Racontez-moi votre plus beau voyage ! (っ ´ω`) ノ

Merci pour ton nouveau partage ! Encore une fois, ta façon de décrire ton voyage fait beaucoup envie, je crois que l’Israël était un pays dont je n’avais pas vraiment d’avis. Je savais pas trop quoi en penser mais tu n’es pas la première personne à me dire avoir adoré y aller. Et ça se comprend, avec toutes les activités que tu as eu la chance de faire et toutes les choses que tu as pu voir, ça fait rêver !! (ノ ´ ヮ `) ノ *: ・ ゚
Je crois que le seul pays assez « exotique » que j’ai fais, c’était la Turquie, Istanbul. Et encore, j’ai l’impression de ne pas avoir vu grand chose de là bas… J’y suis allée en février 2019 et il faisait si froid !! Destination à refaire mais à une autre période !

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Merci pour ton beau partage ! Je me suis toujours dit qu’un jour j’allais visiter plusieurs pays d’Asie, le Cambodge en faisait évidemment parti parce que j’ai beaucoup d’amis qui y sont allés et leurs photos me faisait toujours rêver. Et ton récit me conforte dans cette idée, c’est un pays à faire au moins une fois dans sa vie j’en suis sûre ! De la nourriture à foison pour pas grand chose et en plus délicieuse ??? On dit oui tout de suite !! (つ ✧ω✧) つ
J’espère pour toi que tu auras l’occasion d’y retourner pour refaire ou faire tout ce que tu n’as pas pu faire la première fois !

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Ton voyage me rappelle le mien quand j’allais suivre les animaux sauvages ou me perdre dans les immenses forêts de Finlande. J’ai traversé les 4 saisons en étant là bas et c’était tout bonnement génial. Je suis très nature aussi et mon voyage m’a fait apprécier ce côté encore plus. J’ai eu beaucoup de mal à retourner en ville ahah !
Mais sinon, pour la France et qui s’apparenterait plus à ton voyage, je suis allé une seule fois dans les gorges de la Loire. Une randonnée sous le soleil cuisant, très mauvaise idée mais la vue valait le coup !! Ce genre d’endroit donne l’impression qu’on recharge nos batteries, en effet, c’est si agréable ! ╮ (︶ ▽ ︶) ╭
Merci pour ton récit !

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Et bien j’espère que tu aurais l’occasion d’aller là-bas une fois, ça vaut vraiment la peine ! :smiley: C’est un pays tellement riche (pas au niveau de l’argent, évidemment mais pour ses paysages, sa culture, sa nourriture et j’en passe…)
Après j’ai été très chanceuse que mon copain venait de là et que ses cousins nous on servi de guides. Je pense qu’on a été privilégiés sur certains points que des touristes n’auraient pas eu la chance de voir/faire ^^

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Je rêve d’aller au Japon aussi :smiling_face_with_three_hearts: :heart_eyes:

Et pour ce qui est de la Grèce et bah… je ne peux que te conseiller d’y aller vivement ! J’y suis allée il y a… je sais plus haha, ça date mais j’en garde un merveilleux souvenir aussi !
Les bâtiments typiques blancs, la mer bleue, la plage de sable ou de galets, la délicieuse nourriture, les gens qui roulent en scooter sans casque haha. J’ai vraiment apprécié y aller et sincèrement, j’ai trop bien mangé aussi :wink: (je ne vis que pour la nourriture si tu ne l’as pas remarqué…)

J’étais censée y aller l’automne passé avec une amie, mais le covid en a décidé autrement… (tout le monde connait la chanson). Du coup j’espère pour rattraper ça !

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Rah non mais vous me donnez trop d’envies de voyage avec vos histoires, et c’est littéralement la pire période pour rêver d’autres horizons !!

Mais puisque vous insistez, je vais vous raconter mon histoire. :stuck_out_tongue:
Même si, en vrai, le séjour entier au Japon suffit à être mon plus beau voyage, avec plein de petits beaux voyages pour l’agrémenter

°

Ca se passe en fin de printemps 2018 ; j’étais au Japon depuis neuf ou dix mois, j’avais mon petit train-train quotidien entre la fac et les promenades à vélo (bon, entre novembre et avril il ne fallait pas y penser à cause de la neige, mais soit), autant dire que c’était le rêve. J’avais pu voir les saisons passer les unes après les autres, marquant de leur passage la ville de Hirosaki et ses environs. Le meilleur spot était le mont Iwaki, surnommé le « Mont Fuji du Tsugaru », qui prenait les couleurs de l’automne, l’hiver, du printemps et de l’été, et que j’apercevais chaque jour depuis les couloirs de l’université.

Notre histoire commence donc en cette fin de printemps. En mai ou en juin, je ne me souviens plus trop. J’avais entendu parler d’une légende, au sujet d’un chien de race akita (comme Hachikô, vous vous souvenez de lui ?) dont l’esprit est « vénéré » dans un sanctuaire perdu au fin fond de la forêt et de la campagne de la préfecture d’Akita.
Je pars donc un matin, sac à dos sur les épaules et motivation à fond, et enfourche mon fidèle vélo jusqu’à la gare de Hirosaki. Là, je prends un de ces trains japonais connus pour leur ponctualité (même si là, j’en aurais des choses à dire !), en direction d’Akita. La ligne Ou (奥羽本線) fait le trajet entre Aomori (la préfecture de la préfecture d’Aomori (cherchez pas, les termes français sont comme ça) et Akita (préfecture de la préfecture d’Akita), et autant dire que je l’ai empruntée un paquet de fois.
Un petit saut dans une supérette pour m’acheter de quoi grignoter et de quoi déjeuner (leurs onigiri me manquent tellement), et me voilà partie pour m’arrêter dans la ville de Ôdate, à une demi-heure de là.

C’est un de ces trains japonais qui ressemblent à nos métros parisiens et toulousains (pour ne citer qu’eux), et le trajet se fait quasi-exclusivement en extérieur (campagne et forêt), puisqu’on se trouve de l’autre côté des montagnes du nord du Japon.
Quoi qu’il en soit, j’arrive à Ôdate, berceau de la race akita, et saute dans le premier train en direction de Morioka (préfecture d’Iwate) pour un trajet d’une heure. Aucun contrôleur n’était venu vérifier mon billet, je me souviens.

Quoi qu’il en soit, j’arrive à destination : la gare de Sawajiri (沢尻駅). Et, comment dire.

Les quais de gare, au Japon, dans les villes, ressemblent à ça :
image
(ici, gare de Hirosaki)

Et le quai de gare à Sawajiri, c’est ça :

On sort du train, on se retrouve sur un quai de gare qui est juste… un quai, en fait. Il y a quelques panneaux pour nous dire le nom de la gare, l’arrêt précédent et le suivant, et les panneaux d’horaires… Mais c’est tout ! Pas d’employé de gare, ni même d’endroit pour acheter les billets. J’avoue, je n’avais encore pas vu ça.

Je me promène un peu dans les environs du coin ; j’étais encore « dans » Ôdate (pour vous donner une idée, la superficie de la ville c’est tout ça), mais à la limite de la limite. Et je prends, à l’aide de mon super GPS qu’est Google Maps, la « route » pour le sanctuaire.
Il fait bon, voire presque chaud, les cigales chantent (du coup je me demande si c’était pas en juin/juillet en fait ?), et je passe dans la campagne, dans des chemins un peu boisés, et je grimpe des collines assez épuisantes. Mais voilà que, perdu entre des arbres, je tombe sur le sanctuaire que je cherchais : le Rôken Jinja (老犬神社), le « sanctuaire du vieux chien ».

Tout, là-bas, était magique. Vous voyez l’ambiance un peu féérique, surnaturelle des films des studios Ghibli ? Eh bien on y était pour de vrai.


(la « route » pour accéder au temple, en passant le torii)

Le temple paraît à la fois abandonné et entretenu. Perdu au fin fond de la forêt, et pourtant il tient debout, les portes coulissent, des offrandes sont posées. Mais il n’y a aucun prêtre ni rien, il n’y a que moi, et le sanctuaire.

image

C’est un jinja, donc un sanctuaire shintoïste, érigé en l’honneur d’une divinité « anonyme », qui ne vit qu’ici et nulle part ailleurs. Et donc, à l’intérieur (parce qu’on peut y pénétrer, en veillant à bien ôter les chaussures pour marcher pieds nus sur les tatami), on y trouve une petite armoire sur laquelle est posé un « livre d’or » où les visiteurs peuvent laisser un mot, mais aussi quelques o-mamori, des porte-bonheurs propres au temple.
Plus au fond, on trouve l’autel à offrandes monétaires, les cordes liées aux cloches à sonner pour appeler les esprits, des bougies, des lanternes et… des paquets de croquettes pour chien !

Et bien entendu, plusieurs représentations de chiens de la race akita ; on sait ce qui est vénéré ici.

Je m’y étais rendue un peu en « pèlerinage » en mémoire de ma chienne, décédée un peu plus d’un an alors qu’elle était encore jeune. J’avais été beaucoup touchée par l’histoire derrière la construction de ce sanctuaire, et je m’étais dit que c’était une expérience unique à faire.
Et en effet, ça l’était.
Le fait d’être un peu « perdue » dans la campagne profonde japonaise, au nord de la préfecture d’Akita, un peu seule au monde, plus ou moins livrée à moi-même (pas de guide, pas de Japonais pour m’aider à me faire comprendre – comme si j’en avais besoin, j’étais devenue bilingue ou presque depuis le temps), dans un endroit aussi magique…
L’ambiance très spirituelle derrière cette excursion me fait regretter d’en avoir moins profité à l’époque !

Mais après m’être ressourcée (c’était le cas de le dire !), je suis repartie dans le coin de la ville, aux alentours de la gare, jusqu’à ce qu’approche l’heure du départ de mon train retour. Evidemment, pas de personnel de gare signifie pas de moyen d’acheter le billet… et j’ai fraudé le train ! :shushing_face:
Une fois à Ôdate, j’ai pris à nouveau la ligne Ou pour rentrer à Hirosaki, et un petit trajet en vélo plus tard, j’étais de retour dans ma résidence ! :smiley:

°

Des histoires comme ça, de mon séjour au Japon, j’en ai plusieurs. Mais c’est dur de raconter avec des mots, c’est énormément de ressentis, et il faut dire que l’ambiance est particulière.
Comme cette fois où j’étais dans les onsen, les sources thermales, dans le bain extérieur, en plein hiver, avec la neige qui tombe, et le corps à moitié hors de l’eau parce que ça brûlait à force… Aah, ça me manque !!

Pour celles et ceux qui sont intéressés par l’histoire derrière le sanctuaire, je la mets en spoiler juste ici ! :smiley:

Résumé

Dans le Japon du 17e siècle (années 1600), un chasseur avait un laisser-passer pour chasser au-delà des terres de son seigneur. S’il se faisait arrêter, il n’avait qu’à présenter son rouleau (maki), certificat de ce statut particulier qu’il avait.
Il chassait toujours avec son fidèle chien, un akita du nom de Shiro ("blanc), nommé ainsi car son poil était entièrement blanc.
Un jour, alors qu’ils chassaient hors des terres du seigneur, l’homme se fait arrêter. Manque de chance, il avait laissé son rouleau chez lui, dans sa demeure. Il ordonne à son chien d’aller le lui chercher, afin de prouver qu’il a le droit de se trouver là, sans quoi il finirait exécuté.
Shiro se précipite jusqu’à la demeure, loin de là. Après avoir aboyé à plusieurs reprises, la femme du chasseur comprend ce qu’il cherche, et lui met le rouleau dans la gueule. Shiro repart à toute allure jusqu’à l’endroit où est gardé son maître.
Par malheur, il arrive trop tard. Le chasseur est exécuté et, fou de désespoir, Shiro fuit dans la forêt voisine.
Le sanctuaire du vieux chien (ou Rôken Jinja), a été érigé afin d’apaiser l’esprit de Shiro qui hantait la forêt

°

Pour celles et ceux intéressé(e)s de voir le trajet fait, Google Maps vous l’indique juste ici !

Et pour finir, toutes les photos jointes à cette réponse ont été trouvées sur le net, à défaut de pouvoir fouiller dans les milliers de dossiers de photos disséminés dans tous mes disques durs externes… Désolée ! :pray:


Edit : je viens de retrouver, en fouillant dans un carnet, un tampon que j’avais fait dans ledit temple !
Je confirme donc, c’était le 22 juillet 2018 (Heisei 30), absolument pas au printemps xD

Le tampon, en question (qualité passable car prise à la sauvage avec le flash) :

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Ton récit m’a beaucoup émue, merci beaucoup pour ce beau partage !
Je crois que ça m’a beaucoup touché parce que depuis enfant j’ai toujours été entouré de chiens, j’ai grandis avec et j’en ai un rien qu’à moi que j’aime tant. Savoir que tu t’y es rendue pour rendre hommage à ta petite chienne, c’est encore plus touchant. (。 • ́︿ • ̀。)
Le Japon me fait tellement rêver, surtout pour ce côté très traditionnel qui lui va si bien, les croyances qu’ils ont et tous les beaux temples.
Ca se voit que cette petite expédition t’a beaucoup marqué, ça se ressent et tu as du vivre des choses formidables là bas, j’en suis jalouse ! J’ai tellement envie d’y aller et y rester plusieurs mois. (Go me renseigner !!) (つ ≧ ▽ ≦) つ

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Et voilà mon 3 beau voyage à l’étranger :
Mars 2013, île Maurice.

Déjà on est partis alors que la métropole était sous la neige. Nous sommes Enveloppés par la chaleur humide en sortant de l’avion. Le chauffeur de taxi nous met d’emblée à l’aise « ici la langue officielle c’est l’anglais mais nous on s’en ■■■■, on préfère parler français ». Il nous parle de son pays qui a été une colonie française puis anglaise. Là-bas on roule à gauche d’ailleurs.

Les cultures sont mélangées à Maurice : se côtoient églises, temples hindous


et temple Tamoul (magnifiquement colorés intérieur comme extérieur) et la nourriture est un mélange de cuisine chinoise, Indienne et française.

L’hôtel est niché dans la verdure : des hibiscus, des palmiers, des rodhondendrons et d’autres plantes que je n’identifie pas. On nous fait patienter dans un espace ouvert et couvert à la fois, petit cocktail de bienvenue, des douceurs à manger. Nous sommes d’emblée au paradis. Des oiseaux chantent et viennent tous proches,des chats aussi. Le restaurant est lui aussi tout ouvert avec buffet varié

Nous avons la plus belle chambre qui donne directement sur la piscine à débordement qui donne elle-même sur la plage.

Le sable y est grossier et plein de morceaux de corail et de coquillages. Nous avons énormément nagé et vu toutes sortes de coraux (dont beaucoup malheureusement blanchis), de poissons (perroquets, écureuils, clown, j’en passe et des meilleurs), des murènes, des oursins mauves et d’autres verts amande en plus des gros tous noirs.

Là-bas nous avons nagé avec les dauphins. C’était magique de les voir passer en bancs en dessous de nous, de les entendre siffler et cliqueter!

Nous avons visité des temples, Chamarel, les terres de sept couleurs (phénomène géologique naturel)

, fait du quad dans une réserve naturelle (on aurait pu faire a cheval aussi mais mon mari n’est pas cavalier lol), le Jardin Pamplemousse aussi qui est magnifique ! Nous avons fait peu de visite de magasin ou autre, ce n’est pas notre tasse de thé :wink:

Nous avons dégusté des plats savoureux, beaucoup à base de poisson frais ou de crustacés (camaron, langouste, marlin bleu).

Souvenir émouvant : un savoureux dîner aux chandelles sur la plage avec la voix de crooner magnifique du chanteur de ce soir-là avec qui je me suis retrouvée à chanter « la vie en rose » pour mon jeune époux, puis « la mer » c’était vraiment magique !

PS : toutes les photos sont de nous :wink:

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Aaaaaaaaaah, mon plus beau voyage ! Quel beau sujet vous nous avez donné là !

Accrochez-vous, ça va pas être de la petite bière.

C’était lors de ma première année EN Sorbonne. Les vacances d’hiver étaient arrivées, mais j’avais été mis à l’écart de ma confrérie de scouts suite à un malheureux accident de déniaisage, dont je vous passerai les détails. J’étais démuni et ne savais quoi faire de ces trois semaines de libres qui s’offraient à moi.

C’est alors qu’un beau matin, en errant chez un antiquaire, je suis tombé nez à nez avec une toque !

Quel couvre-chef ! Il était aussi rond que mon ventre et recouvert d’une douce fourrure grise dont la couleur s’accordait parfaitement avec les reflets de la vieillesse naissante de ma moustache. Je l’ai immédiatement posé sur mon illustre crâne, et il s’y est emboité divinement.

Je l’ai donc acquis pour la maudite somme de 15 francs, et suis sorti parader dans les rues de Paris. Mais, malheur ! Même en hiver, cette toque était bien trop chaude. J’en perdais mes eaux de chaleur, pourtant je ne pouvais me résoudre à ôter un si beau capuchon ! J’ai donc pris les mesures qui s’imposaient et suis parti deux semaines en Russie, dans un petit village des Balkans où se tenait une magnifique bibliothèque isolée de tout.

Là, ma toque me réchauffait, me réconfortait, me câlinait. Nous étions en osmose. Ensemble, nous avons traversé de sombres forêts, gravi des montagnes. Et lorsque nous rentrions le soir, je la posais toujours auprès de moi et lui contais les découvertes issues de ma lecture de livres anciens. Une semaine s’est ainsi déroulée dans ce pur bonheur.

Le lundi de la deuxième semaine, un soir, sans prévenir, quelqu’un est apparu sur le seuil de la bibliothèque. C’était un homme à l’apparence noble, et aux cheveux bien laqués. C’était le Père Purgoll. Il était venu trouver refuge au beau milieu des Balkans suite à une sombre histoire de vol de feuillets dans un monastère par une dame de petite vertu.

Le soir même, je l’ai séduit. Il n’a pas pu résister à la Radimiruse. Et nous sommes devenus amants.

J’ai lâchement délaissé ma toque durant la semaine qui a suivi, préférant batifoler entre les rayonnages de ce cher Père Purgoll. J’aurais dû savoir que le courroux de ce chapeau s’abattrait sur moi.

En effet, le dernier jour, lorsque j’ai voulu la chausser sur mon crâne afin de prendre un train jusque Paris, elle avait disparu. Je ne l’ai plus jamais revu. J’aime croire qu’elle est partie dans la Toundra et qu’elle roule, encore aujourd’hui, vers un possesseur digne de sa fourrure.

Depuis, j’attrape toujours des rhumes en hiver.

Chérissez toujours votre couvre-chef avant qu’il ne soit trop tard…

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Merci beaucoup pour ton récit ! ╰ (* ´︶` *) ╯ :heart:
Je l’ai adoré !! J’espère qu’un jour tu parviendras à faire ton deuil et à retrouver un couvre-chef digne de ce nom pour de nouvelles aventures !

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Merci pour le partage de vos récits ! Et les photos sont tout aussi époustouflantes ! Personnellement, je n’ai pas beaucoup participé à des voyages. Mis à part une semaine en Europe, lors d’un projet de cours et de quelques mois d’études en Angleterre lors de ma licence. Ce sont de très beaux souvenirs aujourd’hui, mais comme c’était la première fois que je partais à l’étranger pour une aussi longue période, et toute seule. Il m’est arrivé pas mal de galère dès mon arrivée en plus. Entre les soucis d’avion puis de train, puis de taxi, puis pour trouver l’airbnb… A la fin de ce premier périple, j’étais déjà bien sur les nerfs. Quand j’ai voulu me poser enfin et appeler mes parents pour leur dire que j’étais bien arrivée, j’me suis rendu compte que mon tel fonctionnait pas du tout. Parce que j’avais pensé à beaucoup de chose, mais pas à mon forfait. Heureusement que mon hôte avait la wifi. J’ai pu envoyer un message à mes parents et j’ai réglé le problème grâce aux indications sur ce site https://www.monpetitforfait.com/comparatif-forfaits-illimites. En fait, c’était juste un souci d’activation d’un nouveau forfait car mon ancien était bloqué. Ensuite, j’ai eu des soucis avec l’appartement dans lequel je devais emménager. J’ai du changer au dernier moment de logement et j’ai failli dormir une nuit dans la rue tellement je ne pensais pas m’en sortir. Pourtant, les choses se sont arrangées et le reste de mon séjour n’est rempli que de bons souvenirs. Cette période m’a beaucoup appris. Depuis, j’attendais d’avoir un travail et de pouvoir mettre de côté pour de futures destinations… Mais à peine quelques mois après avoir signé mon contrat, le confinement a été annoncé… Bref, je me languis de pouvoir partir à nouveau afin d’explorer tous ces pays qui me fascinent depuis des années mais dont je n’ai pas encore pu découvrir l’ambiance, les habitants, la nourriture, les odeurs… Toutes ces sensations que les images ne transmettent pas, que les textes essaient de transcrire sans y parvenir complètement.

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Salut ! moi je vis en France je pense pas vraiment que ces un voyage mais pour moi sa l’ai ! Bref
Alors moi mon tout premier voyage c’était en classe découverte, on n’était aller en Normandie pour ma première fois de ma vie ! c’était trop bien je me souviens de se voyage comme si s’était hier .
on n’arrêter pas de parler la nuit du coup on réveiller nos camarade a côter s’était mdr on s’amuser trop bien avec mes ancienne ami j’avais 9 ans tant dis que maintenant j’en n’ ai 15 ! mes bon voilà ses pas la meilleure mes bref bisous :smiling_face_with_three_hearts:

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@severine.vidoni Très chouette de participer :wink: La coutume invite à passer par la case présentation en premier lieu. Je t’invite à le faire afin qu’on puisse t’accueillir comme il se doit :wink:

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