J’ai carburé, je ne sais pas ce qui m’a pris ! 
(enfin, si je sais : je ne fais plus les défis).
J’ai deux chapitres cette fois-ci car décidément, celui que je venais de terminer était TROP GROS. Je me plains sans arrêt des trop gros chapitres, alors si c’est pour en faire moi-même, ça ne va plus !
Le premier s’appelle "Soyez sympas, rembobinez".
C’est parce qu’il s’agit d’une sorte de flashback.
Oui, un autre. C’est le risque quand on maintient une intrigue sur deux époques…
J’ai choisi un titre qui n’a rien à voir avec le film auquel il fait référence, mais on rembobine. Où était passée Dawn ?
Je vous en mets un bout :
La pièce où elle se trouvait était une chambrette d’étudiant impersonnelle comme il y en avait tant sur les campus universitaires. Deux lits, deux fenêtres, deux bureaux, deux placards à vêtements…
Parmi les objets tombés devant le chevet, elle vit un réveil rouge à chiffres digitaux. Et, de guingois par-dessus, reposait un cadre photo en plastique imitation loupe d’orme. Buffy et Willow y souriaient ; derrière elles, un Alex hilare leur faisait des cornes ; et à moitié mangé par l’épaisseur du cadre, se devinait le profil de Giles qui levait les yeux au ciel.
Son doute fut bientôt enseveli par une écrasante et pourtant bien irrationnelle certitude. Ce n’était pas une chambre d’étudiant impersonnelle. C’était sa chambre d’étudiante impersonnelle.
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« Donjons et Démons » s’appelle ainsi pour de multiples raisons. D’abord parce qu’il n’y avait pas de dragons disponibles (petit budget…) et puis ça se passe dans une cellule de prison.
Pour terminer, j’y fais une allusion dans une réplique. Voilà.
Avec ce chapitre, on suit les aventures de « Jeune-Dawn » qui ne trouve rien de mieux que faire une « grosse catastrophe » alors que Thisbé lui colle aux basques.
Qui c’est ‹ Thisbé › ? Elle sort d’où encore celle-là ? C’est casse-pied ces auteurs qui nous pourrissent le cast original avec des OC…
Je vous accorde que ce prénom est à peu près aussi invraisemblable que « Buffy » pour une terreur des démons, mais c’était l’idée.
Ne vous y attachez pas trop. Je vais le dégager prochainement lorsque la petite choisira son nom de terrienne.
Heeeee ? Comment ça « de terrienne ». On ne comprend rien du tout à ce que tu dis !!
Je suis imperturbable, je mets mon extrait et puis c’est tout :
Le cercle venait de s’enflammer et Dawn restait en arrière. Il n’était pas destiné à la protéger, elle, mais à contenir ce qui pouvait vouloir sortir. Elle plissa le nez et regarda la bombonne de peinture avec laquelle elle avait maladroitement essayé de peindre un sceau également sur le plafond. Du pied, elle l’envoya rouler au loin. Flammes et bombonne sous pression, mauvaise combinaison…
— J’appelle Andrew Wells !
Elle tint fermement le bol. Le crépitement des flammes froides s’accrut mais rien ne se passa. La jeune fille piocha une poignée de poudre qu’elle jeta au centre du cercle en réitérant d’une voix plus affirmée :
— J’en appelle à Andrew Wells ! Qu’il se présente devant moi immédiatement !
Un nouveau grésillement, puis un rire tonitruant s’éleva et se mit à retentir en rebondissant sur les murs de la prison. Poussant comme un champignon depuis le sol, une forme sombre encapuchonnée se redressa d’un coup.
— QUI OSE ME DÉRANGER DANS MON SOMMEIL ÉTERNEL ? QU’IL SOIT RECOUVERT DE PUSTULES PURULENTES, QU’IL SOIT VOUÉ AUX… Oh mais… Dawn ? Mais qu’est-ce que tu fais là ?
Bonne lecture !
de Jules César remise dans la bouche de Warren Mears – pour ceux qui n’ont pas fait latin : je suis venu, j’ai vu et j’ai vaincu.
I want to satisfy the undisclosed desires in your heart.
Je peux l’enlever si tu veux.
, c’était admiratif comme remarque
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