[Star Trek TOS / The big bang theory] : crossover "Set phasers to fun"

Donc, juste pour le fun :grin:, je viens présenter ici ma nouvelle fanfic (écrite il y a deux ans, et que je suis en train de remanier). Merci aux modératrices d’avoir autorisé sa publication alors qu’elle met en scène un acteur bien réel… qui rencontre le personnage qu’il incarne.

Titre : Set phasers to fun

Fandom : un petit crossover Star Trek TOS / The big bang theory
Nombre de mots : près de 60 000, répartis sur 15 chapitres
Rating : G
Personnages : Sheldon Cooper, Spock, Leonard Nimoy + tout l’équipage de l’Enterprise ET des geeks de Caltech.
Continuité : pour Star Trek, juste après « The Immunity Syndrome » ; pour The big bang theory, environ un an avant l’arrivée de Penny en face de chez Sheldon et Leonard.
Genre : Humour (et vaguement de l’Aventure, si vous insistez).

Pitch :
Sheldon Cooper a toujours su qu’il était exceptionnel et promis à une grande destinée. Aussi, lorsque le hasard (ou pas) lui offre sur un plateau d’argent la possibilité d’aller rejoindre l’équipage de l’Enterprise, c’est sans hésiter qu’il tente le voyage. Après tout, ils ont peut-être besoin d’un deuxième génie à bord… (Ou pas.)

Lien : Set phasers to fun chapitre 1

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Le deuxième chapitre est en ligne. En voici un petit extrait qui vous fera peut-être envie (ou pas) :
Ce type-là ne faisait pas partie de l’équipage. Son attitude laissait cependant entendre qu’il n’était pas membre d’une organisation ennemie, quelle qu’elle soit (d’ailleurs, une organisation ennemie n’enverrait pas des dingues envahir l’Enterprise, et fournirait certainement à ses agents les renseignements de base sur la façon dont s’ouvraient les portes d’un vaisseau de la Fédération), malgré l’étrange symbole stylisé qu’il arborait sur sa seconde tunique : un éclair jaune sur fond rouge.

Si vous voulez lire le chapitre 2, c’est par ici !

Et si vous voulez en apprendre un peu plus sur Star Trek (on ne sait jamais), je me permets de faire un peu de pub pour la présentation de la série que j’avais faite en arrivant sur le forum. Parce que oui, d’accord, c’est une série des années 60 avec tout le côté kitsch qui va avec, mais… mais c’est quand même vachement bien. (Admirez les arguments.)

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Non mais tu as vraiment essayé de lire cette phrase à voix haute ? courage ! :stuck_out_tongue:

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Euh, oui, j’ai lu l’intégralité de ce texte à voix haute. Il est enregistré sur mon ordinateur… :roll_eyes: Je sais, j’aime les phrases longues et tordues.

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Tout est dans le ton.
Avec le ton, c’est bon ! :fish:

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… Et, vox clamans in deserto, voici le troisième chapitre dont le titre (« La fracturation des gâteaux secs ») est une parodie des titres bizarres de The big bang theory ainsi qu’une petite référence à Indiana Jones, parce que bon, on est geek ou on ne l’est pas. :innocent:

Petit résumé : Sheldon rencontre le Triumvirat (Spock, McCoy, Kirk)… et ça ne se passe pas exactement comme prévu.
« – Vous n’ignorez pas que vous êtes les héros d’une série télévisée de mon époque, n’est-ce-pas ?
Ça, Spock ne s’y attendait pas. Mais alors, pas du tout. Et, au vu des yeux exorbités du capitaine et du médecin en chef, eux non plus.
– Comment pouvez-vous ignorer cette série, près de trois siècles après sa naissance ? demanda le jeune homme, et l’on pouvait sentir percer dans sa voix une certaine angoisse. Ce n’est pas… ce n’est pas logique ! »

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J’aime les phrases longues et tordu également :stuck_out_tongue: Merci de promouvoir Star Trek :vulcan_salute:
Je n’ai pas encore entamé mes lectures sur le site (mais je regarde de loin), dès que j’ai une demi journée, promi, je commence par toi :smiley:

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… pas tant que ça !
à propos de dessert, j’en reprendrais bien un peu…

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Je ne peux pas résister : quand j’ai des commentaires, je poste plus vite…

Le « vox clamans in deserto » était une des phrases préférées de mon prof d’espagnol en prépa, quand il avait l’impression qu’on ne l’écoutait pas (ce qui n’était pas vrai : on buvait toutes et tous ses paroles tellement il était génial)…

Mais bref. Voici donc le chapitre 4 : Conseils de guerre. Où Sheldon insiste pour suivre son « planning de salle de bains », où Kirk manque faire une crise d’apoplexie, et où Howard pardonne à son pote Leonard de l’avoir réveillé au beau milieu de la nuit.

… Et voici le petit extrait qui donne (peut-être) envie :
– Imaginez ce qui se passera si nous laissons ce… ce Cooper rentrer à son époque (chose dont, soit dit en passant, il n’a pas l’air de mourir d’envie) après ce qu’il a déjà vu ? Vous imaginez le paradoxe temporel ?
Spock hocha la tête.
– Vous avez raison sur un point, capitaine. Les découvertes de Cooper ne changeraient probablement pas notre existence, mais je demeure persuadé qu’en laissant ce jeune homme à notre époque, nous sommes en train de modifier le futur.

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Avec un peu de retard pour cause de migraine ophtalmique (pour changer), voici un dialogue un peu surréaliste pour vous donner un avant-goût des dégâts occasionnés par Sheldon sur l’Enterprise :

– Vous êtes complètement folle ! Qu’est-ce que vous m’avez injecté ?
– Un antidouleur et un relaxant, répondit Chapel. J’aurais préféré vous endormir, mais malheureusement vous devez être conscient pendant l’extraction.
L’extraction ? McCoy fronça les sourcils. Qu’est-ce que cet imbécile avait bien pu faire ?
– Christine, vous allez faire attention à Miranda, n’est-ce-pas ? intervint une troisième voix – celle de Sulu, qui sonnait presque désespérée.
L’infirmière poussa un soupir d’exaspération.
– Oui, Hikaru, je vais faire attention à Miranda. Elle n’est pas la plus à plaindre en ce moment, croyez-moi.
– Il s’est assis sur elle ! s’écria le pilote.

Si vous voulez savoir qui est Miranda… voici le chapitre 5 !

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oh la vache, maintenant il va falloir que j’aille remettre le nez de dans pour savoir exactement ce qu’était « Miranda ».
Un cactus ? :smiley:

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… pas loin ! :grin:

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Leonard soupira. Il était assis, seul, face à la mer, bercé par le ressac et le cri mélodieux des oiseaux de mer qu’il ne pouvait distinguer dans le crépuscule violet. Derrière lui, il entendait la rumeur de la ville, les rires des passants, le souffle du vent dans les roseaux. Il se sentait bien, en paix avec lui-même et avec l’univers, et n’avait aucune envie de se lever pour rejoindre la civilisation et son lot d’■■■■■■■■.
– Oui, je suis sur la plage. Un problème ?
– Eh bien… Il se pourrait que… euh… que dans un moment de colère… euh… légitime… euh…
– Crachez le morceau, Scotty, ordonna McCoy avec un soupir en se levant à regret.
– J’ai… frappé le docteur Cooper.

… Il y a un gros mot qui n’est pas passé sur le site :innocent: mais le chapitre est en ligne : c’est ici !

Et pour celles et ceux qui s’inquièteraient, Miranda va bien. :grin:

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Sheldon est toujours aussi pénible, les geeks de service sont fascinés par les journaux de bord de l’Enterprise, et Leonard Nimoy se prépare à la grande confrontation de sa vie. Ce n’est pas tous les jours qu’on rencontre le personnage auquel on a prêté vie… Bref, bienvenue dans le premier paradoxe temporel de cette fic, ou « comment piquer un artefact provenant du futur en apprenant grâce à l’artefact en question qu’on a réussi à le voler ». :roll_eyes: :thinking:

Pendant un instant, Jim crut qu’ils avaient gagné et que le docteur Cooper allait tout leur révéler, mais il croisa les jambes, puis les bras.
– Je vous le dirai, à une condition.
Spock ne broncha pas.
– Enoncez-la.
– Je veux passer toute une journée sur la passerelle et participer aux manœuvres qui permettront mon retour dans le passé.
Kirk se frappa le front contre le mur avec un gémissement.

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Un grand merci à @ensorceleurisee, @ChiaraCadrich et @OldGirlNoraArlani pour les commentaires ET pour la traque des coquilles !!!

Sinon, voici le chapitre que j’ai préféré écrire : La collision des Leonard. J’aimerais vous dire que c’est moi qui ai trouvé ce titre parodique de The Big Bang Theory, mais non, c’est mon copain (rendons à César ce qui lui appartient, mon copain trouve beaucoup de titres pour moi, et aussi pas mal d’idées saugrenues ; il a largement participé à l’élaboration de cette fiction, surtout dans ses détails les plus délirants)…

Bref, comme d’habitude, le petit teaser :

– Mon nom est Leonard Nimoy.
– Et moi, je m’appelle Leonard Hofstadter, intervint le plus jeune d’une voix tremblante. Etes-vous… Leonard McCoy ?
Le médecin ne put s’empêcher de se dire qu’il y avait beaucoup de Leonard dans cette histoire, avant de réaliser que les deux hommes en face de lui le connaissaient visiblement, ce qui ne faisait que rajouter une couche supplémentaire au problème Sheldon Cooper.
– Vous aussi, vous êtes des fans de Star Truc-machin-chose ? demanda-t-il avec un soupir.

EDIT : En lisant des commentaires (encore MERCI !), je me suis rendu compte que je donnais apparemment l’impression que c’est bientôt la fin. Mais ce n’est pas le cas : il y a 13 chapitres en tout, en comptant l’épilogue… Ca prend du temps, d’essayer d’expliquer rationnellement un paradoxe temporel. Et puis l’équipage a eu envie d’aller à Vegas et je n’ai pas eu le cœur de leur refuser ce plaisir. Je leur avais déjà sucré leur permission sur Antares… :roll_eyes: :innocent:

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Ce nouveau chapitre est moins marrant que les autres. Je vais peut-être donc poster le suivant aujourd’hui… ou au moins très rapidement. Quoi qu’il en soit, voilà quelques explications sur le PADD permettant de relier présent et futur.

– Monsieur Cooper, si vous ne nous expliquez pas immédiatement ce que vous avez fait, je porte plainte contre vous pour vol (un regard au jeune physicien suffisait à prouver qu’il se moquait totalement de cette menace) et je vous fais exclure de toutes les comic-cons des Etats-Unis. Vous imaginez bien que j’ai la possibilité de le faire sans que cela me coûte le moindre effort.
Le regard hautain du jeune homme prit soudain, inexplicablement (Spock n’avait même pas compris ce dont il était question), une expression de profonde angoisse, tandis que ses trois amis ouvraient la bouche dans un même geste horrifié.
– Vous… Vous n’oseriez pas, balbutia-t-il.
Le vieil homme se contenta de lever un sourcil, et Sheldon Cooper déglutit péniblement, les yeux exorbités. Quelle que fût la menace, et pour incompréhensible qu’elle parût aux visiteurs du futur, elle était efficace.

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– Nous sommes à Los Angeles. Si vous voulez offrir une distraction à vos hommes, proposez-leur de passer une journée et peut-être une nuit à Las Vegas. Ce n’est vraiment pas loin.
Le capitaine le regarda comme s’il venait de lui pousser une deuxième tête.
– Quatre cent trente personnes en uniforme de Starfleet, dont dix-sept extra-terrestres, à Las Vegas ? hoqueta-t-il.
Leonard Nimoy ne put s’empêcher de sourire.
– Ce n’est vraiment pas un problème, capitaine.

… Non, ce n’est pas un problème. Vraiment pas. :grin: Dans ce chapitre, Operation : obliterate !, vous découvrirez à quel point quatre geeks peuvent être… persévérants. Et pénibles. Pour Vegas, ce sera au chapitre suivant.

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Je suis désolée du retard… Mea culpa. Et merci pour les commentaires que vous m’avez laissés ! Les deux derniers chapitres seront postés très rapidement après celui-ci.

Est-ce que vous avez suivi mes conseils ? demanda l’acteur. Pour Spock et le blackjack.
En face de lui, McCoy ricana.
– Vous avez eu l’idée du siècle. En regardant des films de la grande époque, je n’aurais jamais pensé qu’on ferait un jour « sauter le casino » nous-mêmes, mais Spock est bien parti pour.
– Il a gagné combien ?
– Pour l’instant, deux millions.

… où Spock compte les cartes aussi bien que Rain Man, où Kirk s’essaye (encore) à la drague, où McCoy et Nimoy prennent un verre, et où nos geeks préférés se réveillent en se demandant ce qui leur est arrivé.

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… Bon, à ce stade, ce n’est plus du retard, c’est un oubli. En fait, j’ai essayé, suite aux remarques de @ChiaraCadrich, de remanier ce chapitre pour le rendre plus crédible et apporter des explications à ce qui s’était déjà passé, mais je n’ai pas réussi, j’ai mis le chapitre de côté et… je l’ai oublié. :roll_eyes: Le voici, avec toutes mes excuses : L’Ordre de Shadrak. Il apporte quelques réponses, mais n’explique pas tout. Je n’ai pas eu le courage de m’y remettre…

Le petit extrait pour vous donner envie au cas où :

Si les Vulcains avaient accueilli l’Enterprise, son capitaine et son équipage avec une courtoisie exemplaire (ils n’avaient pas même paru vaguement surpris en voyant débarquer quatre cent trente humains provenant d’un futur dont ils ignoraient tout), ils étaient demeurés sceptiques quant à l’histoire que Kirk leur avait exposée, Spock à sa gauche, plus hiératique que jamais, et McCoy à sa droite, l’air particulièrement mal à l’aise. Et lorsque Jim avait sorti le PADD et le leur avait tendu, il avait presque pu lire dans les pensées de ses interlocuteurs – quelque chose qui tournait autour du thème Ce gars-là est un gros rigolo.
Car le PADD n’était pas un PADD, mais un amas de fils dissimulé derrière un banal écran d’ordinateur (un magnifique « made in Taïwan », gravé sur le côté de l’objet, suffisait à lui seul à dénoncer sa provenance), qui ne pouvait pas plus joindre l’avenir que Spock ne risquait de se mettre à chatouiller le président du Conseil des Anciens ou à chanter des chansons paillardes.

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Et voilà l’épilogue : c’est par ici ! Une petite conclusion pour chacun des personnages de cette histoire, et la véritable raison pour laquelle le reboot de Star Trek a finalement été tourné !
Merci à ceux et celles qui m’ont laissé des commentaires, ça me fait vraiment très plaisir. J’ai vraiment ri en écrivant cette histoire et, si vous ne connaissez pas l’un ou l’autre fandom, je ne peux que vous conseiller d’aller le regarder ! (Oui, un peu de pub ne fait jamais de mal…)

Un petit extrait pour la route :

– Capitaine, je partage l’étonnement du docteur McCoy. Puis-je me permettre de vous demander ce qui vous a déplu dans l’épisode que nous venons de visionner ensemble ?
Tout, fut tenté de répondre Jim.
– Mais… Mais vous avez vu ce qu’ils ont fait de mon vaisseau ?

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