Eh bien nous y voilà !
Ce jour est enfin arrivé, celui de la publication de l’épilogue.
J’en verse ma petite larmichette, je ne m’attendais pas à faire autant de route avec d’aussi bons compagnons ! (je parle de vous, les sérieuses lectrices )
Voilà donc pour vous !
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Comme j’y faisais référence dans le premier post de ce topic, le titre de cette fanfic, ainsi qu’une partie du synopsis et de l’épilogue m’ont été inspirés par la chanson Rita, d’amazarashi.
> Rita (version album)
> Rita (version live)
Et comme j’aime faire du zèle, j’en ai profité pour traduire les paroles de cette chanson que j’aime énormément (comme beaucoup d’autres de ce groupe).
Cliquez juste ici pour lire la traduction !
Si tu t’en vas, ça m’ira très bien. Parce que je te rendrai tout ce que je t’ai emprunté.
Ta montre, tes CD, les frais de train, tout. Sauf ta gentillesse.Deux ombres se projettent des réverbères dans la rue où je marche seul en pleine nuit, le long de la voie ferrée.
Je suis heureux en me disant qu’il s’agit de ton fantôme. Mais quand la lumière se coupe, je me retrouve seul.Je pensais que ça ne changerait pas ; il n’y avait aucune raison pour que ce soit vrai.
Mais c’est toi qui m’a fait penser ça. On aurait dit comme une escroc, une ensorceleuse. Hein, Rita.Je ne pleurerai pas pour les gens qui ne sont pas éloignés de moi. Je ne pleurerai pas pour les choses qui n’ont pas été brisées.
Je suis très bien seul. Si c’est un mensonge, je peux le dire. Si ce n’est que des mots, je peux les dire d’une façon ou d’une autre.Dans la pièce, il n’y a que le réfrigérateur silencieux, et les voix qui rient sont seulement dans la télévision.
Ça serait bien si l’on pouvait voir les sentiments — Non, finalement je n’en ai pas besoin, ça serait trop cruel.Toi qui veux vivre pour les autres, et moi qui veux vivre pour moi-même ;
C’était comme deux rouages qui grincent parce qu’ils ne vont pas ensemble, nos rires.Choisir l’un signifie jeter l’autre.
Si c’est ça, ça me va. Je vais sagement aller dans la poubelle et te dire au revoir. Hein, Rita.Tu ne pleurais pas pour toi-même. Tu ne pleurais pas même dans les moments durs.
Alors pourquoi tu pleures ? Pourquoi tu pleures avant moi ?Toujours tourné vers moi-même, jamais tourné vers les autres ;
Si je ne choisis pas mes mots, c’est évident que je blesserai quelqu’un.
Toujours tourné vers le passé, jamais tourné vers le présent ;
Si je marche en regardant derrière moi, c’est évident que je trébucherai.Je ne pleurerai pas pour les personnes qui restent. Je pense avoir compris, alors
je ne vivrai plus pour moi-même ; je veux essayer de rire pour quelqu’un d’autre.
Tout comme toi.Je ne pleurerai pas pour un passé que j’ai oublié. Je ne pleurerai pas pour le temps qui ne s’est pas encore écoulé.
Les saisons où je riais avec toi se sont terminées. Le temps s’écoulera, c’est tout.
Oui, ce n’est rien de plus qu’une chanson de rupture, là est toute l’ironie des choses.
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En tous les cas, je vous remercie grandement d’avoir fait partie de ce petit voyage !
Vos retours me font toujours sourire, voire parfois même rire, et j’espère de tout cœur que vous aurez aimé cette lecture !
Et si toutefois vous aimeriez en lire plus sur ce petit microcosme, je vous invite à jeter un œil (si ce n’est pas déjà fait) à un petit OS qui remonte quelques cinquante ans en arrière, la veille du départ de la Première Flotte pour le Nouveau Monde !
> Ça se passe juste ici ! J’ai nommé : Guidés par les étoiles !
À très bientôt, je l’espère, pour de nouvelles aventures !!