descendrait de la montagne… à chevaaaaal !

Que dire de plus ? Tout le monde le considère comme l’un des plus grands personnages de jeu vidéo jamais conçu. Et ça n’a rien de très surprenant : Dark Vador en personne n’aurait aucune leçon à lui donner.

Frostmourne est affamée !


Message édité par la modération (grossièretés)

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Après la première dame des jeux de combat, on continue avec un qui a amené le concept de personnage caché dans le jeu vidéo, le saurien Reptile de Mortal Kombat, le premier du nom de 1992.

Son histoire/lore original : Dernier survivant d’une espèce éteinte nommée les sauriens, Syzoth de son vrai nom n’a pas d’autres choix que faire les basses besognes de ceux qui ont conquis et mis à terre son monde : Zaterra. En espérant gagner leurs faveurs et ainsi, avoir une chance de ramener son espèce dans le monde des vivants. Maître de l’espionnage, grâce à sa capacité de devenir invisible, il fût assigné comme garde du corps du sorcier Shang Tsung pour espionner et éliminer discrètement les ennemis de l’Outre-Monde. Un simple pion sans valeur aux yeux de ses supérieurs, tous sauf un. Le guerrier Osh-Tekk Kotal Kahn, le reconnaîtra à sa juste valeur et sera le premier à lui donner une nouvelle famille et un nouveau sens à sa vie.

Reboot : Cette fois-ci, la pauvre Syzoth a sa famille et son espèce à ses côtés mais sera rejeté à cause de sa faculté à se transformer en lézard géant. Ces confrères préférent leur forme humaine pour mieux s’assimiler auprès des habitants de l’Outre-Monde. Le destin le forcera encore une fois à travailler pour Shang Tsung avant d’être libéré par les héros de la Terre. Pour les remercier, il décidera de rejoindre leur cause.

Son impact : Lors de la sortie de la version 3.0 de la borne d’arcade de MK1, il pouvait arriver qu’un certain ninja vert fasse son apparition aléatoirement pour laisser un message cryptique comme :

  • Look to la luna (Regarde la lune)

  • Tip Eht Fo Mottob (A l’envers : En-dessous de la fosse)

  • Perfection is the key (La perfection est la clé)

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Et d’autres indices, nous permettant de l’affronter. La rumeur d’un troisième ninja, qui au passage partage non seulement les coups de spéciaux de Scorpion et Sub-Zéro, mais aussi leur couleur : jaune + bleu = vert (subtilité/20 mais c’était pour économiser des ressources de la borne d’arcade) a enflammé la curiosité des jeunes joueurs de l’époque. Il est un peu le précurseur des rumeurs dans les cours de récréation.

Une recette payante, les sous-sous dans la popoche a incité Midway à continuer avec le deuxième opus pour Smoke, Jade et Noob Saibot. Même les concurrents comme Street Fighter ont joué de ça avec Gouki/Akuma dans Super SF2 Turbo en 1994. Dans d’autres genres aussi comme l’horreur avec l’agent HUNK et TOFU dans Resident Evil 2.

Il est également l’unique personnage de la franchise a avoir une musique aussi iconique que Techno Syndrome dans l’adaptation de 1995.

Finalement, ce qu’a amené Reptile est une notion du passé, effacé aujourd’hui avec les DLC et même internet en général, qui rend presque impossible de garder un secret jusqu’à sa sortie ou quelques jours après.

Allez pour finir un petit sondage : Team humain Reptile ou lézard Reptile :slight_smile:

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  • Humain
  • Lézard
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Du coup, team Baraka? Ça passe ?

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Allez j’accepte, faut donner un peu de reconnaissance à lui aussi :grin:
En plus lui et Reptile sont bons camarades dans le reboot.

Et cette dentition :

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Excellente idée que ce post sur Syzoth/Reptile, merci Ads :smiley: !

Mon personnage préféré dans Mortal Kombat II (1993) avec Mileena. J’aimais sa couleur (le vert flashy de la Super Nes :heart_eyes: ), ses pouvoirs (invisibilité, lancer d’acide), son nom (« Reptile wins! Flawless victory. »… quelle classe !), alors tu te doutes que le revoir dans le reboot (Mortal Kombat 1, sorti en 2023) m’a rendue enthousiaste, surtout que sa forme humaine lui a enfin été restituée (oui, team Reptile forme humaine, avec la capacité de se transformer en gros lézard humanoïde bien sûr, mais avant tout, j’aime le Syzoth à l’apparence 100% humaine).

Petite erreur : c’est l’inverse. Les Sauriens de Zaterra naissent et grandissent tous sous cette forme de lézard humanoïde géant. C’est quand ils ont découvert que Syzoth pouvait prendre intégralement forme humaine qu’ils l’ont harcelé et chassé. De mémoire, si je ne me trompe pas, dans le mode histoire de MK1, Syzoth dit à toute la bande (Baraka, Johnny, Kenshi, Ashrah, Kung Lao), quand ils sont dans la Forêt Vivante : « That I could take human form made me a freak among my people. » C’est pour cela qu’il s’enfuit, laissant femme et enfant derrière lui (mouais, quand même, t’aurais pu les embarquer avec toi Sy :roll_eyes: ). Shang Tsung le trouve, et prend sa famille en otage (en réalité, il les tue, mais fait croire le contraire à Syzoth pour le maintenir sous son emprise) afin de le contraindre à lui servir de cobaye, puisque le sorcier compte étudier les mécanismes de la métamorphose pour espérer les synthétiser via sa magie et ainsi, les reproduire sur lui. On sait que ça fonctionnera à merveille, et que Shang deviendra un bien meilleur métamorphe que son malheureux captif…

Pour celles et ceux que cela intéresse, voici Reptile sous sa forme originelle dans MK1, puis sous sa forme d’emprunt, bien humaine (déjà montrée par Ads) :


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Et voici un collage montrant les différentes formes du personnage à travers les années :

(Ne pas faire attention au bohnomme couché en travers des autres, ce n’est que Hanzo Hasashi/Scorpion (le ninja jaune) recolorisé en vert…)

Pour l’anecdote, il faut attendre Mortal Kombat X (2015) pour que Syzoth, le vrai nom de Reptile, soit révélé aux joueurs, 23 ans après la création du personnage, donc. Reptile est par conséquent une sorte de nom de code, un peu comme Sub-Zéro (ninja bleu) est le nom de code de deux frères, Bi-Han et Kuai Liang, ou Scorpion (ninja jaune) celui de Kuai Liang mais avant lui, de Hanzo Hasashi…

En 1995, dans le tout premier film adapté de la saga, un moment inattendu a provoqué des scènes de liesse dans les cinémas du monde entier : le combat entre Liu Kang et Reptile. Il faut imaginer la chose : personne ne s’attendait à ce que le Saurien fasse son apparition dans le film. Liu Kang et Johnny Cage marchent d’un pas méfiant dans les ruines de l’Outre-Monde, quand une espèce de lézard tout en effets spéciaux déjà douteux à l’époque est repéré par Liu et jeté par lui dans une statue macabre qui avale la bête et l’utilise pour prendre forme humaine. À ce moment là, surgit une voix off d’outre-tombe identique à celle du jeu vidéo, qui annonce d’un ton menaçant le nom de l’adversaire : Reptile. Nombreux sont les nostalgiques à avoir raconté leurs souvenirs sur Youtube : ils ont vu le film en salles à sa sortie, ils y étaient, et quand cette voix a prononcé le nom tant espéré, les spectateurs étaient tellement en joie que les pop corns volaient tout seuls au-dessus des sièges… Moi-même, bien que gamine à l’époque, ayant vu le film à sa diffusion quelques années plus tard sur Canal+, je me rappelle avoir eu une réaction similaire (il n’y avait pas de pop corns cela dit, et heureusement sinon je me serais fait passer un mortel savon par ma mère…).

Pour l’anecdote (again), Robin Shou (Liu Kang) s’est cassé deux côtes en tournant cette scène, mais il a courageusement ignoré la douleur et continué de jouer.

La scène est ici.

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Tu m’étonnes. En plus, c’est plus un jobber (perdant) qui échoue à chaque combat. Il a son propre chapitre (système narratif qui a plus de défaut que d’avantage mais je m’éloigne) et est enfin respecté. Un peu random sa relation amoureuse avec Ashrah (teasé dans les intros de débuts de combats) mais bon, donnons-lui de l’amour.

La fin du mode arcade de Reptile indique en plus une sorte de complot au sein de la colonie. Ce serait bien que « MK2 » nous développe un peu ca, car on sait même pas pourquoi les sauriens sont considérés comme des parias dans l’Outre-Monde. Au moins avec Baraka on a l’excuse de la maladie, virus Tarkat.

L’ending en question pour ceux intéressé :

Jolie complément par rapport au film de 1995 et Robin Shou c’est le goat ! Le meilleur !
On peut continuer en MP si tu veux pour pas trop s’éloigner du sujet de base. Ou alors tu peux faire ta présentation de Mileena au choix :wink:

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