Va falloir conclure.
(oui, toute la couleur est sur un seul calque)
Wééé !
Manque plus qu’une petite touche d’ombre et lumière sur le fond et on est bon !
A votre avis, le captain :
Dans une forêt ??? ??? !!!
Parfois, il est pas bien fut’fut’ mais là il y aurait de l’abus.
Ce n’est pas un test de taches d’encre mais quand je le regarde, je trouve qu’il n’a pas l’air content. Le sourcil est froncé.
De son côté, la fougère a l’air de lui faire remarquer qu’il y a une fiente de Ieeek sur sa cape pas très bien partie au lavage.
A mon avis.
Ben oui il est pas content, il avait envie d’aller par là et on lui dit que non, il ne faut pas aller par là.
En tout cas ce qui est sûr, c’est qu’il ira par là quand même. Sérhà le sait, d’ailleurs.
Quant au lance-flammes, il ne tient pas dans ses poches. En revanche les grenades à plasma, si. Le captain aime bien faire cramer des végétaux de cette manière. Surtout les melons. Vicieux ça, les melons.
Sinon, gif.
« Je vais finir par croire que ce vaisseau est hanté ! »
Passion glisser des références à des endroits qui n’ont pas lieu d’être.
Ce n’est même pas une référence au vu du contexte, d’ailleurs… ce serait davantage une blague, en réalité.
(personnellement j’ai ri, mais je m’amuse d’un rien)
Pendant ce temps, Randy se regarde dans un miroir. Ce garçon consomme beaucoup de lames de rasoir, figurez-vous.
Je remplace « vaisseau » par « rafiot » et je poursuis avec Cody. Cody se demande brièvement si Randy ne stocke pas ses cheveux coupés dans sa salle de bains (la réponse est non, Randy a simplement beaucoup de cheveux).
— Non mais tu crois vraiment que c’est le moment pour une séance de coiffeur ? Tu… Attends, comment as-tu fait pour récupérer autant de cheveux dans ce lavabo ?
Enguerrand sursauta. Visiblement Cody ne défonçait pas les portes, par contre elle hackait les déverrouillages palmaires. Et elle entrait en silence, donc.
— Je, euh… Ils sont très drus et ils poussent très vite, bredouilla-t-il.
N’empêche que ce serait bien de partir en ronde plutôt que de parler cheveux, il y a un traître qui se balade, ho !
A propos, j’ai pensé à une nouvelle histoire avec Sérhà, qui consiste à faire exactement l’inverse de « Faux-fuyants ». A savoir, dans Faux-fuyants Mary ramenait chez lui la fougère avec une jambe cassée, il s’agit donc de rédiger le contraire.
Et par conséquent :
Je suis sûre qu’il y a un truc à faire avec des boyaux suintant de sève, des trucs qui glougloutent et des sources d’énergie douteuses. Et p’têt des plantes carnivores, aussi.
…
On va faire ça. J’adore créer des vaisseaux.
On notera par ailleurs que les vaisseaux-mères sylvidres sont (plus ou moins) pyramidaux, ce qui m’emplit de joie car les pyramides volantes spatiales me ramènent inéluctablement à « ma première fic ». Nostalgie, quand tu nous tiens…
(oui, je sais que j’ai laissé Emde « l’assiette creuse renversée » en plan dans une autre fic, mais je me sens des velléités d’ingénierie astronavale en ce moment et il ne faut jamais aller contre son inspiration)
Bon. Pyramide, donc.
Pyramide.
Mais du coup, est-ce que je dois titrer ça « Faux-fuyants 2 » ? (je reconnais que ça me ferait un « F » facile).
Et quel POV je prends ? Théoriquement ça devrait être Sérhà, mais ce serait quand même bien de pouvoir rendre l’étrangeté des lieux… Même si j’ai horreur de me répéter, peut-être que je peux rééditer l’alternance que j’avais utilisée dans « Au bout du chemin » ?
(Nota : ces questions sont rhétoriques. Ma décision est déjà prise)