Voilà la mise à jour mensuelle, on commence à s’y faire !
Chapitre XIII
Où l’innocence s’accorde un instant avant de disparaître.
Petite ellipse, certes, mais aussi petite progression dans l’intrigue. On amorce la fin de l’arc des « exposés » comme je le surnomme, qui était, à mon sens, juste un prétexte pour débuter cette histoire.
À présent, les choses vont s’accélérer, je présume ? À voir dans les prochains chapitres !
Retour sur la chanson Sayonara gokko (Jouer aux aurevoirs) que l’on a rencontrée pour la première fois dans le Chapitre VI !
Si, lorsque tout sera fini,
tu as besoin de partager avec quelqu’un,
je serai là pour toi.
全てが終わったら 分かち合うために
誰かがいるでしょう 僕がいるでしょう
Je dois admettre que cet extrait a été retors à traduire, puisque je ne savais pas du tout comment lier les éléments entre eux. La faute à la grammaire un peu aléatoire du japonais, je présume ?
Je reviens sur deux-trois petites choses !
Je viens de procéder, avant la publication de ce chapitre, à une vérification de la mise en forme des douze autres, ainsi que du prologue. Le problème était que je n’avais noté nulle part la mise en forme (heading etc.) du texte, et donc parfois certains chapitres divergeaient dans leur apparence générale. Normalement, tout est corrigé, et je m’excuse par avance pour le spam sur le carrousel !
Ensuite, j’ai finalement opté pour une modification de l’extrait du prologue ! Un autre, plus « logique » dirons-nous, a remplacé donc l’extrait de Sous l’affiche d’un film pornographique. J’ai nommé Monologue !
Cette histoire est une fiction.
Toute ressemblance avec des événements,
des organisations, ou des personnes existants
est une coïncidence inévitable.
Mais la réalité est bien plus cruelle.
この物語はフィクションであり、現在する事件、団体、人物との
いかなる類似も必然の一致だ
だが現実の方がよっぽど無慈悲だ
Monologue (独白, Dokuhaku) est un excellent morceau à mon sens. Inscrite dans la continuité de la narration du concert New logos order (新言語秩序, Shingengo chitsujo), elle est donc le monologue de l’un des protagonistes, qui se rebellent contre le monde dans lequel ils évoluent. L’orateur de ce monologue prend le micro, et entame cette longue tirade parlée (slammée ? rappée ?).
Dans sa version album, il existe une version censurée (où la voix est modifiée pour n’être compréhensible qu’à quelques rares passages, et lorsqu’on lit les paroles, elles sont presque toutes notées de XXX sauf pour ces mêmes passages), ainsi qu’une version non-censurée.
Dans la version interprétée en concert, et c’est là que je la trouve la plus formidable, les paroles finales (« Reprenez vos mots ! » ; 言葉を取り戻せ, kotoba wo torimodose) sont scandées à bout de voix, comme un ordre.
À la première écoute, je n’ai pas apprécié cette chanson, pour la seule raison que j’avais la version censurée, et qu’elle était très déplaisante à l’oreille. Je l’ai donc laissée dans l’oubli, sans trop me pencher dessus. Je crois que je ne l’avais jamais écoutée dans son entièreté.
Là où j’en suis tombée amoureuse, c’était lors de l’interprétation qui en a été faite lors du concert « À toutes ces nuits qui n’ont pu devenir notre futur » (未来になれなかった全ての夜に。,Mirai ni narenakatta subete no yoru ni) ; Monologue était la dernière chanson prévue, et comme dans le concert précédent (New logos order), elle devait clore en beauté dans ces cris scandés par le chanteur. Dans les derniers accords, Akita Hiromu se met à crier quelques mots, comme il le fait souvent en guise de « pont » entre ses chansons, et répète encore une fois le titre du concert, avant d’entonner la toute dernière chanson, composée spécialement pour l’occasion, À cette nuit qui n’a pu devenir notre futur (未来になれなかったあの夜に, Mirai ni narenakatta ano yoru ni), et qui est elle aussi extrêmement poignante, mais je reviendrai dessus à l’occasion, puisqu’elle sera très certainement utilisée en guise d’extrait !
Bref, ma première écoute de la chanson dans sa version non-censurée m’a fascinée, et depuis je l’écoute encore et encore. Elle est juste formidable, mais je pense que je m’égare et que ce que je raconte ici n’a pas de réelle importance.
DONC.
Monologue ; non-censurée
Monologue ; censurée
Et pour finir, si je ne vous ai pas encore perdu(e)s jusque là, je viens ajouter un peu plus d’informations diverses et variées !
Rappelez-vous, dans le post précédent, j’évoquais l’origine du nom de Tikki. J’ai fait totalement fausse route, à vrai-dire, et j’ai enfin trouvé le sens derrière ce nom !
Les tikis sont des statuettes que l’on retrouve dans les îles de Polynésie. Dans la culture polynésienne, ces statuettes représentent « Tiki », l’ancêtre des Hommes, être mi-humain, mi-divin. De fait, il s’agit de la première personne humaine selon ce peuple.
Puisque les kwamis ont une consonne de doublée (ou dans le cas de Nooroo et de Dusuu, une voyelle), de tiki on passe à tikki, donc Tikki.
Quant à Symphogear, c’était la même origine (ici donc Tiki est la première femme, en opposition à Adam), et ça fait en plus doublon avec le mécanisme d’Anticythère (Antikithera en grec ancien). Mais nous ne parlons pas de Symphogear ici.
Voilà voilà !
Sachez que je travaille (ENFIN !) sur les traductions des paroles dans leur intégralité. J’ai fini de traduire Sous l’affiche d’un film pornographique, et il faut encore que je m’attelle à celle des neuf autres chansons choisies jusque là, avant de pouvoir vous les fournir. Je pense à faire un post spécifique dans ce topic, qui les regrouperait, avec des liens pour les écouter et, si ça vous intéresse, les paroles dans leur version originale (en caractères japonais et en transcription, peut-être ? )
Le Chapitre XIV est donc d’ores et déjà fini, et j’attends la fin de la rédaction du XV pour vous le publier ! J’espère que ça se fera rapidement, puisque c’est un chapitre qui va grandement faire avancer l’intrigue !
À très bientôt, je l’espère, et bonne lecture !