Poruno eiga no kanban no shita de, bien évidemment.
J’avais aussi voté pour Haruki on the road et Speed to masatsu, mais elles n’ont pas fait leur chemin jusqu’au Top 10…
Mais je suis ravie de voir que Poruno Kanban a eu sa petite remontada, et trône aux côtés de Bakudan no tsukurikata et Ameotoko.
Sinon, en vrai, je suis dingue des cinq dernières, de Reiwa Ninen Uten Kekkou, sans mentionner Dokuhaku, Livinng Dead, Death Game, Rita, Inochi ni fusawashii, et tant d’autres…
Pour dire : je n’ai quasiment que du amazarashi dans ma playlist, aucun artiste ne leur arrive à la cheville en nombre de pistes sur mon téléphone ! (et pourtant, j’ai pas mal de chansons de Mizuki Nana !)
Et toi ? Lesquelles tu préfères ? (liste non exhaustive, c’est dur de juste citer quelques pistes ! :P)
(je ne peux pas passer sous silence le fait que leurs chansons m’inspirent tant que j’ai titré certaines de mes fics d’après elles… D’autant plus que, pour l’une d’elles, chaque chapitre est accompagné d’un extrait d’une de leurs chansons… )
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Non mais en touriste, y a que ça de vrai ! L’avantage que j’ai eu, c’est d’avoir un toit sous lequel dormir et qui m’était assuré, mais j’étais bloquée là-bas à cause des cours ! Quand t’es touriste, t’es nettement plus libre !
Nikkô aussi, quel voyage. Le Tôshôgu est magnifique.
Si tu es allé à Karatsu, c’est que tu es allé vachement dans le sud ! Ca devait être super ! Si tu as le temps, n’hésite pas à aller raconter quelques-uns de tes périples ici, en joignant des photos si possible, ça ravira tout le monde !
Le projet, si j’y retourne, c’est d’aller dans ce coin-là. Déjà pour le côté historique avec Hiroshima et Nagasaki, mais aussi parce qu’un ami vit à Kumamoto, et on a hâte de le revoir ! Et puis, en passant juste un an dans le nord, j’ai raté pas mal d’autres préfectures, j’ai encore tant à voir ! Ce qui est sûr, c’est qu’une vie ne sera jamais assez longue pour tout découvrir ! xD
Plus Tôhoku ou bien Hokkaidô ? Non parce que c’est pas la même notion de Nord…
Alors oui, mais elles sont soit perdues dans les tréfonds de mes disques durs externes, soit quelque part en ligne sur mon compte Facebook… Il faudrait que j’aille fouiller. xD
L’ambiance à Hirosaki était dingue. Entre les quatre saisons très marquées (faudra que j’écrive à ce sujet un jour dans une fic, tiens), le mont Iwaki que je voyais changer de couleur au fil des mois depuis chez moi ou depuis la fac, les festivals, les gens ébahis de voir des blancs/étrangers parler japonais, sans oublier les gamins de l’école voisine qui nous parlaient anglais comme ils pouvaient et nous souriaient jusqu’aux oreilles… J’en garde d’excellents souvenirs ! J’ai plein d’anecdotes débiles, comme cette fois où un inconnu m’a filé une fiole d’alcool pour me remercier de lui avoir donné l’heure de départ d’un train à Niigata (train que j’empruntais moi aussi), celle où j’ai escaladé le mont Iwaki jusqu’à son sommet pour y trouver un petit temple shintô, ou encore cette fois un peu moins drôle où je me suis fait suivre jusque chez moi par un Japonais de mon âge un peu bizarre… On en rit bien en y repensant ! (et je ne parle pas de mes cuites dans des izakaya, ça aussi c’était quelque chose !)
Y vivre apporte un sentiment de sérénité, je dirais. Et selon la ville où tu vis, tout est différent.
Après, en tant qu’étranger, tu as un statut spécial. Tu leurs dit que tu viens de France, ils pensent à Paris, tout ça tout ça, et tu dis que tu étudies à Bordeaux et ils te disent, « ああ、ワインが有名ですね » alors que tu ne bois pas forcément de vin…
Mais c’était cool de se dire qu’on avait notre carte de résidence japonaise, avec notre nom, prénom, photo, et adresse au Japon. Je l’ai encore, et ça me rend toute nostalgique de la voir dans mon portefeuille !
D’autant plus qu’en y passant autant de temps, en étant chaque jour confronté à la langue (faire ses courses, suivre ses cours, visiter des musées etc.), on finit par devenir bilingue. Donc c’est encore plus gratifiant. Ca m’empêchait pas d’être perdue quand, dans les repas de famille avec ma famille d’accueil, la fille aînée ramenait son collègue de travail qui parlait en dialecte et où je ne pouvais qu’acquiescer parce que je ne comprenais rien, même après des mois passés là-bas…
Enfin bon, je parle beaucoup de moi alors qu’à la base c’est ta présentation ! xD Je suis trop bavarde, dès que je parle d’un truc que j’aime, on ne peut plus m’arrêter !