Trouvée il y a deux minutes quelque part :
Autant pour moi.
En fait, c’est au temps pour moi !
L’origine de l’expression nous vient du monde militaire ! A l’origine, « au temps » était une injonction employée tout bêtement pour commander la reprise d’un mouvement depuis le début. Elle a part la suite glissé petit à petit dans le langage commun, pour arriver à « au temps pour moi » pour admettre nos torts.
Source ici si ça vous intéresse !
J’écris « Autant », de façon systématique …!
Dans ma jeunesse, je redoutais qu’on mangeait des bébés crabes.
C’était des betteraves ! 
Il y a longtemps, ma petite soeur m’a écrit :
Et il semble que je lui ai répondu : mais je t’envoie nulle part ! 
Tu m’en vois ravie
Trouvaille de l’instant : « contenu de la situation »
Il fallait évidemment écrire :
compte tenu de la situation .
Tu as pourtant les balises sous les yeux 
Mets le doigt dans l’engrenage et avance masquée.
(je reconnais que sur un téléphone, c’est plus galère).
Noooon, je suis en mode marmotte croisée avec une baleine échouée
Merciiiii
Re, je suis de retour avec un nouveau poteau rose : au lieu de dire « La princesse et le dragon », mon beau-père a dit : « La princesse et le ragondin ». Sacré beau-père !
Après la rabat-joise, la vieille voisine aigrise
Rabat-joie et aigrie, évidemment !
Alors, ça ne vient pas d’un.e auteur.ice de fanfics, mais je corrige un truc pour un.e ami.e et… voilà quatre erreurs qui m’ont bien faite sourire ! La solution sous spoiler !
Temps restant pour paraffinage
Cela relancera l’engommant autour du produit […]
[…] en le fessant participer à l’histoire
les point sur les anches
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Temps restant pour peaufinage
Cela relancera l’engouement autour du produit […]
[…] en le faisant participer à l’histoire
les poings sur les hanches
.
Quelle belle invention que sont les correcteurs…!
Ah oui, quand tu disais que c’était désastreux…
Eh bien moi, j’ai eu le grand privilère de devoir corriger les « poignets d’amour » (je n’ose penser à rien).
.
.
Non fans de Lucifer, pour votre culture générale, les siennes sont situés plutôt… sur son crâne, du moins dans les rêves de Chloé.
Vous ne pouvez pas imaginer le nombre de fois où je l’ai eu écrit comme ça dans des rédactions (de la 6ème à la 3ème)… 
Petite confusion « mignonne » d’une de mes élèves (un peu grossier quand même, mais involontairement) : je demande à mes 5ème de me proposer des mots composés, ils donnent chauve-souris, savoir-faire, lave-vaisselle, chou-fleur, bref tout est bon, et une petite toute mimi lève le doigt et me dit « madame, j’ai un mot mais je crois que c’est vulgaire, mais je ne comprends pas parce qu’on m’a dit que c’était une maladie des yeux alors que ça concerne une autre partie du corps… » Je lui demande de prononcer le mot pour que je lui dise si c’est 1) bien un mot composé et 2) un mot qu’on peut prononcer dans une salle de classe… Avez-vous deviné ? 
C’est le mot « presbyte », mais elle pensait que ça s’écrivait presse-bi… et elle ne comprenait donc pas le rapport avec les yeux ! 
Effectivement, il est presque choupi celui là
Un jour, en Alsace, un habitant de Waldighoffen va voir son médecin :
– Docteur, j’ai l’impression que je ne vois plus aussi bien qu’avant, que j’ai les yeux un peu douloureux, le soir, en sortant du boulot…
– Montrez-moi cela… Oui, répond le médecin, vous avez les yeux rouges. Je vais vous prescrire des gouttes. Mais pour la vue, je vais vous envoyer consulter un occuliste.
– Ouh-là, Docteur, je sais où j’ai mal, et c’est pas là !
Waldighoffen ? Sérieux ? Le petit village du Sundgau alsacien à 20 min de chez moi, entre Ferrette et Folgensbourg ?
Nan mais 
Vu à l’instant : Je n’étais pas aucourent.
Évidemment :
Je n’étais pas au courant
C’est ça, à deux pas de Steinsoulz.
Hihihihi
Tu connais le coin ou tu as cherché sur Google Map et waldighoffen t’as paru assez paumé ? 
J’y ai grandi : école et collège de Ferrette, lycée d’Altkirch…
… et le Sundgau, quoique excentré, n’est pas vraiment paumé : de nombreux villages de 2000 habitants, espacés… de 3 km les uns des autres. La zone est une campagne très peuplée.
Mais Dieu merci, ce n’est pas la ville…
