Dans tous les cas, il semblerait qu’il y a plusieurs musiques ou chansons d’interprètes américains qui se sont inspirés des Russes.
Ahhh ça… et inversement. (Si ma memoire est bonne, ine des chansons les plus reprises est : Somwhere over the rainbow" de Judy Garland dans « le magicien d’oz »…)
L’inspiration n’a pas de frontière ^^
Je ne suis pas spécialiste en chants slaves. Mais un jour on m’a fait découvrir ça, et j’avoue que je suis tombée à genoux, devant la beauté des voix et la ferveur des visages :
Vos partages sont très sympathiques, mais très honnêtement, pour ceux qui ne parlent pas russe, comprendre les paroles (ou du moins le sujet des chansons) est quasiment impossible, d’autant que les traductions ne sont pas toujours disponibles.
Afin que tout le monde puisse profiter de ces chansons, une traduction des paroles serait fortement appréciée en plus des vidéos. C’est valable pour le russe, mais aussi pour toutes les langues qui ne font pas partie du cursus scolaire francophone et surtout celles qui n’utilisent pas l’alphabet latin.
Merci d’avance à tous !
Pour ceux qui ont vu l’eurovision vous devez la connaître avec la chanson « doomsday blue » mais voici une chanteuse que j’aime beaucoup et dont c’est le seul clip et surement la seule chanson « non choquante ».
Ensuite je vous partage deux chanson que j’écoute pour me remémorer de bons souvenirs avec Puppy (@SkollHati tu la vois venir la dédicace mon frère? xD)
Je te remercie d’avoir pu me faire venir à 3 de leur concert mais ■■■■■■ le dernier … 5/6 quoi
exist†trace – Acacia – Warped Frost désolée pour les paroles de cette chanson je n’ai la traduction qu’en anglaise.
https://www.youtube.com/watch?v=Ku5tAIIIHy0
Et ensuite celle ci
Voici la suite des chansons mentionnées.
Ibrica Jusić, Čovjek bez kafića. (L’homme sans café-bar)
Voici un lien vers la chanson https://www.youtube.com/watch?v=o6zbFau2FsQ
Le texte:
Na svakom trećem kućnom broju
Po jedan kafić preko noći
I par kubika modrog dima
Već guši srce, grize oči.
A ja se pitam, sasvim zbunjen
Kako da uđem sam s gitarom
Znam da je džuboks tamo stao
I što bi fliper s mojom parom.
Jer ja sam čovjek bez kafića
Jedan od zadnjih takvog soja
Ja nemam svoju marku pića
Tu ličnu kartu srednjeg sloja.
I dok me vlasnik mrko gleda
Na drugoj strani barikade
Naginjem brzo svoju lozu
Pod urom koja vrijeme krade.
I tad se pitam, sasvim zbunjen
Što mi od starog društva osta
Tek neki znanac koji žuri
Na jednu s nogu i zbogom dosta.
Jer ja sam čovjek bez kafića
Što sanja neka prošla doba
A to je novac bez pokrića
Na ovoj berzi lakih roba.
Tko da mi kaže što me čeka
Nad šoljom gorke, tanke kave
Tko da mi vrati njene oči
Zvijezde u noći, vlati trave.
I tad se pitam sasvim zbunjen
Što vrijedi sjesti I dobro jesti
Pod platnanom koja lista
Poneku lijepu ženu sresti.
Jer sam čovjek bez kafića,
Jedan od zadnjih što se nađe
Dok tražim ruke što mi mašu
ko zadnji putnik s neke lađe.
Voici la traduction française :
À chaque troisième numéro de maison
Un café pendant la nuit
Et quelques cubes de fumée bleue
Qui étouffe le cœur, et qui mord les yeux.
Et je me demande, complètement confus
Comment entrer seul avec une guitare
Je sais que le junke-boxe est là-bas
Et ce qu’aurait fait un flipper avec mon argent.
Parce que je suis un homme sans un café-bar
L’un des derniers de son genre
Parce que je n’ai pas ma propre marque de boisson
Mais seulement cette carte d’identité de la classe moyenne.
Et tandis que le propriétaire me regarde d’un air sombre
De l’autre côté de la clôture
J’incline sa vigne rapidement
Sous le charme qui vole le temps.
Et alors je me demande, complètement confus
Ce qui me reste de mes anciens amis
Juste une connaissance pressée
Une boisson debout et c’est assez.
Parce que je suis un homme sans un café-bar
qui rêve d’un siècle passé
C’est de l’argent sans couverture
Sur cette bourse de marchandises.
Qui peut me dire ce qui m’attend
au fond d’une tasse de café fin et amer
Qui me rendra ses yeux
Des étoiles dans la nuit, des brins d’herbe.
Et alors je me demande, complètement confus
ce que vaut de s’asseoir et de bien manger
sous la toile de lin qui part
Où rencontrer parfois des belles femmes.
Parce que je suis un homme sans un café-bar
L’un des derniers qui se trouve
Alors que je cherche des mains qui s’agitent
Comme au dernier passager d’un bateau.
Michel Sardou, Je ne suis pas mort, je dors. https://www.youtube.com/watch?v=cnUwOlP2SGo
Jean-Jacques Goldman Nous ne nous parlerons plus : https://www.youtube.com/watch?v=qnN2j1pN7wk
Michel Sardou Délire d’amour ; https://www.youtube.com/watch?v=DTlT5veOnx8
Michel Sardou, Il pleut sur ma vie. https://www.youtube.com/watch?v=zPeM3muuL18
Jean-Jacques Goldman, Je marche seul. https://www.youtube.com/watch?v=5AS0wPLnAhY
Ibrica Jusić, Kada umrem (Quand je meure) ; https://www.youtube.com/watch?v=LTo_IW17w1U
Voici le texte:
Kad umrem bar sam siguran
Niko se neće dovući da mi pljune u lice.
Svi ćete mi odjednom biti prijatelji
I ko zna kakvo izmisliti priznanje.
Potpuno vas razumem
Mrtvi ljudi nisu zločinci,
Nisu gadovi
Nisu ubice.
Smrt je – pomilovanje.
Smrt je najpristojniji način da se ode
Bez pozdrava bez obećanja na miru.
Smrt je invalidnina herojima
Za amputirane lobanje
I nesanica pepela u kojoj duše trava vetrove ištu.
Odlaskom se znatno dobija
Plakatiraju čovekovo ime i prezime po uglovima
Na malo finijem papiru
I svako vas čita, čita
Kao da ste odjednom postali vrlo važna izložba
Ili premijera u pozorištu.
La traduction française :
Quand je mourrai, je suis certain
Que personne ne viendra me cracher au visage.
Tout d’un coup, tous seront mes amis
Et qui sait quelle reconnaissance l’on inventera.
Je vous comprends
Les défunts ne sont pas des criminels,
ils ne sont pas des salauds,
ils ne sont pas des meurtriers.
La mort est un pardon.
La mort est la manière le plus polie de quitter ce monde
Sans salutations, sans promesses de paix.
La mort fait des handicapés des héros
Sur des crânes amputés
Et les cendres sans sommeil où les âmes dans l’herbe sont emportées par les vents.
On gagne beaucoup en partant
Les nom et prénoms de l’homme sont affichés dans les coins
Sur du papier un peu plus fin
Et tout le monde vous lit, lit
Comme si vous devenez une exposition importante,
Ou comme une première au théâtre.
Jacques Brel, Il nous faut regarder. https://www.youtube.com/watch?v=bBaF6JYx7TM
Priča o Vasi Ladačkom (L’histoire de Vasil Ladatchki) de Đorđe Balašević.
Lien: https://www.youtube.com/watch?v=hU-Z_cBME2I
Voici le texte :
Znate l’ priču o Vasi Ladačkom? I ja sam je tek onomad čuo.
Jednom devet dana nije izlazio iz birtije,
kažu da je bio čudna sorta…
Otac mu je bio sitni paor, ‹ ranio je sedam gladnih usti ›.
Mati mu je bila plava, tiha, nežna, jektičava,
umrla je s trideset i nešto…
Imali su par jutara zemlje, malu kuću na kraju sokaka.
Na astalu navek hleba, taman tol’ko kol’ko treba,
al’ je Vasa hteo mnogo više…
Želeo je konje vrane, po livadi razigrane,
sat sa zlatnim lancem i salaše…
Želeo je njive plodne, vinograde blagorodne,
u karuce pregnute čilase, ali nije mog’o da ih ima.
Voleo je lepu al’ sirotu, uz’o bi je, samo da je znao:
voleš jednom u životu, sad bogatu il’ sirotu,
to ne bira pamet nego srce…
Sve se nad’o da će ljubav proći. Zanavek je otiš’o iz sela.
Nikad nije pis’o nikom, venč’o se sa mirazdžikom,
jedinicom ćerkom nekog gazde…
Dobio je konje vrane, po livadi razigrane,
sat sa zlatnim lancem i salaše…
Dobio je njive plodne, vinograde blagorodne,
u karuce pregnute čilaše, sve je im’o ništa im’o nije.
Propio se, nije prošlo mnogo, dušu svoju đavolu je prod’o.
Znali su ga svi birtaši, tražio je spas u čaši,
ali nije mog’o da ga nađe…
Mlad je kažu bio i kad je umro, sred birtije, od srčane kapi.
Klonula mu samo glava, k’o da drema, k’o da spava
i još pamte šta je zadnje rek’o…
Džaba bilo konja vranih, po livadi razigranih,
džaba bilo sata i salaša…
Džaba bilo njiva plodnih, vinograda blagorodnih,
džaba bilo karuca, čilasa…
Kada nisam s onom koju volem,
kada nisam s onom koju volem.
Kad ja nisam s onom koju volem,
E, kad nisam s onom koju volem.
Znate l’ priču o Vasi Ladačkom? I ja sam je tek onomad čuo.
Čak i oni slični njemu, kada razmisle o svemu,
kažu da je bio čudna sorta…
Voici la traduction :
Connaissez-vous l’histoire de Vasil Ladački ? Je viens de l’entendre l’autre jour.
Une fois, pendant neuf jours, il n’est pas sorti de la salle de bain,
ils disent qu’il était d’une race étrange…
Son père était un petit pauvre, qui nourrissait sept bouches affamées.
Sa mère était une blonde, calme, douce et exigeante,
qui est morte à trente ans…
Ils avaient quelques arpents de terre, une petite maison au bout d’une ruelle.
Il y avait toujours du pain sur la table, juste ce qu’il faut,
mais Vasa voulait bien plus…
Il voulait des chevaux qui jouent dans les prés,
une montre avec une chaîne en or et une maison de ferme…
Il voulait des champs fertiles, des vignobles abondants,
ses chaussures étaient pliées dans un chariot, mais il ne pouvait pas les avoir.
Il aimait une belle femme mais pauvre, il l’aurait prise, s’il l’avait su:
tu aimes une fois dans ta vie, qu’elle soit maintenant riche ou pauvre,
ce n’est pas la raison qui décide, mais le cœur…
Il espérait que l’amour passerait. Il a quitté le village pour toujours.
Il n’a jamais écrit à personne, il a épousé une entremetteuse,
la seule fille d’un patron…
Il a des chevaux, qui jouent dans les prés,
Une montre avec une chaîne d’or et une maison de ferme…
Il a des champs fertiles, des vignes fertiles,
les vêtements pliés dans le chariot, tout y est, rien n’y est.
Il s’est saoulé, peu de temps après, il a vendu son âme au Diable,
Tous les buveurs de bières le connaissaient, il cherchait le salut dans le verre,
mais il ne peut le trouver…
On dit qu’il était encore jeune lorsqu’il est décédé, au milieu de son anniversaire, d’une crise cardiaque,
seule sa tête tomba, comme s’il somnole, comme s’il dort
et ils se souviennent encore de ce qu’il a dit en dernier…
En vain des chevaux qui jouent dans les prés,
en vain la montre et les fermes…
En vain les champs fertiles, les vignes fertiles,
En vain des chariots, des roues…
Quand je ne suis pas avec celle que j’aime,
Quand je ne suis pas avec celle que j’aime.
Quand je ne suis pas avec celle que j’aime,
Eh, quand je ne suis pas avec celle que j’aime.
Connaissez-vous l’histoire de Vasil Ladački ? Je viens de l’entendre l’autre jour.
Mêmes ceux qui sont semblables à lui, quand ils y réfléchissent,
disent qu’il est d’une race bizarre…
Pismo ćali (Lettre à mon papa) d’Ibrica Jusić.
Lien https://www.youtube.com/watch?v=BgxfU16d0Hk
Voici le texte de la chanson :
Sad sam naresa
Doša sam velik
Mater govori da sam ti nalik
I da sam isti ka tvoja slika
Kad si se ono s materom slika
Ćale moj.
Svak mi se ruga da si uteka
A mater govori da si joj reka
Zdravljem se kleja da ćeš se vratit
Oli životom svojim ćeš platit
Ćale moj
Ćale moj.
Nosim jaketu žutu i gaće
Što si posla mi tisne i kraće
Mater je uvik u tvojoj vešti
Pa nam se smiju da smo furešti
Ćale moj.
Tija bi ćale ka druga dica
Imat uza se svojega oca
S tobom se igrat
Uz tebe ležat
Slušat te, pričat, stalno te gledat
Ćale moj
Ćale moj
Ćale moj.
Čekam te ćale
Da nam se vratiš
Nitko da ne traži da svoj dug platiš
Već da uz mater u miru živiš
I da nam kuću opet oživiš
Ćale moj.
Mater će umrit od silnog jada
Ko će pogledat na mene tada
Vrati se ćale kad ja te volim
Makar bez šolda jer ja te volim
Ćale moj
Ćale moj
Ćale moj.
Voici la traduction:
Maintenant, j’ai grandi
J’arrive comme grand
Ma mère me dit que je te ressemble
Le même portrait craché que sur ta photo
Celle où tu es avec ma mère
Mon papa.
Tout le monde se moque de nous que tu es parti
Mais mère me dit que tu lui as dit
que tu lui as juré de revenir
Mais tu paieras de ta vie
Mon papa
Mon papa.
Je porte une veste et un pantalon jaunes
Que tu m’as donné et qui sont courts
Mère a toujours parlé de tes compétences
Alors ils se moquent de nous, que nous sommes des furets
Mon papa.
Je voudrais, papa, être comme les autres enfants
avoir près de soi son père
de jouer avec toi,
d’être allongé près de toi,
de t’écouter, te parler, de te regarder toujours,
Mon papa,
Mon papa,
Mon papa.
Je t’attends, papa
que tu nous reviens,
Personne ne s’attend à ce que tu paies tes dettes,
Mais de vivre en paix avec maman.
Et pour redonner vie à notre maison,
Mon papa.
Maman mourra dans une grande misère
qui me regarderait alors
Reviens, papa, parce que je t’aime
Même sans argent parce que je t’aime,
Mon papa,
Mon papa,
Mon papa.
Bonne écoute !
1950m
J’ai mis toutes les paroles sous balise spoiler, ça devient illisible sinon (et je vous invite tous à faire de même pour les prochaines chansons).
Merci d’éviter le jet de chansons à tout va, sans explication… Certes, on ne va pas vous demander d’écrire une dissertation mais d’expliquer a minima pourquoi vous avez choisi de présenter cette chanson ici.
(C’est la fin de la semaine, excusez le ton qui peut paraître dur).
Un autre petit post parce que j’ai envie de jouer de la basse
Une reprise parfaite d’une musique merveilleuse et envoûtante:
Une que je rêve de faire: (désolée je n’ai pas la traduction)
Et une qui me donne SYSTÉMATIQUEMENT envie de la faire
Paroles et traduction: Paroles et traduction Trivium : Until the World Goes Cold - paroles de chanson
Décembre est arrivé. La neige, Noël, tout ça… Cette chanson a décidé de revenir à l’assaut de mon cerveau. Légère et douce comme un flocon, elle incite à la rêverie, et c’est une pub pour un parfum qui me l’avait fait découvrir :
Pour demeurer dans le registre de la musique classique, qui est une belle occasion pour être le moins distrait par les paroles d’une chanson et n’avoir qu’un bon rythme aux oreilles. Un peu d’éloignement des moult paroles et discours.
Je vous suggère Славянский марш, La Marche slave en français, de Piotr Ilitch Tchaïkovski, composée en 1876.
Lien vers la vidéo par ici
Bonne écoute dans la simple et belle musique, sans parole !
Bonjour,
Je voudrais simplement apporter une petite précision.
Premièrement, les Estoniens ne sont pas considérés comme des peuples Slaves.
Deuxièmement, il ne faut pas confondre des chants traditionnels et patriotiques avec des chants rituels (ce qui touche alors la sphère du religieux). (De sorte que je me demande si un tel chant à sa place dans cette catégorie…)
J’ajoute quelques informations supplémentaires. La Ligo est une fête pré-chrétienne célébrée le 22-23 juin, inspirée de la Kupala des Slaves pré-chrétiens, pratiquée par les Slaves orientaux. On peut dire en quelque sorte que la Ligo est la variante estonienne de la Kupala. Cette dernière est un rituel païen pratiqué par des femmes et qui comprend des purifications, des tressages de couronnes et la cueillette de certaines plantes (la fleur de fougère, la violette tricolore, la pensée, la salicaire, la saxifrage et « l’herbe sans nom »). Il y a aussi un feu qui est allumé, et par-dessus lequel les participantes sautent afin de se purifier. De plus, il y a ornement d’une poupée représentant Koupalo (ou Koupalo et Jarilo, selon les variantes), poupées qui sont noyées ou détruites d’une manière ou d’une autre. Les différents chants spécifiques de la Kupala sont des kupalskiya, dont il en existe différentes variantes. Je ne vais pas plus m’étendre sur ce sujet, mais s’il vous intéresse, je suis prête à échanger davantage d’informations, car j’avais fait tout un travail de recherche sur les rituels de la Kupala chez les Slaves pré-chrétiens. Ils sont néanmoins encore pratiqués aujourd’hui en Ukraine et en Biélorussie.
Un exemple de chanson panslaviste serait davantage Hej Slaveni (Hé, les Slaves), qui a été composée en 1834 par le poète Samo Tomášik. Elle a été l’hymne de la République fédérative socialiste de la Yougoslavie. Voici un lien vidéo avec le texte et sa traduction en anglais : https://www.youtube.com/watch?v=vhL2UJtkxmI
Sinon, dans un autre genre plus moderne, voici une suggestion musicale pour ne pas penser aux différentes situations à travers le monde : la chanson de Dubioza kolektiv, Himna generacije (Hymne de la génération) (des sous-titres en français sont disponibles) https://www.youtube.com/watch?v=Z5xuauDWxYw
Toutes mes salutations,
1950m
Merci beaucoup de ces précisions, sur lesquelles je ne manquerai pas de revenir si le besoin d’approfondir le sujet venait à se faire sentir.
Toutes mes salutations,
Theblueone
Bonjour à tous,
« Vos musiques du moment » fait peau neuve !
L’année se termine dans quelques semaines, 2025 est à nos portes, et l’Equipe a pensé qu’il était temps d’ouvrir une nouvelle branche pour la musique – histoire de repartir sur des bases fraîches.
Comme pour « Les Conciliabules autour du vocabulaire », la branche mélomane ploie…
Une nouvelle bouture poussera tout bientôt ! Restez aux aguets !