Que lisez-vous en ce moment ? Venez parler de vos lectures en cours ou passées

Depuis le temps que tu parles de David Bry en termes élogieux ça me donne fort envie ! La fantasy ne m’a jamais tentée mais tels que tu décris les ouvrages et le style de cet auteur, je crois bien que je n’aurai bientôt plus d’excuses pour ne pas le lire.

Merci !!!

Édit : et puis la couverture du Chant des Géants est sublime franchement, un bel objet à mettre en avant dans sa bibliothèque !

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C’est vrai, je n’ai pas parlé de l’objet en lui même. Couverture magnifique comme tu l’as souligné, relié en dur avec un signet pour marqué la page.
Chaque page est décorée et les entêtes de chapitres sont enluminées. Très bel objet effectivement.

D’ailleurs, si tu ne dois en lire qu’un seul de David Bry, lis celui-là. :slight_smile:

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Ah là tu m’as vraiment vendu le livre. Avec une reliure digne de ce nom et un signet en plus ! Et des pages décorées ! Il n’en fallait pas plus pour me convaincre. :partying_face:

C’est justement celui-là qui m’avait tapé dans l’oeil grâce à ton avis, plus que les titres précédents. On sent vraiment que ton enthousiasme est plus fort pour ce roman-ci. La présentation de l’éditeur aussi est très belle et avait déjà tout pour me plaire.

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Hâte d’avoir ton retour alors :slight_smile:
Je l’ai dévoré en deux jours moi :sweat_smile: mais du coup j’ai la pression, imagine s’il te plaît pas maintenant lol

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Je suis une lectrice très lente et je suis actuellement en train de lire un gros pavé de V. E. Schwab, autrice que je ne connaissais pas avant et que @leikeiko avait recommandée il y a quelque temps de cela. Il s’agit de La vie invisible d’Addie Larue. Le temps que je finisse ce livre n’est pas prêt d’arriver, je me connais. Après, je verrai si je lis David Bry directement ou si je pars sur autre chose. En tout cas je note ce titre, surtout que ça faisait déjà plusieurs mois que je voulais me mettre à la fantasy, mais honnêtement j’avais des préjugés sur ce genre littéraire et puis il y a tellement à boire et à manger dedans que je ne savais pas quoi choisir, surtout que j’ai l’impression que beaucoup d’ouvrages se ressemblent et ne tirent pas par conséquent leur épingle du jeu.

Mais grâce à toi j’ai enfin trouvé un heureux gagnant dans mon cœur, lol !

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En ce moment je lis « La vie ne tient qu’à un fil ». J’en suis à peine au chapitre 7, mais je le trouve très poignant, très prenant, bien écrit et fluide.

Le résumé :
Théo n’a aucune raison valable pour être si mal dans sa peau : une famille aimante, peu d’amis mais des vrais, de bonnes notes au lycée, quelques filles qui lui courent après… Rien ne laisse imaginer qu’un tsunami de pensées sombres lui inonde le crâne, jusqu’à l’engloutir tout entier. Pourtant, au fond de lui, là où l’âme prend sa source, il souffre. Pour lui, seule la douleur physique est salvatrice. Il en arrive à pense qu’il n’y a plus qu’une solution. En finir… Pour de bon.
Pourtant, quand il croise le regard de Pamphile, tout bascule. Ce nouvel élève à la vie bien plus bancale que la sienne, mais au sourire toujours solaire, apprend au quotidien à Théo que nous sommes les seuls maîtres de notre destin. L’amitié sans faille de Pamphile sera-t-elle suffisante pour panser les blessures ? L’amour peut-il réellement sauver lorsque la vie ne tient qu’à un fil ?

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J’ai lu le premier tome acheté ce jour. Ça se lit très très vite en effet. Je ne connais pas du tout la série par contre.

Mon avis sur le truc : c’est mignon (« chou » c’est le mot) et moderne (dans le sens où il y a un effort de fait dans la diversité sexuelle et ethnique des personnages), par contre ça reste assez banal, presque insipide.

Un « défaut » un peu inattendu par contre : le milieu très bourgeois de l’intrigue. École privée pour garçons en Angleterre… Charlie et Nick soulignent que Harry est pété de tunes, mais ils ne doivent pas être trop mal non plus en fait… Or c’est une récurrence dans les romances hétero et visiblement homo aussi (et je plaide coupable car quand j’écris des fanfics à l’eau de rose je fais la même chose souvent) : les protagonistes évoluent dans des milieux confortables. Quand ce n’est pas le cas, on se retrouve avec une sorte de Cendrillon revisité avec la pauvresse d’un côté et le prince charmant de l’autre. Je me demande dans quelle mesure les modèles littéraires anciens, quand seule l’Élite écrivait (pour les autres élites en plus), n’influencent pas ce qu’on peut lire aujourd’hui.

@Megara puisque tu parles de « La vie ne tient qu’à un fil », j’ai regardé le catalogue d’Hugo Publishing et je me suis rendue compte que leurs rares romances lgbt étaient en Young adult (collec New Way) alors que le toutes leurs new romances (adultes + 18 ans car scènes de sexe détaillées) étaient des romances hétéro (collec Hugo Romans). Je trouve ça… Bizzare. Je pense que c’est une logique éditoriale, ils ont des publics cibles mais je trouve ça assez chelou sur le plan sociétal.

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Question con heuuu bête : il y a une différence entre young adult et +18 ? Parce que pour moi, un jeune adulte a plus de 18 ans, non ? … même si un plus de 18 ans peut ne plus être être un young :rofl:

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Eh bien figure toi que je me suis fait la même réflexion que toi et j’ai découvert en parcourant internet que le Young Adult prend en compte les ados de 15-17 ans en plus de la tranche des 18-25 ans, ce qui implique donc de ne pas polluer avec des sujets réservés au plus de 18 ans (sexe, drogue, alcool, etc.) ou alors uniquement très brièvement. C’est assez paradoxal vu que la littérature Young Adult sert à aider les ados à entrer dans l’âge adulte en abordant des sujets sensibles…
Si j’ai bien tout compris, quand on parle de Young Adult à partir de 18 ans on donne appellation Young Adult + (si j’ai bien compris).

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Ça et aussi peut-être plus simplement le fait que c’est plus facile d’un point de vue narratif de décrire la richesse. Ça attire sans doute plus de monde, et puis ça permet de favoriser la romance parce que tu n’as pas en plus à décrire la précarité ou la banale vie de classe moyenne de tes persos qui se demandent comment ils vont finir le mois, ou qui vivent confortablement mais ne sont pas suffisamment riches pour autant pour avoir une existence palpitante. La survie et la routine ça n’est pas simple à écrire, et puis ça ne fait pas vendre, surtout si une bonne partie de ton lectorat est constitué de personnes modestes qui veulent juste s’échapper de leur quotidien et rêver un peu. La richesse ou la rencontre « richesse/condition modeste voire pauvreté avec richesse qui l’emporte » permet beaucoup de choses, et facilite le romanesque et les sensations fortes procurées par la romance et l’érotisme.

Enfin, c’est mon idée, mais je ne sais pas si ça se vérifie objectivement.

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J’ai trouvé une histoire en « New Romance » avec des gays, « L’ancre du passé » mais ça doit bien être la seule histoire…

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Ah oui un autre truc sur Heartstopper, pour l’instant (tome 1) j’ai trouvé les personnages sans aucune profondeur. C’est un défaut autant qu’une qualité car moi ça m’agace, j’aime les personnages travaillés en général, mais le fait qu’ils soient passe-partout fait que n’importe qui - fille ou garçon - peut se projeter sur eux.

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Je viens de lire BFF qui est une BD (ou plutôt un roman graphique) chez Delcourt.

Il faut savoir que toutes les semaines on va à la librairie spécialisée avec mon conjoint car c’est un collectionneur de BD et j’ai feuilleté BFF par pur hasard. Je ne lis presque plus de BD européenne depuis un long moment, je me concentre sur les mangas et encore… Comme je passe tout mon temps libre à écrire en ce moment j’ai énormément de retard dans mes lectures.
Mais j’ai lu BFF aujourd’hui en une heure. Je l’ai dévoré on peut dire.

Pourquoi je l’ai acheté d’abord (et pourquoi je l’ai lu). Je l’ai pris parce qu’en feuilletant et en regardant le pitch sur la 4e de couverture j’ai trouvé qu’il y avait des ressemblances avec ma (fan)fiction Dark Love, ça m’a intrigué.
Oui il y a bien des similitudes même si BFF n’est pas un boys love, c’est un récit d’amitié.

Le.pitch de couv paraphrasé en question :

« J’ai… comme une double vie.
Ah ouais mais non c’est nul comme plan drague la famille cachée, les enfants…
Non, c’est une histoire de potes… »

Et la présentation de l’éditeur :

Gro est un artiste, du genre qui galère et vit dans un studio miteux. C’est ce que croient ses potes… En réalité, il est un pianiste classique à succès. Dans son groupe d’amis, c’est le raté sympa dont l’échec rassure, ils l’aiment comme ça et il ne veut pas que ça change. Mais tous ont des secrets… Et la préparation du mariage d’Oscar et Claire va faire vaciller cet édifice de mensonges

Je m’attendais bien à ce type de contenu mais pas à ce qu’il me plaise autant.
J’ai adoré.

Au delà de Gro, Claire, Camille et Baptiste qui sont très attachants (Oscar par contre est un ■■■■■■■ monumental) et dont on sent le profond attachement qu’ils éprouvent les uns envers les autres, ce qui m’a vraiment plu ce sont les vérités crues et parfois cyniques assénées sur la vie, soit à travers la mise en scène, soit dans les dialogues.
Tous les personnages mentent (souvent par omission) mais l’ouvrage en lui même est une histoire de vérité, sur comment fonctionne les relations sociales dans notre cher Occident et en particulier dans les milieux un peu privilégiés, la classe moyenne sup en gros.

Je le conseille aux amateurs de tranche de vie et de récits d’amitié entre adultes (ça change des récits d’amitié de gosses, les problématiques ne sont pas les mêmes mais les liens sont aussi forts).

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Si vous voulez pleurer, je vous conseil ce livre, recueil épistolaire d’Anne-Marie Revol à ses filles décédées… Clairement, ce n’est pas un choix éclairé de ma part que l’emprunt de ce bouquin qui était dans une pochette surprise de vacances à la médiatheque (a priori, le 2e livre qui l’accompagnait est tout aussi gai :sweat_smile:).

Pourquoi j’aime ce livre ? Parce qu’il est profondément humain, apporte de la légèreté et un amour infini face à un drame innommable qu’on ne souhaite à personne de vivre. Chemin de résilience de parents amputés…

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Nouvelle lecture ! (Entre le tome 2 et le 3 des Puissants) Même si je crois que j’aurai besoin de pas mal de mouchoirs… :cry:

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Je viens compléter mon analyse de Heartstopper puisque j’ai lu les quatre tomes parus. Il y en aura cinq au total, si j’ai bien suivi, sans bien évidemment parler des spinoff et novellas qu’Alice Oseman a déjà publiés ou en prévision.

Le dessin est malhabile, débutant mais son style épuré ne m’a pas dérangé, au contraire, c’est mignon et le découpage des cases est bien fait.
La lecture est facile et rapide, et clairement destiné à un jeune public voire un très jeune public. Personnellement, je conseillerais cette série à des préadolescents (10 à 14 ans) plus qu’à des ados (12-17 ans), car en dehors du tome 4, qui aborde des sujets difficiles, les autres suivent plutôt les codes de la littérature jeunesse, pas vraiment du young adult.

J’en ai déjà parlé plus haut les deux personnages principaux sont « creux », ou plus exactement ils sont l’équivalent des héros de la littérature jeunesse des années 50-60 : Tintin, Spirou, Superman, Lucky Luke… (et là Firestorm va encore me tomber dessus pour Lucky :stuck_out_tongue:). Ils n’ont pas de personnalité propre. Ils n’ont pas vraiment de défaut, ni de qualité, ils sont juste caractérisés par une droiture morale typique de ces protagonistes de littérature jeunesse, ils font toujours les bons choix (en particulier Nick) et ce qui est juste.

Le récit est plutôt un précis de morale et un guide de bonne conduite en milieu scolaire, notamment face à des personnes à la sexualité « non conforme » (je ne sais plus si c’est la bonne formule pour parler de l’ensemble de la population queer), qu’une vraie histoire de fiction. La romance est extrêmement classique, banale même, ce qui la rend mignonne et universelle mais peu originale.
Ainsi, le roman graphique peut être ennuyeux à lire pour des adultes qui attendent autre chose de la littérature. Des trucs plus profonds, plus subtils, plus originaux…

Moi qui suis cynique par nature (malgré mon goût prononcé pour les happy ends), avec un niveau d’étude élevé et un esprit critique aiguisé comme un rasoir, j’ai été très souvent agacée, en particulier dans le tome 3, puant de bien-pensance et flirtant avec le communautarisme. L’ensemble de l’oeuvre prone la diversité et l’acception de la différence (plutôt axées sur l’orientation amoureuse et le genre, même si on sent que l’auteure voudrait aborder d’autres sujets comme les origines ethniques ou la forme des corps), pourtant dans le tome 3, il n’y a plus un seul hétéro, et quand l’un d’eux (ré)apparaît c’est pour se comporter en gros ■■■■■■■. Même les profs sympas et soutiens moraux des élèves en difficulté sont homosexuels. C’était assez malaisant à lire, limite insultant.

Il n’y a pas trop ce problème dans les autres volumes, plus inclusifs (au sens strict) et apaisés.
De mon point de vue, les meilleurs volumes sont le 2 et le 4. Le 2e parce qu’il aborde un sujet que j’ai assez peu vu sur la prise de conscience des gays. Souvent, dans la littérature, on présente les coming-out comme une prise de conscience soudaine ou progressive rapide tardive, ou alors on n’en parle pas. Là Charlie dit clairement qu’il l’a toujours su, dès l’enfance parce que dans son développement affectif (ce qu’il nomme les coups de coeur fictifs) il a toujours été attiré par des persos de sexe masculin.
C’est aussi celui où il se passe le plus de choses dans l’esprit des deux personnages et où « l’intrigue » (si on peut appeler ça comme ça vu le contenu insipide) se met en place.
Le 4e, lui, aborde enfin pleinement les problèmes psy de Charlie. Dès le début de la série, on sent sa fragilité et il revient régulièrement sur les traumatismes qu’il a subi (harcèlement, solitude, manipulation, etc.) mais il prend sur lui et on pense qu’il va progressivement mieux au contact de Nick mais tout n’est que superficiel et l’amour ne suffit pas.

Enfin, je ne sais plus où se situe ma scène préférée, mais celle qui m’a le plus touchée, c’est celle où Charlie est obligé d’expliquer à son meilleur ami pourquoi il ne lui a pas parlé de sa romance avec Nick. Il y a une crise de confiance entre les deux et on sent bien toute la tristesse et la culpabilité qui se dégagent des deux copains. Ça pour le coup c’est poignant, car Tao est vraiment le grand soutien de Charlie, il l’a accepté tel qu’il était dès le début, sans jamais le juger, et pourtant il se prend ça en pleine face. J’ai trouvé ça dur.

En résumé, c’est mignon cucul, bien pour apprendre aux enfants/ados la tolérance, mais bien trop plat pour des adultes. J’aurais aussi apprécié - même pour des jeunes lecteurs - plus de subtilités dans la morale, plutôt qu’une bête bien-pensance martelée en mode « l’homophobie c’est mal ». Parce que le seul argument avancé c’est « ce sont des êtres humains avec des sentiments ». Ah bah oui merci, quel spoil :sweat_smile: (cela dit je suppose que pour certains c’est bien de le rappeler mais si ça ne doit pas forcément être ceux dont les parents vont leur faire lire Heartstopper…)

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J’avoue ne pas bien comprendre en quoi cet « argument » ne suffit pas selon toi ? :sweat_smile:

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@Zed3Et
Bah si c’était suffisant la paix universelle régnerait sur terre. :sweat_smile:

Pour l’anecdote, une fois je parlais avec des vegan qui m’expliquaient qu’ils avaient été insultés (voire certains frappés) pour leurs choix éthiques. Je leur ai expliqué que le problème était global, les gens sont violents par nature et changent de cible facilement, il leur faut toujours un bouc émissaire. On leur dit « le racisme c’est mal », ils s’attaquent aux gays, on leur dit « l’homophobie c’est mal » ils attaquent les vegan. Et ainsi de suite. La règle est pourtant simple : on n’agresse pas les autres, c’est tout. On les respecte. Tout comme les lois et les bonnes règles de conduite en société.
Eh bien tu sais ce qu’ils m’ont répondu ?
« Tu dis ça pour minimiser notre souffrance et parce que tu es contre le véganisme, notre voix compte. »
Ah oui le nombrilisme de l’être humain, j’oubliais.
Ma conclusion, c’est donc que :

N’a aucun impact sur une (grosse) partie de la population, malheureusement. C’est chacun pour soi et l’autre reste un autre. Même humain.
Parce que tu as la même chose avec les SDF, les chômeurs, les immigrés… J’ai pas vraiment l’impression que répéter en boucle « ce sont des humains » pousse les gens à arrêter de les stigmatiser ou les haïr.

Ah et je suis archéologue, j’ai toujours tendance à replacer les choses dans un contexte historique. Les mouvements dangereux doivent être stoppés, c’est ce que je crois. Pour certains, l’homosexualité est dangereuse. Alors démontrer que ça ne l’est pas me semble assez utile.

Je complète ma conclusion que l’auteure de Heartstopper est jeune et, sans doute, assez candide de fait. D’où un message d’universalité très mignon mais simplet.

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Un ami qui partage également ma passion de World of Warcraft, m’a offert deux magnifiques livres avec illustration. (D’ailleurs les illustrations sont juste SUBLIMES ! :star_struck:) Contes et légendes d’Azeroth c’est une petite merveille que j’ai malheureusement bouffé d’une traite. :sweat_smile: Pour le moment c’est mon préféré. :smiling_face_with_three_hearts:

J’ai commencé à lire le deuxième : World of Warcraft : À la découverte d’Azeroth - Les royaumes de l’Est. Sur la couverture le pont légendaire avec les héros de l’Alliance, à l’entrée de Hurlevent la cité humaine et donc le siège du pouvoir d’Anduin.

Je compte bien m’offrir pour étoffer ma collection de livre sur WoW ( Déjà bien fournit. :sweat_smile: ) avec : / World of Warcraft : À la découverte d’Azeroth - Kalimdor. ( Etant une joueuse de la Horde c’est le continent de ma capitale. :3 ) Il y a un petit nouveau qui va sortir en novembre World of Warcraft : À la découverte d’Azeroth - Norfendre. Les livres c’est vraiment pas donnés. :sweat_smile:

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Oooooh je veux ces livres !!! Ils sont magnifiques :heart_eyes_cat:

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