Le truc avec l’arbre, page 25/168. J’ai trouvé :
- une répétition trop flagrante
- un mot manquant
(mais je n’ai pas trouvé le fichier qui avait servi à la dernière impression, ce qui m’oblige à re-relire, bleh)
Le truc avec l’arbre, page 25/168. J’ai trouvé :
(mais je n’ai pas trouvé le fichier qui avait servi à la dernière impression, ce qui m’oblige à re-relire, bleh)
Ecrire, corriger ou se faire des cheveux verts ?
Page 40/168. J’ai trouvé une faute de grammaire (et aussi la fameuse faute de logique, mais je le savais).
Il y a moins d’erreurs dans celui-là que dans Yblane, dites donc !
Avec tout ça j’ai pensé à une nouvelle aventure avec Sérhà, et je me suis dis que je pourrais la croiser avec Elfquest - notamment en récupérant la bestiole du tome 4 (Furian de son petit nom), un truc mi-loup, mi-serpent, mi-bave.
J’obtiendrais ainsi à moindres frais :
De cette manière, je peux corser la chasse en ajoutant un ou plusieurs pièges mentaux (parce que faut être honnête, chasser le monstre en forêt c’est très banal), avec le problématiques suivantes :
J’ai de quoi cogiter.
Page 59/168. Avantage : il y a moins de chapitres. Inconvénient : ils sont plus longs.
Par contre il y a toujours aussi peu de fautes, ça fait plaisir.
Il pleut des cristaux de quartz et de glace par la vitre brisée de la baie d’observation. Dehors, la comète encastrée dans la proue mêle ses débris à ceux de l’Arcadia sous le regard écarlate d’une supernova bien trop proche.
Chronique d’un naufrage.
(je n’avance pas très vite)
Regarder le tome 4 sur le site officiel d’Elfquest (les BD sont accessibles en lecture libre, c’est très pratique), et s’apercevoir que cette sale bête ne s’appelle pas du tout Furian, en fait. Il n’y a même aucun rapport entre la VO et la VF (au moins les elfes correspondaient plus ou moins).
M’en fiche, je garde le nom français.
Page 77/168. Qu’est-ce qu’il morfle dans cette histoire, c’est limite gênant.
Accessoirement j’ai trouvé un deuxième problème de logique en plus de cette affaire de cosmodragon perdu, mais tant pis. Ce qui est fait est fait.
Des collisions, j’en ai connu plus qu’il n’en faut, bénignes ou préoccupantes, involontaires ou provoquées. Peu importantes. Vite oubliées. Jusqu’à celle-ci.
Bien. C’est le moment où il faut prendre une décision : est-ce que je reste dans l’émo-goth classique (ô rage ô désespoir mon vaisseau il est tout cassé, quel sens donner à ma vie ?) (ce qui n’a pas grand intérêt il faut l’avouer, mais de temps en temps il faut se contenter de textes sans intérêt), ou est-ce que je sombre dans le bizarre cryptique ?
Très franchement, ai-je envie de me perdre (encore) dans des considérations de personnage qui sous-entend qu’il sait qu’il est un personnage ? (cette phrase contient beaucoup trop de que) (et ce laïus contient beaucoup trop de parenthèses)
Point Zweisamkeit. Couleur. Il va falloir reprendre la lecture.
Point abîme. Pas vraiment de progression. Je ne pense pas que ce texte sera archivé via les canaux de distribution habituels (la déchéance du héros ce n’est pas très funky, surtout sans interlocuteur).
+1
Et hop, le repassage à froid ! Il y avait une phrase qui n’avait aucun sens (j’avais écrit lancer au lieu de laisser, c’est ridicule).
Le texte reste vaguement cryptique sur la fin, mais moins que si j’étais partie dans l’explosage de quatrième mur (ce n’était pas ce qui était prévu au départ de toute façon).
Pour le reste… Il y a de jolis mots, on va dire. Je vais au moins lui concéder ça.
Je regarde l’espace et je n’y discerne nul éclat. Le vide est un puits d’obscurité, un gouffre de silence, un abîme tentateur.
« Tout est paré. »
Il y a plusieurs chemins.
Je rêve de voler.
Je regarde le vide derrière la vitre absente. Voler seul, je peux le tenter. Il me suffit d’un pas en avant pour m’élancer de la passerelle de mon propre vaisseau. Un pas.
Une impulsion.
Un vol seul.
Un seul vol.
Par ailleurs, page 85/168.
Mais ? Il manque une phrase dans ce paragraphe !
Passion retrouver la phrase manquante (j’ai été obligée de l’écrire à nouveau).
Je pense que l’intrigue de Furian commence à bien prendre corps.
(On notera qu’il est encore prévu que Mary règle ses problèmes en tirant dessus)
Je vais également tenter de redémarrer le barman et son « vole l’air décontracté ».
Où tu l’as piquée celle là pour qu’elle me parle autant ? Han Solo ?
PS : ce n’est pas avec tes notes manuscrites que je vais me spoiler. ![]()
Si je voulais faire de la référence filée je répondrais « je ne sais pas, moi ! »
Mais en effet, j’ai un tropisme particulier pour les cow-boys, l’espace, et les marins. Han n’est pas marin et il perd des points pour ça, mais c’est un cow-boy de l’espace malgré tout ^^
Et je peux écrire encore plus mal !
(Pour le spoil il faut avoir lu le tome 4 de la fantastique quête des elfes, avec Sérhà sir le rôle de Finelame et Harlock pour Griffe d’ours. Mais Harlock ne meurt pas, j’en ai besoin.)
Par ailleurs, je pense m’orienter sur du POV Sérhà 3e personne présent.