[Sherlock Holmes] Fanfiction : Le détective agonisant

Bonjour à tou(te)s !

Je ne suis pas venue sur le forum depuis un certain temps malgré mes bonnes résolution de début d’année parce que je me suis cassé le pouce, et que pour taper à l’ordinateur, ce n’est vraiment pas pratique du tout. :sweat_smile: Me voilà à peu près rétablie (sauf pour le piano, hélas) et ce rétablissement concorde avec une nouvelle obsession de ma part, ou plutôt une ancienne obsession qui est récemment revenue, j’ai nommé Sherlock Holmes.

Je suis une super fan de Conan Doyle depuis mes 12-13 ans, ma première fanfic publiée se situait dans ce fandom. Au cas où ça vous intéresse, elle est ici : Altisidore. Et depuis un mois environ, elle se trouve en audio sur un site extérieur car un de mes lecteurs, Bruant d’Almeval, a demandé mon autorisation pour l’enregistrer intégralement . Il a fait un travail remarquable et je suis très fière qu’il ait repéré ma fic, donc je ne résiste pas au plaisir de vous mettre le lien : Altisidore audio.

En 2011, j’ai découvert la série Sherlock de la BBC et je suis restée bouche bée devant l’adaptation que j’ai trouvée magistrale (pour les deux premières saisons). J’ai donc écrit plusieurs fics pour ce fandom, et ce sont ces histoires que je vais poster ici. J’ai aussi le projet d’écrire de nouveau pour le Sherlock Holmes de l’ère victorienne, mais j’ai tellement de projets qui n’ont pas abouti que je ne vais pas en parler davantage…

Voici donc une fanfic Sherlock BBC, déjà intégralement écrite, que je suis en train de revoir, corriger et - je l’espère - améliorer. Il s’agit d’une réécriture de la nouvelle de Conan Doyle (je sais que la BBC en a fait une version dans la saison 4, mais j’ai quand même conservé les noms d’origine) « Le détective agonisant ».

Titre de la fic : Le détective agonisant (non, sans blague ?)
Fandom : Sherlock BBC
Personnages : Sherlock, John, et plus tard Mycroft
Rating : T (pas de violence à proprement parler, mais il est quand même question de thèmes asses sombres tels que l’autodestruction ou les troubles mentaux, et puis comme d’habitude, j’écris du H/C avec beaucoup de Hurt et peu de Comfort)
Catégories : Amitié / Policier (mais s’il y avait eu H/C, j’aurais mis H/C :roll_eyes:)
Continuité : l’histoire se situe un peu moins d’un an après la rencontre de John et Sherlock, donc entre « The blind banker » et « The great game »
Niveau de connaissance du fandom : si vous connaissez les personnages, ça suffit, je pense ; si vous connaissez la série, c’est super, et si vous avez lu Doyle en plus, ça vous permettra probablement d’anticiper sur la suite des événements :sweat_smile:
Teaser : John quitte le 221B quelques jours pour un congrès médical à Exeter, ce qui arrange bien Sherlock : son colocataire va pouvoir aller à la pêche aux informations pour lui sans qu’il ait à quitter Londres. Ni même son lit, parce qu’il a du choper un virus qui traîne. Ou parce qu’il a volontairement provoqué un assassin capable de lui inoculer les germes d’une maladie autrement plus sérieuse.
Lien vers le chapitre 1 : La routine monotone de l’existence

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Ho je vais tenter d’écouter ça :grin:

Je connais ça :sweat_smile:

Ravi de voir un peu de Sherlock publié, dès que j’ai le temps je m’y penche :grin:

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Comme cette fic est déjà écrite et que les chapitres sont (pour l’instant) ultra courts, je vais en poster un par jour.
Voici donc le chapitre 2 : The game is afoot.
Et un petit teaser comme d’habitude :
– Je soupçonne Savage d’avoir fait partie des services secrets. Je pense qu’il a été éliminé parce qu’il en savait trop sur quelque chose et j’ai besoin de savoir quoi. Il faut que tu ailles interroger ses proches, sa veuve, son ancienne maîtresse et son frère, et que tu trouves le médecin qui a signé le permis d’inhumer.
– Sérieusement, Sherlock, tu crois que je n’ai que ça à faire ?
– Oui.

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Et voilà le Chapitre 3… J’avais oublié que j’étais capable d’écrire des chapitres aussi courts.

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Ma lecture d’Altisidore (qui est une fic vraiment géniale) étant très récente, je ne vais pas directement rempiler sur l’audio, mais ça doit être cool de découvrir – redécouvrir – cette histoire sous un autre format (j’essaie de me garder l’idée dans un coin pour plus tard) :slight_smile:

Je suis très contente de te voir publier sur du Sherlock Holmes (même si ce n’est pas la version Victorienne) par ici, je lis ça dès que j’ai un moment !

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Merci beaucoup !!! :blush:

J’avoue que tes commentaires sur « Altisidore » ont contribué à raviver mon intérêt pour le Sherlock Holmes victorien, il n’est donc pas impossible que j’y revienne relativement bientôt. Pour être honnête, j’ai écrit une trentaine de pages en quelques jours, mais il s’agit essentiellement de Hurt/Comfort (dans lequel je me complais) mais qui est loin de composer une histoire publiable avec « un début, un milieu, une fin », comme dirait ce bon Aristote. :sweat_smile:

En attendant, voici le chapitre 4 : It is a capital mistake to theorize before one has data - les titres de cette fic sont en anglais car ce sont toutes des citations de Conan Doyle, que je traduis en bas de page. Citer Sherlock Holmes, pour moi, implique nécessairement de passer par l’anglais…

Petit teaser très court (Hurt/Comfort, j’ai dit ? Non ? :roll_eyes: :roll_eyes: :roll_eyes:) :
– Tu veux que j’appelle un médecin pour qu’il vienne…
– Tout va bien.
– Non, tout ne va pas bien. Tu as pris des médicaments, du paracétamol, quelque chose ?
– Oui, ne t’inquiète pas, répondit le détective en haussant les épaules. C’est la saison de la grippe. Je l’ai attrapée, c’est tout. Tu sais, comme « les êtres humains normaux ».

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… J’ai failli ne pas poster aujourd’hui, mais je suis assez contente d’avoir réussi à relire et reprendre mon chapitre du jour, à savoir le chapitre 5 : I wonder how a battery feels when it pours electricity into a non-conductor
Le petit teaser qui va avec :
Il hésita, jeta un coup d’œil vers la salle de bain, reprit son téléphone et appuya sur l’écran. Une sonnerie. Deux. Trois. Messagerie vocale.
Sherlock Holmes. Ne laissez pas de message, je ne l’écouterai pas. Envoyez-moi plutôt un texto.
Le médecin leva les yeux au ciel. Pourquoi le destin s’amusait-il à le martyriser ainsi ? Quelqu’un avait-il tracé en lettres aussi invisibles que pesantes « Baby-sitter de Sherlock Holmes » sur son front ?

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Hello,

J’avais dit que je posterais un chapitre par jour, mais hier a été une journée très très très remplie, et aujourd’hui aussi (parce qu’au lieu de l’heure de train prévue, j’ai passé 3h30 dans divers transports pour rentrer chez moi :sweat_smile:). Voici donc, avec un peu de retard, un nouveau chapitre, et j’en posterai peut-être deux demain car à partir de lundi je serai en voyage scolaire pour quelques jours, et je sais déjà que je n’aurai pas une seule minute à moi : il est très peu probable que j’arrive à poster la suite de l’histoire ou même à venir sur le forum.

Chapitre 3 : The emotional qualities are antagonistic to clear reasoning

Petit teaser du soir :
La solution lui apparut tout à coup, simple et évidente. Comment n’y avait-il pas pensé plus tôt. Lui ne pouvait pas agir directement avant un certain temps, mais quelqu’un d’autre le pouvait. Il sortit son téléphone de sa poche et composa un bref message.
20 :12. Sherlock est malade. Ca a l’air sérieux. Allez le voir. JW
Puis il attendit la réponse qui ne saurait tarder. Mycroft Holmes répondait toujours immédiatement lorsque John l’appelait, ce qui n’arrivait pas fréquemment mais arrivait tout de même. Il le soupçonnait d’avoir un téléphone à usage unique, allumé vingt-quatre heures sur vingt-quatre, dont l’unique fonction était de recevoir les SMS et appels de John Watson, peut-être de Lestrade ou de Molly.

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Un grand merci à celles et ceux qui lisent cette histoire et qui m’ont envoyé des commentaires, vous n’imaginez pas à quel point ça me motive à reprendre la suite (il y a deux fics BBC à venir après celle-ci, je vais les publier dans la foulée).

Voilà le chapitre 4 : Of all ruins, that of a noble mind is the most deplorable.

Teaser :
Après avoir trouvé son thermomètre coincé entre deux mugs sur l’évier de la cuisine et son stéthoscope accroché sur le crâne de bison à la place des habituels écouteurs, John emplit un verre d’eau et retourna dans la chambre de Sherlock. Assis dans son lit, appuyé contre deux oreillers, livide mais l’air déterminé, le détective tenait un revolver au bout de son bras tendu et le pointait directement vers son ami.
– Reste où tu es. Ne bouge surtout pas.

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Un énorme merci à toi de partager ces histoires :heart:

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Je poste un dernier chapitre avant de partir en voyage scolaire. J’emmène ma tablette à tout hasard, mais je ne pense pas que les élèves nous laisseront un moment de répit (et si par miracle on en avant, je les passerai probablement avec mes collègues). Voici donc le chapitre 5 : It is my greatest joy and privilege to help you. Pour la suite, rendez-vous samedi prochain (désolée de vous laisser en plan comme ça).

Teaser habituel :
La grippe ? Non, bien sûr que non. Sherlock Holmes n’attrapait pas la grippe, non, c’était une maladie trop banale, trop commune, trop normale pour lui. Sherlock Holmes ne tombait pas bêtement malade, Sherlock Holmes était empoisonné par des fous qui utilisaient des armes biologiques contre ceux qui se mettaient en travers de leur chemin. Par des fous qui ne se souciaient pas d’un agent secret de plus ou de moins sur cette terre.
Un agent secret comme Victor Savage.

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Hello there,

Me voilà de retour de voyage scolaire (5 jours à l’étranger avec 49 adolescents : que du bonheur ! :sweat_smile: Non mais en fait c’était génial, et là je vais dormir au moins 12 heures d’affilée :sleeping: :sleeping: :sleeping:) pour un nouveau chapitre. On arrive à la fin de la nouvelle d’ACD (ce sera le cas au chapitre prochain) mais il y a encore quelques chapitres par la suite car je voulais explorer un peu plus la relation John-Sherlock. Voici donc le chapitre 9 : The devil’s agents may be of flesh and blood.

Et le teaser :
Je sais que c’est assez difficile à comprendre lorsqu’on ne connaît pas Sherlock Holmes, mais s’il me dit qu’il a attrapé une maladie que vous seule pouvez soigner, je lui fais confiance et je viens vous trouver. Il voit les choses, il les dissèque, il les analyse. Il sait . Et moi, conclut John avec un petit rire amer qui n’était pas feint, je lui obéis, parce que j’ai en lui une confiance totale, même lorsqu’il s’agit d’un domaine que je devrais en toute logique maîtriser mieux que lui.

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Bon, eh bien voilà la suite : It is easy to be wise after the event (chapitre 10). La nouvelle d’ACD s’arrête plus ou moins là, mais pour cette fanfic, il reste encore six chapitres.

Un teaser inutilement dramatique :sweat_smile: :
– Votre ami est-il dans la confidence ? Il ne me regardait pas d’un œil bienveillant.
– John ne sait rien, je vous le jure.
– Je vous promets que je ne toucherai pas à un cheveu de sa tête s’il s’avère qu’il ne sait rien en effet. Vous ne demanderez rien pour vous-même, n’est-ce-pas ? Vous êtes trop fier pour me supplier ?
– Non, je sais juste que c’est inutile.
– Vous avez compris que je n’ai jamais trouvé l’antidote, n’est-ce-pas ?

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… J’arrive à maintenir le rythme d’un chapitre par jour, mais pour mes fics suivantes, je vais espacer, parce que je n’ai pas trop le temps d’écrire autre chose pendant que je reprends mes anciens chapitres.

Voici donc le Chapitre 11 dont voici un petit teaser sous spoiler (au cas où vous n’ayez pas lu le chapitre précédent) :

Résumé

– Tu ne pouvais pas faire autrement ? répéta John d’une voix blanche en reposant brutalement la bouteille de lait sur la table, qui expulsa alentour une myriade de gouttes blanches.
Sa résolution de se taire et de garder le contrôle de lui-même vola en éclats. Sherlock n’éprouvait pas le moindre remords de ce qu’il lui avait fait subir. Pour lui, John n’était qu’un pion parmi tant d’autres, et peu importaient ses sentiments, sa dignité, ou l’illusion qu’il avait eu de la confiance qui s’était petit à petit tissée entre eux. Comme il avait été naïf !
– Alors comme ça, tout est de MA faute parce que JE suis un acteur déplorable ?