Faites-nous découvrir vos OC!

On attaque par Warda, notre elfe noire trop bourrin favori :smiley: .

  1. Votre personnage est-il du genre honnête (peut-être trop) ? Ou, au contraire, filtre-t-il ce qu’il dit pour ne pas froisser ? Donne-t-il son opinion de manière franche, ou préfère-t-il la garder pour lui ?

Warda doit être le personnage le plus honnête du roman, il est presque innocent de ce côté là. Il parle franc, quitte à se faire des ennemis (de toutes manières il en a déjà des tas). Il donne son opinion de manière franche, voir trop, mais il estime être dans le juste.

  1. Votre OC fait-il des rêves et/ou cauchemars de façon récurrente ? Pouvez-vous les décrire ? Comment se sent-il au réveil ?

Warda fait souvent des cauchemars, même si ce n’est pas les mêmes il y a toujours cette notion de fantômes de ses victimes. Il rêve souvent de toutes les personnes qu’il a tué, qu’elles viennent se venger à travers ses songes. Le paladin phénix qu’il a décapité est une figure récurrente particulière, surtout quand il croisera Galro, il associera le jeune paladin à celui qu’il avait occis il y a des années, convaincu que c’est un spectre matériel. Au réveil il a souvent envie de vomir, avec des frissons et le souffle court.

  1. Si votre OC existe depuis pas mal de temps : Comment votre point de vue sur ce dernier a évolué au fil du temps ? / au fil du récit ?
    Avec les mois/années et le recul, vous êtes vous rendu compte de certaines choses sur votre personnage ?

Mon personnage a une place particulière dans mon cœur, car il a dépassé la vingtaine d’année d’existence dorénavant. Au début c’était un modèle de robustesse acquise au fil des années, maintenant je le trouve pathétique mais attachant, ce qui renforce mon amour pour lui. Il n’est pas un héro modèle comme il y en a tant, c’est une victime en quête de rédemption.

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Voici le second personnage principal de la Prophétie du roi déchu: Galro le Paladin.

  1. Votre personnage est-il du genre honnête (peut-être trop) ? Ou, au contraire, filtre-t-il ce qu’il dit pour ne pas froisser ? Donne-t-il son opinion de manière franche, ou préfère-t-il la garder pour lui ?

Galro est honnête au début, mais le deviendra de moins en moins en gravissant les échelons au sein de l’Eglise. Il fait très attention à ce qu’il dit, son rang l’oblige, il doit éviter de froisser ses supérieurs. Il ne donne pas ses opinions de manière direct, sauf avec Tilbar, il cherche toujours à manipuler ses amis comme ennemis pour arriver à ses fins.

  1. Votre OC fait-il des rêves et/ou cauchemars de façon récurrente ? Pouvez-vous les décrire ? Comment se sent-il au réveil ?

Galro rêve souvent de son père, avec la tête posée sur le torse, comme le jour on lui a ramené alors qu’il n’était qu’enfant. Et lorsqu’il ferme les yeux en dormant, il voit une masse sombre recouverte de glyphes rougeoyantes danser sur sa peau. Il rêve qu’il combat cette chose et perd à chaque fois. Mais ça c’était avant le milieu du roman. Ses rêves deviennent de plus en plus ésotériques et énigmatiques, son rêve récurrent concerne une chambre de rituels avec une fresque gravée dessus, ainsi qu’une ile sans vie couverte de nuage noire. Et dans ses rêves, il n’est pas lui-même, il est… quelque chose d’autre. Quand il se réveille il est en panique, il a même faillit tuer Tilbar.

  1. Si votre OC existe depuis pas mal de temps : Comment votre point de vue sur ce dernier a évolué au fil du temps ? / au fil du récit ?
    Avec les mois/années et le recul, vous êtes vous rendu compte de certaines choses sur votre personnage ?

Galro a été créé pour être la némésis de Warda à la base, un chevalier de la lumière utilisant des méthodes déshonorantes pour parvenir à ses fins, au contraire de Warda qui est un guerrier sombre porteur de valeurs morales. Mais maintenant je le vois différemment, surtout avec Narden dans l’équation. C’est la figure de l’être emplie de haine qui évolue pour aller vers le pardon. Il apprendra à aimer ce qu’il a haïs, il apprendra à accorder le pardon et à faire la paix avec ses ennemis.

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Alooors, pour cette fournée on va répondre de manière un peu désordonnée…

Commençons par Kelly.

  1. Votre personnage est-il du genre honnête (peut-être trop) ? Ou, au contraire, filtre-t-il ce qu’il dit pour ne pas froisser ? Donne-t-il son opinion de manière franche, ou préfère-t-il la garder pour lui ?

Dans l’ensemble, Kelly n’a pas de mal à dire ce qu’elle pense. Cela dit, elle ne manque pas de prudence et sait quand c’est le moment de garder ses opinions pour elle. Ceux qui lisent l’œuvre savent qu’elle fait partie d’un groupe d’élèves activistes, où les rapports sont parfois conflictuels. Et c’est généralement quand il s’agit de défendre l’intérêt général que Kelly met (provisoirement) sa langue dans sa poche.

  1. Votre OC fait-il des rêves et/ou cauchemars de façon récurrente ?

Pas encore. Un jour peut-être…

  1. Si votre OC existe depuis pas mal de temps : Comment votre point de vue sur ce dernier a évolué au fil du temps ? / au fil du récit ?
    Avec les mois/années et le recul, vous êtes vous rendu compte de certaines choses sur votre personnage ?

A vue de nez, je crois bien que Kelly est le personnage avec qui nous avons la relation la plus constante (contrairement à beaucoup d’autres, je vous expliquerai dans deux messages). Dès le début on avait une idée précise du caractère du personnage, de son positionnement et de ce qu’il représente, et depuis 6 ans, même si le scénario a été souvent remanié, Kelly n’a pas bougé, et jamais on a eu à remettre en question son personnage. Pas drastiquement, en tout cas.

Et c’est comme ça qu’on l’aime : que ça soit face à son école, face à la cruauté du monde, ou même face à la plume changeante de ses auteurs, Kelly plie, mais ne cède pas, même en cas de pépin (les habitants d’Orcanie comprendront).

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Et je ne résiste pas : pour cette nouvelle fournée de question, je me fends d’un troisième personnage, un autre professeur : Fistule Fistwick !

Fistule Fistwick was here !

Petit personnage élitiste, mesquin et moqueur, le professeur de sortilèges de Lettockar est également directeur de la maison Ornithoryx. Féru de jazz et de science, c’est également un savant fou, avide de magie expérimentale, inventeurs de sortilèges qu’il ne trouve intéressants qu’à partir du moment où ils deviennent mortellement dangereux. Détestant toutes les autres écoles de magie, méprisant au plus haut point tout ce qui a trait à l’Etat et à toute forme de société bien rangée, ce louche individu dans son laboratoire inquiète tout le monde à Lettockar !

Quelle est la boisson favorite de votre OC ?

Les larmes de ses élèves !

Votre personnage possède-t-il un objet qui lui est propre ? Pourquoi est-il important pour lui ?

Son chapeau… sa canne… ses vêtements… son laboratoire… son sablier… euh… en fait, il vaudrait mieux faire la liste d’objets qui ne lui sont PAS propre, ça irait plus vite.

Quelle impression votre OC fait-il aux inconnus au premier abord ?

Cette impression change-t-elle lorsqu’ils apprennent à le connaître ?

  • Cela peut changer auprès de CERTAINES personnes, rares et sélectionnées, qui parviennent à voir un peu plus loin dans sa personnalité insolite. Le pire, c’est qu’il ne s’agit pas forcément ses meilleurs amis, qui le considèrent toujours après plus de 30 ans d’amitié comme un fin taré.

Si votre personnage devait contracter une maladie quelle serait-elle ? Y a-t-il par ailleurs une maladie ou un handicap (physique ou mental) avec laquelle/lequel il doit vivre ?

Fifi a déjà un handicap physique : il boîte. L’origine de cette claudication sera révélée dans le tome 5, je crois.

Pour ce qui est de son cerveau, après que la quasi-totalité de ses élèves (actuels comme passés) l’aient supplié d’aller consulter des psychiatres, il a cédé. Officiellement, il ne souffre d’aucun trouble mental, mais beaucoup de personnes remettent en cause la sincérité du diagnostic, sachant qu’il est parfaitement capable d’avoir ensorcelé les médecins…

Quelle est la signification et/ou l’origine du nom de votre personnage ? (inventé ou véridique !)

Bah, ni plus ni moins qu’une version bête et vulgaire de Filius Flitwick.

À quoi ressemblerait le journal de votre personnage ? Comment remplirait-il les pages ? Serait-il appliqué ? Qu’est-ce qu’il écrirait dedans ?

Alors Fistule a essayé de tenir un journal, mais quand il s’est aperçu qu’il lui fallait déjà quatre cahiers complets pour décrire sa première journée d’enseignant, il a décidé d’arrêter les frais…

Quelle(s) chanson(s) associez-vous à votre personnage/son histoire ? Pourquoi ?

craquements de jointures

  • Sa chanson Disney : Tout le monde veut devenir un cat (Les Aristochats)

  • Sa chanson rock : I’m the slime (Frank Zappa)

  • Sa chanson française : Ta Katie t’a quitté, Boby Lapointe

  • Sa musique savante : Boléro, Ravel

  • Sa musique de film : La Valse du Parrain, Nino Rota, le Parrain

  • Son générique de série : Le laboratoire de Dexter

Quelle est la date d’anniversaire de votre OC ? comment est-ce qu’il fête cet anniversaire ? Comment aimerait-il le fêter ? Quels cadeaux aimerait-il qu’on lui offre ?

Le 6 juin. Parce que 6/6, en Alphabet, ça donne F.F.

Fistule Fistwick.

Par contre, lui il en a rien à péter, il ne le fête pas.

Qu’est-ce que vous aimez chez votre personnage ?

Un peu comme son comparse McGonnadie, et tous les profs de Lettockar en général : on aime sa transgressivité qui nous permet d’oser beaucoup de chose lorsque nous écrivons.

Mais au-delà de sa participation à l’ambiance de l’oeuvre, je crois que la plus-value du personnage de Fistwick à nos yeux est sa conception de la magie. Quand on a débuté Lettockar, A1 a déclaré « J’en ai marre des Stupéfix et des Maléfices du Saucisson », et A2 a renchérit « A Poudlard, ils font de la magie pour des petits sorts mignons. Si nous on fait de la magie, c’est pour ■■■■■■ le zbeul ». Franchement, avec tout le potentiel qu’offre la magie d’Harry Potter, sommes-nous les seuls à la trouver bridée dans l’oeuvre originale ?

Fistwick est pareil, il ne supporte pas ce qui est sage et consensuel. Pour lui, à partir du moment où on a la chance d’être doté du fluide magique, il ne faut plus s’imposer aucune limite. Au fil de ses expériences, il essaie toujours de repousser les limites, de donner un visage nouveau à sa magie et d’en explorer d’autres facettes (quitte à ce que ça soit complètement aberrant dans un premier temps) plutôt que de s’en tenir aux recettes plus ou moins élaborées établies par ses confrères. De fait, Fistwick est toujours imprévisible et c’est pour ça qu’il est très plaisant, en tant qu’écrivain, de le mettre en scène.

Quels médias (musique, jv, cinéma, etc…) ou personnages fictifs (voir personnes réelles) ont inspiré ou vous rappellent votre OC ? Pourquoi ?

Comme je l’ai révélé il y a quelques mois, les professeurs masculins sont inspirés d’un membre de notre bande d’il y a 10 ans. Son inspirateur a pas mal changé depuis, mais Fifi a hérité de son côté créateur, expérimentateur sans entraves, un rien ironique, et de son approche inhabituelle des rapports sociaux.

Moi, A1, m’aperçois aussi qu’il a des ressemblances avec Mayuri Kurotsuchi, mon personnage préféré de Bleach (en moins sadique et sans le côté génocidaire quand même, pour ceux qui connaissent le bonhomme ^^).

Votre personnage veut-il/a-t-il des enfants ?

Fistwick : sors de l’ordinateur des AA et se met à hurler : CA VA PAS NON ??

Qu’est ce que vous n’aimez pas chez lui ?

Encore une fois, même réponse que pour McGonnadie : ce qu’on n’aime pas chez lui, c’est ce qu’on aime chez lui ^^ Sa personnalité est un excellent ressort scénaristique et c’est très plaisant d’écrire pour lui, mais IRL ce type nous ferait très froid dans le dos…

Que dit la personnalité de votre OC de vous ?

Qu’on trouve tellement plus marrant de mettre en scène un personnage sans gêne qui n’en a rien à taper des règles et qui ne marche que hors des sentiers battus, que de faire un sorcier style instituteur de la IIIe République…

Votre OC supporte-t-il bien la chaleur/le soleil ? Sa saison préférée ?

Sa saison préférée est l’automne, pour deux raisons :

  • Comme il pleut tout le temps, il peut rester enfermé dans son laboratoire sans que le directeur ne le force à sortir en lui gueulant « MAIS VA PRENDRE LE SOLEIL, FISTULE ! »

  • S’il y a de l’orage, avec un peu de chance la foudre va tomber sur le château, et ses expériences prendront une tournure inattendue…

Si votre personnage avait un animal de compagnie, ce serait quoi ? En a-t-il déjà eu par le passé ?

Fistwick avait autrefois un phénix domestique, qui s’appelait Broilking ! La nature de leur relation sera explicitée dans l’oeuvre (rassurez-vous, rien de sexuel, ni lui ni nous ne sommes tordus à ce point)

À quoi ressemblerait la « Bucket List » de votre personnage ? Quels sont les rêves qu’il aimerait accomplir dans sa vie ?

Même réponse que pour le journal intime. Il en a eu une, mais comme il a craqué le budget parchemin de l’école pour l’écrire, le directeur, fou de rage, l’a réduite en miettes. Du coup, même nous, les auteurs, ne savons pas ce qu’il y a dedans…

Comment votre personnage rit-il ?

Son rire One Piece : Muhihihihihihihi !

Votre personnage a-t-il un talent particulier que la plupart de leurs compagnons/amis ne connaissent pas ?

Un talent inné (genre le Fourchelang), pas que je sache, en revanche il a un paquet d’inventions qu’il ne divulgue pas : officiellement pour garder son jardin secret, officieusement pour pas aller en taule.

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Et pour les 3 dernières questions, on va faire une réponse groupée pour McGonnadie et Fistwick !

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  1. Vos personnages sont-ils du genre honnête (peut-être trop) ?

Ooooh oui.

Ou, au contraire, filtrent-t-ils ce qu’il disent pour ne pas froisser ?

2. Vos OC font-ils des rêves et/ou cauchemars de façon récurrente ?

Poséidon : « Je ne fais pas de cauchemar : je SUIS un cauchemar. »

Fistule : « Pas besoin, je rêve très bien éveillé. »

  1. Si vos OC existent depuis pas mal de temps : Comment votre point de vue sur ces derniers a évolué au fil du temps ? / au fil du récit ?
    Avec les mois/années et le recul, vous êtes vous rendu compte de certaines choses sur vos personnages ?

C’est une merveilleuse question, parce qu’on se dit régulièrement tous les 2 qu’une des choses qui a le plus changé dans notre écriture au fil des années, c’est notre rapport avec nos personnages.

Et en premier lieu les profs : il faut comprendre que ce sont les premiers personnages qu’on a imaginés, bien avant les héros. De fait, durant facilement une bonne année d’écriture, ils ont été les stars de nos chapitres (il faut savoir que A1, notre scribe, écrit complètement dans le désordre, pendant longtemps il a beaucoup plus écrit pour les tomes 4 et 5 que pour les 3 premiers), on les a énormément développés, au point d’éclipser les autres personnages. Et donc, on avait beaucoup d’affection pour eux, on riait presque (je dis bien presque) au premier degré à leur infamie. Des fois, inconsciemment, on leur donnait un peu raison…

Et on a toujours beaucoup d’affection pour eux ! Mais d’une autre manière. On a réalisé que leur potentiel comique trash ne devait pas atténuer que leur posture est intolérable (trop de gens s’abritent derrière le « SeCoNd DeGrÉéééÉÉéé » pour cacher leur ignominie). Maintenant, même si on s’amuse toujours à leur faire dire/faire des dingueries, on explore davantage leurs nuances, leurs démons comme leurs côtés plus lumineux (oui oui, ils en ont !). Bref, leur humanité.

En clair, avant, on était en mode « Les profs sont des ■■■■■■■■, mais ils sont marrants, donc ça va. » Maintenant, on est en mode « Les profs sont marrants, mais ne perdons pas de vue que ce sont des ■■■■■■■■ ».

Bref, l’écriture des professeurs de Lettockar est un excellent indicateur de l’évolution de notre plume et de notre positionnement en tant qu’auteurs. :blush:

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Yeaaah, les questions de septembre! :star_struck:

Enya
(Qui vient de rêver de perce-oreilles sur cette illustration au crayon de couleur, va-t-on dire XD)

Votre personnage est-il du genre honnête?
Elle est parfois trop franche, ce qui la fait passer pour une affreuse prétentieuse. Par contre, elle ne parle pas des sujets intimes et reste une experte en louvoiement.

Votre OC fait-il des rêves et/ou cauchemars de façon récurrente ?
Son pire cauchemar ? Rêver de perces-oreilles. Pour une raison étrange, ces bêbêtes la terrifient, et elle garde un souvenir tenace d’une nuit horrible, où elle pensait avoir été téléportée dans le royaume des perce-oreilles géants (dont le roi portait une couronne rose). Le réveil fut un soulagement, et le mot est faible. ^^

Comment votre point de vue a évolué au fil du temps ?
Eh bien… J’ai toujours eu beaucoup d’affection pour Enya. Puis quand j’ai eu les premiers retours la concernant, dans ma continuation des Puissants (tome 4), ça a été la consternation. J’étais tombé dans un piège de jeune autrice, j’avais créé une Mary-Sue malgré moi (l’héroïne trop belle, trop forte, trop tout quoi). La honte ! Mille sabords, j’ai donc rectifié le tir avec la fin du tome 4 et le tome 5, en lui donnant des failles, de la profondeur (telle que la peur des perce-oreilles, isn’it ^^). Pour résumer, on a un peu eu un rapport d’amour, « haine », amour. ^^ J’en profite d’ailleurs pour remercier @theforestspirit et ses bons conseils. :wink:

NIKKIN

Votre personnage est-il du genre honnête?
Pas du tout. Il garde ses pensées pour lui, parce que donner son avis, c’est se mettre en danger. Il reste cependant sincère avec ceux qui le méritent, et peut se montrer violemment franc quand il se sent attaqué.

Votre OC fait-il des rêves et/ou cauchemars de façon récurrente ?
Oui, lié à ses peurs (et il y en a un paquet) et au harcèlement dont il a été victime. :cold_sweat: Son cauchemar le plus récurrent est celui où il est poursuivi par une secte sacrifiant des êtres humains. Sur la deuxième marche du podium, on trouve le labyrinthe à la sortie introuvable, malgré des milliers d’heures de recherches nocturne. :sweat_smile: Tant qu’à faire, il se sert de ces voyages imaginaires comme sources d’inspiration pour ses dessins.

Comment votre point de vue a évolué au fil du temps ?
Alors qu’il est apparu pour les besoins de ma continuation des Puissants (tome 5), Nikkin a commencé à prendre du relief et de la place. Je me suis de plus en plus attachée à lui, jusqu’à devenir une immense fan ! Ouais, Nikkin, c’est le meilleur, avec ses failles, ses défauts et son côté terriblement attachant. Il ne se laisse pas facilement dessiner, par contre, raison pour laquelle j’ai fait différents portraits de lui, tous bien distincts. (c.f. plus haut^^)

CHRIS

Votre personnage est-il du genre honnête?
S’il y a une chose que Chris a apprise de son père, c’est la stratégie politique. Dire aux gens ce qu’ils veulent entendre = garantie d’avoir la paix et d’être (plus ou moins) apprécié. Mais comme il est timide, donner son avis haut et fort n’est pas trop son truc. Il préfère écouter, puis analyser.

Votre OC fait-il des rêves et/ou cauchemars de façon récurrente ?
Chris ne se souvient jamais de ses rêves. Pourtant, il aimerait bien. :worried:

Comment votre point de vue a évolué au fil du temps ?
J’ai de mieux en mieux compris Chris au fur et à mesure que l’intrigue de mes continuations se développait. :wink: J’ai beaucoup de tendresse pour la manière dont il évolue et combat sa timidité et son manque d’assurance. :smiling_face_with_tear:

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Alors, pour Hunfen… hmmm, vu qu’il agit assez à l’instinct, je suppose qu’il l’est, mais sans non plus que ça le rende socialement inapte (quoique ça aurait été rigolo s’il avait dit sans filtre à Grelod ce qu’il pensait d’elle…)

Pas que j’ai décrit (mais bon, c’est posible qu’il en ait fait un ou deux, après certaines dingueries qui lui sont arrivé…). Pas encore. Plus tard peut être… (spoilers ? ^^).

C’est plutôt que je le cerne de mieux en mieux, au fur et à mesure que j’affine ses traits de caractère pour l’histoire. Je pourrai sans doute mieux répondre à cette question quand la fic aura encore avancé.

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Les questions du charmant mois de septembre ouvrant le bal de l’automne.

Votre personnage est-il du genre honnête (peut-être trop) ? Ou, au contraire, filtre-t-il ce qu’il dit pour ne pas froisser ? Donne-t-il son opinion de manière franche, ou préfère-t-il la garder pour lui ?

Les notions de vérité, d’honnêteté et de mensonge sont certains thèmes évoqués dans ma fanfiction Harry Potter. Hazel, au début de son aventure, comprend peu à peu que les adultes lui cachent des choses (notamment au sujet de sa mère) et cela la trouble car elle se considère elle, comme une personne honnête. Elle est plutôt franche et n’hésite pas à dire aux personnes ce qu’elle pense de leur comportement. Petit à petit, Hazel va apprendre, la leçon sera douloureuse, que parfois certains mensonges sont nécessaires pour protéger ceux qu’on aime.

Votre OC fait-il des rêves et/ou cauchemars de façon récurrente ? Pouvez-vous les décrire ? Comment se sent-il au réveil ?**

Hazel va commencer à rêver de lambeaux d’un passé oublié. Son cauchemar d’enfance a les traits d’un homme ressemblant à Sirius Black et qu’elle croit être, au début de son aventure, le prétendu Mangemort emprisonné à Azkaban.

Si votre OC existe depuis pas mal de temps : Comment votre point de vue sur ce dernier a évolué au fil du temps ? / au fil du récit ?
Avec les mois/années et le recul, vous êtes vous rendu compte de certaines choses sur votre personnage ?

Le personnage de Hazel date en vérité de mon adolescence. Il a été construit à partir d’un personnage d’une vieille histoire pseudo originale se déroulant dans une école de magie. Pour en rajouter dans le cliché, elle était une « Élue », avait une chouette, se prénommait Luna et avait un ennemi qui a assassiné ses parents. La seule différence avec Harry Potter (attention, c’est l’instant confession honteuse… on n’est pas sérieux quand on a 14-15 ans…) étant qu’elle finissait par s’éprendre de son ennemi juré (un mélange du Rochester de Jane Eyre et d’Edward aux mains d’argent versions Dingo Pictures).

En 2019, j’ai remis la main sur ce texte et je l’ai relu… et j’ai voulu reprendre le personnage en essayant de gommer certains traits que je trouvais trop parfaits (comme ses capacités incroyables en magie). Je l’ai ensuite intégrée dans l’univers Harry Potter. Il y a une chose que j’avais conservée du texte d’origine, le lien magico-romantique (un fil rouge) entre Luna devenue Hazel et un personnage masculin. Au départ, j’avais conservé ce lien car j’avais dans l’idée, dans le tome suivant, de montrer une Hazel adulte vivant la fameuse « relation romantisme noir » mais j’ai renoncé à cette idée car en tant qu’auteur adulte, je n’ai pas envie de romantiser les relations malsaines. Si j’avais relu ce carnet dix ans plus tôt, je pense que j’aurais écrit ce deuxième tome… parce qu’à l’époque, j’avais encore cette envie d’écrire des amours maudites… mais plus maintenant, je suis devenue trop vieille pour ces sottises. :sweat_smile:

Retrouver et retravailler Luna/Hazel m’a permis de voir comment ma façon d’écrire les relations amoureuses avait évolué et ce fut une façon plutôt agréable de jeter un petit coup d’œil dans le rétroviseur à ce sujet.

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Bon automne à tou.te.s!
Pour ceux qui ont lu/aimé, je choisis le grand-père du perso précédent (oui), mais cette fois je réponds en tant qu’auteur (désolée :stuck_out_tongue:).

  1. Votre personnage est-il du genre honnête (peut-être trop) ? Ou, au contraire, filtre-t-il ce qu’il dit pour ne pas froisser ? Donne-t-il son opinion de manière franche, ou préfère-t-il la garder pour lui ?

Ce perso ne parle pas au monde, pour commencer. Quand il le fait, c’est qu’il y est obligé, notamment avec sa famille. Mais quel que soit l’interlocuteur, il ne dit jamais tout. Il a la capacité de connaître la vérité sur tout le monde, mais bien malin sera celui qui croira le connaître.
Ayant plus de 50 ans, il est effectivement fatigué des disputes inutiles, et préfère s’absenter/se taire que froisser son entourage.

  1. Votre OC fait-il des rêves et/ou cauchemars de façon récurrente ? Pouvez-vous les décrire ? Comment se sent-il au réveil ?

Au moment de son arc, il est en proie à un cauchemar récurrent oui: son fils qui le tue. Non, pas celui qui le déteste ouvertement (père du perso précédent qui lui-même ne fait pas dans l’altruisme), mais le petit timide poli qui ne dit rien et qu’on ne peut qu’adorer.
Après en avoir parlé à son meilleur ami, il a cessé de les faire, sans qu’une aura de frayeur quitte ses journées. Au réveil il envisage le pire et est toujours fatigué (vive les rhumatismes).

  1. Si votre OC existe depuis pas mal de temps : Comment votre point de vue sur ce dernier a évolué au fil du temps ? / au fil du récit ?
    Avec les mois/années et le recul, vous êtes vous rendu compte de certaines choses sur votre personnage ?

Comparé à la majorité de mes persos, le papi est plutôt récent (2-4 ans?), et tout ce que je peux dire est qu’avec les péripéties de l’arc que je suis en train de conclure (+ son rôle plus restreint dans les autres mais plein d’humour et d’espoir), je me suis rendue compte que c’était mon personnage préféré. :hearts: (sur 100-150 développés, pour réaliser les proportions)
Ce qui a changé concrètement, c’est la place qu’il occupe (d’anecdotique à quasi-centrale), son potentiel, et l’affirmation de sa bisexualité afin de « clarifier sans officialiser » les triangles que j’affectionne (désolée pour ceux qui n’aiment pas! selon le scénario, ça fait ressortir le meilleur comme le pire des persos).

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Coucou à tous,

Les questions de Septembre :blush:

  1. Votre personnage est-il du genre honnête (peut-être trop) ? Ou, au contraire, filtre-t-il ce qu’il dit pour ne pas froisser ? Donne-t-il son opinion de manière franche, ou préfère-t-il la garder pour lui ?

Alexa est peut-être trop honnête. Elle ne mâche pas vraiment ces mots. Elle peut même dire des choses sur le coup de la colère qu’elle regrette ensuite.

  1. Votre OC fait-il des rêves et/ou cauchemars de façon récurrente ? Pouvez-vous les décrire ? Comment se sent-il au réveil ?

Elle fait des cauchemars où elle revit certains épisodes de son passé. Elle a vécu pas mal de choses en tant que membre des Seals. Elle a vu son Commandant mourir devant ses yeux. Elle a tué des personnes. Tous ces moments peuplent ces nuits. Au réveil, elle part courir pour se changer les idées et oublier.

  1. Si votre OC existe depuis pas mal de temps : Comment votre point de vue sur ce dernier a évolué au fil du temps ? / au fil du récit ?
    Avec les mois/années et le recul, vous êtes vous rendu compte de certaines choses sur votre personnage ?

Malheureusement, cette question je ne pourrais pas y répondre. Mon personnage est tout récent. Tout nouveau.

Au mois prochain :wink:

5 « J'aime »

La saison préférée de beaucoup d’entre vous est là, apportant dans son sillage le froid, les feuilles mortes, les journées plus courtes et, surtout, Halloween ! :jack_o_lantern:
Pour cette neuvième édition, j’ai essayée de rester dans le thème « fête des morts » / souvenirs, j’espère que ces questions vous plairont ! :ghost:

Oh et j’ai pas demandé si vos personnages fêtaient ou non Halloween, comment etc… (ou s’il existe un équivalent dans leur monde ?), n’hésitez pas à le dire si vous voulez ! :hugs:

~ OCTOBRE ~

:jack_o_lantern:

  1. Votre personnage a-t-il perdu quelqu’un de proche ? Comment cela l’a affecté ?
  2. Quels sont quelques-uns des souvenirs les plus vivants de votre personnage sur son enfance ? Un souvenir qui l’a aidé à façonner qui il est ?
  3. Que fait votre OC pour se souvenir des morts ? Que pense t-il du concept de mort, d’âme … ? Quelles sont ses croyances à ce sujet ?
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Youhou! Et trop bien pour le thème de saison :star_struck: ça me fait bien penser à Nikkin! :crazy_face: :jack_o_lantern:

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Et c’est parti pour Hunfen (qui est toujours nordique, qui a toujours onze ans) :

Tout dépend de ce qu’on appelle « perdu ». Sa mère est morte en couche, donc il ne l’a pas jamais connu, du coup, ça n’a pas été un point marquant, mais ça a affecté la manière dont il a vécu jusque là (son paternel se serait sans doute posé quelque part si sa femme avait vécu).
En ce moment, il est séparé de son père, ça le rend parfois mélancolique, quand il n’a pas quelque chose d’autre pour lui occuper l’esprit. Il aimerais bien le retrouver quand même, ça commence à faire long…

Baaah il est en train de se les forger là, les souvenirs marquants :stuck_out_tongue: Mais d’avant le début de ses aventures, quelques événements mémorables de chasse (une fois, il a sauté sur le dos d’un marcassin pour lui faire la prise de l’ours, sauf que la bestiole était un peu trop grosse et, en fuyant, l’a transporté sur plusieurs centaines de mètres avant qu’il ne finisse par lâcher et s’étaler par terre comme un idiot ^^)

Alors il y a des rites et des croyances, mais c’est assez compliqué, entre les braves guerriers qui vont en Sovngarde, les lycanthropes qui vont sur les Terrains de Chasse d’Hircine, les vampires en Havreglace chez Molag-Bal, les victimes de la Confrérie Noire dans le Vide aves Sithis, et il ne sait même pas ce qu’il se passerait si un brave guerrier lycanthrope se fait tuer en affrontant vaillamment un assassin de la Confrérie Noire. Il en a conclu que que le plus simple, c’est de rester vivant.

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Je vais faire Galro et Warda en même temps, vous finissez par les connaitre avec les publications de mon chapitre à force, mais cela complète toujours bien.

  1. Votre personnage a-t-il perdu quelqu’un de proche ? Comment cela l’a affecté ?

Warda: Warda a pour ainsi dire perdu sa mère biologique et ses deux parents adoptifs. Il perdra de nombreux amis dans la suite du roman, d’ailleurs le roman sera ponctué de la mort de la plupart de ses proches au court de l’histoire (d’ailleurs le dernier chapitre se conclut aussi sur une mort.) Ces morts le font grandir, car il devra s’endurcir à chaque fois un peu plus pour continuer son combat, même si pour ça il doit d’abord passer une grande phase de deuil.

Galro: La perte de son père le traumatisera, son monde s’effondre le jour où lui ramène son corps. Son coeur s’assombrira et ne vivra que dans un but de vengeance. Il grandira en suivant les traces de son père dans l’espoir de le dépasser et tuer son assassin. Cela l’aveuglera longtemps dans sa perception du monde.

  1. Quels sont quelques-uns des souvenirs les plus vivants de votre personnage sur son enfance ? Un souvenir qui l’a aidé à façonner qui il est ?

Warda: Il a encore les souvenirs de sa mère adoptive Hélène quand elle faisait des tartes, et de son père quand il lui offrit son équipement de guerrier. Son souvenir qui l’aidera à se façonner sera celui de son père mourant, ses dernières paroles.

Galro: Son souvenir le plus vivace est son premier entrainement avec Tilbar qui lui laissa une cicatrice. Il n’oubliera jamais la leçon.

  1. Que fait votre OC pour se souvenir des morts ? Que pense t-il du concept de mort, d’âme … ? Quelles sont ses croyances à ce sujet ?

Warda: Warda récupère des petits objets liés à ceux qui l’ont marqué, et l’accroche à l’anneau du pommeau de son épée. Il n’a pas vraiment d’idées de l’au-delà, c’est un concept abstrait pour lui. Mais il croit fermement que les fantômes de ses victimes viennent le hanter dans ses cauchemars.

Galro: Pour se souvenir des morts, Galro va de l’avant dans sa quête de devenir paladin. Il regarde souvent les étoiles, car dans la religion Etalen, les morts qui rejoignent Dieu vont dans le ciel avec une lanterne pour observer le monde. Galro est convaincu que son père est l’une de ses étoiles. Pour lui le concept de la mort est ce qu’il a apprit à l’abbaye, les fidèles de leur vivant rejoignent Dieu au paradis éternelle, tandis que les infidèles vont dans les flammes de Phénix pour y être châtiés. D’ailleurs il porte un symbole typique, le Perchoir, un objet semblable à une croix chrétienne pour notre monde. Pour lui, l’âme est encore plus importante que l’enveloppe charnelle, car c’est elle qui va au paradis.

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Bonsoir ! J’ai du retard, il semble que j’ai manqué septembre. Tant pis, je continue sur la lancée :

Andriel :

Il ne se souvient pas de la mort de son père, il était alors trop petit. Celle de sa mère l’a plus marqué : il s’est surtout retrouvé seule avec sa grand-mère et a du prendre les choses en mains pour survivre. C’est là qu’il est vraiment devenu adulte.

Mehrese :

Les dunmers vivent vieux, très vieux. Mehrese appartient à l’une des plus puissantes maisons, à l’élite de la société, à une dynastie de mages aux pouvoirs incommensurables. La vie est pour elle une utopie délivrée de la maladie, de la guerre et tout les malheurs qui connaissent les miséreux.
Elle n’a jamais connu le deuil, sauf celui de sa planète natale. Elle la voit, mourante, dans le ciel de la lune où son peuple s’est réfugiée. C’est une blessure profonde, une cuisante humiliation mais un jour, peut-être leur appartiendra-t-elle de nouveau.

Andriel :

Du côté des mauvais souvenirs, les innombrables épreuves les plus difficiles qu’ils ont pu traverser et la mort de sa mère.
Pour les meilleurs souvenirs, ce sont les histoires que lui racontent sa grand-mère. Il est aussi toujours émerveillé lorsqu’ils découvrent par hasard des vestiges des anciennes civilisations de Tamriel, qui lui permettre d’entrapercevoir à quoi ressemblait le monde avant le Landfall.
Andriel se rappelle également de son dernier de véritable viande savoureuse, mais c’est un souvenir mitigé : il remonte en effet à la mort de sa mère et au cannibalisme qui en avait résulté. Impossible de gâcher une telle source de nourriture…

Mehrese :

Mehrese se rappelle de la première fois qu’elle posé le pied sur Nirn détruite. Elle ne pouvait pas imaginer avant de la voir de près l’indescriptible chaos qui y règne. Elle a vu, de loin, le Numidium marcher sur la planète tout en la réduisant en miette, impassible face aux vaines tentatives des dieux et héros de tout Ages pour l’arrêter.
Elle a depuis de nombreuses fois arpenté Nirn au cours de ses missions. Elle s’y est habituée, mais pas tout à fait. Et cette première fois reste à jamais gravée dans son esprit.

Andriel :

Il survit, c’est la meilleure manière de rendre hommage au sacrifice de ses proches. Sans que cela ne le fasse renoncer à ses espoirs dans la vie, ils console aussi avec celui que l’au-delà sera peut-être plus agréable que l’existence et qu’on y trouve le repos. Il croit donc en l’Aetherius et la théologie du Mundus telle que lui enseigne sa grand-mère. Il sait donc que l’âme survit à la mort… mais peut être volée par des entités malfaisantes.

Mehrese :

Comme les dunmers, Mehrese voue un culte à ses ancêtres. Elle leur apporte des offrande, prie sur leur tombe et veille à ce que leur repos ne soit pas profané.
Mais l’âme est aussi pour elle un outil, une monnaie d’échange, une source de puissance magique que se disputent les princes de l’Oblivion pour gagner en influence. Ce n’est pas une question de croyance, mais de fait établi. Elle se montre donc très pragmatique à ce sujet : une âme n’a de valeur que pour ce que l’on compte en faire.

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Hello à tous ! Pas de questions pour ce mois-ci, j’en profite pour faire remonter celles du mois d’Octobre pour ceux qui aimeraient y répondre :hugs:

En vous souhaitant un merveilleux mois de Novembre ! :sparkles:

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Youhou! Merci pour ce délai supplémentaire @theforestspirit :star_struck: Tu me sauves, là, j’étais toute triste de ne pas avoir réussi à répondre aux questions, avec mon super agenda de ministre. :sweat_smile:

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Ho ! Mais… J’ignorais que cette partie existait sur le forum ! Mais c’est du génie !

Je me lançe pour Octobre avec mon OC pour Monster High, Snow Crimson – une jeune Dame Rouge (vous voyez la Dame Blanche ? Les Dames Rouges s’en rapprochent, mais plus sur la thématique de l’amour rejeté, de la passion, et de la vanité… dans le folklore anglophone, du moins).

Je sais pas si je vais l’utilisée dans une fanfiction cependant, vu que j’hésite entre elle et une boule de cristal, mais voici les réponses pour ma part :

  1. Votre personnage a-t-il perdu quelqu’un de proche ? Comment cela l’a affecté ?
  • Elle n’à pas perdu de parents, ou un proche… Enfin, pas dans le sens funèbre. Snow est entourée d’une famille aimante mais pas traditionnelle, qui se compose d’un père devant lutter dans une société quelque peu matriarcale d’origines, et d’un chat angora qui n’à rien à faire dans le Monde des Monstres, mais qui n’en à rien à fichtre des Monstres non plus. Snow se dispute souvent avec son chat… de vrais disputes assez intellectuelles entre eux deux, et pourtant, il n’est pas verbal, celui là ! Cette créature intelligente est la seule à pouvoir la calmée dans ses caprices d’adolescence… Et si j’en parle dans cette catégorie, c’est que finalement, ce ‹ ‹ vide › › qui existe bel et bien, le fait que sa famille ne soit pas ‹ ‹ traditionnelle › › et qu’elle ai ‹ ‹ une mère manquante › › à toutes apparences, lui va en réalité plutôt bien. Elle vit juste avec ceux qui comptent déjà pour elle, et elle ne se pose pas de questions, car il n’y à jamais eu de questions pour elle.

2. Quels sont quelques-uns des souvenirs les plus vivants de votre personnage sur son enfance ? Un souvenir qui l’a aidé à façonner qui il est ?

  • Alors, particularité de Snow – son enfance, comme elle l’établi, équivaut entre la période de ses neuf et treize ans ‹ ‹ fantomatiques › › (Monster High est une franchise qui est assez ‹ ‹ joueuse › › sur l’âge exact, pour correspondre aux créatures représentées, donc certains personnages ont des âges ambigus). Snow sait qu’elle à des souvenirs, mais elle ignore si elle se les aient construits, ou si sa passion des contes de fées tente de combler une sorte d’amnésie, car ses souvenirs sont quand même utopiques. Mais pour partir de ses onze ans… Snow à eu des ‹ ‹ sentiments › › pour un garçon de son collège. Et elle à eu peur, car les Dames Rouges doivent être suivies si elles développent des émotions ‹ ‹ trop violentes › ›, qui peuvent faire ascender leurs potentiel spirituel, et donc, leurs pouvoirs assez émotionnels. Hors, ces sentiments la forçait à être ‹ ‹ attaché › › à lui, au point que son esprit développait une obsession lui faisant faire des cauchemars, et lorsqu’elle le vit avoir mal dans ces mêmes mauvais rêves, elle avoua devant son père, puis un professeur… Et, ce qui l’à façonnée, c’est qu’elle à appris pour la première fois à quel point être une Dame Rouge, c’était aussi être biaisé par sa propre force. En réalité, sa sensibilité émotionnelle avait devinée que le garçon souffrait terriblement de maltraitance, et car elle avait eu un cours là-dessus, cette vigilance avait été réveillée inconsciemment. Finalement, un spécialiste dépêché dans l’immédiat, à vu cela comme suivant : les mauvais rêves ‹ ‹ malsains › ›, ce n’était pas elle qui était à l’origine de ces violences, mais elle essayait de reconstruire par elle-même la détresse du jeune garçon, ce qui était brutal, même si juste un ou trois doigts sur la réalité. Ce n’était pas de ‹ ‹ l’amour › ›, mais un désir désespéré et refoulé de vouloir le protégé de ses bourreaux (et des auras négatives qu’il accumulait à côté d’elle), sans savoir quoi faire ou croire, alors qu’elle niait ses propres signaux d’alerte.

Ce garçon, elle l’à perdu de vue, car effectivement, il fût déscolarisé pour des raisons de santé, et le responsable fût arrêté (avec un autre, probablement). La grand-mère de ce dernier vint cependant la remerciée, lorsqu’elle vint au collège. Cela à fait que Snow à commencer à se questionner plus sur ce que ses émotions peuvent faire au monde, dans le négatif, ou dans le positif (mais on va pas se mentir, c’est pas simple lorsque vous êtes une entité qui à ça comme base, et les leçons sont toujours en cours).

3. Que fait votre OC pour se souvenir des morts ? Que pense t-il du concept de mort, d’âme … ? Quelles sont ses croyances à ce sujet ?

  • Monster High, c’est un monde où la Mort, c’est pas comme la Mort des Humains. Et en plus, il y à littéralement des Morts, des Zombies et des Spectres, à Monster High, par exemple ! Mais oui, même dans ce monde, Snow à ses propres visions et croyances hors des monstres mythologiques et leurs dieux attitrés dès la naissance. Même les Monstres ont des questions et des réponses pas souvent coordonnées ! Les ‹ ‹ Dames › › (les bleues, les rouges, les blanches…) vivent dans le passé comme dans le présent, et pour elles, oublier le passé, c’est se tuer une seconde fois (pour les conservatrices). Vu que ce sont des âmes, elles sont quelque peu auto-centrées sur elles, leurs demeures ancestrales, et leurs descendance à partir du moment où elles ont pied dans notre monde. Les croyances, dans le world-building actuel que je suis (mais qui peut changer), c’est qu’elles entreront définitivement dans le Monde des Fantômes si elles se détachent du Monde Matériel… Mais pour Snow (et j’avais besoin de tout ce contexte pour expliquer son raisonnement), vu qu’elle est des ‹ ‹ jeunettes › ›, c’est différent. Elle est très attaché à ce qui compte actuellement, et déjà, vu qu’il y à des Morts qu’elle fréquente, autant passer du temps avec eux (et s’en souvenir) ! Son âme est, on va pas se mentir, très autocentrée sur elle cependant, car une Dame Rouge (et une en pleine adolescence – imaginez), ça ramène tout à elle et ça s’inquiète sans tempérance. Donc même lorsqu’elle se dissocie à première voix, ça reste son point de vue seul. Elle pense qu’une Dame Rouge, c’est son âme qui la juge (c’est plus littéral que vous le pensez) – et c’est ce que beaucoup de Dames Rouges comme elle se disent pour se tenir à carreau en société… (ou pas).

Voilà… Bon, je me suis peut-être éparpillée, et j’ai essayer de m’adapter à l’univers du fandom. J’espère que j’ai bien formuler, tout ça (de toute manière, ça peut changer le temps que je fasse le plan de ma fanfic, tout ça) ! :sweat_smile:

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Wow, j’en ai accumulé du retard, moi !

C’est partiiiii pour le mois de juin ! Que de belles questions encore Fofo !

Les vrais savent, Gwen est inspirée de Kaori Miyazono, héroïne de Your Lie in April, superbe animé que j’invite ceux qui ne connaissent pas à regarder. Elles sont toutes les deux blondes aux yeux bleus, et jouent du violon, rien d’étonnant à ce que l’une ait été une source d’inspiration pour l’autre !
C’est purement sur le plan physique, cependant, mentalement elles sont très différentes, mais sur ce point je ne me suis inspirée d’aucun personnage en particulier pour son caractère.

Solinwë, quant a elle, est physiquement inspirée d’une image/fan art d’Altmer que j’ai trouvé sur internet. Elle existait déjà avant que je ne trouve cette image, j’avais les grandes lignes, mais en voyant le dessin, je me suis dit « c’est totalement elle » ! Quant à son caractère, là encore, je n’ai utilisé aucune source spécifique.

En fait, pour le physique de mes OCs, si j’aime avoir des bases pour l’inspiration physique et savoir à quoi ils ressemblent (la base), au niveau de leur mental, je fais vraiment comme je le sens, parce qu’ils sont uniques, et, comment dire ? Moi seule sait comment il vont réagir à telle ou telle situation ou se comporter avec tel ou tel personnage, donc je fais vraiment à l’instinct.

Gwen est la fille qui pour l’instant n’en veut pas (La grossesse ? Les couches sales et nuits inexistantes ? Puis devoir s’occuper d’eux jusqu’à leur majorité minimum ? Non mais vous l’avez bien regardée ?!) mais qui, une fois qu’elle sera avec son copain et qu’elle se sentira bien, commencera à envisager la possibilité (mais juste un ou deux, pour commencer. Trop ce serait l’enfer).

Comment elle pourrait les appeler, c’est une bonne question, je l’imagine bien rester sur des prénoms simples, classiques (sans être vieux non plus hein !).
Quand à la façon dont elle les élèverait… avec autant d’amour que possible, puisqu’elle a manqué de l’affection de ses propres parents, et c’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles elle rechigne à être maman : parce qu’elle a peur de ne pas savoir s’y prendre avec des petits.

De toute façon, il y a déjà quelqu’un pour qui elle joue un rôle maternel, actuellement, et ça lui convient parfaitement comme ça !

Ma petite Soso, elle elle est neutre sur le sujet. Au départ c’était essentiellement parce que je ne voyais personne avec qui la caser, et ça m’ennuyait de créer un OC « juste » pour le bien d’une relation amoureuse (surtout que le lien le plus important de Solinwë, c’est celui qu’elle a avec Gabriella de la Confrérie Noire donc raison de plus) mais il y a quelques temps j’ai trouvé un personnage canon de TES avec qui ça pourrait coller…
Les noms, là encore j’ai absolument pas réfléchi. Mais des noms un peu « précieux », comme ont tendance à l’être ceux des gens de son espèce, j’imagine.

… Rien ? :pleading_face:

Ah ah, je plaisante. S’il y a un défaut que je reprocherais à ma girl, c’est d’être têtue comme une mule et butée quand elle s’y met. Ça et le fait que comparé à moi, elle aurait beaucoup moins de patience avec les gens qui l’enquiquine et les enverrai voir ailleurs quand je serais encore à garder mon calme en leur souriant poliment. D’ailleurs je crois – je suis sûre – que vice-versa, c’est mon trait de personnalité qui la soûlerait le plus chez moi :sob:. Mais bichette, faut savoir mettre de l’eau dans son vin tu sais, travaille là-dessus !
Et oui, je l’avais déjà dit, mais IRL on s’entendrait vraiment super bien, à mon (très humble) avis ! Que ce soit sortir en ville ou s’organiser un week-end/des vacances. À la condition bien sûr qu’elle ne soit pas au courant que je suis sa créatrice, parce qu’elle me fumerait direct pour tout ce que je lui ai fait subir, et le pire c’est qu’elle aurait les moyens intellectuels et matériels de bien me faire déguster gloups.

Pour Solinwë, j’adorerais autant que je redouterais son savoir. Je l’imagine bien par exemple préparer une potion et lister toutes les caractéristiques des ingrédients qu’elle utilise alors qu’elle la prépare. Ou même à quel point un petit détail serait sujet à ce qu’elle ressorte ses connaissances : « Tiens, tu savais que… ? ». Sur ce point-là, elle s’entendrait tellement avec mon père ! D’acc, tu aimes être cultivée, Soso, mais prends garde à ne pas trop étaler ton savoir (bon, ça ne lui arriverait pas si souvent que ça, en vrai, et ce serait vraiment avec les gens avec qui elle se sent à l’aise/qu’elle connaît bien).
Il n’y aurait aucun souci à ce qu’on devienne amies ! Ce que je craindrais, par contre, c’est qu’elle s’ennuie avec moi, parce que je n’ai pas de conversations ou de grandes connaissances que je pourrais lui transmettre (une peur complètement infondée, me rassurerait-elle).

La plupart de mes OCs, ont, je pense, une part d’idéal que je cherche à atteindre. J’aimerais avoir autant d’assurance que Gwen, être aussi cultivée que Solinwë, ou encore la grâce et les bonnes manières de Meili.
Sauf exceptions là encore, mes (principaux) OCs ont plus ou moins les mêmes valeurs que moi, bien que pas la même personnalité, et se battent pour ce qui leur semble juste. Ils ne sont pas du genre passif, juste là pour décorer et sans ambition propre, ou bien alors c’est involontaire de ma part.

Et je vais m’arrêter là parce que ça fait déjà pas mal ! J’ai envie de rattraper tout mon retard d’un coup, mais le post exploserait, donc je reviendrai pour la suite !

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Me revoici enfin !

Désolée pour le retard @theforestspirit, ça m’apprendra à avoir un tel agenda de ministre (et à faire Inktober haha!). :disappointed_relieved: Encore merci pour tes super questions. :jack_o_lantern:

J’ai longuement réfléchi et…. décidé de varier un peu. Je suis en train de plancher sur une fic originale, qui s’appellera Les Cités temporelles, et ce topic est juste parfait pour parler des personnages et continuer à les peaufiner. :wink: Du pain béni, héhé !

La bonne nouvelle, c’est qu’abandonner mon OC Nikkin était impossible, donc… le revoilà ! Identique physiquement, légèrement différent mentalement, mais je suis contente de pouvoir continuer l’aventure avec lui. :wink:

Pour le contexte - ce pitch peut encore évoluer, hein ^^

Dans un futur lointain, Trois Cités ont réussi à percer le mystère du temps. Elles peuvent l’accélérer, le ralentir ou l’arrêter et s’en servent pour dominer le reste du pays.

Mais des journalistes rebelles, Jeia, Alec, Léo et Cléa tentent l’impossible: entrer dans ces villes afin de rapporter au reste du monde ce qui s’y déroule réellement. Ils se servent des plans dérobés par leur leader, Léo, également inventeur.

Parallèlement, Yohän, le souverain des Trois Cités, est dans une situation délicate. Ses ministres et les bureaucrates tout-puissants ont les dents longues et comptent bien se débarrasser de lui. Sa route croise celle de Nikkin, dont il sauve la vie.

NIKKIN :metal:

  1. Votre personnage a-t-il perdu quelqu’un de proche ?

Nikkin a perdu ses deux meilleurs (et uniques) amis durant une mission rebelle, parce qu’il a commis une erreur. La culpabilité l’écrase si fort que lorsqu’il est capturé par les Cités temporelles, il prétend qu’il est le chef des rebelles, persuadé que sa mort servira ainsi à quelque chose et donnera un peu de répit aux siens. Il a en effet perdu toute volonté de vivre. :sob: (C’est toujours aussi joyeux avec lui^^).

  1. Quels sont quelques-uns des souvenirs les plus vivants de votre personnage sur son enfance ?

Il y en a deux ! :blush: Le premier, ce sont les sourires de ses parents, lorsqu’il a remporté le concours de technologie de l’école des Diplomates. Comme ça, on ne dirait pas grand-chose, mais c’est une des seules fois où il les a sentis fiers de lui.

Il y a aussi la fois où il a voulu défendre sa grande sœur Cléa, prise en grippe par un de ses profs (injustement bien sûr). Un petit piratage d’ordinateur plus tard, l’enseignant s’arrachait les cheveux en plein cours. Eh ouais, c’est plutôt gênant, quand un film porno apparaît sur l’écran, à la place d’un bête exercice. :sweat_smile: La classe a eu besoin de plusieurs heures pour s’en remettre. :rofl:

  1. Que fait votre OC pour se souvenir des morts ?

Le clergé des Cités temporelles promet aux citoyens qu’un jour, quand la recherche sera suffisamment avancée, on pourra ramener les morts à la vie. Mais pour Nikkin, ce blabla n’est qu’un ramassis de ■■■■■■■■■ servant contrôler la population (ce qui n’est… pas faux XD). Il pense donc que le seul moyen de rejoindre ses amis est de mourir. Il porte d’ailleurs leurs initiales gravées à même la peau - un truc qu’il avait fait un soir de beuverie, en mode, cap ou pas cap ?

YOHÄN :hourglass_flowing_sand: (euh… pas encore sûre de ce prénom. J’aurai peut-être l’illumination divine un jour :sweat_smile:)

  1. Votre personnage a-t-il perdu quelqu’un de proche ?

Ses parents et sa sœur, qui était l’héritière. Conséquence ? Il s’est retrouvé à la tête des Cités temporelles alors qu’il n’en avait ab-so-lu-ment pas envie. Son but est de pour trouver comment ramener les gens à la vie, car sa sœur et sa mère représentaient tout pour lui – les seules personnes à qui il faisait confiance. En clair, il souffre du syndrome du survivant, en mode ultra-aïgu. Et comme la recherche est la seule chose qui l’intéresse, il reste ultramotivé (ouais, avoir des amis, faire la fête, il ne voit pas l’intérêt, et d’ailleurs, il n’aime pas spécialement les gens – un charmant personnage :sunglasses: ^^).

  1. Quels sont quelques-uns des souvenirs les plus vivants de votre personnage sur son enfance ?

Les moments où il faisait des paris avec sa grande sœur. C’est d’ailleurs parce qu’il en a perdu un qu’il a dû se teindre les cheveux en violet. La frangine estimait que ça s’accorderait à merveille à ses yeux couleur améthyste. ^^
Sinon, il garde un souvenir très précis de la première fois où il a réussi à démonter et à remonter avec succès un de ses jouets, à l’âge de quatre ans. Il en avait été tellement fier qu’il en avait parlé pendant des semaines, jusqu’à exaspérer tout le monde.

  1. Que fait votre OC pour se souvenir des morts ?

Johän est persuadé que la mort n’est pas un point de non-retour, et qu’il pourra l’inverser une fois qu’il en aura compris le mécanisme. Dès qu’il se sent trop seul, il se réfugie dans la chambre de sa sœur ou de ses parents. Il a demandé que ces pièces restent intactes et en a interdit l’accès :stop_sign:, ce qui le fait passer pour un adolescent encore plus excentrique et effrayant. Toute violation de ces règles sont bien sûr punie d’emprisonnement ou pire encore!

JEIA :herb:

  1. Votre personnage a-t-il perdu quelqu’un de proche ?

Jeia a perdu sa grand-mère. C’était elle qui lui avait appris à rêver grand, même si la situation semblait désespérée.

  1. Quels sont quelques-uns des souvenirs les plus vivants de votre personnage sur son enfance ?

Les dimanches soir au coin du feu, quand sa grand-mère racontait des histoires et des légendes. L’aïeule était rusée : elle a ainsi réussi à transmettre des velléités de rébellion à Jeia, car parler ouvertement n’est pas sans péril, dans un pays gouverné par les Cités temporelles.

Il y avait aussi les Noël, quand les parents rassemblaient les maigres économies pour acheter une petite cuchaule (brioche au safran), dont toute la famille recevait une petite bouchée. L’air sentait bon le thé chaud et la joie, éclairé par des dizaine de bougies. :sparkles: Chacun oubliait la faim, le travail harassant, les douleurs.

Que fait votre OC pour se souvenir des morts ?

Jeia porte un médaillon en bronze qui lui a été donné par sa grand-mère. Elle lui parle à mi-voix quand le deuil menace d’étouffer son cœur. Elle aime aussi penser que la petite voix dans sa tête, qui lui souffle de ne jamais abandonner et de croire en elle, est celle de son aïeule.

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