L'inteReview!

Marie : Gwen ? On est toutes les deux invitées à une interview.

Gwen : Une interview ! Super ! Je ne suis pas fan de ce genre de choses, mais au moins, je vais pouvoir mettre certaines choses au clair.

Marie : Ah ? Mais de quoi tu te plains ?

Gwen : Eh bien, déjà, que tu as terminé la fanfiction sur Rhythm Thief et les Mystères de Paris de laquelle je suis issue depuis des mois, alors pourquoi est-ce qu’il n’y a que huit chapitres sur les quarante-cinq qu’elle compte qui sont publiés sur le site ?!

Moi: … C’est une très bonne question…

Gwen : Tu parles, ça fait les défis d’écriture tous les mois, et pendant ce temps, moi et les autres on passe à la trappe !

Marie (lui plaque une main sur la bouche) : Mais pas du tout, voyons ! Est-ce qu’on peut commencer l’interview, maintenant ?

(Sans transition)

  • Comment vous vous êtes rencontrés ?

Marie : C’était il y a longtemps, alors comment je suis censée me souvenir de ça ?!

Gwen (hausse les épaules) : Pourquoi est-ce que ça m’étonne pas ? Bref, s’il faut vraiment répondre, je dirais que c’était un total hasard. On a discuté par ordinateur, et ensuite, je n’étais plus jamais censée la revoir, mais le destin en a voulu autrement. En même temps, il faut dire qu’à cette époque-là, j’étais une véritable petite chipie, alors forcément qu’elle ne voulait plus entendre parler de moi.

Marie : Ah bon ? Parce que tu as changé, depuis ? C’est fou, j’avais rien remarqué !

Gwen (lui lance un regard noir) : Laisse tomber le sarcasme, ça ne te sied pas au teint.

Marie : Toi, par contre… (grand sourire)

  • Potes ou pas potes ?

Marie : C’est quoi cette question ? Bien sûr qu’on est amies ! Hein, Gwenny ? D’ailleurs, chaque nuit, j’espère la voir en rêve, pour qu’on puisse se parler.

Gwen (rougissant furieusement) : Ne– Ne m’appelle pas Gwen, j’ai horreur des surnoms et tu le sais ! Et puis, qu’est-ce qui te prend de déballer tes fantasmes à tout le monde comme ça, ça va pas ?! Et après tu t’étonnes que les gens te trouvent bizarre !

Marie : Ok, mais c’est pas de moi qu’il s’agit, là. Tu n’as toujours pas répondu à la question.

Gwen: … C’est déjà tout répondu : non. Tu m’en as fait baver, je te le rappelle, et pas qu’à moi d’ailleurs, pendant toute l’histoire–

Marie : Pardon, je t’interromps. Ça c’est vrai au début, mais la fin, elle te convient plutôt bien, non ?

Gwen (irritée) : Encore heureux qu’elle me convienne, c’est moi l’héroïne ! Et puis je te rappelle quand même que dans le récit, je–

Marie (lui plaque à nouveau une main sur la bouche) : Merci Gwen, mais je t’interromps encore. On va éviter le spoil, d’accord ?

Gwen : Hmmpf Hmmpf (grognements étouffés d’approbation).

  • S’il/Si elle était une musique ?

Marie : Oh la la, pour le coup, j’en sais rien, moi. Y a plein de musiques qui parsèment le récit et qui me font penser à toi quand je les écoute, alors…

Gwen : Eh bien alors ? Choisis-en une, et on n’en parle plus !

Marie : Bon allez, je vais dire Hikaru Nara de Goose House, parce que c’est lié à ton enfance et aussi parce que c’est l’opening de Your Lie in April et que physiquement tu es inspirée de son héroïne, Miyazono Kaori.

Gwen : La majorité des chansons utilisées dans son récit sont en anglais, mais non, elle elle prend une chanson japonaise (lève les yeux au ciel).

Marie : Breeef, c’est à toi.

Gwen : Ben moi non plus je vais pas prendre de chanson anglaise, tiens. Je vais prendre une chanson française. Chanson sur ma drôle de vie, de Véronique Sanson. Je trouve que ça te va bien.

  • S’il/Si elle était un film / série ?

Marie : Oh la la, mais c’est casse-pieds, leurs questions ! Après ça va être quoi ? «Si elle était un livre ? » ? « Si elle était un vêtement ? » ? « Si elle était un accessoire ? » ? « Si elle était un véhicule ? » ? Non, mais si vous voulez qu’on y passe la nuit, dites-le !

Gwen : Je suis totalement d’accord, là. Qui a fait les questions ? J’aimerais lui dire deux mots !

Marie : En plus, j’en sais rien, moi, c’est pas comme s’il y avait une série TV qui te correspondait vraiment…

Gwen : Fais un effort pour en trouver une, ou en terminera jamais.

Marie : D’accord, d’accord. Bon, déjà, tu ne serais pas un Disney, c’est pas ton genre.

Gwen : C’est vrai, mais si tu passes en revue toutes les séries et films que je ne suis pas, on risque d’y être pour un moment, alors pourquoi tu ne passes pas directement à ce que je suis ? Dépêche-toi de donner un titre !

Marie : Ça va, ça va ! Je dirais, n’importe quel film avec une fille forte et indépendante fera l’affaire j’imagine–

Gwen : Tu imagines ?!

Marie : Ne m’interromps pas, s’il te plaît, c’est assez pénible comme ça. Par contre, il y a un livre qui m’a beaucoup fait penser à toi et que j’ai dévoré, c’est Marche avec moi de Catherine Ryan Hyde. Le perso principal te ressemblait beaucoup, j’ai trouvé. D’ailleurs, je le conseille.

Gwen : Si tu le dis, mais on en fera la promotion à un autre moment, tu veux ? Un film, pour toi, ce serait Le seigneur des anneaux. «La Communauté de l’anneau », s’il faut vraiment préciser l’un des trois. Tu vois ? J’ai pas eu besoin de trois plombes pour choisir, moi !

Marie : Frimeuse. Et moi qui pensais que tu t’étais adoucie, au fil de l’histoire !

  • C’est l’enfant de qui ?

Marie : Désolée, mais je ne veux pas spoiler.

Gwen (met une jambe sur l’autre) : Vous avez entendu Madame, elle ne veut pas spoiler. (Yeux qui brillent) Par contre, si vous voulez en savoir plus sur ma famille, je–Eh, pourquoi tu essayes de me couvrir à nouveau la– Hmmpf Hmmpf ! (gémissements étouffés)

Marie : Quand je dis « pas de spoil », ça veut dire pas de spoil, Gwenny.

Gwen : Dis-moi ce qui n’est pas du spoil, alors, ça ira plus vite.

Marie : Pour en revenir à la question, disons qu’on ne le sait pas parce qu’elle a été abandonnée quand elle est était petite.

Gwen : Je te remercie de me rappeler cette période très douloureuse de ma vie.

Marie (grand sourire) : Mais de rien, Gwenny chérie.

Gwen : Arrête de m’appeler « Gwenny » !

  • Pourquoi ce nom ?

Gwen (soupire) : Mais pourquoi vous avez posé cette question…

Marie : Youhou ! Enfin une question intéressante ! Alors, au début, elle était censée s’appeler Iris, simplement au hasard, parce que j’aimais bien le prénom, puis, ensuite, sans vraiment savoir pourquoi, elle est devenue Gwendoline, ce qui donne Gwen, en version raccourcie.

Gwen : Franchement, tu aurais quand même pu faire un effort. Toi t’as un nom court, sympa et super courant, moi j’ai un nom long, dépassé, on dirait celui d’une vieille mamie de quatre-vingts ans. Tu m’en veux vraiment, pas vrai ?

Marie : Mais non. Moi je le trouve cool, ton nom ! Et puis tu n’es pas la seule à avoir un prénom long, dans l’histoire. Mais j’admets que j’ai un faible pour les patronymes que l’on peut raccourcir pour faire des surnoms (Emmanuelle/Emma, Alexandre/Alex, Emily/Em ou Lily ou Emmy…).

Gwen : Tu as vraiment des goûts bizarres. En tout cas, je préviens qu’il est hors de question qu’on m’appelle Gwendoline, c’est bien trop pompeux. C’est Gwen pour tout le monde sauf exception, ok ?

Marie : D’accord, on a compris. Mais moi, je suis une exception, hein ?

Gwen : Non. Et la prochaine fois, demande à quelqu’un d’autre de choisir un prénom pour tes personnages, c’est mieux.

Marie (au bord des larmes) : Quand je pense que je passe des heures sur des sites pour choisir le patronyme parfait…

Gwen : Au moins, on peut dire que mon nom, Duval, ça va encore… Je n’ose pas imaginer toutes les horreurs que tu aurais pu me donner… (frissonne)

  • Pour ou contre les fautes d’orthographes ?

Marie et Gwen : Contre !

Marie : Ça, on est d’accord là-dessus. En plus, qui peut être pour les fautes d’orthographe, sérieusement ?

Gwen : C’est vrai que tu fais très peu de fautes. Et tu en ferais encore moins si tu prenais la peine de te relire attentivement à chaque fois.

Marie (passe une main dans ses cheveux avec un sourire gêné) : Ah ah, c’est vrai. Mais j’ai la flemme, je t’avouerai. Relire jusqu’à une vingtaine de pages plusieurs fois par jour, ça me fatigue.

Gwen : La question est plutôt de savoir ce qui ne te fatigue pas…

Marie : Oh, ça va, hein. Méfie-toi, je pourrais décider de changer la fin de ton histoire et te faire disparaître dans d’atroces souffrances…

Gwen : Tu n’oserais pas.

Marie : Ah, tu crois ça ? Eh bien laisse-moi te dire… que tu as tout à fait raison.

Gwen (secouant la tête) : Qu’est-ce que je disais.

  • Chapitres longs ou courts ?

Marie : Au début de cette histoire, j’étais sur DeviantArt, et il ne m’autorisait pas à publier plus d’une douzaine de pages par chapitre, donc je suis restée sur cet ordre-là, du moins j’ai essayé.

Gwen : Mais il y a quand même des exceptions. Comme on en parlait plus tôt, parfois les chapitres sont plus longs, surtout vers la fin de l’histoire et atteignent la vingtaine de pages.

Marie : Ce qui n’est pas étonnant, vu que des fois, il n’y a pas mal de descriptions et que j’ai les scènes bien en tête, alors je laisse libre cours à mon inspiration.

Gwen : En même temps, dans un univers où un empereur ressuscité essaye de prendre le contrôle du monde…

Marie : Ne spoile pas le jeu, certains auront peut-être envie d’y jouer, après !

  • Une fanfic impossible ?

Gwen : Je ne suis pas sûre que ce mot fasse partie de son vocabulaire.

Marie : À Cœur vaillant rien d’impossible ! Tiens, d’ailleurs, Gwen, tu savais que dans cette expression, « Cœur » ne renvoie pas à l’organe mais à un homme qui–

Gwen : Merci pour la petite leçon d’histoire, mais on reprendra plus tard. Moi je ne peux pas vous dire les fanfics impossibles, mais je peux vous dire les fictions possibles et même certaines : celles où elle va me torturer encore et encore jusqu’à ce que je finisse par en mourir.

Marie : Mais non, mais non. Je n’oserais pas. Sinon, je dirais que je ne suis pas fan de lemon, ni de tout ce qui est trop gore, donc ça, c’est exclu d’office. Pour le reste… il faut que je teste !

Gwen : Pitié, retenez-la avant qu’elle ne commette un massacre.

et le dernier qui conclut l’interview :

  • Les 3 mots pour le définir ?

Marie : Protectrice, rebelle et débrouillarde.

Gwen (émue) : Que des qualités ? C’est vrai ? Merci, je suis vraiment touchée.

Marie : Si tu préfères, on peut parler de tes défauts, il y a beaucoup à dire…

Gwen : Non non, c’est bon. À moi maintenant. J’imagine que j’ai intérêt à ne citer que des qualités, sinon ça va être ma fête…

Marie (sourire inquiétant) : Tu fais comme tu le sens.

Gwen (déglutit lentement) : D’accord… Je ne suis pas sure que simplement trois mots soient suffisants pour te décrire–

Marie : Comment je dois le prendre ?

Gwen : Ne m’interromps pas, je réfléchis. Alors, je vais pencher pour persévérante, intelligente, et procrastineuse.

Marie : « Procrastineuse » hein ? Est-ce que ce mot existe, seulement ? En tout cas, deux qualités et un défaut, ça va, je m’en sors plutôt bien. Surtout que c’est vrai. Que je procrastine, je veux dire.

Gwen (pousse un soupir de soulagement) : Ouf, je ne mourrai pas aujourd’hui.

(Sans transition)

Marie : Hm, je crois qu’on a… fini ?

Gwen : Super. Tu vas peut-être pouvoir enfin terminer de poster La Menace de Chronos en entier sur le site, maintenant.

Marie : C’est-à-dire… Ces temps-ci, je suis super occupée avec mes cours, et en plus je prépare le défi de novembre…

Gwen : Ah oui, j’ai vu. Celui où tu as à peine écrit plus d’une page, sur le fandom de– Hmmpf Hmmpf ! (gémissements de protestation)

Marie (la main posée sur la bouche de Gwen) : Chut, c’est un secret ! Si toutefois j’arrive un jour à le terminer. Et puis t’es pas obligée de raconter comment avancent mes projets à tout le monde !

Gwen (lève les yeux au ciel) : Dis plutôt que tu as honte d’avoir trente-six mille idées et de n’en mener aucune à terme ! Eh, l’interviewer, je crois que vous pouvez ajouter surbookée aux mots pour la définir.

Marie : Toute ma vie ne tourne pas autour de toi, Gwen. Et puis je n’y peux rien si les conditions ne sont pas favorables pour que j’écrive !

Gwen (secouant la tête) : Bien sûr. En tout cas, avant qu’on ne quitte nos amis, tu pourrais tout de même leur offrir un petit cadeau.

Marie : Euh, pourquoi pas, mais quoi comme cadeau ?

Gwen : Mais je ne sais pas, moi ! Ce que tu veux !

Marie : Oh, j’ai trouvé ! Attends.

Gwen (pleine d’espoir) : Tu vas poster des photos de chatons trop mignons ?

Moi : Euh, non.

Gwen : Nous dire que Joe Biden a gagné les élections ?

Marie : Si seulement… Mais non.

Gwen : Eh bien alors ?

Marie : Attention… Tadam !

[Premier dessin sur mon bloc-notes, premier dessin de Gwen, réalisé vers le le début juillet 2016. Mes débuts en dessin tout court, c’était un peu laborieux.]

[Dernier dessin en date de Gwen, qui aura tout juste un an demain ! Réalisé au stylo-feutre fin.]

Gwen (effarée) : Mais qu’est-ce–?!

Marie : Deux jolis portraits de toi, pour que les gens s’imaginent un peu à quoi tu ressembles (et comme ça, il peuvent aussi constater l’évolution de ma technique de dessin). T’es pas mignonne ?

Gwen : On n’avait pas prévu ça ! Quand je parlais de cadeau, je pensais pas à ça (rougit furieusement).

Marie : Oh, allez, avoue que c’était amusant de se plier à cette petite interview, non ?

Gwen : Pour les créateurs, peut-être, mais tu penses aux personnages, un peu ? Eh, les OCs qui sont passés, et ceux qui doivent encore passer, ça vous dit qu’on se regroupe tous pour protester et qu’on fasse une révolution , Il y en assez d’être des esclaves, Gwen est un être libre !

Marie : Tu ne viendrais pas de reprendre une réplique de Dobby dans Harry Potter, par hasard ?

Gwen (ne l’écoutant plus) : Les autres, tous avec moi ! Ré–volution, ré–volution !

Marie (pousse un long soupir) : Excusez-nous pour ces désagréments, et merci d’avoir suivi notre interview malgré tout. Bon courage au suivant et à bientôt, j’espère !

12 « J'aime »

Oh mais c’est géniale cette idée !! cours réveiller Kyle

Le roux se frotte les yeux, il vient de sortir de sa sieste et est visiblement de mauvaise humeur.
Kyle : Pourquoi tu m’as réveillé ?
Ryujin_Sama : Parce qu’il y a une interview ! Et arrête de grogner, tu dormiras plus tard ! Allez on se présente :slight_smile:
Kyle : Pfff… Bonjour, je m’appelle Kyle et je suis le héros de la fiction L’Héritage de Dragonia et au passage le souffre-douleur de cette tarée…
Ryujin_Sama : Attention à ce que tu dis toi… N’oublies pas que je suis ta créatrice, je pourrais très bien modifier ton apparence pour te faire bien moche. Bref, moi c’est Ryujin, l’auteure de la fiction qu’il vient d’énoncer ^^

Comment vous vous êtes rencontrés ?
Kyle : Ouh la ça remonte à un bon moment non ?
Ryujin_Sama : En effet, c’était en 2011 si mes souvenirs sont bons ! Tu venais de te faire voler ton portefeuille et de t’étaler comme un flan au sol en essayant de rattraper le coupable.
Kyle : … c’était nécessaire de préciser que je m’étais vautré ?
Ryujin_Sama : Le prend pas mal va ^^ heureusement je passais par là et j’ai pu t’aider à te relever.
Kyle : C’est pas faux mais bon ça c’est parce que tu es tombée sous mon charme !
Ryujin_Sama : Joue pas à ça avec moi…

Potes ou pas potes ?
Kyle : J’ai droit à un joker ?
Ryujin_Sama : Bien sûr qu’on est potes !!

Si il/elle était une musique ?
Ryujin_Sama : Hum je me suis jamais posée la question mais je pense « Je me sens si seul » de Marc Lavoine :joy:
Kyle : T’es sérieuse ?? :unamused:
Ryujin_Sama : Ben quoi ? Je trouve que ça te va bien en plus avec ton espoir ancré de conquérir Lyra !
Kyle : Mais je ne fume pas et ne bois pas, c’est quoi le rapport ? Enfin… toi, tu serais My Younger Dreams de Our Last Night
Ryujin_Sama : Ah cette chanson… je l’adore…

S’il/ elle était un film / série ?
Kyle : C’est quoi un film et une série ?
Ryujin_Sama : Ah c’est vrai que dans ton monde tu ne connais pas ! Mais tu me ferais bien penser au film « Le Grand Blond avec une chaussure noire » :rofl:
Kyle : Je connais pas donc je ne dirai rien et ne ferai aucun pronostic !

C’est l’enfant de qui ?
Kyle : Je suis le fils de Boris et Edith Blake, deux respectables personnes tenant une auberge réputée dans mon patelin !
Ryujin_Sama : Oui officieusement mais pas que ! Bref, chut !! No spoil ! :shushing_face:

Pourquoi ce nom ?
Ryujin_Sama : J’aime bien Kyle mais son prénom a une ressemblance avec son vrai prénom :shushing_face:
Kyle : Sachant que je suis passé par divers autres prénoms avant que tu t’arrêtes sur un définitif ! Tes goûts n’étaient pas terrible si je peux me permettre ! Surtout quand on choisit le nom d’un dieu dragon japonais, il faut pas s’attendre à trouver de l’originalité pour ses personnages ! :face_with_hand_over_mouth:
Ryujin_Sama : regard noir Toi c’est décidé, demain je te colle un appareil dentaire et une peau blindée d’acnée !
Kyle : :roll_eyes: :grimacing:

Pour ou contre les fautes d’orthographes ?
Kyle : Je suis assez bon dans ce domaine donc peut-être que je passerai pour être prétentieux de ne pas en faire !
Ryujin_Sama : Tu es prétentieux ! De mon côté je suis assez perfectionniste et même en me relisant x fois, j’arrive encore à en retrouver que je n’ai pas vu. Je trouve ça agaçant…
Kyle : Je crois que je vais me taire…

Chapitres longs ou courts ?
Ryujin_Sama : Tout dépend de qu’il y a à raconter !
Kyle : Oui parfois, plus c’est court mieux c’est… J’en ai tellement marre de me voir me faire malmener sur des chapitres de plus de 2000 mots !
Ryujin_Sama : Oh tu sais j’ai pas besoin d’écrire 2000 mots pour te mettre dans une situation délicate…
Kyle : Oui ça je l’avais remarqué… :expressionless:

Une fancfiction impossible ?
Ryujin_Sama : Il y a tellement de choses à raconter ! Et quand tes personnages ont décidé parfois d’en faire qu’à leur tête et font autre chose que ce qui était prévu, ce n’est pas de tout repos !
Kyle : Tu arrêterais déjà de me mettre dans des situations compliquées je ne serai pas obligé de me rebeller !
Ryujin_Sama : Hey ! Personne n’a dit que la vie devait être un long fleuve tranquille ! Il faut des obstacles pour réussir son parcours !
Kyle : Ouai ben… si ça continue je vais réclamer mon indépendance moi !

Les trois mots pour le/la définir ?
Kyle : Tarée, gourmande et un peu trop surmenée !
Ryujiin_Sama : Maladroit, paresseux, romantique. Attends… Quoi ?!
Kyle : Ben quoi ? C’est vrai non ? Tu es toujours en train de me malmener et puis tu as vu ta tête ? Il faudrait essayer de te coucher plus tôt les soirs, tu fais peur à voir ! Ou alors pense à mettre un peu de fond de teint !
Ryujin_Sama : Je te demande pardon ? Dois-je te rappeler que tu n’as pas ton mot à dire ? Tu veux que je t’efface de l’histoire et mettre Hayden comme héros à ta place ?
Kyle : Ah non surtout pas !! Ca c’est mon rôle ! Hors de question que ce soit Mr Playboy qui prenne ma place !
Ryujin_Sama : Parce que tu en es pas un de playboy toi peut-être ? Vais peut-être le rajouter à ta liste !
Kyle : Je vois pas de quoi tu parles… Allez va, avoue que tu es folle de moi !
Ryujin_Sama :

Et c’est sur ce petit quiproquo que se termine l’interview avec Kyle Blake, mon fidèle cuistot magicien de ma fiction originale L’Héritage de Dragonia ^^J’espère que vous passerez un aussi bon moment que moi :smiley:

12 « J'aime »

(Bon, il a fallu que je passe plusieurs coups de fil, et seule une personne a daigné me répondre… Comme quoi, je ne suis pas très appréciée de mes propres personnages… u_u)

L’invitée du jour est Hélène, de ma fanfiction Quatorze Juillet, sur Rhythm Thief, aussi connue comme étant mon premier OC vraiment construit avec une histoire bien définie etc.


BakApple : Bonjour, bonsoir, ça dépend de l’heure qu’il est.
Hélène : Donc t’es autant perdue temporellement que moi ? Sympa.
BakApple : Je ne relèverai pas.

  • Comment vous vous êtes rencontrées ?

BakApple : Allez, je te laisse l’honneur de commencer.
Hélène : Techniquement tu as commencé mais bref. Comment on s’est rencontrées ? C’est simple, elle est là depuis que je suis dans le berceau. Elle connaissait mes parents – d’où ? Je l’ignore – et de fil en aiguille on a fait connaissance, on va dire.
BakApple : Oui, on va dire ça comme ça. On se connaît grâce à ses parents.

  • Potes ou pas potes ?

BakApple : Je la vois un peu comme ma fille, même si à vrai-dire on a pas tant d’écart en âge…
Hélène : La faute aux voyages dans le temps, on va dire. D’ailleurs faudra que tu m’expliques comment tu me connais depuis que je suis bébé alors que c’est moi qui ai voyagé à travers les époques… Enfin bon. On va ignorer les plotholes de ta propre existence.
BakApple : Ça, c’était petit et mesquin. T’es bien une rousse, t’as pas d’âme.
Hélène : Répète un peu pour voir !

  • (raclement de gorge de l’interviewer) Si elle était une musique ?

BakApple : (regarde dans son téléphone) Un instant, je cherche. J’ai trop d’idées.
Hélène : Facile. « Je suis une grosse débile », par Jean-Michel Jaipaslaref.
BakApple : Elle existe pas ta chanson.
Hélène : Elle n’existe pas encore . (large sourire)
BakApple : Allez, parce qu’il faut en choisir une… Bravely You , de Lia.
Hélène : Je la connais pas celle-là, tiens.
BakApple : Ou alors Miiro de AKINO from bless4 ? Argh, j’en sais rien !

  • Si elle était un film/série ?

BakApple : Facile. La première saison de Dirk Gently’s Holistic Detective Agency.
Hélène : J’avoue, mais je serais plus Dirk, et toi tu serais Todd.
BakApple : Ça me va.
Hélène : Et elle, elle serait sûrement Shrek .
BakApple : … Je ne sais pas comment je dois le prendre…

  • C’est l’enfant de qui ?

Hélène : Je connais pas ses parents, et tant mieux. J’en ai déjà assez d’une, j’ai pas envie de rencontrer toute la famille.
BakApple : T’inquiète, ils veulent pas d’une rousse sous leur toit. Mais sinon, ses parents sont Raphaël et Marie, évidemment. Vous voyez pas combien elle leur ressemble ? C’est le portrait craché de sa mère, en plus de ça.
Hélène : Évidemment, j’ai le physique d’une déesse, dans une enveloppe de mortelle.
BakApple : Par contre je ne sais pas de qui elle tient ce melon énorme…
Hélène : C’est toi le melon.

  • Pourquoi ce nom ?

BakApple : Alors là j’avoue que je ne m’en souviens absolument plus. Je crois que c’était un prénom que j’aimais déjà de base, et quand on a su qu’elle était vraiment dingue de Napoléon Bonaparte, on s’est dit que finalement, être fan d’un type mort sur l’île Sainte-Hélène c’était assez drôle quand on s’appelait comme elle.
Hélène : C’est sûr que tu fais pas mieux. « Stupide pomme », en mêlant deux langues différentes en plus. T’as même pas pris la peine de te trouver un pseudo dans ta langue maternelle.
BakApple : Contrairement à mon prénom, au moins je l’ai choisi. Et ça sonne bien, je trouve, BakApple .
Hélène : On va dire ça. (roule des yeux)

  • Pour ou contre les fautes d’orthographes ?

BakApple : Ça nous est tous arrivé d’en faire au moins une fois, par inadvertance ou autre…
Hélène : Non.
BakApple : Mais idéalement ce serait bien si plus personne ne faisait la moindre faute… À force d’en voir et corriger, je commence à en faire moi-même !
Hélène : C’est ce qu’elle dit pour expliquer sa digression mentale. C’est juste une grosse abrutie, comme son pseudo pouvait le laisser comprendre.
BakApple : Par Tiamat, ferme-la, je t’en prie.

  • Chapitres longs ou courts ?

BakApple : Ceux de l’histoire d’Hélène sont au début plutôt courts, et gagnent un peu en longueur quand on arrive à la fin. C’est vraiment l’histoire de ma progression en tant qu’auteur et…
Hélène : On s’en contrefout, je te jure. Pour moi, je préfère les chapitres courts, je m’endors moins devant.

  • Une fanfic impossible ?

Hélène : Oui.
BakApple : Oui.
Hélène : Combien de temps j’ai dû attendre pour qu’elle soit complète ? Cinq ans ? Tu l’as réécrite combien de fois ?
BakApple : Deux fois, en plus de la première. Et seule la dernière a été aboutie. Et oui, y a bien eu cinq ans entre les premières esquisses et la conclusion… Combien de fois j’ai manqué de t’abandonner ? (soupir) Si je viens à la réécrire une nouvelle fois, rappelle-moi de te supprimer du scénario final.
Hélène : Sauf que sans moi, ton scénario est vide. Mais bon.

  • Et le dernier qui conclut l’interview, les 3 mots pour le définir ?

Hélène : Paresse, déni et nourriture.
BakApple : J’approuve. Pour elle, ce serait folie, bagarre et marshmallow parce qu’en vrai elle est vraiment adorable.
Hélène : Qu’est-ce que tu viens de dire ?
BakApple : Oh, rien, rien… Allez, retourne frapper ton punching-ball, laisse-moi travailler s’il te plaît.

11 « J'aime »

Tu m’as littéralement tuée :rofl: Va VRAIMENT falloir que Kyle rencontre Klothild un jour ! J’ai comme l’impression qu’ils s’entendraient bien :joy:

4 « J'aime »

:rofl: j’avoue que je me suis éclatée dans cet interview ! Et j’ai bien kiffé la tienne !! Klothild dans toute sa splendeur !
Ce serait tellement amusant de les faire se rencontrer ces deux-là ! Qui sait elle aurait peut-être un « kreushe » pour Kyle ? :joy: entre poissard maladroit ça pourrait donner une situation cocasse !!

5 « J'aime »

Beb : Et bien bonjour (ou bonsoir). Je suis beb156 mais vous pouvez m’appeler Beb. … NON, PAS COMME LE COCHON ! Ça c’est « Babe » ! Aucun rapport ! … M’enfin, pour cette interview, je suis en compagnie de l’héroïne principale de ma fan fiction consacrée à World of Warcraft, Gahahli Ventenuit, elfe de la nuit chasseresse de son état.

Gahahli : Enchantée.
Capture d’écran 2020-11-07 à 22.24.59
Beb : D’ailleurs, avant qu’on ne commence cette interview, je tiens à informer celles et ceux qui me lisent : ne soyez pas surpris si elle paraît plus tendu et à cran que dans la fanfic sur laquelle je travaille en ce moment. C’est que, la pauvre, elle lui est arrivé tellement de choses entretemps, entre les invasions d’orcs, de démons, de morts-vivants, les fins du monde provoqués par un dragon…

Gahahli : Et même ça, ça ne t’a pas suffit ! Vous n’imaginez pas ce qu’il m’a fait subir durant ces dix dernières années, ce tortionnaire !

Beb : Et c’est pour ça que j’ai toujours appréhendé l’idée du personnage fictif qui rencontre son créateur. M’enfin, commençons si vous voulez bien.

  • Comment vous vous êtes rencontrés ?

Beb : Très simple, en jouant à World of Warcraft et en m’intéressant au RP.

Gahahli : J’étais son avatar principal. Et je peux vous dire que savoir que nos faits et gestes ont été contrôlés par un petit binoclard boutonneux collé à son ordi’, ça donne la chair de poule rien que d’y penser.

Beb : Bon, il est vrai qu’à l’époque, j’avais un gros fétichisme des femmes elfes archères-guerrières. Puis au fil des années, je me suis davantage intéressé à sa personnalité, sa psychologie, son parcours, ses expériences, tout ça… J’en viens même à la considérer comme ma propre fille.

Gahahli : Et c’est supposé me rassurer ? Tu sais que j’ai dû renier mon propre père durant toute une extension pour moins que ça ?

Beb : En tout cas, même si je n’ai plus l’occasion de me remettre en jeu, ça a été un plaisir d’en profiter et d’explorer ton univers à tes côtés.

Gahahli : Et t’as une bien curieuse manière de témoigner ta gratitude.

  • Potes ou pas potes ?

Gahahli : PAS POTES ! Quoi qu’il vous dise, on n’est pas potes du tout.

Beb : Quand je vous dis que j’appréhende l’idée du personnage fictif qui rencontre son créateur. M’enfin, je ne peux pas trop lui en vouloir, avec tout ce que je lui fait subir.

  • S’il/Si elle était une musique ?

Beb : Un thème de Princesse Mononoké. Genre The journey to the West, ce serait pas mal. Sinon, Where No One Goes, la chanson écrite pour Dragons 2, ça lui va très bien.

Gahahli : Alors pour toi, j’imagine plutôt… le thème du canard dans ce conte musical où un petit garçon attache un loup à un arbre.

Beb : (rire forcé) J’adore ton humour.

  • S’il/Si elle était un film / une série ?

Beb : Alors en film, j’avoue que j’hésite entre Avatar de James Cameron et Wonder Woman de Patty Jenkins. Je n’ai jamais su me décider. En série, je dirais la Légende de Korra. Ou Hilda. Décidément, je suis très indécis.

Gahahli : J’ai entendu parler de ce film avec ce type-là… Bill Murray, où il est coincé dans une boucle temporelle l’obligeant à vivre indéfiniment le même journée. Je pense que ça résume assez bien ton existence.

Beb : (nouveau rire forcé) Elle est mignonne, n’est-ce pas ?

  • C’est l’enfant de qui ?

Beb : D’un druide et d’une prêtresse qui ne sont pas Tyrande et Malfurion. Ça aurait fait trop godmode ou Mary-Sue, de toute façon.

Gahahli : Et lui, il est le fils de parfaits inconnus. En plus ceux sont des boomers. C’est bien comme ça que vous dites ?

  • Pourquoi ce nom ?

Beb : Euh… je passe !

Gahahli : Comment ça, « tu passes » ? Mais reconnais-le que tu n’assumes pas les noms que tu nous a attribué ! Que tu n’as fait aucune recherche pour nous donner des noms plus authentiques ! Que tu les a sorti de ton esprit tordu en panne d’inspiration. Quand je pense que le nom que tu m’as attribué viens en réalité de jouets que tu collectionnais étant gamin et qui n’ont aucun rapport avec mon univers et encore moins à ma culture !

Beb : (soupir) Je disais quoi déjà sur les personnages fictifs qui rencontrent leur créateurs ?

Gahahli : Et lui, par contre, c’est assez rigolo ! Il voulait se créer un pseudo qui soit aussi son nom d’artiste. Au début il voulait s’en créer un à partir de ses initiales mais ça donnait « bébé ». Du coup, il y a ajouté le nom de jeune fille de sa mère et ça a donc donné son pseudonyme actuel.

Beb : Qui, j’insiste là-dessus, n’a rien à voir avec le cochon !

  • Pour ou contre les fautes d’orthographes ?

Beb : Ben, il m’arrive d’en faire ! Donc il y en a que je pardonne. Tant que ça ne rende pas le texte illisible et incompréhensible. Parce que je me doute que dans le cadre des fan fictions c’est pas supposé être professionnel, mais ça ne veut pas dire qu’il faut s’interdire de faire des efforts. Parce qu’il n’y a rien de plus frustrant que de devoir lire un texte dont on ne comprend pas un mot tant c’est écrit avec les pieds.

Gahahli : Et puis il faut pas se mentir ! On trouve de ces perles sur le web comme vous dîtes, qui font demander si ceux qui écrivent ça ont une quelconque notion de la langue dans laquelle ils s’expriment.

  • Chapitres longs ou courts ?

Beb : Ni trop longs, ni trop courts !

Gahahli : C’est vague, comme réponse !

Beb : Ah bah excuse moi mais la question l’est tout autant ! Ils entendent quoi par « chapitre long » et chapitre court" ?.. Bon, disons que je fais en fonction de ce que j’ai besoin de raconter dans mon chapitre, et je m’assure que ça ne fasse plus que deux pages et que ça ne s’étende pas non plus sur des dizaines juste pour parler de la pluie et du beau temps. C’est bien un truc que je déteste quand je lis un roman, devoir lire des dizaines et des dizaines de pages qui racontent du vent.

  • Une fanfic impossible ?

Beb : Alors là, toute fanfic sur les shipping improbables, toxiques ou même incestueux rien que dans le canon. Et aussi celles valorisant les personnages que j’aime le moins dans telle licence.

Gahahli : En gros, tout ce qui aborde des trucs que tu détestes.

Beb : Ah mais je suis désolé ! Dans « fan fiction », il y a « fan ». Et c’est déjà dur pour moi de devoir écrire sur des trucs dont je ne suis pas fan de base, alors sur quelque chose qui me débecte rien que dans l’idée, laisse tomber. Je n’ai pas envie de m’infliger une telle souffrance.

  • Pour conclure, les 3 mots pour le/la définir ?

Beb : Aventureuse, généreuse et déterminée.

Gahahli : C’est… gentil.

Beb : Ah, je me dois de respecter un minimum mes propres personnages. Même s’ils font des bêtises ou se conduisent mal. Je dois les traiter comme si c’étaient mes enfants. Même si j’avoue que j’aurais de vrais enfants, je ne me permettrais jamais de leur infliger ce que t’as dû subir ces dernières années.

Gahahli : Bon, j’imagine que c’est mon tour de te définir en trois mots.

Beb : Ne t’y sens pas obligée, hein ! (à part) D’autant que je doute que ceux soient des mots gentils.

Gahahli : Culotté, insolite et … plutôt prévenant, je dois dire.

Beb : … … … Oh finalement, ça va !

Gahahli : Venant de quelqu’un qui fait subir à ses « enfants » assez de tourments pour toute une vie, c’est sûr !

10 « J'aime »

LeiKeiko : Tu es prête.
Æsma : Attends, j’enfile ma veste.
LeiKeiko : Toujours aussi fière de porter l’emblème hein ! [sourire vicieux aux lèvres]
Æsma : Quoi ? [observe avec suspicion] Qu’est-ce que tu as encore derrière la tête ?
LeiKeiko : Moi ? Rien du tout ! [regard fuyant et sourire en coin] Allé viens. Tâchons de ne pas être en retard, je déteste ça.
Æsma : [bougonne]


LeiKeiko & Æsma : Bonjour !!!

[Le journaliste invite les jeunes femmes à s’assoir sur le divan]

« Comment vous vous êtes rencontrés ? »

LeiKeiko : Lors d’un jeu de rôle.
Æsma : [arque un sourcil] Je croyais que c’était lors d’une soirée jeux vidéo.
LeiKeiko : Et bien officiellement, c’était lors du soirée jeu de rôle Harry Potter . C’est à partir de là, que j’ai commencé à concevoir ton personnage.
Æsma : [croise les bras]
LeiKeiko : Je m’adapte selon les univers. C’est tombé sur toi. Je pensais même pas un jour te recroiser.
Æsma : Sympa…
LeiKeiko : Puis il y a eu The Elder Scroll Online et enfin Shingeki No Kyojin.
Æsma : Et depuis, c’est parti en cacahuète.

*« Potes ou pas potes ? »

LeiKeiko: [ouvre la bouche, mais se ravise. Regarde Æsma]
Æsma : [Fusille du regard LeiKeiko]
LeiKeiko : [Sourit]
Æsma : [Plisse les yeux]
LeiKeiko : Attends t’es pas sérieuse, je croyais qu’on avait réglé le problème !
Æsma : [Imite Michael Kyle] Non.
LeiKeiko : [Roule des yeux]
Æsma : [Regarde le journaliste et pointe du doigt LeiKeiko] Ne faites jamais confiance à cette fille, c’est un monstre !
LeiKeiko : [Se gratte la tête] Bah, si je te malmenais pas un peu, ça serait vite ennuyant.
Æsma : Un peu ? Un peu ?! C’est de la torture ! D’ailleurs, j’ai vu ton regard derrière ton écran tout à l’heure, ça n’annonce rien de bon !
LeiKeiko : Je ne vois pas de quoi tu parles… Bref, on ne va pas s’éterniser sur la question ! nous sommes de très bonnes amies !
Æsma : Va te faire ■■■■■■ !
LeiKeiko : [Fait les gros yeux]

« Si il/elle était une musique ? »

LeiKeiko : Fleurissant dans la boue de Wolpis Karter
Æsma : Meuf t’es pas sérieuse ?! C’est pour ça que tu l’écoute régulièrement… [enfouie son visage dans les mains]. ■■■■■■ de ■■■■■, je m’attends au pire là.
LeiKeiko : Mais non, mais non [commence à rêvasser]
Æsma : On l’a perdu pour un moment. Bref, si elle était une musique… J’hésite [fouille les playlist Spotify] J’hésite. Puis-je être peau de vache ? Si oui, je dirais C ’est une ■■■■ de Fatal Bazooka !
Journaliste : [Ahuri]
LeiKeiko : [Hoche la tête avec un sourire niais]
Journaliste : [toujours bouche bée]

« Si il/elle était un film/une série ? »

Æsma : [Regarde LeiKeiko]
LeiKeiko : [Balance la tête de gauche à droite]
Æsma : Elle n’écoute même pas… [Claque des doigts]
LeiKeiko : [Ecarquille les yeux] Hein ? Quoi ?
Æsma : [Soupir bruyamment] Les trois mots pour le définir?
LeiKeiko : Hein, déjà ?! Mais j’ai pas encore répondu aux autres questions !
Æsma : Et bah fallait suivre !
LeiKeiko : Attends, attends, ça ne fait même pas dix minutes qu’on est ici !
Æsma : ■■■■■■ de ■■■■■, tu fais ■■■■■. [S’adresse au Journaliste] Bref, je dirais La Momie .
LeiKeiko : Ah tu me connais bien ! C’est mon film favori !
Æsma : J’ai seulement dis ça, parce que t’as la même tronche.
LeiKeiko : Quelle est vilaine, mais je te pardonne. Toi, tu serais… Kuzu No Honkai.
Æsma : Formidable. [Boude sans son coin]
LeiKeiko : Bah, j’aurais pu dire Shingeki No Kyojin, mais trop facile. D’ailleurs, tu avais répondu quoi à la question précédente ?

« C’est l’enfant de qui ? »

LeiKeiko : Jane Traum, anciennement chef d’une des divisions des Brigades Spéciales et Stephan, chef de famille et PDG de Traum Entreprise.
Æsma : C’est ç… Euh Traum Entreprise ? PDG ? Il est Chef d’Atelier idiote !
LeiKeiko : Oh ça va, je voulais donné un petit côté Bruce Wayne à ton papounet.
Æsma : Tu m’exaspère… D’ailleurs, je connais pas tes parents, comment ça se fait ?!
LeiKeiko : [Hausse les épaules] Parce que c’est moi ton créateur ?
Æsma : Mouais…

« Pourquoi ce nom ? »

Æsma : [Jette un coup d’œil discrètement vers LeiKeiko]
LeiKeiko : On va garder le meilleur pour la fin. LeiKeiko c’est le prénom composé de Leiko (enfant arrogant) et Keiko (enfant sage). Pourquoi ? Car dans la vie, tout n’est pas noir, ni blanc. Simple. Basique.
Æsma : [murmure timidement] Et moi alors ?
LeiKeiko : [tape des mains comme une enfant] Æsma. C’est un autre nom du démon Asmodée. L’Attaque des Titans, Paradis, les Démons insulaires etc… Donc, ça restait cohérent à l’univers.
Æsma : [recherche dans google] Le nom « Asmodée » viendrait de l’altération du nom d’un démon shitanavestique…, littéralement « Démon de la colère », qui pourrait aussi signifier en hébreu « Celui qui fait périr » [Fronce les sourcils] Euh…
LeiKeiko : C’est pas pour ça que je l’ai choisi. Regarde un peu plus bas [Montre du doigt le texte]
Æsma : Il est devenu l’ange déchu qui préside à tous les péchés de luxure [penche la tête]. Je ne comprends pas… [Regarde LeiKeiko].
LeiKeiko : [Sourit]
Æsma : Oh mon dieu … T’es vraiment une perverse ! Déjà que t’arrête pas d’enregistrer des images à foisons assez olé olé… Si ils apprenaient tout ça. Armin. Surtout Armin. Pauvre Armin.
LeiKeiko : Si tu savais.
Æsma : [Rougit]
LeiKeiko : Et là, tu penses à Eren. Ou peut-être Hansi. À moins que [Jubile] Je sais que tu as vu mon brouillon. Est-ce que par hasard tu penserais pas un peu au capitaine ? [Donne des coups de coude à Æsma]
Æsma : Ferme là ! Je veux même pas y songer une seule seconde. J’espère pour toi que ceci ne verra jamais le jour. Ce mec m’horripile au plus haut point et tu le sais !
LeiKeiko : Et pourtant ….
Æsma : [s’apprête à l’étrangler]

« Pour ou contre les fautes d’orthographes ? »

Æsma : [toujours les mains tendus vers le cou de LeiKeiko]
LeiKeiko : [Baisse les yeux honteux]
Æsma : [■■■■■■ de rire] Y’a encore beaucoup de boulot à ce niveau là.
LeiKeiko : Pas besoin de te moquer non plus.
Æsma : Arrête de foncer tête baissé aussi.
LeiKeiko : C’est toi qui dis ça ?

« Chapitres longs ou courts ? »

Æsma & LeiKeiko : Moyen.

« Une fanfic impossible ? »

LeiKeiko : À vingt ans…. rien n’est impossiiiibleuh.
Æsma : STOP !
LeiKeiko : Héhé. Oui, non, enfin ça dépend.

« Les 3 mots pour le définir ? »

LeiKeiko : Ingénieuse, ■■■■■■■ et amoureuse.
Æsma : Bordélique, sadique et pleurnicharde.
LeiKeiko : Pleurnicharde. Moi ?
Æsma : Aujourd’hui, tu as encore pleurer et cette fois-ci devant la review du chapitre 134. Et dans quelques jours, tu vas encore pleure pendant la lecture de la version française.
LeiKeiko : C’est faux ! [Larmes aux yeux]


En tout cas merci pour ce petit divertissement xD

7 « J'aime »

Yé ! En voilà un sujet divertissant ! Allez, je me lance à mon tour avec le personnage principal de la Fanfic sur laquelle je travail actuellement qui est inspirée de la série originale: « A Certain Scientific Railgun (To Aru Kagaku No Railgun) » : Arktos !
Bon divertissement à tous !

AMARU: Gné ?! C’est aujourd’hui l’interview ? RHaaaa [bâillement] et moi qui viens de me lever… Je prendrai bien un p’tit toast avant de commencer la journée…Ha ? T’es là aussi Arktos ? Quel bon vent t’amènes ? Tu tires une de ses tronches…
ARKTOS: Figures toi que je fus convoqué par un certain Amaru la veille, surexcité par le fait de passer une interview et qui m’a harcelé une bonne partie de la soirée d’hier pour que je vienne également alors que j’ai fort à faire ! Cet imbécile d’Achille s’est péter le talon en glissant dans sa salle de bain et j’ai dû assurer la gestion de son escouade de bras cassés toute la soirée. Sans parler de Misaka qui a pétée sa crise d’adolescente et à fuguée à nouveau…Quelle plaie. Et ce même Amaru que voilà vient de se réveiller comme une fleur ayant visiblement oublié la raison de ma visite et du pourquoi il aurait dût se lever un peu plus tôt ! Allez ! Active espèce de feignasse !
AMARU: Rhoooo…T’es pas cool mon p’tit Arktos, tu sais bien qu’il me faut du temps pour me préparer, surtout en cette journée si particulière pour toi comme pour m…
ARKTOS: Active !!!
AMARU: KIIYAAAAA !!! C’est bon, c’est bon ! Ne te fâches pas ! Pas la peine de m’envoyer tes décharges électriques, j’ai compris ! Bon, commençons daredare !

  • Comment vous vous êtes rencontrés ?

ARKTOS: Heuuu…On est vraiment obligé d’y répondre ? Pas de joker ?
AMARU: [Sourire sadique]RHHOOooo ? Tu ne leurs expliques pas ?
ARKTOS: Tu ne vas pas oser !
AMARU: Mais si ! Monsieur est un gros fan de Cosplay ! Vous l’auriez vu en soubrette avec ses oreilles et queue de chat ! Bien loin de l’image du bourrin spartiate que l’on se fait habituellement de lui ! Ho ! J’y pense, en plus il aurait pu avec sa dégaine être un héro de roman Love Bo…KIIIIYAAAAAA !!![Nouvelle décharge électrique]
ARKTOS: Je t’avais prévenu ! Bon je pense qu’il vous a à peu prés tout dit , Monsieur est un Otaku de la première heure et il a fallu que ce demeuré soit fan de ma série préférée et…[air embarrassé] il possédait des goodies rarissime que je rêvai d’avoir ! Hé puis nous avons sympathisé…Voilà.
AMARU: Ho ? Tu rougis Arktos ? [sourire moqueur]
ARKTOS: Question suivante !!!

  • Potes ou pas potes ?

AMARU: A la vie à la mort mon cochon !
ARKTOS: Va crever !
AMARU: Toujours rancunier hein ? Bon, sa dépend des jours, tantôt il a envie de me trucider, tantôt il à envie de… …Encore me trucider. Mais je l’aime bien quand même ! Tsundere va !
ARKTOS: Je vais te buter…
AMARU: Mais oui, mais oui…Question suivante !

  • S’il/Si elle était une musique ?

ARKTOS: Ne vous inquiétez pas pour lui, il se remettra de cette nouvelle décharge électrique…Je dois reconnaître qu’il est plutôt résistant le bougre. Bon où étions nous…S’il était une musique ?
Certainement « Le plein du vide de Xu Yi » tout comme la chanson c’est une coquille vide quand il n’y met pas du sien…Tiens ? il reprend ses esprits…Si nous passions à la question suivante si vous le voulez bien ?

  • S’il/Si elle était un film / série ?

AMARU: La vache j’en ai encore des fourmis sur tout mon corps…Brrrr! …Gné ? Un film ? Sans hésiter, Pokemon ! Lui et ses manies de vouloir toujours m’électrocuter, ça me fais furieusement penser à Pikachu ! Sauf que celui-ci est plus caractériel et beaucoup plus moch…Non ! Non ! Plus mignon ! J’ai dis mign…KYAAAAAA !!! [Et encore une nouvelle décharge]
ARKTOS: Next step !

  • C’est l’enfant de qui ?

AMARU: Whooaaa ! Comment je douille ! Houlàlà ! Je m’attendais pas à un interview aussi… électrique ! Bon, plus sérieusement: Arktos selon les écrits secrets de Thucydide, serait issu d’une très grande lignée de soldats spartiate à la puissance phénoménale et aux pouvoirs extraordinaires directement hérités selon les textes, des Atlantes eux même il y a bien des millénaires et leurs descendants auraient perpétué leurs savoirs.
Ses héritiers dont fait partis notre jeune ami sont appelé les Primordiaux et seraient également à l’origine du pouvoir des Espers que l’on connait actuellement dans notre société moderne…Pour en revenir à Arktos il serait le fils d’un des plus grands généraux Spartiate de son temps, s’étant notamment illustré durant la Bataille de Mantinée, en pleine Guerre du Péloponnèse et…
Hein ? Quoi ? Je vous l’avez pas dis ? Hé oui, Arktos ici présent à très exactement 2453 ans ! Mais il a conservé son apparence d’adolescent de 15 ans, fascinant non ?

  • Pourquoi ce nom ?

AMARU: Alors là…Je l’ignore totalement…Posez directement votre question au principal intéressé…Moi pour le moment je vais me prendre un petit remontant, tout ces chocs m’ont donné soif tiens !
ARKTOS: C’est mon père qui me l’a donné et le pourquoi je ne sais pas tellement…Chez nous les primordiaux de Sparte nous ne portons pas grand intérêt quant à la signification de nos prénoms…Probablement parce que à ce moment il revenait de la chasse, il a vu son Arc et vu qu’à ce moment là c’était branché d’avoir un prénom se terminant par -TOS il m’a appelé Arktos. J’en sais rien moi même ou peut être en hommage à un de nos ancêtre Atlante qui se nommait « Arkantos » mais pour des soucis de copyright il a dû me nommer ainsi…

  • Pour ou contre les fautes d’orthographes ?

ARKTOS: Je ne veux pas dire Amaru, mais en orthographe t’es plutôt une brêle, dire que t’es contre les fautes d’orthographes, venant de toi, ce ne serait pas un peu l’hôpital qui se ■■■■ de la charité non ?
AMARU: Ouai bha je fais se que je peux dans la mesure du possible hein ?
**ARKTOS:**Hé bien, on sera bien vite limité [air moqueur]
AMARU: « La bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe » !
ARKTOS: Qui a dit que tu était une colombe?
AMARU: [soupir] Question suivante !

  • Chapitres longs ou courts ?

ARKTOS: Long bien sur ! Pour mieux s’imprégner de l’Histoire, tenir en haleine notre public, faire des intrigues palpitantes, un condensé de rêves et de magies ! T’en penses quoi Amaru ? …Amaru ?
AMARU: Snif snif, moi qui pensait profiter de mon confinement pour rattraper mon retard sur les animés que j’ai loupé et m’avancer dans mes quêtes sur mes MMORPG favoris !!! Pour une fois que mon éditeur me laissait tranquille…
ARKTOS: Au boulot feignasse !!! Et sans parler de ta fanfic, je te signale quand même que tu arrives à la deadline pour les rendus de ton chapitre hebdomadaire de ta série !
AMARU: Mais heuuuuu…
ARKTOS: Il n’y a pas de mais ! Embraye !
AMARU; Bon…Snif…Question suivante…Snif !

  • Une fanfic impossible ?

ARKTOS & AMARU: D’après toi ? On est en train de faire quoi ?
AMARU: Elle est prévu pour une très longue période mais le temps de structurer les idées, de les mettre dans leurs contextes…Cela demande du temps…Et puis je dois admettre bien qu’il ait son caractère je m’en voudrais un peu de le faire apparaître sur une courte durée. on finit par s’y attacher.
ARKTOS: Tu sais que tu m’émeus parfois, toi ? Hein ? J’ai failli chialer !

  • Les 3 mots pour le définir ?

AMARU: Je dirais… …■■■■■■ ! Cupide et potentiellement Neu-Neu ! Ciao la compagnie ! Bizzarement j’ai une folle envie de faire de la course à pied pas vous ?!
ARKTOS: [tremblant de rage] Amaru… Espèce de sale petit morveux…Amaru ! Je vais te faire la peau ! Reviens ici et affronte ton destin débile tu m’entends ! Amaru !!!

En espérant que cela vous a plu, je vous souhaites une bonne soirée à tous, portez vous bien et à très bientôt !!!
Petit bonus, voilà un chara design de notre cher Arktos !

9 « J'aime »

Mais trop ! :joy: Quand tu auras du temps (et moi aussi xD) on pourrait essayer de faire quelque chose de ce côté-là, ça pourrait être TRES drôle :joy:

2 « J'aime »

Mais carrément !! Un petit crossover sorti tout droit de notre imagination loufoque :joy: on va laisser passer le Nanowrimo et on verra ensuite ^^

3 « J'aime »

Yep ! ^^ Et du coup, ça me donne envie de créer un concours sur wattpad, tiens… :thinking:

2 « J'aime »

Tu voudrais faire un concours sur quel style ? Ça peut être une bonne idée !

2 « J'aime »

Go passer discord pour en parler pour pas flooder ici, vu que je compte mettre ça sur wattpad et que en plus c’est pas le sujet ici^^

3 « J'aime »

… J’arrive après la bagarre… Mais ce sujet m’a complètement remotivée, donc un grand MERCI !!! (La reprise va être probablement longue mais me voici de nouveau sur les rails de l’écriture, en partie grâce à cette InteReview, en partie grâce à vos très gentils conseils sur un autre sujet. :yellow_heart: :heart: :blue_heart:)

ALRESHA : Bonsoir, je suis Alresha, alias Allie, fanfiqueuse intermittente et un peu intimidée d’être là ce soir…

LUCY : … et moi, je suis Lucy, pas spécialement intimidée mais plutôt curieuse. En fait, pour être honnête, je ne suis venue ici que dans un seul but : apprendre ce que tu vas faire de moi dans ta prochaine fic (que j’attends, entre parenthèses, depuis des années).

ALRESHA : … et si on passait à la première question ?

1) Comment vous vous êtes rencontrés ?

ALRESHA : Tout à fait par hasard, alors que je cherchais à expliquer certaines différences entre le personnage de Spock dans la série Star Trek des années 60, et le Spock des années 2000. A l’époque, je connaissais très mal le fandom, et j’ai tout simplement imaginé une demi-sœur au personnage, sans savoir qu’il avait déjà un demi-frère.

LUCY : Pour l’intérêt qu’il a…

ALRESHA : … Bref, je voulais tout simplement que le Spock sur lequel j’entendais écrire ait vécu un traumatisme – en l’occurrence, la mort de sa sœur.

LUCY ( choquée ) : Pardon ?

ALRESHA : Oui, désolée de te l’apprendre, mais, au départ, je ne t’ai créée que pour te faire mourir. Le jour de tes dix-huit ans.

LUCY ( se levant, main tendue vers l’écran ) : Je ne suis pas certaine que cet interview soit une bonne idée, en fait…

ALRESHA : Attends deux petites secondes ! Je m’apprêtais à ajouter : ensuite, je me suis tellement attachée à toi que j’ai eu envie de raconter ta vie, de me pencher sur votre enfance, à Spock et à toi. Résultat : plus de 110 000 mots, répartis sur trois histoires… et ce n’est pas terminé !

LUCY ( la main toujours tendue ) : Et me ressusciter, ce n’est pas envisageable, plutôt que de te la jouer Arthur Conan Doyle avec son Chien des Baskerville ?

ALRESHA : Honnêtement, je traverse une phase assez difficile en ce moment en ce qui concerne l’écriture et…

LUCY ( se rasseyant avec un soupir ) : Et tu es une grosse faignante. Compris. Ça fait plaisir.

2) Potes ou pas potes ?

LUCY : Etant donné la réponse à la question précédente, je me dispenserai du moindre commentaire à ce sujet.

ALRESHA : Tu dois bien comprendre que le personnage qui m’intéressait, c’était Spock, pas toi ! Au départ, tu n’étais qu’un prétexte…

LUCY : De mieux en mieux !

ALRESHA : Et puis… et puis tu as pris de plus en plus de place dans mon esprit, je n’arrivais pas à te sortir de ma tête, tu t’invitais un peu partout, et plus j’apprenais à te connaître, plus je te trouvais… disons… fascinante. Je t’assure que je regrette vraiment de t’avoir fait mourir si jeune.

LUCY : Non, mais on va quand même répondre « pas potes », hein.

3) Si elle était une musique ?

LUCY : « Moons of Verala » ! C’est un morceau génial, et…

ALRESHA ( avec un soupir ) : La question porte sur des musiques que les auditeurs peuvent connaître, Lucy. Pas une chanson du XXIIIème siècle joué par un groupe d’Orions sur des instruments absolument inconnus des humains.

LUCY : Ah. Alors, choisis, je ne connais pas la musique de vieux.

ALRESHA : J’imagine que je l’ai bien cherché. J’hésite entre « Protect me from what I want » de Placebo…

LUCY : Mais tu te dis que ça irait mieux à mon frère, non ?

ALRESHA : Oui. Je vais donc dire « Sad but true » de Metallica.

LUCY : … OK, ça me va.

4) Si elle était un film / série ?

LUCY : Mulan .

ALRESHA ( interloquée ) : … Pardon ? Ce n’est pas « un truc de vieux », peut-être, Mulan ?!?

LUCY : Absolument pas, c’est un grand classique. Ou alors Rebelle . En tout cas, un film qui montre une fille qui s’en sort toute seule et qui ne se préoccupe pas des règles.

ALRESHA : Je crois que vous avez compris le genre, non ?

5) C’est l’enfant de qui ?

ALRESHA : Euh… je ne peux pas répondre à cette question en quelques secondes, c’est trop compliqué. Je vais donc partir du principe qu’il s’agit d’une interrogation métaphorique et répondre que Lucy est la fille cachée de Ripley…

LUCY : … ah oui, pour les films, Alien , ça marche aussi.

ALRESHA ( perplexe ) : Mais je n’ai pas vu Alien ! Comment pourrais-je choisir ce film pour te définir alors que je ne l’ai jamais vu ?

LUCY ( avec un petit rire ) : Parce que tu t’imagines que je n’ai pas une vie en dehors de ton esprit ? Tu es bien naïve. Je te laisse me trouver un père métaphorique.

ALRESHA : Euh… Cyrano de Bergerac, pour le panache et le sacrifice ?

LUCY : Ça me va aussi.

6) Pourquoi ce nom ?

LUCY : En voilà une bonne question !

ALRESHA : Je suis fascinée par l’étymologie et je voulais un prénom qui évoque la lumière : Luce, Lucie, Lucy… Comme tu descends d’une famille américaine par Amanda, j’ai choisi la version anglo-saxonne.

LUCY : Pourquoi la lumière ?

ALRESHA : Parce que tu es radieuse et que tu as illuminé la vie de ton frère durant toute votre enfance.

LUCY : … je peux changer ma réponse à la question « pote ou pas pote » ?

7) Pour ou contre les fautes d’orthographes ?

ALRESHA ( bras croisés, sourcils froncés ) : Je vous rappelle que je suis prof de français.

LUCY ( bras croisés, sourcils froncés ) : Je vous rappelle que j’ai été élevée sur Vulcain.

8) Chapitres longs ou courts ?

ALRESHA : Jusqu’ici, longs. Trop longs, probablement. Je suis en train, comme je l’expliquais plus haut, de traverser un petit passage à vide en ce qui concerne les fanfictions et j’envisage de passer au format court pour me remotiver.

LUCY ( goguenarde ) : … et écrire « Lucy in the sky », comme promis ? Avec des chapitres de moins de 3000 mots que tu ne publierais pas tous les trois cents ans ?

ALRESHA ( avec un soupir ) : Entre autres.

LUCY : OldGirl t’avait même fait une magnifique couverture, et toi, tout ce que tu as trouvé à écrire, c’est deux misérables chapitres ! ( Prenant les spectateurs à témoin. ) Regardez, elle n’est pas magnifique, cette couverture ?

ALRESHA : Mais si, bien sûr que si ! C’est juste… compliqué.

9) Une fanfic impossible ?

ALRESHA : J’aimerais répondre « une histoire dans laquelle Lucy survivrait après ses dix-huit ans », mais…

LUCY : Mais quoi ? Ça me semble une excellente idée.

ALRESHA ( après une grande inspiration ) : En fait, « Lucy in the sky » parle exactement de cela : de ta résurrection. Je t’offre un moyen de survivre, un vaisseau, un équipage, des missions dangereuses, des amis exceptionnels et même une histoire d’amour, si tu veux.

LUCY ( suspicieuse ) : Je ne sais pas pourquoi, mais je sens venir l’arnaque…

ALRESHA ( l’air innocent mais détournant le regard ) : Je ne vois absolument pas ce qui te fait dire ça.

LUCY : Tu ne me regardes pas dans les yeux.

ALRESHA : Tu la veux, cette fic, ou non ?

LUCY : Bien sûr que je la veux !

ALRESHA : Cela impliquera certains sacrifices, tu en as conscience ?

LUCY : Quel genre de sacrifice ?

ALRESHA ( les yeux au plafond, l’air profondément embarrassée ) : Il se pourrait, par exemple, que le vaisseau dont il est question ne fasse pas partie de Starfleet. Que ton équipage soit composé d’une équipe hétéroclite de Klingons, Andoriens, Orions et humains un peu… spéciaux. Que ton histoire d’amour ne soit pas avec Fali. Et, oh, j’oubliais, que tu sois séparée de Spock. Pour très longtemps.

LUCY : Tu sais que tu m’as créée impulsive, particulièrement sensible à l’injustice et très douée en arts martiaux, n’est-ce-pas ?

ALRESHA : Pourquoi crois-tu que j’aie tant insisté pour répondre à cette interview en visioconférence ?

10) Les trois mots pour la définir ?

ALRESHA : J’aurais assez envie de répondre « le plancton », pour les fans de Kaamelott , mais je vais plutôt choisir « têtue », « loyale » et « ingénieuse ».

LUCY : Ne t’imagine pas que tu vas t’en tirer par cette basse flatterie.

ALRESHA : A toi de choisir tes trois mots.

LUCY : « Humaine ». « Illogique ». Et « fascinante ».

ALRESHA ( sur une impulsion ) : Lucy. Je suis vraiment désolée.

LUCY ( haussant les épaules ) : Tu sais ce qu’il te reste à faire pour te faire pardonner…

ALRESHA ( fataliste ) : Oui, je sais.

9 « J'aime »

C’était beaucoup trop adorable, mon cœur a fondu comme un marshamallow laissé sur le feu. :sob:

Et je me fais la remarque qu’on est très nombreux et nombreuses à avoir une relation… disons, « amour-haine » avec nos personnages ! :smiley: Se pourrait-il qu’il y ait des études sociologiques/anthropologiques/psychologiques à ce sujet ? :smirk:

6 « J'aime »

C’est faux.
J’adore mon OC et, si elle avait conscience que je suis là, elle m’aimerait aussi. C’est obligé ! :smiley:

Bon, sauf que j’ai pas fait mon coming-out, et du coup, elle pense encore qu’elle est maîtresse de son destin. :rofl:
Je n’ai pas hâte de lui casser ses illusions, elle est si mignonne.

6 « J'aime »

J’ai envie de faire l’interview de Raeni… mais j’ai déjà fait celle de Klothild… c’est tellement drôle à faire…

3 « J'aime »

Qu’est-ce qui t’en empêche? Moi je me tâte à faire celle de Kogan à l’occasion :slight_smile:

2 « J'aime »

Bon bah si on peut je la lui fais dans la soirée ! Elle va être ravie :joy:

2 « J'aime »

(Je suis tombée sur ce sujet plutôt intriguant et bien rigolo, donc, je vais m’essayer à l’exercice !)

Je vais inviter « L’empathe », de ma fic Arkenheart, sur le Hobbit. Elle n’est pas encore sur ce site, mais elle arrivera avec sa réécriture.


Un homme très âgé avance vers la scène, poussé avec beaucoup d’ardeur par une jeune femme.

DreamingHat : Allez ! Plus vite ! Tu ne peux pas passer ta vie dans une grotte !

L’Empathe : Partons ! Il n’y a rien de bon ici pour moi.

DreamingHat : Mais si ! Tu verras. Présentes toi, laisses-les te connaître un peu ! Qui sait, tu leurs plairas peut être ?

L’Empathe : Me présenter ? Je n’ai plus de nom à leur donner. Plaire ? Dans quel but ? Mon histoire n’est même pas présente ici.

DreamingHat : Ça viendrait plus vite si tu y mettais un peu d’effort ! Maintenant, on y va !

  1. Comment vous vous êtes rencontrés ?

L’Empathe : Rencontrés ? C’est ainsi que vous nommer cela ? Cela n’avait rien d’une rencontre. Il s’agissait d’une malédiction ! Ni plus, ni moins !

DreamingHat : (rire gênée) Ne l’écoutez pas, il était perdu. Il errait sans raison, je me suis approchée et je lui ai demandé un peu d’aide pour des amis.

L’Empathe : Des amis ?! C’était des nains ! D’effroyables nains, pleins de sombres pensées. Je regrette chaque jour d’avoir un jour suivit cette femme.

DreamingHat : Mais depuis tu as une raison d’être !

L’Empathe : Tout ce que j’ai depuis ce sont des maux de têtes et beaucoup de tourments !

DreamingHat : Aie, la vérité blesse. Je te promets un meilleur avenir ! (sourire innocent). Question suivante ? S’il vous plait…

  1. Potes ou pas potes ?

L’Empathe : L’amitié ne m’est pas permise. Je ne vis que pour moi-même, dans la solitude et dans ma caverne ! D’ailleurs, j’y retourne ! Il y a bien trop de pensées ici !

DreamingHat : (le retenant) Non, non ! Moi, je t’apprécie sincèrement. Je sais que tu as besoin d’être à l’écart de tout. Mais, je m’attache tout de même avec l’espoir que tu finisses par goûter à la vie.

L’Empathe : Je dois avouer, j’apprécie votre compagnie fortement éloignée.

DreamingHat : Du coup on peut compter comme potes ?

  1. S’il était une musique ?

DreamingHat : Hum, voilà une question bien compliquée.

L’Empathe : À quoi bon me faire souffrir la présence des vivants si vous n’êtes pas capable de répondre à leurs questions ?

DreamingHat : Fear the dark, d’Iron Maiden. Il a peur de tout ce qui vit, tout ce qui l’entoure. Tu sais, tu ne pourras jamais avancer si tu vis toujours en regardant derrière toi ?

L’Empathe : Très bien. Journaliste. Imaginez une comptine, une horrible comptine, celle qui reste dans vos mémoires et hante vos journées. Elle ne vous lâche plus, c’est bon ? Elle pourrit votre existence ? Et bien voilà, c’est tout à fait elle !

DreamingHat : Hmpf ! Je sais que tu as dit ça sous la colère. Je te connais mieux que ça. Passons !

  1. S’il était un film ou une série ?

DreamingHat : Deux frères je pense, l’un des tigres est comme ses mauvaises pensées, sa peur constante et son côté aigri. L’autre frère c’est son bon fond, qui au final, va apporter la paix au deux.

L’Empathe : Vous continuez de croire que j’ai un avenir malgré tout. Je ne crains que vous ne me rappeliez ce film : Nerverland. Vous êtes comme cet homme, toujours à sortir des histoires, des petits rien qui rendent heureux au lieu de voir les problèmes en face !

DreamingHat : Je ne sais pas trop si je dois dire merci ou pas, là ?

  1. C’est l’enfant de qui ?

DreamingHat : Oula, non, non fallait pas demander ça…

L’Empathe : Ah ! Voilà ! Nous revenons toujours au cœur du problème ! Qui-suis je ? Si seulement je m’en souvenais ! Si seulement j’étais plus qu’une âme meurtrie…

DreamingHat : Vite, vite la suite avant qu’il ne nous fasse un monologue !

  1. Pourquoi ce nom ?

DreamingHat : Mais,… Vous le faîtes exprès ma parole ?

L’Empathe : Ce n’est pas un nom, mais un titre voyez-vous. J’ai perdu mon nom en même temps que mes souvenirs. Lorsque je déambulais dans les ruines de la guerre, j’absorbais les souffrances des vivants et des morts. Tant de peine… Je suis comme une éponge au milieu d’un lac de larmes. Pitiez, que l’on m’assèche…

DreamingHat : (murmure) voyons voir si on peut détendre l’atmosphère… Et mon nom ? Sais-tu au moins d’où il vient ?

L’Empathe : N’avez-vous pas simplement levée la tête et aperçu votre couvre-chef ? Et votre couleur préférée, le vert. Le reste rejoint votre film !

DreamingHat : Ouais… Ouais… Tu sais, génial. Ça parait bof quand tu le dis comme ça.

  1. Pour ou contre les fautes d’orthographes ?

L’Empathe : Contre ! Une moindre faute dans une formule et vous faites brûler le village !

DreamingHat : Je vais dire contre aussi, mais j’en fais beaucoup malgré moi.

L’Empathe : (regard plein de déception et de jugement) Évidemment.

  1. Chapitres longs ou courts ?

DreamingHat / L’Empathe : Longs !

L’Empathe : Le plus long que faire ce peut. Le voyage doit continuer car lorsque l’on arrive à la fin, il n’en reste rien, il n’y a plus aucune saveur…

DreamingHat : Une fin est obligatoire, elle sera toujours un nouveau départ !

  1. Une fanfic impossible ?

L’Empathe : (les yeux plissés, un sourire moqueur aux lèvres) Une fanfiction terminée ?

DreamingHat : OH ! Oh ! Alors là ! Oh c’est petit ! Je ne m’attendais pas à ça venant de toi !

L’Empathe : Vous auriez du me laisser dans ma grotte si vous aviez peur des vérités.

DreamingHat : Des vérités !?! Pardon ! Je te signale que je viens de finir et publier une fic !

L’Empathe : Une réécriture, parce que vous avez une séquelle en tête. Donc, l’histoire n’est pas terminée… Et moi ? Nous attendons la fin de notre voyage depuis combien d’années déjà ? 6 ? 7 ans ? Allons, ne vous voilez pas la face…

DreamingHat : Aucune fic n’est impossible ! hum… Sauf peut-être du Fluff… Enfin, ce n’est pas le sujet !

L’Empathe : Si, justement, c’est là le sujet.

DreamingHat : Oh ! mais, Grr ! Je finirai ta fic ! Et tu sais que tu seras dans la suite !

L’Empathe : Encore une fois, une suite. Je connais les voies de l’avenir, et je sais qu’il y aura toujours, une suite.

Et le dernier qui conclut l’interview :

  1. Les 3 mots pour le définir ?

DreamingHat : Dépression, espoir et trans-fandom ?

L’Empathe : Trans-fandom ?

DreamingHat : Je ne te l’ai pas dit ? Je te prédis un grand avenir. Tu le rejoindra « Lui ».

L’Empathe : « Lui » ? Oh, tu as donc une si haute estime de moi ?

DreamingHat : (souriant à ce tutoiement) Oui.

L’Empathe : Soit, vous voulez trois mots ? Gentille, Panda, Dragon.


Et c’est ainsi que se termine mon InteRview avec l’Empathe. Je me suis beaucoup amusée, je reviendrais sans doute avec mon deuxième et dernier OC.

6 « J'aime »