Que lisez-vous en ce moment ? Venez parler de vos lectures en cours ou passées

La noblesse des lettres
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Salut les joyeux drilles du forum :grinning: !

Cela faisait quelque temps que je songeais à faire ce topic – un sujet somme toute très simple en soi, mais un classique absolu de tout forum qui se respecte, surtout d’un forum d’écriture !

Que lisez-vous en ce moment ? Venez nous en dire plus sur votre ou vos lectures en cours, en un mot, une phrase, dix lignes, comme vous voulez… Vous pouvez aussi nous parler de l’auteur, de ses autres livres (si c’est l’un de vos auteurs préférés par exemple), et puis même pourquoi pas, nous parler de livres que vous avez lus par le passé (sans limitation de durée dans le temps) mais qui vous ont marqués, en bien ou en mal. Et puis aussi, faire des liens avec d’autres livres, du même auteur, ou d’un autre. Peut-être même que cette ou ces lectures vous inspirent ou vous ont inspiré dans votre pratique de la fanfiction ? Si c’est le cas, vous pouvez en parler aussi !

Et qui sait ? Toutes nos lectures croisées donneront peut-être des idées aux personnes qui ne savent pas quoi se mettre sous la dent, parce qu’il y a tellement de livres sur Terre que c’est difficile de faire un choix.

À vous les studios, à vous le micro :point_right: :studio_microphone: !

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Actuellement je ne lis que des fanfictions ou des romans originaux en cours d’écriture. Le dernier roman papier que j’ai entamé a fini abandonné. Je trouvais le style asceptisé et trop tortueux. Le.titre m’échappe mais c’est un roman SF récent avec le mot Faune dans le titre. Voilà, vous êtes bien avancés avec ça :rofl:

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La Nuit du Faune ?

Ton message m’a intriguée et du coup je suis allée faire une recherche :yum: .

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En ce moment, je me suis relue les 4 BD du Visiteur du Futur + le livre :

  • L’Elu des dieux
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  • Et les 3 tomes de « La Brigade Temporelle »
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  • Le livre " La Meute"
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De très bonne lecture en soit. :slight_smile:

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Précisément ! On me l’a recommandé mais impossible de le lire. Bon mon état de fatigue et de préoccupation n’aide certainement pas mais c’était un style trop pointu, technique, alambiqué pour moi (pourtant en SF j’ai lu du Asimov)

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Hélas !
Après avoir été une grosse lectrice pendant des décennies en roman, psycho-developpement personnel et autres New age (voir mon topic de présentation pour des détails), je ne lis plus de « livres papier » où tout au moins édités.

Je dois mal les choisir parce que je m’ennuie. Ils me tombent des mains.
Je trouve que ça ne démarre pas assez vite, l’installation est lente, l’écriture est assez quelconque (du coup, ça ne me retient pas par ce moyen…).
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Dernièrement, j’ai lu deux BD Buffy pour les besoins de ma fic (mais pardon, les BD pour moi, ce n’est pas ce que j’appelle lire…) ce qui explique que je les ai terminées !

Je lis encore des chapitres de fanfictions, casés ça et là, mais me poser dans un coin, tout lâcher pour dévorer sans pouvoir m’arrêter, ce n’est plus qu’un lointain souvenir.

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En ce moment je lis Que passe l’hiver de David Bry.
Un livre qui a reçu le prix du salon Imaginales d’Epinal en 2019 si je ne me trompe pas.

J’avais découvert David Bry avec La princesse au visage de nuit que j’avais adoré et dévoré. Je continue donc avec que passe l’hiver avant d’aller acheter son dernier roman qui vient de sortir.

Resumé (piqué sur babelio) :
Stig vient d’avoir vingt ans, l’âge de porter une épée et de se rendre enfin sur le Wegg, l’étrange montagne où réside son souverain, le roi de la Clairière. Mais son premier solstice d’hiver ne se déroule pas comme il l’avait imaginé. À peine le jeune seigneur est-il arrivé que la mort répond aux augures néfastes et que les fils enchevêtrés du destin tissent un avenir que personne, ni homme ni dieu, semble pouvoir prédire. Menacé sans qu’il en comprenne la raison, Stig aura fort à faire pour découvrir ce qui se trame dans l’ombre des festivités, protéger ceux qu’il aime… et même survivre. Y parviendra-t-il ? À la croisée de l’ode initiatique et du huis-clos, ‹ ‹ Que passe l’hiver › › raconte le destin d’un jeune homme au pied bot et d’un roi aux longs bois de cerf, pris dans le maelström d’un monde qui se meurt, peut-être…

Et sa couverture magnifique
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J’en suis à la moitié et j’aime beaucoup. Je pars conquise puisque que je suis fan de son écriture que je trouve poétique. Et dans ce roman, c’est encore plus marqué. Un poème sert de fil rouge d’ailleurs et marque le début de chaque chapitre.
Stig est un héros attachant et j’aime beaucoup évoluer avec lui dans ce paysage d’hiver, tout blanc.

Bref, David Bry, plus je lis, plus j’accroche.

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Oh mais j’adore ce topic, merci @Helios ! :smiley:

En ce moment, je m’égare tellement niveau lecture (surtout pour les achats de livres/mangas) :joy:

Alooors :

  • J’en suis au dernier tome de la saga « Adopted Love » qui traîne depuis des semaines, mais qu’il me tarde de terminer pour enfin continuer avec…
  • …le premier tome de « Les Puissants » qui m’a fortement été recommandé par @April :wink:
  • Après avoir regardé la série « Heartstopper » (que je ne peux que recommander !), j’ai entamé le roman graphique super chou, mais qui risque d’être lu beaucoup trop vite :sleepy: (fun fact : au début je l’ai lu dans le sens qu’on lit un manga, mauvais réflexe…)

Côté manga, j’en suis au tome 14 de Demon Slayer et au 2ème de The Quintessential Quintuplets, mais là aussi, ça traîne un peu…

En soi, j’achète beaucoup, mais je consomme pas aussi vite :rofl:

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Ha mais oui ! Maintenant que tu parles de Mangas @Megara , je suis en train de lire Berserk ! L’univers est un peu particulier mais j’aime bien :wink:

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Un sujet très intéressant @Helios.

Côté roman je lis en ce moment une histoire type Dark Fantasy qui s’intitule : L’ange de la nuit, écrit par Brent Weeks. J’ai à peine débuté le tome 1 : La voie de l’ombres, que l’univers me parle me rappelant un peu un aspect Assassin’s Creed dans ses personnages et ses décors si on devait comparer avec le média vidéoludique.

Résumé via le site Booknode :

Le tueur parfait n’a pas d’amis, il n’a que des cibles.

Pour Durzo Blint, l’assassinat est un art et il est l’artiste le plus accompli de la cité, grâce à des talents secrets hérités de la nuit des temps.

Pour Azoth, survivre est une lutte de tous les instants. Le petit rat de la guilde a appris à juger les gens d’un seul coup d’oeil et à prendre des risques - comme proposer à Durzo Blint de devenir son apprenti.

Mais pour être accepté, il doit commencer par abandonner son ancienne vie, changer d’identité, aborder un monde d’intrigues politiques, d’effroyables dangers et de magies étranges, et sacrifier ce qui lui est le plus précieux…

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Côté manga je continue Promised Neverland (depuis le temps que je devais le finir, l’envie vous savez) avec les derniers tomes 18, 19 et 20 ainsi que Boruto avec les tomes 10 et 11.

Voila, voila.

Ah ce bon vieux Berserk, clairement un univers auquel je n’aimerai PAS y vivre une journée mais qui est si bon en tant qu’œuvre. Prépare-toi bien :wink:. Rien que de repenser au dessin de Muira me donne des frissons.

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Ooohhhh j’avais lu la trilogie de Durzo y a quelque temps. J’avais adoré. Même si j’avais trouve un peu long sur la fin du troisième tome. Enjoy :slight_smile:

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Salut !

Je vois qu’on a tous des lectures bien différentes. Pour ma part, en ce moment – et depuis un moment déjà – ma lecture, c’est Le train bleu d’Agatha Christie.

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Je voulais pouvoir rattraper la fanfiction de @anon16711039 liée à ce roman. Hélas, je me suis endormi plusieurs fois dessus, perdant ma page, recommençant ma lecture quelque temps plus tard, en ayant oublié pas mal de détails au passage. :laughing: Malgré tout, je reste impatient de découvrir la fin.

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Mémoire d’un chat de Hiro Arikawa

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Résumé :

Un chat de gouttière au parler franc et rompu au langage des humains a pris ses quartiers dans le parking d’un immeuble de Tokyo. Lui qui, pour rien au monde, ne troquerait sa liberté se fait un jour percuter par une voiture et se voit contraint d’accepter la perspective d’une cohabitation durable avec Satoru, un locataire, qui le soigne et lui attribue un nom - Nana. Cinq ans plus tard, des circonstances imprévues obligent Satoru à se séparer de Nana.
Désireux de lui trouver un bon maître, il se tourne vers d’anciens camarades d’études, disséminés aux quatre coins du Japon. Commence alors une série de voyages et de retrouvailles qui sont pour Nana autant d’occasions de découvrir le passé de Satoru et de nous révéler maints aspects de la société japonaise.

Mon avis:
J’ai terminé ce livre hier soir, dans un état émotionnel rarement atteint avec une lecture. Et bien que j’ai eu du mal à rentrer dedans au début, ce livre est un coup de cœur absolu.
Je trouve que les auteurs japonais ont un truc en plus. Une façon de décrire le quotidien avec une poésie que n’ont pas les auteurs occidentaux. (A mon humble avis qui vaut ce qu’il vaut, je suis loin d’avoir lu tout ce qui existe)

Peut-être que ce livre résonne en moi parce que je suis moi-même propriétaire de chat, peut-être aussi parce que j’ai revu en Nana pas mal de choses que Myrtille fait aussi. Mais ce livre m’a habitée toute la nuit, et ce matin, quand j’ai raconté l’histoire à mon compagnon, je me suis remise à pleurer (et lui s’est moqué, mais c’est une autre histoire)

Bref, ce livre est une pépite d’humanité, prenant, surprenant et plein d’humour et d’émotions, évoquant avec pudeur des thèmes profonds. Je conseille +++++++

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Ici c’est Dracula qui occupe mes soirées et mes repas ! (et je l’ai presque terminé :sob:)

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Vu comment ce cher vampire a été repris partout, ai-je vraiment besoin de le présenter ? x) Bon, allez, voilà le résumé :
Jonathan Harker, jeune notaire, est envoyé en Transylvanie pour rencontrer un client, le comte Dracula, nouveau propriétaire d’un domaine à Londres. à son arrivée, il découvre un pays mystérieux et menaçant, dont les habitants se signent au nom de Dracula. Malgré la bienveillance de son hôte, le jeune clerc ne peut qu’éprouver une angoisse grandissante. Très vite, il se rend à la terrifiante évidence : il est prisonnier d’un homme qui n’est pas un homme. Et qui partira bientôt hanter les nuits de Londres… Grand classique de la littérature de vampires, best-seller de tous les temps après la Bible, Dracula est une source d’inspiration inépuisable. En exclusivité : un extrait de Dracula l’Immortel, suite de Dracula, d’après les notes originales de Bram Stoker.
Pas besoin d’en dire plus, je suppose, vu comment l’histoire du célèbre comte a été reprise et réutilisée sous toutes les formes possibles et imaginables.

Et comme je suis une indécrottable fan des non-morts aux dents pointues, j’ai le tome 3 de la série Vampyria de Victor Dixen qui attend bien sagement la fin de ma soutenance sur mon bureau :grin: (oui, il attend : si je fais comme le tome 1 et le tome 2, je le dévore en deux, trois jours maximum. Pas une bonne idée quand on a un oral à préparer…)
Bon, je ne vous file pas le résumé du tome 3 qui spoile allègrement le tome un, mais je peux vous filer quelques détails sur l’univers : Vampyria, c’est une uchronie où Louis XIV, le Roi-Soleil, a défait la mort elle-même en devenant le tout premier vampyre au monde, une créature issue des plus noires machinations alchimiques. Bien évidemment, sa condition spéciale a instauré sa suprématie à l’échelle mondiale et a assuré un contrôle total de la population : si la haute noblesse reçoit par le biais du Roy lui-même le privilège de vivre éternellement, le peuple, en revanche, se voit parqué comme du bétail auquel on prélève, une fois par mois, un dixième de son volume sanguin pour nourrir les vampyres.
C’est dans ce contexte que naît Jeanne Froidelac, fille d’apothicaires qui verra sa vie changer radicalement le jour où ses parents se font tuer par les Dragons du Roy. Jeanne se jure alors de tuer Louis l’Immuable et de mettre un terme, une bonne fois pour toutes, au règne des créatures de la nuit. Pour y parvenir, elle est prête à tout, y compris prendre l’identité d’une noble orpheline et infiltrer l’un des instituts les plus prestigieux du royaume.
Et les couvertures des trois tomes actuellement disponibles (le trois est sorti le 25 mai en librairie) parce qu’elles sont ultra-stylées :star_struck:

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Si vous aimez l’aventure, les retournements de situation inattendus, les démons attachants et, surtout, les créatures des ténèbres, courez le lire ! (et surtout, IL N’Y A PAS DE ROMANCE CUCUL LA PRALINE !!!)

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J’ai souvent vu passer les Mémoires d’un chat sans oser m’arrêter dessus. Je pense que tu as fini de me convaincre @elane67 ! Il fera partie de mes lectures de cet été !

Pareil, @Fahliilyol, tu me donnes envie d’accorder une seconde chance à ce cher Abraham ! J’avais dû étudier le livre au collège et ça m’en avait plus dégoûtée qu’autre chose… :sweat_smile:

De mon côté, pour le mémoire, j’ai dû me procurer et lire un travail fort intéressant et plutôt étonnant par moments : Le Japon grec. Culture et possession par Michael Lucken, diplômé de l’INALCO, qui date de 2019.
Bon, c’est pas une fiction captivante et par moments je m’y perds, mais pour faire simple, il revient sur l’appropriation de la culture grecque antique, et l’influence qu’a eu cette dernière sur les arts, par le Japon. Bien que le concept de « Japon grec » soit occidental, une étude architecturale mais aussi artistique (notamment par les statues bouddhiques) montre que le Japon a bel et bien une part de Grèce en lui.

Sinon, une fois ce maudit mémoire terminé, je compte me détruire à petit feu en lisant N’oublie pas les fleurs de Kawamura Genki, l’auteur de Et si les chats disparaissaient du monde… (dont j’ai déjà parlé sur le topic des livres qui nous ont marqué.e.s si je me souviens bien).
Alors qu’il vient de devenir père, Izumi prend soin de sa mère, Yuriko, atteinte d’Alzheimer. Ses souvenirs d’enfance reviennent alors que ceux de sa mère disparaissent, et il tente de comprendre ce qui l’a éloigné d’elle avec les années.
Le lien entre le fils et la mère a déjà été abordé avec brio par l’auteur dans son précédent roman, donc je suis sûre que je vais encore devoir sortir les mouchoirs et cogiter des nuits entières sur mes propres relations avec mon entourage. :smiley:

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Rah la chance, pourquoi j’ai eu que des livres pourris à étudier en cours au collège, moi ? :sob:

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Je crois l’avoir vu passer plusieurs fois lors de quelques passages à la Fnac, mais te voir si enthousiaste me convainc pas mal alors que j’hésitais beaucoup !
(D’autant plus que ton arguments sur la romance est appréciable.)
Merci, je garde ça dans un coin de mon esprit :blush:

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Pareil que toi, @Astree ! Ton argumentaire m’a largement convaincu. J’aime beaucoup le tournant ucrhronique qu’a l’air de prendre la saga que tu dépeins. Comme j’adore également les retournements de situations et que je déteste les romances cucul la praline, je sens que ça peut me plaire.

En ce moment, je suis en train de lire le dernier tome de la saga Miss Peregrine. C’est vraiment pas prise de tête, c’est simple à lire (trop simple ?) mais ça reste divertissant. Evidemment, c’est du roman adolescent, ce qui explique le côté simpliste, mais l’univers (que j’ai découvert grâce au film de Tim Burton) reste cohérent et on sent que l’auteur ajoute des touches de lore par-ci par-là, ce qui n’est pas pour me déplaire. Les personnages ne sont pas des plus complexes, mais ils demeurent attachants. Même si l’auteur joue souvent sur la corde sensible avec eux, il y a quand même quelques touches d’humour bienvenues. Je suis loin de l’avoir fini, mais j’espère que la fin (sûrement la fin de la saga) se révèlera satisfaisante à tous les égards.

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Pour ma part, comme @elane67, je suis actuellement au Japon mais à la fin du XVIe siècle, début du XVIIe dans Les Chroniques de l’érable et du cerisier - Livre 1- Le masque de Nô, de Camille Monceaux.

J’y suis avec plaisir les aventures d’un enfant abandonné qui a été élevé depuis bébé par une vieille femme et un samurai qui vivaient en ermites. La femme lui apprend à cuisiner, confectionner, repriser, l’homme lui enseigne la voie du sabre. J’en suis à la moitié du roman donc je ne vous en dirai pas beaucoup plus si ce n’est que des évènements de vie plutôt tragiques le font voyager seul à travers le Japon où nous découvrons divers aspects culturels en attendant qu’il se réalise :wink:

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Encore moi,
je viens de terminer mon livre alors pour ne pas le quitter tout de suite, je vous livre mon petit ressenti :

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Le Chant des Géants de David Bry

4e de couverture :

Mon avis :
J’avais commencé l’écriture de David Bry avec La princesse au visage de nuit que j’avais beaucoup aimé. J’avais continué avec Que passe l’hiver et le changement d’univers m’avait désarçonnée puis j’avais fini par me laisser porter par la poésie de son auteur. Avec ce nouveau roman, il confirme pour moi que la fantasy est son domaine.

Je ne suis pas critique littéraire, je lis avec mon cœur et mes tripes, j’accroche ou pas, parfois sans véritable logique. Mais avec Le chant des Géants, je me suis envolée pour le royaume de Ouestant. Et je n’ai pas su le quitter avant de tourner la dernière page (et encore, cette histoire risque de me hanter quelques temps).

J’aime ce genre d’écriture : une écriture poétique, envoutante, qui vous livre un aller simple pour un voyage onirique. Personnellement, je n’ai pas lu cette histoire, je l’ai rêvée avec Bran et je me suis laissée portée par les rêves des géants qui façonnent ce monde.

Le chant des Géants c’est une histoire de fraternité, de trahison et de loyauté. C’est une histoire d’amour, d’amitié, de haine et de colère. C’est un récit puissant et envoutant qui m’a filé un véritable coup au cœur. C’est beau, c’est tragique, c’est plein de tension, haletant et angoissant.

J’ai fini le cœur en miette. David Bry n’épargne ni le lecteur, ni ses personnages. Mais mon seul regret après cette lecture, c’est que ce livre ait une fin.

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