6 ans plus tard … J’ai enfin lu cette fanfiction (en même temps elle était sous mon nez au format papier, alors je n’avais plus d’excuse … j’en avais lu quelques chapitres mais c’était il y a tellement longtemps que je ne m’en souvenais même plus !)
Je ramène donc cette review, car finalement, je me rends compte en la lisant que j’ai les mêmes remarques qu’Aya, que ce soit sur le fond (ces livres transpirent la maîtrise des arts martiaux, et moi aussi j’ai un peu tiqué sur la manière dont se déroulaient les combats … je veux bien que certains personnages sachent se battre de cette façon mais pas tous quand même …) ou sur la forme (quand même, l’orthographe faut pas abuser, surtout avec moi - bon j’ai pas juré comme un charretier mais l’envie était là. D’ailleurs je suis en train de corriger Ariana Potter, car figurez-vous qu’il veut aussi faire imprimer cette série et qu’il est hors de question, moi vivante, que ces livres soient imprimés tels quels !). Attention au langage. Parfois, en plein milieu du texte, il y a une phrase qui n’est pas du même niveau, on passe d’un langage proche du soutenu à une expression familière.
Et puis il y a d’autres points, dont j’ai déjà parlé avec Snake …
Spoilers
- la manière dont Chun gère sa “maladie”
- les sortilèges formulés du dragoniar (mais apparemment c’est possible, car, je cite " les dragoniars par extension, ne sont pas vraiment des sorciers, c’est vrai, mais ils en sont très proches. La seule différence étant leur sang de dragon leur permettant de se passer d’artefact pour canaliser leur magie. Ils peuvent utiliser les mêmes sortilèges que les sorciers s’ils les apprennent.")
- le nom des enfants
- Chun (en fait je pense que je ne l’aime pas, je sais pas, il y a des trucs qui me dérangent moi aussi. J’aurais pensé qu’elle aurait plus d’actions en tant que policière et non comme “pot de fleurs”)
Mais sinon à part ça, c’est plutôt une fanfic sympa à lire (bon il y a des chapitres assez sanglants quand même).