[Miraculous Ladybug] Fanfiction « Sous l'affiche d'un film pornographique »

Le Chapitre XI avance tranquillement, c’est l’occasion pour moi de vous sortir le Chapitre IX ! :smiley:

Où la peur engendre le doute, et où le doute engendre de l’espoir.

Comment va se finir ce duel entre Chat Noir et l’inconnue qui l’assaille ? La réponse dans ce chapitre, et plus si affinités ! :kissing_heart:


Et on fête la première occurrence de Death Game (デスゲーム, desugēmu) avec ce chapitre ! Et voici donc les paroles !

Qu’y a-t-il au-delà des trois cent soixante-cinq jours de rires moqueurs ?
Celui qui tord nos cous est quelqu’un qui vit parmi nous.
On ne peut s’échapper avec notre pessimisme ;
Il y a à notre époque un cercle fermé de suspects.
Qui est le fautif ? Qui est le fautif ?

冷笑の365日の向こうに何がある?
僕らの首を絞めてるのは この中に居る誰かだ
悲観主義では逃げ出せない 時代のクローズドサークル
悪い奴は誰だ 悪い奴は誰だ

C’est une « vieille » chanson qui date de 2011, et est sortie dans le premier album, Sennen kōfuku ron (千年幸福論, « Théorie du bonheur qui durera mille ans »). Je l’ai découverte par pur hasard en découvrant cet album il y a quelques mois et AH ce refrain, chanté/parlé si vite, j’en suis folle.

Cet extrait est issu du premier et deuxième refrain, et je trouvais que la simple phrase du « Qui est le fautif ? » suffisait à illustrer ce chapitre… :smiley:

La seule version que j’aie pu trouver sur Youtube est celle-ci, sous-titrée en espagnol, mais no habla español donc j’ignore ce qu’elle vaut. :woman_shrugging:
Je garde toujours en tête le projet de vous fournir une traduction complète des chansons mentionnées dans les chapitres avec un lien d’écoute, mais ça attendra cet été au moins !


Sur ce, je tente de me remettre au boulot (le mémoire n’attend pas), et je vous laisse encore un peu plus trépigner d’impatience… :kissing_heart: (mais avouez que la fin de ce chapitre est moins frustrante que celle de la semaine dernière !)

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Se dice « no hablO espanol » :wink:

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(alors il y en a une qui conjugue mal le verbe, et une autre qui transforme le n avec tilde en gn, c’est quoi ce massacre ? :joy:)

Por favor @BakApple, n’écorche pas cette si belle langue, ou bien moi et les sept années d’espagnol que je traîne avec moi, on ne va plus répondre de rien :upside_down_face:.
No habla español, grammaticalement, c’est correct, mais ça veut dire il / elle ne parle pas espagnol ; pour je c’est hablo, comme l’a gentiment précisé @ensorceleurisee ! :wink:

(… Je viens d’ailleurs seulement de remarquer que ton @ n’était pas ensorceleuse mais ensorceleurisee, mdr mais comment j’ai fait pour pas le noter plus tôt ? :sweat_smile:)

Bon, je ne promets rien, mais je vais essayer de rattraper mon retard dans les chapitres de la fiction prochainement ! Merci pour la traduction et ces détails que tu nous offres, @BakApple !

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Ouais bah vous savez quoi ?
:arrow_right: ワリィけど、スペイン語話せないんだゼ。
VOILÀ. èwé

J’ai fait allemand LV2 pendant sept ans, je sais encore dire « j’ai mangé son père », et je sais juste dire soy patatas fritas en espagnol, ET ENCORE je suis même pas sûre que ce soit grammaticalement correct. x)
En tous les cas, merci de vos précisions. Je tâcherai de m’en souvenir. :kissing_heart: Heureusement que je peux compter sur vous deux ! :heart:

Je me suis fait la réflexion. « Quand Marie s’en sortira avec tout son boulot, elle aura au moins quatre chapitres à rattraper, elle va pleurer du sang. » Du coup, tiens-moi au courant de ton état physique ! :smiley: (surtout que j’ai remarqué que plus le temps passe et plus les chapitres sont longs… :sweat:)
En tous les cas, comme d’habitude, prends ton temps pour lire et rattraper le retard ! Rien ne presse ! :kissing_heart:

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Ce massacre c’est le correcteur automatique du smartphone :sweat_smile: Pas moyen d’avoir un tildé avec …

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Ah ah, ne t’inquiète pas, je vous taquinais juste, @BakApple et toi ! :grin:

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Ouah, j’adore tes illustrations! Et ça permet d’imaginer mieux encore la transformation! Tu as déjà fait du dessin auparavant? Et, petite question, qu’est-ce que veulent dire les caractères (je suppose japonais) en haut à gauche du premier dessin?

:flushed: Wow, je t’admire là! Même si l’espagnol est réellement une belle langue, je rame toujours à faire ne serait-ce qu’une phrase correcte. Et je ne parle pas du vocabulaire frôlant la catastrophe! :rofl:

Hâte de lire le chapitre neuf en tout cas! J’aime beaucoup les paroles de « Death Game », elles dégagent une impression d’ironie caustique que j’apprécie; enfin, ce n’est que mon avis. Je me demande bien quel va être le rapport avec le chapitre… :thinking:

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Merci ça fait plaisir !
Je dessine depuis un paquet d’années mais ne suis pas si douée que ça. Je suis une bille en proportions, et donc quand je dois dessiner des corps, même juste des visages, je fais souvent appel à des bases que je décalque pour avoir une base solide et bien construite. :stuck_out_tongue: Une fois n’est pas coutume, j’en ai utilisé une pour dessiner Valentine !

Tu as vu juste, c’est bien du nippon ! J’ai la fâcheuse habitude de prendre des notes comme ça, ça rajoute trois fois rien, mais bon. x)
Du coup :

  • 正面 : avant
  • 後ろ : arrière
  • ケープ無し : sans cape
  • ケープ有り : avec cape
  • 足横 : pied [vu] de côté

Qu’attends-tu dans ce cas ? :stuck_out_tongue:

Elles prennent leur sens quand on sait qui est qui… ce qui veut dire que vous êtes tous à même de comprendre ! :stuck_out_tongue: Je n’en dis pas plus, et te laisse la surprise intacte pour que tu la savoures davantage !

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Rattraper mon retard de lecture! :rofl: J’ai deux ou trois autres histoires que je dois lire avant parce que ça fait un bon moment que je dois m’y mettre, mais je compte bien profiter du vendredi férié!

Bah, niveau dessin, ça ne peut pas être pire que moi! Perso c’est la symétrie qui me pose problème! Récemment, j’ai essayé de dessiner les visages de certains de mes OCs, mais je n’ai jamais réussi à placer le deuxième œil correctement. :grin:

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Hop, hop, hop !
Après presque trois semaines, voici la dernière mise à jour !

Chapitre X

Où les sentiments s’entremêlent dans un ballet déchirant.

Je préviens ici : le chapitre ne s’affiche pas dans le carrousel car il est MA, et contient du lemon. (c’est cadeau, promis c’est pas du PWP)


L’extrait du jour, tout beau tout frais, et riche en émotions :

Je suis heureuse autant que je suis triste.
Je mets du maquillage sur la vacuité.
À la fin, l’embrasement du ciel au couchant
teint mes joues en rouge pour moi,
puis me dit que je suis belle.
Des souvenirs des bons moments
ferment ma bouche et me taisent,
en me disant de ne regarder que le présent.
Ah, ah, ah, alcool, tombe…

はしゃいだ分だけ寂しい 空虚に化粧ほどこし
夕映えが最後に 頬を赤く染めてくれる
そしたら綺麗と言って 良かったころの思い出
口を塞いで黙らせて 今だけ見ろって
ア ア ア アルカホール フォール
ア ア ア アルカホール フォール

Alcool (アルカホール, Arukahooru), extraite du dernier album, Boycott, illustre notre chapitre de la semaine !
Je pense qu’il est facile de trouver le lien entre l’extrait et l’histoire dont il est ici question !

D’après une interview de Akita Hiromu, homme à tout faire et chanteur du groupe, cette chanson a été écrite lorsqu’il était ivre. C’est « une chanson d’alcoolique ».
De ce que disent les paroles, et de ce que j’en interprète, la chanson nous évoque une femme qui ne se sent pas à sa place, et qui est rongée par les remords et regrets de l’époque où tout allait bien.
Je doute que cet extrait trouvera sa place au début d’un chapitre, mais je voulais aussi vous partager le second refrain, que je trouve tout aussi puissant que le premier (celui dont il est question ici !) :

Quand j’étais petite, ma mère m’a dit que j’étais un ange.
Donc j’ai glissé hors du Paradis, et suis tombée dans cette pièce.
Mes ailes s’étaient déjà détachées,
et maintenant je ne me sens plus de voler.
C’est pourquoi je suis désolée, maman.

Un jour, je trouverai le temps et le courage de traduire l’entièreté des chansons utilisées dans cette fic. Un jour. On y croit.


Sur ce, je ne vais pas plus m’attarder, bien que je pourrais vous raconter pendant des heures pourquoi j’aime tant cette chanson et ce chapitre. Je vous souhaite donc une bonne lecture, en attendant la publication du prochain chapitre ! :smiley:

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Plus le temps passer et plus les publications sont espacées. Tristesse.
En tous les cas, voilà un petit nouveau, histoire de fêter le dépôt du mémoire ! :partying_face:

Chapitre XI

Où attaquer sur deux fronts permet de percer les défenses ennemies.

L’intrigue avance, les pions se mettent en place ! On espère que les tours vont bien défendre le roi et la reine ! :chess_pawn:


Aujourd’hui, première occurrence de Kuudou Kuudou, traduit « Cavité, cavité » (mais que l’on pourrait aussi traduire par un sobre « Cavités », c’est selon l’interprétation).

Le désespoir et toi, côte à côte,
tournant le dos à la désespérance ;
Partageant un train avec le néant,
tu rates ton arrêt pour le bonheur.

絶望と君、隣りあわせ
自暴自棄とは背中合わせ
がらんどうが乗り合わせ
乗り過ごしたんだ幸福を

Kuudou Kuudou (空洞空洞) nous vient de l’album Chihou toshi to memento mori (« Ville provinciale et memento mori ») ! Interprétée à plusieurs occasions lors de concerts (en 2018, et fin 2019 aussi), je la trouve juste fantastique tant dans les rimes que dans le rythme !
Bon, j’avoue que les refrains donnent particulièrement la pêche, même si parfois les paroles ne sont pas du même avis ! :sweat_smile:

Sur ce, j’espère que le chapitre d’aujourd’hui vous plaira !


Puisqu’en ce moment, l’écriture en est au point mort (maudites obligations scolaires), j’espère que lorsque j’en aurais fini avec ce mémoire et sa soutenance je pourrais retrouver la flamme de la motivation qui brûlait en moi il y a encore quelques semaines. Dans le cas contraire, il n’y aurait peut-être pas de nouveau chapitre avant septembre… :grimacing:

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Oh non :sob:

Quoi qu’il arrive, je file lire ce nouveau chapitre :eyes:

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BON.
Eh bien nous y voilà !
Avec mon regain d’inspiration, je m’étais fixé comme date limite le 31 pour poster le nouveau chapitre. Quelle chance que j’y sois parvenue un jour avant ! :grin:

En exclusivité, pour vos beaux yeux seulement, voici le Chapitre XII !

Où mentir est toujours plus aisé que dire la vérité.

L’intrigue de ce chapitre se déroule pour une grande partie en parallèle du précédent… mais cette fois-ci, nous suivons un autre point de vue !

En espérant qu’il vous plaise ! :smiley:


L’extrait du jour est à nouveau tiré de Kuudou Kuudou, et correspond au premier refrain !

Je ne dirai pas que j’ai été blessé
mais ça ne veut pas pour autant dire que je n’ai pas mal.
Il n’y a pas de personnes gentilles,
ils ont juste abandonné leurs armes.
Cavité, cavité

傷ついだなんて言わないぜ
けど痛くないわけじゃないよ
優しい人なんていないぜ
武装解除しただけ 空洞空洞

Sachez que j’ai toujours pour projet de vous offrir des traductions complètes des chansons utilisées. J’ai aussi eu une idée de modification concernant l’extrait du prologue, mais il faut encore que je la mûrisse !
Quoi qu’il en soit, si tout se passe bien on se retrouve dans un mois pour un autre chapitre (si je parviens à écrire le XIV avant ça… :smiley:


Un peu de trivia !

Depuis que j’ai commencé à regarder cette série, j’ai toujours été interpellée par le nom des kwamis. Si certains sont facilement compréhensibles, d’autres ont une origine un peu perchée…
Comme il est fait mention de l’origine des kwamis, et de la « puissance des mots », j’ai creusé un peu, en espérant pouvoir trouver ce à quoi chacun fait référence, en m’aidant du wikia anglais de la série, et de mes propres petites connaissances.

Si ça vous intéresse...
  • Première chose à savoir, le principe veut qu’une des consonnes et/ou voyelles du nom soit doublée. On a pas encore pu comprendre la raison, peut-être était-ce pour rendre ça plus « exotique » ? :woman_shrugging:

Tikki = Tiki ; Tiki serait l’« Eve mitocondriale », à savoir la première femme, qui va de paire avec Adam.
C’est le seul nom pour lequel je n’ai rien trouvé qui tienne réellement. Ma principale théorie concernant le nom de Tikki/Tiki est en fait une référence à Symphogear (anime nippon de 2012-2019), dans lequel un personnage est justement appelé Tiki et est la première femme, créée pour Adam. Ce personnage de Tiki tient son nom de la machine d’Anticythère (ou Antikythera kikai), du nom de l’île d’Anticythère en Grèce. Bref, dans l’histoire de Symphogear, ça a du sens.
Mais le lien avec Miraculous ? Il est infime, mais l’un des membres de la production originale de Symphogear est Thomas Romain, le créateur de Code Lyoko, série dans laquelle a travaillé Thomas Astruc, le créateur de Miraculous…
C’est une idée complètement alambiquée, mais c’est la seule piste que j’ai. :woman_shrugging:

Plagg = Il tient son nom de l’anglais, plague, qui désigne la peste.
Puisque Plagg est du genre destructeur, quoi de mieux que la peste qui a fait des ravages en Europe pour le nommer ?

Duusu = vient du slave, duša, qui signifie l’âme.
Duusu est le Paon, qui permet la création de créatures grâce aux émotions. En somme, elle donne une âme aux choses inanimées grâce à la volonté de son porteur.

Nooroo = variante africaine du nom Nuru, qui signifie « né dans la lumière du jour ».
Cela a probablement un lien avec le fait qu’il soit un papillon, et il est plus communément admis qu’il est un papillon de nuit. :thinking:

Wayzz = vient de l’anglais wise, sage. C’est drôle parce que c’est une tortue, les tortues vivent longtemps, et le grand âge est synonyme de sagesse.
Ça doit aussi expliquer pourquoi c’est le compagnon de Fu, lui aussi un bon vieillard de près de 200 ans.

Pollen = pour lui y a pas trente-six solutions : pollen, parce que c’est une abeille, ni plus ni moins.

Trixx = vient de l’anglais tricks, farces. Trixx est un renard, les renards sont malins et probablement farceurs (si on en croit au moins le folklore japonais), donc c’est un nom qui lui correspond. D’autant plus que son attaque est le mirage, et les renards japonais sont connus pour leurs illusions.

Mullo = déformation du mulot français. C’est une souris, après tout. :woman_shrugging:

Stompp = son nom est l’onomatopée du bruit du pas lourd du bœuf, en anglais probablement.

Roarr = verbe, nom et onomatopée en anglais : roar, qui correspond au rugissement du tigre.

Longg = lóng en chinois veut tout simplement dire « dragon ». Encore une fois, c’est pas très recherché et plutôt équivoque : Longg est un dragon.

Fluff = vient de l’anglais fluff qui désigne quelque chose de poilue dans le sens duveteux, tout doux. Comme un lapin, quoi.

Sass = c’est l’onomatopée du sifflement de la langue d’un serpent. C’est encore plus drôle puisque Sass siffle les S, comme le ferait un serpent s’il parlait français.

Kaalki = vient du nom de Kalkî, dernier avatar du dieu hindou Vishnou ; c’est un homme à tête de cheval, ou alors un homme accompagné d’un cheval dans la mythologie.

Ziggy = référence à Ziggy Stardust, personnage de David Bowie. Pourquoi ? Je l’ignore.

Xuppu = d’après Xu Sheng, personnage de la légende du Roi Singe. Xuppu étant un singe, et puisqu’il a donné à Kim une apparence assez proche de l’image populaire du Roi Singe, on peut supposer que dans l’univers de Miraculous, le Roi Singe a pris ce nom d’après Xuppu. (et il était probablement porteur de son Miraculous)

Barkk = vient du nom/verbe/onomatopée bark qui, en anglais, fait référence à l’aboiement d’un chien. (c’est le kwami du chien, logique non ?)

Orikko = fait référence au cri du coq en français : cocorico. Vous n’aurez pas de mal à savoir quel est ce kwami. :roll_eyes:

Daizzi = vient du nom de Zhū Bājiè, un cochon de la légende du Roi Singe, surnommé parfois Dāizi (litt. « imbécile », « idiot »).

Voilà voilà !
Après autant de lecture de votre part, et de rédaction de la mienne, on a bien tous le droit à un peu de repos, non ? :stuck_out_tongue:

À très bientôt je l’espère !

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Voilà la mise à jour mensuelle, on commence à s’y faire ! :smiley:

Chapitre XIII

Où l’innocence s’accorde un instant avant de disparaître.

Petite ellipse, certes, mais aussi petite progression dans l’intrigue. On amorce la fin de l’arc des « exposés » comme je le surnomme, qui était, à mon sens, juste un prétexte pour débuter cette histoire.
À présent, les choses vont s’accélérer, je présume ? À voir dans les prochains chapitres ! :smiley:


Retour sur la chanson Sayonara gokko (Jouer aux aurevoirs) que l’on a rencontrée pour la première fois dans le Chapitre VI !

Si, lorsque tout sera fini,
tu as besoin de partager avec quelqu’un,
je serai là pour toi.

全てが終わったら 分かち合うために
誰かがいるでしょう 僕がいるでしょう

Je dois admettre que cet extrait a été retors à traduire, puisque je ne savais pas du tout comment lier les éléments entre eux. La faute à la grammaire un peu aléatoire du japonais, je présume ? :woman_shrugging:


Je reviens sur deux-trois petites choses !
Je viens de procéder, avant la publication de ce chapitre, à une vérification de la mise en forme des douze autres, ainsi que du prologue. Le problème était que je n’avais noté nulle part la mise en forme (heading etc.) du texte, et donc parfois certains chapitres divergeaient dans leur apparence générale. Normalement, tout est corrigé, et je m’excuse par avance pour le spam sur le carrousel ! :see_no_evil:

Ensuite, j’ai finalement opté pour une modification de l’extrait du prologue ! Un autre, plus « logique » dirons-nous, a remplacé donc l’extrait de Sous l’affiche d’un film pornographique. J’ai nommé Monologue !

Cette histoire est une fiction.
Toute ressemblance avec des événements,
des organisations, ou des personnes existants
est une coïncidence inévitable.
Mais la réalité est bien plus cruelle.

この物語はフィクションであり、現在する事件、団体、人物との
いかなる類似も必然の一致だ
だが現実の方がよっぽど無慈悲だ

Monologue (独白, Dokuhaku) est un excellent morceau à mon sens. Inscrite dans la continuité de la narration du concert New logos order (新言語秩序, Shingengo chitsujo), elle est donc le monologue de l’un des protagonistes, qui se rebellent contre le monde dans lequel ils évoluent. L’orateur de ce monologue prend le micro, et entame cette longue tirade parlée (slammée ? rappée ?).
Dans sa version album, il existe une version censurée (où la voix est modifiée pour n’être compréhensible qu’à quelques rares passages, et lorsqu’on lit les paroles, elles sont presque toutes notées de XXX sauf pour ces mêmes passages), ainsi qu’une version non-censurée.
Dans la version interprétée en concert, et c’est là que je la trouve la plus formidable, les paroles finales (« Reprenez vos mots ! » ; 言葉を取り戻せ, kotoba wo torimodose) sont scandées à bout de voix, comme un ordre.

À la première écoute, je n’ai pas apprécié cette chanson, pour la seule raison que j’avais la version censurée, et qu’elle était très déplaisante à l’oreille. Je l’ai donc laissée dans l’oubli, sans trop me pencher dessus. Je crois que je ne l’avais jamais écoutée dans son entièreté.
Là où j’en suis tombée amoureuse, c’était lors de l’interprétation qui en a été faite lors du concert « À toutes ces nuits qui n’ont pu devenir notre futur » (未来になれなかった全ての夜に。,Mirai ni narenakatta subete no yoru ni) ; Monologue était la dernière chanson prévue, et comme dans le concert précédent (New logos order), elle devait clore en beauté dans ces cris scandés par le chanteur. Dans les derniers accords, Akita Hiromu se met à crier quelques mots, comme il le fait souvent en guise de « pont » entre ses chansons, et répète encore une fois le titre du concert, avant d’entonner la toute dernière chanson, composée spécialement pour l’occasion, À cette nuit qui n’a pu devenir notre futur (未来になれなかったあの夜に, Mirai ni narenakatta ano yoru ni), et qui est elle aussi extrêmement poignante, mais je reviendrai dessus à l’occasion, puisqu’elle sera très certainement utilisée en guise d’extrait !
Bref, ma première écoute de la chanson dans sa version non-censurée m’a fascinée, et depuis je l’écoute encore et encore. Elle est juste formidable, mais je pense que je m’égare et que ce que je raconte ici n’a pas de réelle importance. :sweat_smile:

DONC.
Monologue ; non-censurée
Monologue ; censurée

Et pour finir, si je ne vous ai pas encore perdu(e)s jusque là, je viens ajouter un peu plus d’informations diverses et variées !
Rappelez-vous, dans le post précédent, j’évoquais l’origine du nom de Tikki. J’ai fait totalement fausse route, à vrai-dire, et j’ai enfin trouvé le sens derrière ce nom !

Les tikis sont des statuettes que l’on retrouve dans les îles de Polynésie. Dans la culture polynésienne, ces statuettes représentent « Tiki », l’ancêtre des Hommes, être mi-humain, mi-divin. De fait, il s’agit de la première personne humaine selon ce peuple.
Puisque les kwamis ont une consonne de doublée (ou dans le cas de Nooroo et de Dusuu, une voyelle), de tiki on passe à tikki, donc Tikki.

Quant à Symphogear, c’était la même origine (ici donc Tiki est la première femme, en opposition à Adam), et ça fait en plus doublon avec le mécanisme d’Anticythère (Antikithera en grec ancien). Mais nous ne parlons pas de Symphogear ici. :relieved:


Voilà voilà !
Sachez que je travaille (ENFIN !) sur les traductions des paroles dans leur intégralité. J’ai fini de traduire Sous l’affiche d’un film pornographique, et il faut encore que je m’attelle à celle des neuf autres chansons choisies jusque là, avant de pouvoir vous les fournir. Je pense à faire un post spécifique dans ce topic, qui les regrouperait, avec des liens pour les écouter et, si ça vous intéresse, les paroles dans leur version originale (en caractères japonais et en transcription, peut-être ? :thinking:)

Le Chapitre XIV est donc d’ores et déjà fini, et j’attends la fin de la rédaction du XV pour vous le publier ! J’espère que ça se fera rapidement, puisque c’est un chapitre qui va grandement faire avancer l’intrigue ! :smiley:

À très bientôt, je l’espère, et bonne lecture !

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:relieved: Nous voilà débarrassés de cette maudite histoire d’exposés.
Pas sûr qu’on aurait voulu lire la fin de ce chapitre cependant… :thinking:

Chapitre XIV

Où tombe le crépuscule des héros.


Encore un petit nouveau qui rejoint la longue liste des chansons que je vais devoir traduire pour cette fanfiction, j’ai nommé « Clair de lune, brûle la ville » (月光、街を焼く).

Ces yeux fermés ; ces yeux gelés ;
Cette main que j’ai touchée – juste cela.
Jusqu’où me mènera cet itinéraire ?
Ce rêve est éphémère…

Que ce monde brûle !
Qu’il brûle ! Qu’il brûle !
Gouttes de pluie. Échappe-toi.
Échappe-toi. Échappe-toi.

閉じた目 冷めた目 触れた手 それだけ
この旅程 どれだけ この夢 仮初め

世界を 燃やして 燃やして 燃やして
あまだれ 逃げ出せ 逃げ出せ 逃げ出せ

Je n’ai rien de plus à ajouter. J’espère pour vous que je bouclerai le chapitre suivant bien assez vite, pour que ce cliffhanger ne vous ronge pas trop… :smiley:

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Nouveau chapitre !
Le moment est propice à l’écriture, alors voilà que ça avance plutôt bien ! Reste à savoir jusqu’à quand !

Sans plus tarder, reprenons l’action (plus ou moins) là où on l’a laissée !

Chapitre XV

Où fanent les espoirs, et où fleurit la rage.


Vous vous souvenez du nouvel extrait pour le prologue ?
Eh bien aujourd’hui, nous retrouvons ce cher Monologue (独白, Dokuhaku) !

En cette heure de regrets et de larmes qui coulent,
Je n’ai plus le moindre attachement auquel m’accrocher.
Mes douleurs du passé n’ont pas toutes été repayées.
Et ma douleur bourgeonnera dans ce désespoir qu’est le tien.

流れていった涙や後悔の時間に 今更しがみつくほどの未練は持ち合わせず
過去の痛みが全て報われたわけじゃない 私の痛みは君の失望にこそ芽吹く


Comme d’habitude, merci pour votre fidélité, et j’espère que cette lecture vous plaira ! :smiley:

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C’aura été compliqué, mais voici un nouveau chapitre ! :smiley:

Chapitre XVI

Où se déchirent les cœurs.


Encore et toujours Sayonara gokko pour accompagner ces chapitres ! Je crois que c’est la chanson que j’ai la plus utilisée dans mes extraits… :thinking:

Puisque les séparations sont toujours tristes,
nous feignons de nous séparer.
C’est un jeu d’aurevoirs.
C’est un jeu où on se leurre en se disant
Que nous pourrons nous revoir à coup sûr un jour.
Que nous pourrons nous revoir à coup sûr un jour…

別れは何度目でも相変わらず悲しいから
別れるふりをするんだよ
さよならの遊びだよ
いつか必ず会えるって
自分を騙す遊びだよ
(いつか必ず会えるって)


J’espère que ce chapitre vous plaira comme tous les autres, et je vous donne rendez-vous pour le prochain, qui arrivera… quand il arrivera ! :smiley:

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Sentez-vous venir, avec le re-confinement, l’explosion de contenu fanfictionnesque sur notre site bien-aimé ? :slight_smile:

Avec ceci, donc, voilà le seul, l’unique : le Chapitre XVII ! :open_book:

Où se déchirent les corps.

(oh, I see what you did there… :smirk:)


Pour cette fois, je vous ramène au Chapitre IX et son extrait de Death Game. Aujourd’hui, on a droit au dernier refrain de la chanson !

Qu’y a-t-il au-delà des trois cent soixante-cinq jours de rires moqueurs ?
Celui qui tord nos cous est probablement quelqu’un d’inconscient.
On ne peut s’échapper avec notre pessimisme ;
Il y a à notre époque un cercle fermé de suspects.
Qui est le fautif ? Qui est le fautif ?

冷笑の365日の向こうに何がある?
僕らの首を絞めてるのは おそらく無自覚な奴だ
悲観主義では逃げ出せない 時代のクローズドサークル
悪い奴は誰だ 悪い奴は誰だ


J’espère que ce chapitre, pas plus réjouissant que le précédent, vous plaira quand même !
À très bientôt, j’espère ! :slight_smile:

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Salut à tous et à toutes ! J’espère que vous allez bien en cette fin de journée !

Sans plus tarder, après une petite vingtaine de jours, voilà le Chapitre XVIII !

Où se séparent les chemins.


Quoi de mieux pour illustrer un chapitre évoquant des séparations que la chanson Jouer aux aurevoirs ? Je me demande bien ! :smiley:

Je peux porter ton fardeau s’il est trop lourd ;
tu peux partager ta peine avec moi.
Mais je ne pouvais pas aller
jusqu’à t’épauler face à ton destin.

『辛さなら背負えるから
痛みなら分け合えるから
でも君の運命—さだめ—までは
肩代わりできなかった』


Côté écriture, je crois que je m’en sors plutôt bien ! Je garde toujours des chapitres d’avance, évidemment, et je progresse dans l’écriture du XXIe ! Je pense pouvoir continuer à garder ce rythme d’un chapitre toutes les deux semaines pendant un moment, à condition que rien ne vienne briser cette petite routine !

Aussi, saviez-vous que nous avons passé (depuis un petit moment maintenant) la date anniversaire de la publication de Sous l’affiche d’un film pornographique ?
Après avoir creusé dans les fichiers, archives et autres données trouvables, j’ai découvert que j’avais commencé à écrire cette fanfiction le quinze juin 2019, et commencé à la publier le 3 août 2019 !
La fanfic a désormais un an et cinq mois (ou un an et deux mois et trois mois et demi si on ne se fie qu’à la publication) et je crois que c’est une première dans ma courte carrière ! Par miracle, jamais je n’ai abandonné ou laissé trop en suspens cette fanfiction ! Pourvu que ça dure, d’autant plus que la fin approche à grands pas… :smirk:


À très vite, pour un nouveau chapitre, et de nouvelles anecdotes (si j’en trouve d’ici là) ! :smiley:

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À force, je finis par ne plus avoir d’idées pour introduire les mises à jour ! Je devrais y réfléchir de temps à autre et noter mes idées dans un carnet ! :stuck_out_tongue:

Chapitre XIX

Où se soumettent les esprits.

(Il serait peut-être temps que je m’active à écrire la suite, je n’avance toujours pas dans le XXII… :grimacing:)


L’extrait du jour est, une fois encore, tiré de Monologue (独白, Dokuhaku). Vous ai-je déjà dit combien j’aime cette chanson ? :smiley:

À chaque fois où nous n’étions pas aimés,
ou que nous n’avons pas été repayés,
d’innombrables trous ont été creusés dans nos corps.
Et nous avons fini par regretter pour le reste de nos vies
ces choses que nous avons sacrifiées pour les combler,
comme d’abominables blessures fatales.

愛されなかった分や
報われなかった分や
人それぞれの身体に空いた無数の穴ぼこ
埋め合わせる為に犠牲になった何かが
差し詰め生涯悔やむことになる、むごたらしい致命傷


À très bientôt, pour le Chapitre XX (en espérant que j’avance d’ici deux semaines ! :stuck_out_tongue: ) !!

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