[In Arcadia] Histoires de pirate

Bah là, le contexte est un peu différent… ça n’a vocation à être utilisé qu’une fois (et potentiellement dans une seule phrase), mais je cherche quand même un duo « qui marque ». Genre Tic et Tac, Quicke et Flupke ou encore Blake et Mortimer. Malheureusement, tous les noms ci-avant sont des mecs et je préférerais une consonnance « résolument féminine ». Les grandes perches borgnes avec une balafre en travers du visage ça ne court pas les rues, et même si ce n’est pas habituel de le voir se balader en robe autant éviter d’attirer l’attention avec un prénom connoté masculin…
Le pauvre garçon a même confié son cosmodragon à Marjan, c’est dire s’il prend ses précautions !

Après si tu dégotes un prénom potable, peut-être même qu’il s’en resservira avec Warrius, on sait pas… :wink:

Edit : bon ben quand je demande à Google « duos féminins célèbres », il me sort « Aglaé et Sidonie »…
Ou alors je passe en mode princesse avec « Anna et Elsa ».
C’est dans ces moments qu’on se rend compte que la pop culture n’est pas très paritaire.

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J’ai le duo ultime pour une fan de cowboy de l’espace. Il s’est imposé et il n’y a plus moyen qu’il sorte de ma caboche.
Calamity et Jane. Je ne te fais pas l’affront de préciser qui est qui.

(sinon avant j’avais pensé à Rita et Mitsuko – mais laquelle des deux ferait Mitsuko ?)

Ah oui, Calamity Jane j’y avais pensé aussi. Pas retenu au premier abord, mais il faut bien avouer que quand on le voit écrit ça rend plutôt pas mal.
En plus ça me fait un titre à moindre frais, même si « C » ne fait pas partie des lettres que je recherche en priorité :stuck_out_tongue:

Je tiens toutefois à mentionner que c’est Marjan qui tient le cosmodragon cette fois-ci.

Oh le captain il a une bonne tête à faire Rita, je pense… ^^’

Edit : en dehors de ça, Mary n’aime pas trop les importuns.

Même fardé, le regard d’Harlock savait très bien faire passer ses envies de meurtre.

Notons qu’ils sont arrivés à destination, et qu’ils vont donc bientôt pouvoir aller boire un petit coup au bar (parce qu’il faut joindre l’utile à l’agréable).

Edit 2 : Le quartier est, euh, festif.

Harlock marqua un temps d’arrêt devant un immense porche flanqué de sculptures d’un goût douteux et surmonté du mot « Reptilarium ». Difficile de déterminer à son plissement de paupières s’il était dégoûté ou curieux (et d’ailleurs Marjan ne voulait pas le savoir).

Edit 3 : Alors d’accord il ne faut jamais dire jamais, mais je ne pense pas que le prénom puisse servir plus d’une fois.

— La prochaine fois essaie de trouver un prénom plus… inoffensif ?
— La prochaine fois ? Parce que vous avez l’intention de recommencer, capitaine ?

Je me demande si je vais réussir à placer un « On me nomme Calamity… parce que je fais des ravages, tu vois… »

Edit 4 : C’est ennuyeux, j’ai récupéré des morceaux d’histoire que j’ai déjà utilisés ailleurs (et quand je dis « c’est ennuyeux », je pense « c’est nul »… qui va s’intéresser au fait que des drogues sont diffusées dans l’air alors que c’est la deuxième, et même la troisième fois que j’utilise ce ressort scénaristique ?).
L’enfermement dans une boucle fermée c’est vraiment la plaie, hein… Faut vite que je sorte de là !
(constatation qui est probablement aussi une incitation à me pencher sérieusement sur Enguerrand)
… Mais bon, en attendant j’ai commencé, va bien falloir que je termine, même si ça s’annonce plus long que prévu (j’approche des 4k et il me reste encore la dernière séquence de kaboom à écrire).

Au moment où Marjan s’apprêtait à se plaindre qu’elle avait des crampes, faim, soif, qu’elle s’ennuyait, qu’ils ne trouveraient rien ici, Harlock lâcha d’un ton égal :
— Je crois qu’on les agace.

Point positif, ça devrait être kaboom dans pas longtemps.

Edit 5 : Pendant ce temps, Harlock avoue à Marjan qu’il a de l’expérience en termes de lupanars louches.
En revanche il refuse de développer (Monsieur est timide).

Quoi qu’il en soit, après avoir sorti un pot-de-vin, nos deux impétrants vont pouvoir aller découvrir l’arrière-cour. Dans le premier couloir, il va y avoir des chambres. Dans le deuxième, une salle des ventes. Et ensuite il y aura sûrement une grenade.
J’attends avec impatience le moment où je vais devoir écrire une course échevelée en talons aiguilles (bon, très franchement je vais essayer de contourner le problème, j’ai pas envie que Mary se fasse une entorse).

Edit 6 : séance de psychanalyse expresse dans un ascenseur.

— J’ai… un peu d’expérience avec ce genre d’établissement, ajouta-t-il. Mais je préfère qu’on n’en parle pas.
— Je n’en parle pas, capitaine.
Le regard d’Harlock se perdit dans le vague.
— C’était il y a longtemps. Je n’ai… J’en garde pas des souvenirs agréables.

Oui c’est une brique de lore supplémentaire, tout à fait !

Edit 7 : « Mais dites-moi, si vous deviez décrire votre texte en quelques mots, lesquels choisiriez-vous ? » « Eh bien c’est très simple : c’est Taken dans l’espace avec Liam Neeson en robe. »
Notez que Mary ne s’en plaint pas.

— C’est très pratique cette robe, en fait.

Explosion dans trois… deux… un…

Par ailleurs :

Oui, mais j’ai remplacé « tu vois » par « mon chou ».

Edit 8 : De Père Noël à Mère Maquerelle, ça c’est du glow up de folie !
Quant à Marjan, elle n’approuve pas la propension du captain à tout faire péter sur son passage. P’têt qu’on va éviter l’explosion, finalement…

Edit 9 : Je vous annonce que le captain n’a pas emporté assez de monnaie pour racheter son propre membre d’équipage.
En parallèle, Marjan a trouvé assez de courage pour signifier à son coéquipier qu’il s’agissait de sa mission, et qu’on ne ferait donc pas tout péter non mais ho. Et, croyez-le ou non, Harlock a obtempéré. Tout se perd ma brave dame.

A noter par ailleurs que j’ai finalement remplacé dans Lutinerie un « grave erreur » (déjà utilisé dans Mission moufette) par un plus spontané « houlala » (ça m’avait chatouillé à l’écriture mais je n’ai eu la fulgurance que maintenant, faut pas chercher à comprendre).

Edit 10 : et zut, erreur d’intrigue. Je me suis coincée à un quatrième étage sans porte de sortie, c’est ballot.
Le problème c’est que je n’ai plus moyen de ressortir les explosifs, à présent… Ou alors je les jette dans l’ascenseur ?

Edit 11 : Bon. Je ne peux pas les faire sortir par la porte, je vais donc les faire sortir par le toit (heureusement que je n’ai pas fait péter le rooftop). Et comme Mary a le cul bordé de nouilles, il est évident qu’il y aura un jet privé prêt à l’usage sur l’héliport.
(il est également évident qu’il y a un héliport)
Reste à définir le format de la diversion et la quantité de dégâts que l’on peut faire lorsqu’un débutant tire au cosmodragon.
Je pense que j’ai bien rattrapé le coup.

Edit 12 : Okay terminé ! Je vais voir ce que ça donne à la recopie, mais on part grosso modo sur du 8k mots. Et Mary est content, c’est l’essentiel.

— Je valide, l’expédition était foireuse de bout en bout, c’était parfait !
Marjan ne savait pas si elle devait en être fière ou non.

Edit 13 : Passion phrases à rallonge.

Il s’inquiétait pour son œil mort, qu’il essayait maladroitement de camoufler sous la voilette, probablement davantage parce qu’il n’avait pas l’habitude de l’exposer sans son bandeau que parce que la blessure était horrible à voir – ce qu’elle n’était pas, au demeurant : la paupière était à peine abîmée, le globe oculaire intact, et l’iris et la prunelle gris clair lui conféraient in fine un regard vairon qui n’était pas dépourvu de charme.

Pourcentage de recopiage estimé : 25%

Edit 14 : Eh bien figurez-vous que je suis à peu de choses près à mi-chemin.

— Calamity et Jane ? Sérieusement ?
— J’ai paniqué, capitaine.

Edit 15 : Et voilà ! Terminé sur 7958 mots, ce qui est plutôt pas mal pour mon estimation à 8k. Les derniers ajustements demain, et sur ce des bisous, bonne lecture et à la prochaine !

— En tout cas, énonça-t-il d’un ton docte et sans aucune trace d’humour dans sa voix (non vraiment c’était épatant)… je suis certain que si jamais je rencontre cette demoiselle, elle et moi nous entendrons à merveille !

Edit 16 : Ha ah !


Bon ffnet est un peu poussif ces derniers temps, mais ça ne m’empêche pas d’augmenter le compteur, wouhou !

En revanche je me demande s’il ne faut pas que je renomme le recueil « A poil ! » pour y inclure les deux dernières expéditions foireuses. Sur Ao3 la collection se nomme « Les désastreuses aventures de Marjan », mais je risque d’avoir du mal à le faire rentrer dans le gabarit de mes bandeaux…
Je vais y réfléchir.

Edit 17 : Alors… Où ai-je laissé Mary ?

— On va s’abriter derrière cette petite lune, là-bas.

Sans transition, il va donc falloir admettre que c’est une erreur. Je propose en conséquence d’enchaîner avec :

Il prit une route convergente. C’était une erreur.

(mais notez que je ne suis pas sûre pour la première partie)

Edit 18 : hmm…

Cette réflexion m’amène à me demander s’il ne faudrait pas que je renomme les chapitres de « Elle s’appelait Astéria ».

Edit 19 : voilà.
L’avantage de se ficher totalement de l’expérience lecteur, c’est que je n’ai pas de scrupule à retouiller mes chapitres quand bon me semble (maintenant, en l’occurrence).
J’ai donc 7 chapitres qui ont changé de nom dont un qui est passé bi-recueil, et j’ai procédé à un rééquilibrage à la marge avec « A poil ! » qui passe à 12 et « Des jours ordinaires » qui redescend à 26 (ce qui, soit dit en passant, me laisse un peu de marge pour y caser Enguerrand dès qu’il commencera à arriver).

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Beuh ? Il est passé où le p’tit crayon ?
… Bah, peu importe. Poursuivons. Ces paragraphes de dragons sont arrachés de longue lutte, c’est d’ailleurs intéressant d’observer les différences de méthode.
Après bien sûr, la difficulté c’est de reprendre alors que le texte était interrompu au milieu d’une action, mais je pense que c’est remis sur les rails. Vers la petite lune, donc…

— On va s’abriter derrière cette petite lune, là-bas.
Il s’aligna sur un cap convergent. C’était une erreur.
— Nouvelle salve ! cria aussitôt Tochiro. Deux fois huit, trajectoires de saturation !… Ils nous barrent la route, Harlock !
Merde. Reculer revenait à admettre un défaut d’appréciation de sa part, mais seize missiles, plus les… (il vérifia rapidement sur les écrans) cinq toujours en course issus des deux premières salves, c’était beaucoup !
« Attention. La saturation des capacités d’autodéfense est probable à quatre-vingt-huit pour cent », confirma l’IA. Se reconfigurer ? Il n’en aurait jamais le temps. On va s’abriter derrière cette petite lune, là-bas… Harlock serra les mâchoires.
— Augmentez la vitesse ! ordonna-t-il. Préchauffage warp, zéro point sept !

Je vous assure qu’il va finir par y arriver à cette petite lune, nom d’une station spatiale fantôme !

Edit : Ah ben il est revenu le p’tit crayon (des fois faut juste pas chercher à comprendre, hein… Un peu comme Calamity qui va et qui vient sur la home sans aucune logique…).
Mais bref. Il est très important de rendre chaque voix unique, et quoi de mieux que les jurons pour se démarquer ? Après le « nom d’une outre » du doc, le néerlandais de Marjan et d’autres expressions pittoresques qui parsèment mes phrases, j’ai donc le plaisir d’inaugurer la spécificité de Loop, le pilote :

— Par les brunes de ma grand-mère, captain ! Vous êtes encore plus dingue que moi comme pilote !

Loop étant celui qui avait lâché « par les ■■■■■■■■ du Grand Cornu » quelques pages plus haut, cela donne une bonne indication sur son pattern.
En plus il y a de quoi faire pas mal de variations, c’est parfait.

Edit 2 : Passion freiner dans l’espace.

Les compensateurs inertiels gémirent lorsque l’Arcadia changea de régime. Le grincement aigu se répercuta dans tout le vaisseau comme si un conducteur fou se complaisait à martyriser une pédale de frein géante. L’image était amusante, bien que totalement fausse.

Bientôt il va tuner son vaisseau et se mettre à faire des burns, ce petit crétin. Mais je ne laisserai pas faire, rassurez-vous.

Edit 3 : Et… wouhou ! Chapitre 16 des Dragons bouclé !

Ce n’était pas une lune.

Alors à votre avis, comment faire pour entrer dans une station spatiale vaguement hostile de la taille d’une lune ? Eh bien c’est très simple, ce type de station spatiale est toujours construit avec une bouche d’aération qui mène directement à son centre névralgique.
Il suffit de passer par là, et je vais en conséquence m’y employer dans mon chapitre 17.

Raah fait fait iech’, j’ai re-perdu le p’tit crayon ! Bon vous allez me dire que les posts courts sont plus faciles à basculer sur le wordpress, mais ce qui m’intéresse c’est la facilité d’édition, pff.
(mais je le conçois, la mise en forme des posts à 32k signes c’était particulièrement pénible également… faudrait que je trouve un juste milieu)

Mais reprenons. Aujourd’hui, wordlbuilding. Je suis heureuse d’être arrivée au moment où je vais pouvoir présenter Emma et donc faire le lien avec « Où viennent mourir les pierres ».
Point(s) négatif(s), les reconnexions sont toujours un peu délicates, déjà parce que je n’écris pas de manière chronologique, ensuite parce que je ne n’ai pas vraiment de notes organisées.
Point positif, le principe même de ma chronologie c’est de ne pas être trop regardant sur la cohérence des raccords.
Quoi qu’il en soit, mesdames et messieurs, Marigen !

Les « type Marigen » étaient des stations autonomes de grande taille, capable de fonctionner en autarcie complète, et dont le nom était dérivé d’un acronyme signifiant « Matrice auto-régénératrice indigène ». Véritables gouffres financiers à la construction, peu d’entre elles avaient été mises en service, d’autant que leur longévité n’avait pas été à hauteur des espérances initiales. Le projet, vieux de deux siècles, avait été progressivement abandonné au profit de constructions moins ambitieuses. Seules M-5 et M-9 existaient toujours, par ailleurs dans un état de décrépitude avancé. M-6 à 8 avaient été démantelées, M-4 avait explosé en orbite, M-3 avait été déclarée insalubre et évacuée. Personne n’avait jamais retrouvé M-1 et M-2.

Précisons que c’est M-3 qui apparaît dans « Où viennent mourir les pierres », et qu’à présent nous allons nous intéresser à M-1 et M-2.
En commençant donc par Emma.

Edit : Avec presque 600 mots, je pense pouvoir annoncer que je frôle les 50% du chapitre. J’annonce également que Mary va encore éperonner un truc. Il passe son temps à éperonner des trucs, dans ce tome. En revanche comme il va cette fois-ci éperonner un gros truc, il prend quelques secondes pour étudier la situation. S’agirait pas d’éperonner n’importe où non plus, on ne fait pas de l’éperonnage de zazou ici madame.
Tout ceci fait toutefois moyennement plaisir au chef machine, notamment parce que c’est lui qui se tape toutes les réparations après coup.

Tandis que le chef ingénieur accablait l’intercom de jurons colorés impliquant des clés à molette et diverses parties de l’anatomie, Harlock étudia le schéma qui s’affichait à l’écran au fur et à mesure de la progression du scan.

Edit 2 : Worldbuilding ! A votre avis, est-il scientifiquement possible de camoufler une station spatiale dans une station spatiale ?
Je me suis dit que ça pouvait potentiellement m’épargner un énième trajet en vaisseau, parce que c’est très monotone les trajets en vaisseau finalement.
En conséquence, je me suis donc fendue d’un petit schéma. Avec du diamètre de l’ordre de la centaine de kilomètres c’est en réalité plutôt facile de construire un Kinder surprise (ne vous attardez pas sur l’incohérence de nombre, c’est juste une facilité d’échelle… à ce stade on est de toute façon plus à 20 km près)

Me demandez pas comment ça tient en un seul morceau, par contre. On va dire TGCM et ça ira très bien. Il en faut aussi en SF, il n’y a pas de raison.
Non la vraie question, c’est : est-ce que je garde 160 km ou je prends mon erreur pour acquise et je considère un diamètre effectif de 180 km ?
(je vais garder 160, je crois ^^)

Edit 3 : Assister à l’agonie interminable des serveurs de ffnet :white_check_mark:
C’est un peu triste, d’autant qu’il n’y a pas vraiment d’alternative en termes d’archivage. Mais bon… c’est la vie.

Par ailleurs, je réfléchissais à des idées scénaristiques et il y en a une qui est venue me sauter à la gorge comme ça, hop, je la stocke donc ici en attendant.
Alors bien sûr l’amnésie est un trope éculé et ça fait partie des genres d’histoires que je n’aime pas, mais on va dire que ça peut toujours servir.
Or donc, considérons la thématique suivante :

Un jeune homme blessé, amnésique, le visage barré d’une méchante cicatrice, en convalescence avec le soutien aimant d’une présence féminine, se reconstruit lentement et redécouvre peu à peu le passé, les exploits, la vie du célèbre capitaine Harlock… Mais en fait c’est pas lui.

Alors bien sûr la question qui va se poser c’est « mais du coup c’est qui ? » En réalité il y a plusieurs pistes à explorer qui sont toutes très intéressantes (c’est son fils, c’est un rival/chasseur de primes/policier très impliqué, c’est un membre d’équipage particulièrement proche…). Je dois dire que je n’ai pour l’instant pas vraiment d’avis sur le sujet.
Mais je vais creuser.

En attendant je vais continuer mes dragons, j’ai une lune à éperonner.

Edit 4 : Passion construire des stations spatiales gigognes. Notez que Mary n’aura aucun problème à garer son vaisseau, je lui ai prévu plein de place.

La « structure creuse » s’avérait en réalité « plus ou moins creuse ». Les mesures permettaient de déduire l’existence d’une immense cavité légèrement désaxée, mais aussi d’une « source dangereuse de radiations » active dans cette même cavité. Le scan révélait également qu’un bon quart de la station était composé de quatre formes de radoub monstrueuses, chacune largement suffisante pour accueillir sans problème une bonne dizaine de croiseurs. Tout ceci ne plaisait guère à Harlock.

Edit 5 : Avec tout ça je ne suis toujours pas rentrée, je vais finir par me mettre en retard sur mon planning. On va dire qu’on va passer par la porte de derrière, ce sera plus discret. Si tant est qu’on puisse être discret quand on défonce les portes avec un Grovaisseau. Mais bref.
Pendant ce temps, Mary s’extasie devant un champ de bittes (cette phrase est bizarre).

— Là-bas ! s’exclama-t-il. La rangée de plots sur le panneau hexagonal, ce sont des bittes d’amarrage magnétique ! Il y a forcément une entrée secondaire à proximité !

Prochaine étape, un p’tit éperonnage des familles.

Edit 6 : J’avoue, cette phrase m’a fait rire, surtout après avoir parlé de bittes (on s’amuse comme on peut).

Harlock choisit un dévers qui ressemblait peu ou prou à un slip et s’y amarra sans problème.

Vous noterez par ailleurs qu’il est entré, mais on ne va pas épiloguer sur un éperonnage somme toute très banal (tout le monde devient blasé par les éperonnages, sur ce vaisseau).

Edit 7 : Enfin !

Le sas s’ouvrit dans un chuintement.

Chapitre 17 terminé, nous allons maintenant pouvoir embrayer sur les présentations avec Emma, la station spatiale fantôme !
Ensuite, nous irons à la plage.
J’ai bon espoir d’y arriver pour le chapitre 20.

Ha ah ! Dans ta face, p’tit crayon et ton fonctionnement aléatoire ! J’entame un nouveau post après seulement 7 édits, parce que c’est moi qui décide de la taille de mes posts ici !
(… Brhmm… S’cusez, je m’emballe) Je disais donc :

Chapitre 18 ! Pour l’instant Mary est prudemment sorti en scaphandre (c’est une bonne chose pour lui parce qu’il n’y a pas d’atmosphère dehors), mais nous nous dirigeons tranquillement vers le prochain point d’arrêt, à savoir celui-ci :


Image authentique d’Elfe Cryptique topless en train de se faire dévorer par une écrevisse

Bien évidemment, il risque de s’écouler un certain nombre de chapitres encore, les étapes pour parvenir à déshabiller Elfe Cryptique étant assez nombreuses :

  • se présenter à Emma,
  • discuter amicalement,
  • obtenir des informations sur Emde,
  • trouver un moyen de transport volant pour gagner Emde,
  • s’assurer de l’absence de danger,
  • inviter tout le monde à la plage,
  • écrevisse.

Mais je vous assure qu’on va y arriver.

Edit : Aujourd’hui, visitons une station spatiale fantôme. C’est un petit coin charmant, à bien y regarder.

Un instant, lorsqu’il pénétra dans le premier immeuble et s’avança au milieu du patio qui avait dû jadis tenir lieu d’agora, il s’imagina tomber sur les cadavres figés par le vide de ceux qui avaient peuplé cet endroit. Mais la place était déserte et ses surfaces lisses exemptes de débris, comme si tout avait été soigneusement nettoyé après avoir été abandonné.

Evidemment l’absence d’atmosphère pose un léger problème, mais ce n’est pas ça qui va arrêter Mary.

Edit 2 : Chapitre 18 terminé ! Et c’est… une victoire, les p’tits amis !

« Je suis… Je suis Emma. »

Bon alors… Mary a son fusil à mammouth. Il a son Grovaisseau. Il a son meilleur ami à lunettes. Il a sa station spatiale secrète.
Il ne lui reste plus qu’à trouver sa plage et on sera bon.

Edit 3 : Aujourd’hui, technoblabla de mécanique spatiale ! Cherchons le meilleur mot pour dire « Non l’oxygène, je m’en suis servie pour faire du carburant pour missiles » (Emma est très pragmatique quant aux ressources dont elle dispose).
Je vais en conséquence partir du principe que le terme « propergol » parle à n’importe quel néophyte.

Edit 4 : oui, deux jours pour une phrase, toutafé. Mais voilà :

« Les ressources en oxygène sont utilisées pour maintenir les stocks de propergol à un niveau suffisant. »

… qui signifie, de la manière la plus évidente possible, que l’oxygène elle s’en est servie pour faire du carburant pour missiles.
On va maintenant lui glisser diplomatiquement que ce serait bien de baisser un peu ses exigences de niveaux parce qu’il y a des gens qui apprécieraient pouvoir respirer sans scaphandre ici, ho.
Ce qui nous permettra donc d’introduire Emde. Emde ne construit pas de missiles, elle.

Tout se déroule (plus ou moins) selon le plan.

Edit 5 : Un cyclone plus tard, j’ai écrit (malgré tout) 80 mots.

Bien sûr il existait une probabilité non négligeable que le petit ingénieur se passionne davantage pour les missiles que pour l’air respirable, mais Harlock tabla sur le fait que son ami souhaiterait se débarrasser de son scaphandre au plus vite.

Tout ceci n’avance pas très vite.

Edit 6 : Poursuivons, et passons sur les bizarres confessions familiales d’une station spatiale pour enchaîner sur une petite balade dans les entrailles de la bête. L’air respirable ça se mérite, messieurs dames !

« Je protège ma sœur dans l’espace interne. Son atmosphère est préservée. »

Edit 7 : Aujourd’hui, interrogeons-nous sur les hypothèses de construction d’une cellule familiale du point de vue d’une station spatiale.

Une porte coulissa dans le mur voisin, révélant une capsule à sustentation magnétique qui se souleva sur ses plots avec un « bzzt » lorsqu’Harlock approcha.
— Captain, vous n’avez quand même pas l’intention de monter là-dedans ?
Alors… si. D’abord parce qu’il brûlait d’envie d’essayer cet engin fuselé et rutilant dont le design rétro semblait tout droit sorti d’un documentaire historique, ensuite parce qu’il était curieux de découvrir ce que l’IA avait nommé « ma sœur ».
La programmation native d’une intelligence artificielle autonome n’incluait pas les liens familiaux ; le code informatique lui laissait toutefois en général le champ libre pour se forger ses propres schémas au fur et à mesure de ses expériences. La question était donc : avec quoi ? Existait-il une autre IA dans les parages ? Était-ce un système indépendant ou juste une « émanation » d’Emma qui s’était détachée de l’IA principale au fil du temps ? Était-elle armée elle aussi ?

Bon évidemment, on connaît la réponse (il y a deux stations spatiales), mais Mary pas encore, du coup il se questionne.
Et il est beaucoup trop curieux également. Sérieux, quelle personne sensée irait faire 65km dans un appareil inconnu dans une station spatiale abandonnée pour aller rencontrer « la soeur » de ladite station ? (pas moi en tout cas)
Tout ce qu’il va gagner, c’est qu’il va se faire grignoter le bout des orteils par une écrevisse et il l’aura bien cherché !

Edit 8 : Pendant ce temps, Mary se prend un tacle gratuit.

— ‘m’ont viré de l’armée sous prétexte que j’étais « un inconscient qui ne vit que pour les pics d’adrénaline ». C’est exact et j’en suis fier, et n’espérez pas me piquer mon titre, captain.
Pause. Loop baissa lentement sa main sans quitter Harlock des yeux.
— … mais je dois bien avouer qu’avec vous il y a du challenge, termina-t-il.

A présent, faisons un tour en petit train.
(non ils n’ont pas encore croisé d’écrevisse, ça arrive)

Edit 9 : Ah ha ! Gentes dames z’et damoiseaux, c’est bon ! Le chapitre 19 « Et deux » vient de sortir !
Et voici donc sous vos yeux z’ébahis la petite sœur d’Emma, j’ai nommé Emde !

L’image s’afficha dans le coin de la visière d’Harlock. Coque noire, verrière immense en coupole à son sommet, immatriculation blanche. Une lettre, un chiffre.
M-2.

Ils ne sont pas encore dedans, mais ils n’ont jamais été aussi proches !
A présent, faisons un tour en petit bateau.

Edit 10 : les aléas de l’existence font que je n’ai pas touché un crayon depuis décembre, cette anomalie est donc réparée.


Ce que je préfère dans le dessin, c’est de n’avoir absolument aucune idée du résultat avant de l’avoir couché sur le papier… Les images qui surgissent à partir de rien je trouve ça formidable :sweat_smile:

Edit 11 : Vous aussi quand vous dessinez, vous avez l’impression que le croquis est systématiquement meilleur que le produit fini ?

Edit 12 : Bon. Si je commence mon texte par « Ce n’était pas la bonne semaine du mois », est-ce que je me fais bien comprendre ?

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Ah Albator, c’est ma jeunesse ça !
Enfin j’étais un peu petit pour la version de 1978. Je l’ai revu bien plus tard en DVD et c’est sans la meilleure version, du moins pour le scénario. Les mystérieuses Sylvidres et puis des thèmes adultes difficiles à saisir pour les jeunes. Notamment cette histoire d’un gars marié à une sylvidre « undercover » et qui finit par devoir tuer sa fille aimée (qui n’était pas vraiment sa fille en fait). Et puis un contexte politique prophétique avec une population d’abrutis dirigés par des politicards teubés.

Ah ça fait longtemps (très longtemps) que je navigue en marge des différentes séries, et il faut bien avouer que je m’aventure pas vraiment du côté sylvidre. Je préfère nettement traiter le captain quand il est plus jeune et plus bêta, c’est plus rigolo.

Et d’ailleurs, outre les écrevisses que je vais bien finir par réussir à introduire, il va falloir que je me repenche sérieusement sur les formidables aventures de mon hérisson garou.
Non, cette phrase n’a aucun sens.
Oui, c’est parfaitement normal.

Raah, pourquoi parfois ça marche et parfois ça marche pas ? C’est un peu agaçant ma foi !
(je suis très désappointé, comme dirait l’autre et son doublage approximatif mais il fallait bien qu’on colle au mouvement des lèvres ma brave dame)
Mais bref. Ce soir réfléchissons au titre. J’ai pensé successivement à « Symphonie en crocodile majeur », « Balade pour hérisson grognon », « Ne chatouillez pas l’ornithorynque » ou encore « Attention, chien mouillé ». Voire « Attention, chien qui pique », parce que le côté porc-épic fait partie des particularités amusantes de Randy (en plus c’est venimeux comme un ornithorynque).
Cependant tout ceci reste hélas quelque peu hermétique, ou en tout cas cela me contraint à donner l’explication de texte assez vite - ce qui ne m’arrange pas pour le rythme parce que je préfère démarrer in media res et enchaîner sur Randy et sa mauvaise humeur menstruelle au fur et à mesure.
Du coup je pense m’orienter vers un tout simple « Attention, crocodiles », qui permet de monter mon compteur sur les « A ».

Mais ? Cet endroit bugge plus que ffnet, c’est effroyable ! (et pourtant il y a du challenge).
Enfin bref.

Je liste.
Poils, piquants, vue, ouïe, odorat, odeur de chien mouillé, caractère (de chien), désordres hormonaux.
D’où
Migraine, courbatures, démangeaisons, bouffées de chaleur, chute brutale de glycémie.

Je reviendrai si je pense à un autre truc.

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Edit 2 : Tochiro, Dick, Randy, Kei, Cody, Afar.
Drone 1, drone 2, drone 3 TBC, autre ?

Edit 3 : Il est important de ne pas confondre « pandémonium » et « panopticon » quand on demande des définitions à Google, on n’obtient pas la même chose…
Alors donc :
Panoptique (n.m.) / structure panoptique : je considère un cylindre enterré ou semi-enterré, le but étant d’arriver par dessous et de faire sauter son plancher. Nota : penser au dosage et/ou à l’explosion localisée pour éviter de faire exploser les cellules adjacentes (ce serait contre-productif).
Dans ce cadre, le drone pourra être utilisé pour une exfiltration « en sécurité » (tout est relatif quand on vient de faire exploser le plancher), permettant ainsi de ne pas exposer les membres du commando / de leur laisser le temps de préparer l’explosion suivante (va falloir s’assurer d’empêcher les poursuites, messieurs dames).

Edit 4 : Je vais tenter un démarrage et voir où ça mène (enfin, je sais où ça mène, ça mène sous un panoptique, et je ne vois pas où ça mène parce que je ne suis pas nyctalope, moi).

Ce n’était pas la bonne semaine du mois. Au matin, il s’était réveillé avec la migraine, les articulations d’un vieillard cacochyme, et des démangeaisons sur le dos de ses mains jusqu’au bas de sa nuque. Sa température jouait au yoyo depuis lors, ce qui ne contribuait pas à adoucir son humeur.
— Randy ! Oh, Randy ! Traîne pas, garçon… C’est un vrai labyrinthe ici, s’agirait pas qu’on te perde dans le noir !
Enguerrand sourit malgré lui. Dickinson l’avait à la bonne depuis le premier jour de son embarquement et il le maternait plus qu’il n’en fallait. Difficile d’en être certain (le vieux briscard n’était pas du genre disert), mais Enguerrand soupçonnait que Dick ne s’était porté volontaire pour cette mission que parce que lui-même était présent.

Je pense raisonnablement le mettre de suffisamment mauvais poil pour qu’il morde un crocodile.
Mais pas tout de suite, on va d’abord parler des rats-scorpions.

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[Bon sang, les édits décorrélés ça va être casse-pieds pour l’archivage du post… Vivement septembre.]

Edit 5 : Randy patauge dans un égout. Son odorat n’apprécie guère. (et en plus il voit les rats-scorpions, ce qui ne le rassure pas vraiment)

Son nez martyrisé pulsait douloureusement, au point qu’il avait l’impression d’avoir une tomate rougeoyante au milieu du visage.

Passons sur le moment où il râle que les filles n’ont pas à supporter un cycle à chaque pleine lune pour enchaîner sur du feulage en règle à l’attention d’un groupe de rats-scorpions qui rat-scorpionne tranquillement sans rien demander à personne.
Oui, monsieur est de mauvais poil (haha).

Edit 6 : Pourquoi j’écris des phrases aussi étranges ?

Il aurait été considéré comme un lâche mais au moins ne serait-il pas en train de se débattre avec ses hormones dans un égout.

Blague à part, je suis assez contente d’avoir réussi à caser le mot « égout » lors du passage sur Word, parce que 1) ce n’était pas prévu avant plusieurs paragraphes, 2) je n’avais pas encore calé le lieu dans le texte, 3) au bout de 300 mots il fallait probablement prendre le taureau par les cornes.

Edit 7 : Les rats-scorpions sont en réalité des musaraignes-tatous.

Des petites bêtes horribles aux yeux globuleux et au museau pointu, à peu près de la taille d’un poing, caparaçonnées de plaques osseuses et dont la queue était recourbée d’un crochet. Cela ressemblait au croisement bizarre entre une musaraigne obèse et un tatou avec un dard de scorpion.

Il y en a plein mais heureusement, Enguerrand leur fait peur.

Edit 8 : Alors que j’ai pondu mille mots et qu’on va maintenant placer les explosifs, je note que je n’ai pas encore évoqué Mary une seule fois. Parce que je suis tout à fait capable d’écrire sans évoquer Mary, oui madame.
Bien sûr il va falloir que j’explique à un moment ou à un autre pourquoi on pose des explosifs dans un égout (c’est à cause de Mary qui s’est bêtement fait choper par la patrouille et qu’on va aller tirer de son panoptique), mais la performance est assez inhabituelle pour que je la remarque.
Pendant ce temps, Randy a bien fait état de son statut de prédateur auprès des musaraignes.

Ces saletés étaient tout en bas de la chaîne alimentaire et l’avaient bien identifié comme prédateur. Elles ne l’attaqueraient pas… tant qu’il ne baissait pas sa garde. Il feula encore pour faire bonne mesure.

Par contre, figurez-vous qu’il va avoir un peu plus de mal à s’imposer face à l’autre bestiole commune du coin.

Edit 9 : Allez, point de situation :

  1. On ne se rend pas compte à quel point il est difficile de se connecter à internet sans avoir internet chez soi avant d’être soi-même confronté au problème (en plus ce n’était clairement pas le moment, pff)
  2. Reprenons avec Randy que j’ai laissé en plan dans un égout, et montons des explosifs sur des drones Parrot.
  3. Ce plan d’action est complètement foireux.
  4. On ne change pas une formule qui gagne, je constate que ce texte s’avère totalement hermétique pour qui ne connaît pas parfaitement le lore.
  5. Il est évident que je ne parle pas du lore du fandom.

Quoi qu’il en soit, poursuivons. Figurez-vous que j’ai finalement parlé de Mary (il était temps).

Edit 10 : J’espère que tout le monde sait ce qu’est une musette.

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Bien sûr, quelle question. C’est une Muse prépubère. Exemple : « Melpomène, encore toute musette, avait déjà composé un opéra en cinq actes dont la représentation avait grandement réjoui l’assemblée des Dieux de l’Olympe »
(tiens, ça pourrait être un jeu d’écriture, ça… :thinking:)

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