Caduc, pas caduque. Pourquoi j’ai écrit caduque ?
Passer quinze minutes à trouver une alternative à « murmurer ».
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37/44. Pause.
Quel superbe climax (oui je m’autocongratule, vous allez faire quoi ?)
(bon j’ai quand même identifié quelques répétitions… après les gens ont un panel d’expressions limitées, quand on a fait le tour on a fait le tour, hein…)
41/44. On en voit le bout.
Les mots qui reviennent plus fréquemment qu’il ne faudrait dans ce texte-ci : « tord », « moue », « égrener » et, curieusement, « encombré ».
(à noter que j’ai également croisé un « morigéner », dont la présence est presque aussi systématique que mes « in petto »).
Et… fini ! Vous allez bientôt pouvoir profiter d’un nouveau petit livre !
(wouhou)
(dès que j’ai réglé ce léger problème de quatrième de couverture)
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Ah tiens, je suis saisie d’un doute : est-ce que je ne devrais pas plutôt sélectionner le papier crème ?
Oui, je mets la couleur pixel par pixel, parfaitement.
(Je vais maintenant faire des nuages à la souris, ça détend.)
(Tout ceci n’avance pas mon résumé.)
(Faut que je passe Yblane en papier crème, ce sera (sûrement) plus joli.)
Je suis fière de vous annoncer que cette identité graphique n’a aucun sens.
Bon. Et maintenant, quoi faire ?
- Poursuivre avec « le truc avec l’arbre » ? (ce qui implique donc de dessiner sa couverture)
- Débuter cette histoire de Bob qui trépigne d’impatience ? (ce qui implique de mettre en ordre ses idées)
- Reprendre mes dragons ? (ce qui implique d’aller à la plage)
Oh ben tiens, en mettant à jour mon site je viens juste de trouver une poignée de liens « lire sur fanfictions.fr », c’est rigolo…
J’ai soudain envie d’écrire du point de vue du vaisseau.
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J’ai soudain trouvé à quoi raccrocher mon titre orphelin.
Un vaisseau qui sombre dans l’abîme qui te regarde, ce sera parfait !
Après étude, cela revient en réalité à refaire « Mazones électriques » qui date de 2007 - et en jouant sur les mêmes ressorts (un vaisseau ce n’est pas très bavard, et s’il n’y a plus que lui auquel se raccrocher cela laisse peu d’espoir quant à l’état d’éventuels autres protagonistes).
Notez que cela offre des possibilités de texte magnifique et horriblement déprimant, hein… « C’est l’histoire d’un vaisseau puissant, autonome, capable de se ravitailler et de se réparer seul, en mesure de naviguer à l’infini. Eternel. Et vide. C’est l’histoire d’un vaisseau vide. »
Notez aussi que c’est pour cette raison que j’écris plutôt au début de ma chronologie qu’à la fin.
Cela faisait une éternité que je n’avais pas relu « Mazones électriques ».
Je viens de m’y coller.
Jamais je ne refais ça.
Voilà qui réinjecte en conséquence le titre orphelin dans le circuit, avec la question de savoir qui l’abîme regarde-t-il.
En attendant j’ai sketché Harlock et Sérhà pour la couverture de Zweizamkeit. Le truc avec l’arbre ça reste une valeur sûre.
Encrage. Et on le positionne dans ce sens, avec Harlock en couverture et Sérhà en quatrième de couverture. Tu vas bientôt pouvoir recommander le livre, Oldie.
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Ah oui oui, je le veux celui-là ! 
Changeons plutôt de POV.
Magnifique et déprimant, c’est bien ce que je disais.
Les ordinateurs ne parlent pas. « Les derniers tests de mise en route sont concluants. Le système est opérationnel, Harlock ! » Les modèles de langage ne sont que des algorithmes, les mots posés des calculs de probabilité. « Il te reste dix-neuf minutes et vingt-trois secondes. » Les statistiques peuvent-elles générer des émotions ? « Harlock ? » Je fixe l’écran. Les ordinateurs ne parlent pas. Celui-là pas plus qu’un autre.
Vous n’imaginez pas à quel point c’est compliqué de parler avec un ordinateur qui ne parle pas, et d’autant plus quand on refuse de lui parler.
(j’hésite un peu sur la mise en forme : faut-il des retours à la ligne systématiques ou pas ? je préférerais que non)
Par ailleurs, j’hésite aussi sur une rebascule de POV vers la fin. Mais alors on passerait de « magnifique et déprimant » à « magnifique, déprimant et cryptique ».
Déjà que ce n’est pas très abordable en l’état…
Au-dessus de moi, un globe rouge s’allume et s’éteint par intermittence. La sonnerie qui l’accompagne s’étouffe dans le vide. Dans l’espace, personne ne vous entend mourir.
Hahaha.
(bon on rigole, on rigole, mais ça reste beaucoup trop déprimant)
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Bon quand je dis « production de masse », ce n’est jamais plus de cinq exemplaires d’un coup (ce qui veut dire que mes stocks sont déjà vides).
La bonne nouvelle, c’est que ce 2e batch est de meilleure qualité que le premier. Le 3e batch, qui contiendra le premier du cycle avec Sérhà, devrait atteindre un niveau acceptable pour quelqu’un qui n’a jamais maquetté de livres de sa vie.
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