Allez, après avoir eu un passage à vide assez violent et ne pas avoir touché mon clavier pendant bien longtemps, il se pourrait bien que je me lance et que je vous cuisine un petit truc ^^
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MIAM ! Je sens que je vais me régaler avec ce défi cuisine … (Jeu de mot 100% volontaire 
).
Oui, je vais tenter un niveau 3 (aka la double/triple signification de cuisiner). Merci Angel-Dust.
J’étais déjà en train de reprendre un OS spécial Noël mais ça attendra … à moins que j’en intègre un petit extrait dans le Défi …
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Allez hop, first ! 
Titre de la fic : La bigarrure des volte-face
Fandom : Ace Attorney
Connaissance du fandom : fortement recommandée, car il fait appel à de nombreux personnages de la trilogie principale, parfois dans l’ordre, parfois dans le désordre… Mais aussi à un évènement majeur du premier jeu. Vous pourrez sans doute comprendre le texte sans mais louperez les sous-entendus, tenants et aboutissants :x
Nombre de mots : word 4119 / FFR 6680
Rating : 13 ans, je me souviens jamais des lettres…
Genres : Policier, drame
Personnages : Henri Hunter, Victor Boulay, parmi beaucoup d’autres.
Continuité : six jours avant l’affaire DL-6, en plein hiver !
Teaser : Dans l’affaire DL-6, de nombreux personnages ont vu leurs vies ruinées… A quoi ressemblaient-ils avant ? Quels étaient leurs ambitions, leurs caractères, leurs vies ?..
Alors, petit aparté pour ce défi quand même ! 
Défi très particulier puisqu’il mélange un peu les affaires des divers jeux de façon peu conventionnelle 
C’est un défi retour en enfance cuisiné dans un lieu sacré (j’ai pas fait exprès, je le jure) saupoudré de narrateur homogénét-homodiarrhé-homodiabéti… Enfin, le narrateur qui se tient au chaud là, à l’intérieur. La compréhension peut donc être compliquée pour les non-initiés au fandom (surtout le premier jeu). Désolé Oldie, en plus il fait 6000 mots sur ffr.
Voilà, j’espère avoir passé les critères, parce que je le dis, mais je sais pas du tout si c’est validé vu comme c’était pas évident pour moi 
A table !
→ La bigarrure des volte-face chapitre 1: La bigarrure des volte-face, une fanfiction Ace Attorney
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Mais… J’ai pas encore commencé à écrire…
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J’ai même pas l’ombre d’un fandom ni d’une idée…
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Il reste un mois et 24 jours, ça devrait le faire 
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en plus, il fait plus de 6000 mots
Huhu
Fulmi, mon petit Fulmi, tu m’as déjà perdue quand tu as écrit « connaissance du fandom fortement recommandée ».
Pour les critères, je saurai après avoir essayé de le lire.
Au pire, celles et ceux qui connaissent pourront te conseiller.
Pour ma part, j’en suis à relire mon Défi… de l’été. 
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Le défi « À table ! » a à peine commencé qu’Oldie a la tête comme une citrouille et le cerveau en compote : Fulmi a envoyé la sauce avec une fic bien corsée pour les profanes, et c’est pas des salades.
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Bon, je bute là-dessus. Le niveau 2. La narration homogénique. Non, homodiégique. Non 
homodiégétique, voilààààààà (nan mais ce mot mériterait presque un post dans le conciliabule autour du vocabulaire )
Si j’ai bien compris, suite à ce poste là :
Il faut écrire à la première personne. Mais du coup, ce personnage censé être le personnage secondaire ne devient-il pas d’office le personnage principal ? 
Ou est-ce que je réfléchis beaucoup trop ?
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Ah,
De son point de vue, ça pourrait, s’il est très egotique…
Mais il faut ressortir ses vieux cours de français du collège (tousse @Alresha) pour être au clair sur la difference entre auteur, narrateur et personnage principal.
Le narrateur intérieur raconte l’histoire d’un(e) autre et il a conscience qu’il n’est que le rapporteur d’une intrigue dont il n’est pas le héros.
Ce ne sont pas ses propres aventures qu’il raconte.
Le meilleur exemple que je puisse trouver en plein dimanche, c’est Neville qui raconte personnellement l’histoire d’Harry Potter à ses enfants. Pas l’histoire de Neville Londubat qui voudrait se faire mousser, mais celle d’Harry, son camarade et son ami.
Il pourra dire « je l’ai aidé avec la branchiflore » ou « j’ai décapité le serpent familier de Voldemort avec l’épée de Gryffondor, excusez du peu » (ce qui est son moment purement héroïque).
Il n’en reste pas moins que ça ne fait toujours pas de lui le héros, ça n’est pas Neville à l’école des sorciers… Il n’est que le narrateur, celui qui raconte l’aventure de l’Elu au titre ici dans mon exemple de témoin privilégié.
Ce qu’il sait, il ne l’a pas obtenu par ouï-dire, en compilant des articles ou en surfant sur sorcierehebdo .com. Il était là, il a fait partie du truc… en tant que personnage secondaire de Harry Potter.
Je ne sais pas si c’est plus clair avec cet exemple.
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Personnellement, ça me fait penser aux romans d’Agatha Christie dont Hercule Poirot est le personnage principal. La plupart du temps, c’est un narrateur interne qui raconte l’histoire en suivant Poirot un peu partout, en analysant ses réactions et ses questions, mais sans jamais être dans la tête du petite détective à la moustache impec. Donc techniquement, c’est Hercule Poirot le héros, le personnage principal, mais il n’est pas le narrateur. Cette narration homodiégétique (j’espère l’avoir bien écrit) est d’ailleurs très habilement utilisée dans Le meurtre de Roger Ackroyd (sans rien divulgâcher bien-sûr).
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Lequel ? Hastings ? Miss Lemon ? L’inspecteur Japp ? George ? 
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Je crois que ça change en fonction des romans. Ca m’a beaucoup marqué dans le roman que j’ai évoqué parce que le rôle du narrateur est important. Selon Wikipédia, il s’agit du Docteur Sheppard, le voisin de Roger Ackroyd. Dans Le Train Bleu, je crois que le narrateur n’est pas interne car on suit plusieurs personnes différents dans mes souvenirs. Hélas, il me reste beaucoup de romans de la Reine du Crime à lire, je verrai bien quand je les lirai. 
7 « J'aime »
L’exemple le plus populaire serait Watson.
Il est le narrateur, alors que bien souvent il est en retrait et c’est Sherlock qui fait tout le boulot 
@OldGirlNoraArlani confirmera si j’ai bon ou non
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Je fais un petit point Agatha Christie ici… Il y a quelques narrateurs à la 1ère personne dans les romans d’Hercule Poirot, notamment le Capitaine Hastings, ami de Poirot, sorte de Watson (mais, je trouve, un peu moins intelligent que Watson, quoique presque plus intéressant car on en sait plus sur lui, sur sa vie etc), présent et narrateur dans 8 romans, notamment le premier (La mystérieuse affaire de Styles) et le dernier (Poirot quitte la scène, ou Curtains en anglais). Hastings et Watson sont en effet des narrateurs homodiégétiques, ils sont importants dans l’histoire mais n’en sont pas les véritables protagonistes.
En ce qui concerne Le meurtre de Roger Ackroyd, que je conseille instamment à tous ceux qui aiment les polars, c’est effectivement le Dr Shephard qui est ici le narrateur. Il s’agit du nouveau voisin de Poirot (ils se rencontrent car Poirot, censé être en retraite, en a ras le bol de faire du jardinage et balance de rage ses courgettes par-dessus le mur mitoyen 
), qui présente certaines similitudes avec Hastings (si je me rappelle bien, il a des liens lui aussi avec l’Argentine où vit à présent Hastings avec sa femme, il n’est pas très doué en affaires et en placements, tout comme Hastings, etc). Il s’agit d’un personnage important dans l’histoire, mais, encore une fois, ce n’est pas le protagoniste.
Pour le narrateur homodiégétique qui n’est pas le héros, je propose un roman que j’ai adoré : Le Club Dumas d’Arturo Perez-Reverte. L’histoire suit un chasseur de livres rares nommé Corso. Ce dernier est sur la piste d’un manuscrit de Dumas, un chapitre des Trois mousquetaires écrit de sa main, et que quelqu’un semble vouloir récupérer à tout prix (on croise des doubles des personnages de Dumas, notamment Milady et Rochefort, c’est génial), et en parallèle cherche à authentifier un livre qui permettrait de communiquer avec le diable. Corso fait donc ses recherches et se rend compte que là où il passe fleurissent les cadavres… Lui n’y est pour rien, mais il se pose des questions. Pourquoi est-il suivi ? Qui est la mystérieuse jeune fille qui lui sauve la vie ? Les deux affaires sont-elles liées ? Vous le saurez en lisant cet excellent roman ! Un film avec Johnny Depp a été tiré de la moitié de cette histoire : La neuvième porte. Malheureusement, le film n’a pris que le côté « livre maléfique » et a laissé de côté le manuscrit de Dumas. Tout ça pour dire que le narrateur, dans ce roman écrit à la 1ère personne, est un personnage tellement secondaire qu’il n’apparaît que trois fois dans tout le récit. Il s’agit d’un homme qui emploie Corso pour une mission et qui relate ce que le chasseur de livres lui a raconté par la suite. C’est très bien fait (il y a en plus un rebondissement concernant le personnage) et c’est un mode de narration assez particulier, puisque le « je » intervient mais s’efface presque totalement par moments.
Désolée pour cette digression… 
PS
Merci d’avoir choisi David Burke pour illustrer Watson : c’est un des meilleurs !!!
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Je poste ici parce que je me dis que comme ça je me sentirais plus obligé de tenir mes engagements…
J’ai commencé quelque chose pour ce défi (j’ai écrit 1600 mots actuellement, grosso modo.) Je ne m’essaie pas au niveau 2 parce que me remettre à l’écriture en français est déjà un défi en soi, mais la thématique du défi de base colle bien à mes personnages de prédilection, donc je me dis que ça peut m’aider à me remettre dans le bain…
(Pour info, j’avais commencé quelque chose pour le défi précédent mais je ne sais pas si j’arriverais à le finir. On croise les doigts. 
)
Je me suis promis de ne pas demander l’ajout des personnages avant d’avoir quasi fini. Mais je me dis qu’écrire ce post est peut-être ce qu’il manque à mon cerveau pour s’activer à fond. 
Avec un peu de chance j’aurais fini avant mon anniversaire. (Sinon il me restera 1 jour. La bonne blague.)
En tout cas, bon courage à tous ceux qui participent (moi y compris, finalement.) 
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Bah,
On ne sait jamais. Le dire c’est bien, mais le Samifer, c’est mieux (pardon pour la référence de vieux)
Moi j’ai fini… celui de l’été.
Je m’en vas le poster dans la 2e Chance…
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La bonne nouvelle c’est que j’ai écrit juste après avoir posté ce message (j’en suis à 2400 mots actuellement) donc peut-être que ma technique marche
Je vais faire mon mieux pour rester dans les environs des 5000 mots max, c’est mon nouvel engagement.
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C’est possible de faire les trois options en même temps ? Par exemple, en suivant trois groupes de personnages qui utilisent chacun une version différente du mot cuisiner ? Ou en prenant une version pour chaque « moment » de l’histoire.
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Fais comme tu veux, ça passe 
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