La fanfiction, votre entourage social et vous

Je t’envie pour le coup, car personnellement, je n’arrive pas à mettre en avant mes connaissances, j’ai l’impression après d’être une rabat-joie pédante. En fait on me l’a déjà fait remarquer, c’est pour ça que je n’ose plus l’ouvrir maintenant (mais j’admets qu’il y avait sûrement une part de vérité, et que je n’étais, justement, pas forcément aimable non plus). Et ça fait mal oui, quand ce sont ces « nouveaux fans » qui te font comprendre qu’ils n’en ont rien à faire de tes cours sur l’œuvre qu’ils prétendent aimer, que peu leur chaut l’état premier du fandom et de sa fanbase, qu’ils comptent bien apprécier l’œuvre comme bon leur semble, et « tant pis pour ces fans old school réac’ qui nous enquiquinent, il faut bien qu’ils se fassent à l’idée que nous maintenant, on est là et que les choses ont changé ». Des nouveaux fans, des arrivées et des départs dans un fandom il y en a toujours eu, il y en aura toujours, là n’est pas le problème. Le problème c’est justement, comme tu l’écrivais dans un précédent message, le niveau d’investissement dans le fandom des nouveaux venus, mais aussi, le respect qu’ils portent, ou pas, à ce qu’était le fandom et la fanbase avant leur arrivée.

Oui voilà, c’est exactement ça ! Une dépossession. C’est une expérience que je trouve pour ma part douloureuse.

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Et la fanfiction, une réappropriation. Ce qui pourrait expliquer que certains protège leur « jardin secret ».

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Haha ,c’est vrai ! Les mêmes qui ne voulaient pas appeler la hotline car ils ne mangeaient pas de ce pain-là. :joy:

J’ai envie de dire qu’on ne pouvait donc que ressentir de l’empathie pour le personnage de Mulder, que ses collègues d’autres services prenaient pour un illuminé irrationnel croyant aux « petits hommes verts » (alors qu’ils sont gris, hein ?) :smile:

Faut pas forcément se remémorer ça avec une lointaine nostalgie.
Il y a 4-5 ans, j’ai dû couper le contact avec quelques connaissances, ou ce sont eux qui se sont éloignés en me voyant faire l’apologie du satanisme « alors que j’étais, il y a peu, une fille aussi tournée vers la spiritualité. »

J’avais proclamé publiquement mon soutien à « Lucifer » dont je souhaitais vivement le retour. :smile::smile::smile:
Hors contexte, j’admets… qu’il était possible qu’ils comprennent mal. :stuck_out_tongue:

Je veux bien reconnaître que je n’ai fait aucun effort pour expliquer. :grin:

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Oui tout à fait. :rofl:

Et concernant X-files, rappelons quand même que David Duchovny tournait aussi dans des films érotiques (dont certains diffusés sur M6 après la trilogie du samedi) et ensuite il a fait Californication. Alors bon, la série X-files n’a rien à se reprocher mais… Quand on suit le fil d’Ariane…
:sweat_smile:

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Je ne vais pas faire de hors sujet mais il y a au moins deux actrices de charmes et deux mannequins pour adultes a avoir joué dans X-Files. Sans compter que Anderson aussi a joué dans un téléfilm érotique :smirk: (je suis une source intarissable d’anecdotes sur X-Files, j’vous ai pô dit?)

Lucidité et nostalgie :crazy_face:

Comme quoi, on est formaté pour y réfléchir à deux fois avant de parler de nos passe temps de geek, nous les parias de la culture :sweat_smile:

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Ah en plus de David Duchovny ? Eh ben… :relaxed:

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Je ne voudrais pas être complotiste, mais…
le titre le « X Files » et le passif de certains de ses acteurs : coïncidence ? Je ne pense pas. :thinking::smirk:🥸

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En fait c’est comme les Power-Rangers, les scénaristes se moquent ouvertement des téléspectateurs. :sweat_smile:

Ça me rappelle les jeux vidéos pokémon… Plus le temps passe et plus la Pokemon-Company édulcore les jeux, notamment lors de leurs passages dans les studios américains avant d’atterrir chez nous, mais heureusement les traducteurs français se lâchent et placent des dialogues à double-sens un peu partout.

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Par Lord Kinbote, ne me lancez pas sur le sujet :sweat_smile:
Plus d’un an que je réuni des anecdotes pour mon groupe Fb, pour le coup on sera complètement hors sujet.

Chez X-Files aucune moquerie de la part des scénaristes. Respect total de la fandom. Sur les génériques des saisons 8 & 9 tu avais des pseudo de fans qui défilé (oui, comme au Club Dorothée :sweat_smile:)

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Alors alors…
Autant parfois je me reconnais dans ce que vous dites, parfois j’ai l’impression d’être totalement à côté… Cela dit ça me paraît normal compte tenu de l’écart d’âge (non je ne suis PAS DU TOUT obsédée par ça vraiment pas). En fait personnellement je n’ai jamais eu de problème à dire que j’écrivais de la fanfiction. Globalement je vois trois explications pseudo-sociologiques (oui pseudo parce que j’ai 13 ans je suis pas une experte hein c’est peut-être bourré de non-sens qu’en sais-je mon cerveau est encore juvénile pardonnez-le le pauvre) :

  • Prrrremièrrrremente
    Les ** jeunes d’aujourd’hui ** se voient h24 (j’assume l’emploi de cette expression) enjoints d’être eux-mêmes, de croire en eux, de suivre leur cœur, de vivre pour leurs passions, etc. Et justement, cela permet d’étiqueter ses connaissances en fonction de leurs passions, passe-temps, du style « untel est fan d’animes, unetelle adore le metal »… Donc je pense que les gens de ma génération ont tendance à moins juger les « lubies » des autres.
  • Doosssssièmemennnnte
    La fanfiction s’est pas mal répandue parmi les filles de mon âge, notamment avec Wattpad qui a rendu la fanfic (particulièrement les lemons yaoi d’ailleurs des fics Larry Stylinson ou BTS (ou Twilight tant qu’on y est) quelque chose de cool. Ça ne veut pas dire que la fanfiction est acceptée par tous et par toutes… mais je n’ai jamais entendu un de mes amis la réprimer. S’en moquer gentiment, oui, mais réellement la railler, on en est loin. Après j’ai conscience d’appartenir à une catégorie assez spécifique de la population, donc je ne sais pas si c’est la même chose en dehors de ma bulle
  • Derrrrrnièremennnte
    Je corresponds tout à fait au profil-type cliché de la fanfiqueuse. Apprendre qu’une ado de 13 ans écrit de la fanfiction ne choque personne.

Du coup je ne cache pas à mon entourage que j’écris même si IL NE ME LIRONT JAMAIS JMAIS JAMAIS JAMAIS JAMAIS JAMAIS. (peut-être un jour)

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Petite parenthèse du coup. C’est vrai ça ? Sérieux ?
Non mais parce que, quand j’avais 13 ans (et ça remonte aux débuts des années 2000 - OUI JE SAIS T’ÉTAIS PAS NÉE !) c’est ce que les fictions films/séries/dessins-animés nous racontaient déjà. Dans la vie réelle, c’était un peu différent, selon où tu étais (où tu naissais) le discours pouvait varier entre les gens qui avaient déjà intégré ça et ceux qui étaient plus vieille école, mais on n’avait pas internet ni les réseaux sociaux (ça n’allait pas tarder à arriver mais ce n’était pas encore là), donc l’influence extérieur était plus limité.
Et quand t’approchais les 18 ans, les adultes te foutaient une grosse claque dans la gueule en te disant : maintenant tu fais des études pour faire un métier sérieux et ■■■■■■, parce que ce qui compte dans la vie c’est le pognon le pognon ah et oui le pognon. Pour ensuite te marier et avoir un crédit, ou deux ou trois. Et c’est (enfin c’était) violent. Très violent. Comme si tout ce qu’on t’enseignait quand tu étais enfant et ado n’était que du ■■■■■■■■.

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Ahh tu dois avoir raison… Moi je parle du haut de mes 13 ans (OUI JE SAIS QUE TU SAIS QUE J’ÉTAIS PAS NÉE) et dans un milieu social assez spécifique où enfin… disons que mon père me dit toujours d’une façon assez cynique que de toute façon que l’argent c’est le capital et que le métier aide rarement à obtenir du capital.

Après en effet Internet et les réseaux sociaux aident. On voit tellement d’outsiders, de gens sur qui bien que n’ayant aucun talent réussissent à percer (coucou Wejdene) (pardon pour la méchanceté gratuite), de beautiful stories de personnes qui, bien que poussées par leurs parents à faire un « vrai métier », accomplissent leur rêve, et ça donne des "mon père voulait que je sois gastro-entérologue mais je suis devenu guitariste (no offense pour les gastro-entérologues, hein, c’était un exemple parmi d’autres)…

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Avec un collègue (encore plus vieux que moi), on parlait de l’hypocrisie des belles histoires qu’on voit régulièrement aux JT de 13 ou 20h ou dans des articles de journaux (en ligne souvent). Souvent, c’est un couple de diplômés, qui travaillaient dans l’industrie ou la finance, des ingénieurs ou des commerciaux, et en passant la barre des 30 ou des 40 ans ils se reconvertissent pour faire un métier « avec du sens ». :roll_eyes:

L’hypocrisie et le cynisme du truc est masqué mais immense. Car d’abord le contrat social implique qu’ils ont pendant 10 à 20 ans validé un système qu’ils dénoncent (ou prétendent dénoncer) ensuite. Le nianiania la surconsommation, le néolibéralisme, le productivisme à outrance nianiania… Dans le genre gros lâches égoïstes et narcissiques ils se posent là.

Ensuite, ce qui est souvent tu, c’est qu’ils amoncellent un capital justement (ils achètent des biens immobiliers, qu’ils louent ensuite) et ils vivent de leurs rentes et du pécule amassé. Mais dans les reportages on te présente la chose comme : « A deux ils gagnaient 8000 euros par mois et maintenant depuis qu’ils cultivent et vendent leurs courgettes bio ils sont à peine à 2000 mais ça suffit pour vivre correctement avec leurs deux enfants et leur trois chats. » Euh, non.
Ceux qui démissionnent et partent faire le tour du monde aussi c’est pas mal effarant.

C’est un modèle factice et ■■■çu pour les adultes, pas pour les jeunes de ton âge (enfin de mon point de vue). Si on prend la génération entre deux (les 18-28 ans disons) qui essayent de vivre de leur passion, c’est extrêmement difficile. L’écriture entre autre est une mission quasi-impossible.

Je crois que j’en parlais sur le topic des shonen : la BD est un exemple assez fascinant, car il n’y a jamais eu autant de publications différentes et les ventes augmentent en continue depuis dix ans, sauf que les petits auteurs ont de plus en plus de mal à en vivre alors qu’ils sont plus facilement publiés qu’autrefois. Il y a beaucoup de solutions alternatives comme le crowdfunding, l’auto-édition et les publications numériques. Mais réussir à en vivre c’est compliqué et comme dans d’autres métiers (l’archéologie par exemple), tu peux t’en sortir quand tu es seul(e) mais dès que tu as une famille à nourrir ça devient super compliqué.

D’où, les gens « malins » font souvent l’inverse : ils prennent un job alimentaire en premier lieu et se reconvertissent sur le tard, sinon le risque que tu prends c’est de te reconvertir à 35 ans pour prendre un job alimentaire et renoncer à tes rêves de gosses. Je connais des gens qui se sont mis à publier des livres à la retraite.

Je dis les « gens malins » mais c’est plus compliqué que ça, souvent on n’a pas vraiment le choix. Les « pauvres » ont besoin d’un job alimentaire, quoi qu’ils ambitionnent pour l’avenir. Les autres peuvent avoir des tempéraments particuliers. On voit beaucoup de burn-out ou de dépressions chez ceux qui ont choisi la mauvaise voix au départ.
Certains vivent bien de jongler entre une situation et une autre, mais parfois pour survivre il faut en effet écouter son cœur, pour le dire joliment. Être terre à terre ne convient pas à tout le monde, être un rêveur non plus.

Pour en revenir aux fanfictions, ce qui me dérange un peu plus aujourd’hui dans l’écriture, c’est le côté relationnel de la chose. Avec la multiplication des plateformes et des auteurs (amateurs ou professionnels), même quand on publie gratuitement, il faut mettre en place une stratégie pour être lu et il faut faire la promotion de ses écrits comme un auteur publié…
J’écris depuis presque vingt ans maintenant parce que ça me détend et que ça m’occupe l’esprit, mais j’aime être lue par les autres car j’ai l’impression de ne pas perdre mon temps. Ça fait partie du rapport à la création de vouloir « montrer » ce qu’on a fait, sauf que faire de la publicité et mettre en place des stratégies de publication ça ne m’amuse pas du tout, mais genre vraiment pas, alors dans un loisir bof quoi.

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C’est aussi ce qui a motivé mon choix de m’inscrire sur FFR plutôt que sur Wattpad : ici, vu qu’un n’est (vraiment) pas beaucoup, pas besoin de faire son marketing, d’acheter un grand encart de publicité dans le métro pour deux semaines, de monter sur une estrade avec un haut-parleur en distribuant des prospectus etc pour que des gens lisent ta fic et la commentent de manière constructive… Et c’est pour ça que je pense qu’il ne serait pas une bonne idée de mettre un système de likes, ça rendrait le site beaucoup moins « humain ». Enfin bref on s’éloigne légèrement assez pas mal beaucoup du sujet là :sweat_smile:

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Oui c’est ma spécialité. :grin:

Bon pour essayer d’opérer un virage : je me rends compte que le seul texte que j’ai fait lire à mes collègues n’était pas une fanfiction mais une œuvre originale (Maud et le lutin maléfique pour ne pas la citer).
De base, je ne l’ai envoyé qu’à un seul collègue pour déconner vu que c’était parti d’un trip entre nous. Et il l’a lu/fait lire à d’autres collègues… Ça a fait le tour du laboratoire. :sweat_smile:
Je n’ai eu que son retour (hyper enthousiaste) et celui d’un autre collègue un poil vexé par son rôle. Les autres n’en ont pas parlé. C’est mauvais signe. :rofl:

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Je ne sais pas du tout ce qu’en pensent nos modératrices de charme et de choc mais vu que c’est mon sujet je me permets de dire qu’un peu de HS dessus ne me dérange pas, surtout quand c’est aussi pertinent que la conversation que tu as eue avec Tracy :wink: .

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Wow, sujet très passionnant ! Et très instructif aussi, j’ai pas connu de phénomènes tels que celui dont vous parlez avec X-files :sweat_smile:

Hem… mes meilleurs amis oui (que ça soit IRL ou pas, d’ailleurs :thinking:), l’un de mes frangins aussi, mais l’autre frangin et mes parents, je crois pas :thinking: Mes chats, quant à eux, s’en fichent royalement, du moment que je réponde à leurs caprices félins :sweat_smile:
Pour ce qui est des connaissances, je dois justement à Tolkien mes plus belles amitiés (bizarrement, pas IRL…) et ces amis savent que je publie des fanfics. Et c’est la fanfiction qui m’a rapprochée d’un certain @Elias_of_Keliwich et ça, ça n’a pas de prix :heart:
En revanche, mes connaissances à la fac sont rares à connaître mon attrait pour la fanfiction. En fait, quand je parle de mes passions, je parle surtout de mes fics originales et déjà là, certains voient pas forcément la chose d’un bon oeil…

En fait, de manière assez générale, je crois que j’ai instinctivement développé une certaine méfiance lorsqu’il s’agit de parler de mes passions à mon entourage. Ca remonte assez loin, à l’époque où je préférais lire plutôt que de regarder les émissions de téléréalité à la mode (merci aux parents d’ailleurs de m’avoir épargné ça !) et où on me regardait de travers parce que j’étais la petite intellote qui passait sa vie dans les bouquins plutôt qu’à « vivre normalement ».
Puis au collège, j’ai découvert le métal et à peu près en même temps le mouvement gothique. Et encore aujourd’hui, je l’affirme haut et fort, je suis gothique dans l’âme (bon, pas encore physiquement mais ça va venir). Cependant, c’est grâce à ça que j’ai découvert l’étroitesse d’esprit des gens et la façon dont ils dénigrent ce qu’ils ne connaissent pas en se basant sur des préjugés parfois bien violents (pour l’exemple, gothiques = sataniques dépressifs ou ados en pleine crise).
Etant donné que j’ai la vingtaine et que je suis toujours attirée par ce style, je doute qu’il s’agisse d’une « phase ». Et je n’ai jamais sacrifié de chatons dans un cimetière une nuit de pleine lune pour invoquer des démons. D’ailleurs, je n’aime pas les cimetières. Je crois que j’ai un peu de mal avec le fait d’enterrer les morts, mais là je vrille en hors-sujet.

Bref bref, pour en revenir à la fanfiction, j’ai commencé au lycée, donc bien après avoir déjà chopé quelques préjugés dans le nez (métalleuse, gothique, fan de fantasy et pire, d’un jeu vidéo type RPG. Au collège, je me sentais bien solo, surtout dans le privé catho). Du coup, bah bizarrement, quand j’ai commencé la fanfic, au lycée, je n’en ai pas parlé tout de suite… et je n’en parle que très peu, d’ailleurs :thinking: Et je ne sais même plus si mes amies de lycée avaient lu mes fics :pensive:

D’ailleurs, mes parents savent vaguement que j’écris (et encore, ils ne savent pas quoi exactement et non, je ne veux pas qu’ils lisent !), mais refusent catégoriquement que j’essaye de publier. De la même manière qu’ils sont ok pour qu’on fasse de la musique, mais pas pour qu’on tente de faire carrière dedans :thinking: Alors certes, je sais qu’on ne peut que difficilement en vivre, sauf cas ultra-exceptionnel (encore que la musique j’ai l’impression que c’est un peu moins vrai que l’écriture :thinking:), mais enfin bon…

Heureusement, à la fac (surtout là cette année), j’ai des amis qui me comprennent et, même s’ils ne partagent pas forcément mes passions, me soutiennent dans mes projets d’écriture et veulent en lire quelques-uns (j’ai une pote qui me réclame mon crossover improbable d’ailleurs, faut que je le termine :joy:). Même si honnêtement, le forum (et surtout le discord d’ailleurs) est un peu devenu un foyer pour moi, avec tout un tas de personnes formidables qui me comprennent et partagent mes passions, qu’ils combinent de la même manière pour donner naissance à des histoires incroyables :heart_eyes_cat:)

Du coup, mon entourage IRL est assez discret dans le domaine, mais honnêtement, je m’en fiche. Mon entourage IVR me suffit amplement !

Et je terminerais même mon message par un ptit remerciement à vous tous, que ce soit pour la création du site et du forum, les discussions intéressantes (ou complètement dingues) qu’on peut avoir ici et sur discord et pour tout ce que j’ai pu découvrir et partager ici, grâce à vous. Merci mille fois, à tous ! :heart:

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Alors que tout le monde sait que les gothiques sont des émos. :grin:
(Désolée, il fallait que je la fasse…)

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Hop hop hop ! Un petit remontage des enfers pour bien commencer le week-end (après tout le sujet attirera peut-être les nouveaux venus), mais j’ai trouvé un article de presse intéressant cette semaine, publié en 2017, et il m’a semblé qu’il avait plutôt sa place ici : Écrire des fanfictions en classe, c'est possible ! - L'Etudiant.

Bonne lecture !

10 « J'aime »

Ah, c’est très chouette comme article ! Merci !

Ou comment la fanfiction « revisitée et encadrée » autonomise les élèves, les responsabilise, leur donne le goût de lire, pas faire n’importe quoi, et leur apprend à formuler des critiques positives.
Apparemment l’opinion de leurs camarades qui vont lire est beaucoup plus importante qu’une note… :joy:

J’aime beaucoup la remarque de l’élève qui a dit que revenir ensuite à seulement donner son avis sur un texte, même sur le forum Internet de la classe de français, c’était beaucoup moins bien et moins motivant !

Aux bons entendeurs… :stuck_out_tongue:

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