L'inteReview!

Mais trop ! :joy: Quand tu auras du temps (et moi aussi xD) on pourrait essayer de faire quelque chose de ce côté-là, ça pourrait être TRES drôle :joy:

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Mais carrément !! Un petit crossover sorti tout droit de notre imagination loufoque :joy: on va laisser passer le Nanowrimo et on verra ensuite ^^

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Yep ! ^^ Et du coup, ça me donne envie de créer un concours sur wattpad, tiens… :thinking:

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Tu voudrais faire un concours sur quel style ? Ça peut être une bonne idée !

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Go passer discord pour en parler pour pas flooder ici, vu que je compte mettre ça sur wattpad et que en plus c’est pas le sujet ici^^

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… J’arrive après la bagarre… Mais ce sujet m’a complètement remotivée, donc un grand MERCI !!! (La reprise va être probablement longue mais me voici de nouveau sur les rails de l’écriture, en partie grâce à cette InteReview, en partie grâce à vos très gentils conseils sur un autre sujet. :yellow_heart: :heart: :blue_heart:)

ALRESHA : Bonsoir, je suis Alresha, alias Allie, fanfiqueuse intermittente et un peu intimidée d’être là ce soir…

LUCY : … et moi, je suis Lucy, pas spécialement intimidée mais plutôt curieuse. En fait, pour être honnête, je ne suis venue ici que dans un seul but : apprendre ce que tu vas faire de moi dans ta prochaine fic (que j’attends, entre parenthèses, depuis des années).

ALRESHA : … et si on passait à la première question ?

1) Comment vous vous êtes rencontrés ?

ALRESHA : Tout à fait par hasard, alors que je cherchais à expliquer certaines différences entre le personnage de Spock dans la série Star Trek des années 60, et le Spock des années 2000. A l’époque, je connaissais très mal le fandom, et j’ai tout simplement imaginé une demi-sœur au personnage, sans savoir qu’il avait déjà un demi-frère.

LUCY : Pour l’intérêt qu’il a…

ALRESHA : … Bref, je voulais tout simplement que le Spock sur lequel j’entendais écrire ait vécu un traumatisme – en l’occurrence, la mort de sa sœur.

LUCY ( choquée ) : Pardon ?

ALRESHA : Oui, désolée de te l’apprendre, mais, au départ, je ne t’ai créée que pour te faire mourir. Le jour de tes dix-huit ans.

LUCY ( se levant, main tendue vers l’écran ) : Je ne suis pas certaine que cet interview soit une bonne idée, en fait…

ALRESHA : Attends deux petites secondes ! Je m’apprêtais à ajouter : ensuite, je me suis tellement attachée à toi que j’ai eu envie de raconter ta vie, de me pencher sur votre enfance, à Spock et à toi. Résultat : plus de 110 000 mots, répartis sur trois histoires… et ce n’est pas terminé !

LUCY ( la main toujours tendue ) : Et me ressusciter, ce n’est pas envisageable, plutôt que de te la jouer Arthur Conan Doyle avec son Chien des Baskerville ?

ALRESHA : Honnêtement, je traverse une phase assez difficile en ce moment en ce qui concerne l’écriture et…

LUCY ( se rasseyant avec un soupir ) : Et tu es une grosse faignante. Compris. Ça fait plaisir.

2) Potes ou pas potes ?

LUCY : Etant donné la réponse à la question précédente, je me dispenserai du moindre commentaire à ce sujet.

ALRESHA : Tu dois bien comprendre que le personnage qui m’intéressait, c’était Spock, pas toi ! Au départ, tu n’étais qu’un prétexte…

LUCY : De mieux en mieux !

ALRESHA : Et puis… et puis tu as pris de plus en plus de place dans mon esprit, je n’arrivais pas à te sortir de ma tête, tu t’invitais un peu partout, et plus j’apprenais à te connaître, plus je te trouvais… disons… fascinante. Je t’assure que je regrette vraiment de t’avoir fait mourir si jeune.

LUCY : Non, mais on va quand même répondre « pas potes », hein.

3) Si elle était une musique ?

LUCY : « Moons of Verala » ! C’est un morceau génial, et…

ALRESHA ( avec un soupir ) : La question porte sur des musiques que les auditeurs peuvent connaître, Lucy. Pas une chanson du XXIIIème siècle joué par un groupe d’Orions sur des instruments absolument inconnus des humains.

LUCY : Ah. Alors, choisis, je ne connais pas la musique de vieux.

ALRESHA : J’imagine que je l’ai bien cherché. J’hésite entre « Protect me from what I want » de Placebo…

LUCY : Mais tu te dis que ça irait mieux à mon frère, non ?

ALRESHA : Oui. Je vais donc dire « Sad but true » de Metallica.

LUCY : … OK, ça me va.

4) Si elle était un film / série ?

LUCY : Mulan .

ALRESHA ( interloquée ) : … Pardon ? Ce n’est pas « un truc de vieux », peut-être, Mulan ?!?

LUCY : Absolument pas, c’est un grand classique. Ou alors Rebelle . En tout cas, un film qui montre une fille qui s’en sort toute seule et qui ne se préoccupe pas des règles.

ALRESHA : Je crois que vous avez compris le genre, non ?

5) C’est l’enfant de qui ?

ALRESHA : Euh… je ne peux pas répondre à cette question en quelques secondes, c’est trop compliqué. Je vais donc partir du principe qu’il s’agit d’une interrogation métaphorique et répondre que Lucy est la fille cachée de Ripley…

LUCY : … ah oui, pour les films, Alien , ça marche aussi.

ALRESHA ( perplexe ) : Mais je n’ai pas vu Alien ! Comment pourrais-je choisir ce film pour te définir alors que je ne l’ai jamais vu ?

LUCY ( avec un petit rire ) : Parce que tu t’imagines que je n’ai pas une vie en dehors de ton esprit ? Tu es bien naïve. Je te laisse me trouver un père métaphorique.

ALRESHA : Euh… Cyrano de Bergerac, pour le panache et le sacrifice ?

LUCY : Ça me va aussi.

6) Pourquoi ce nom ?

LUCY : En voilà une bonne question !

ALRESHA : Je suis fascinée par l’étymologie et je voulais un prénom qui évoque la lumière : Luce, Lucie, Lucy… Comme tu descends d’une famille américaine par Amanda, j’ai choisi la version anglo-saxonne.

LUCY : Pourquoi la lumière ?

ALRESHA : Parce que tu es radieuse et que tu as illuminé la vie de ton frère durant toute votre enfance.

LUCY : … je peux changer ma réponse à la question « pote ou pas pote » ?

7) Pour ou contre les fautes d’orthographes ?

ALRESHA ( bras croisés, sourcils froncés ) : Je vous rappelle que je suis prof de français.

LUCY ( bras croisés, sourcils froncés ) : Je vous rappelle que j’ai été élevée sur Vulcain.

8) Chapitres longs ou courts ?

ALRESHA : Jusqu’ici, longs. Trop longs, probablement. Je suis en train, comme je l’expliquais plus haut, de traverser un petit passage à vide en ce qui concerne les fanfictions et j’envisage de passer au format court pour me remotiver.

LUCY ( goguenarde ) : … et écrire « Lucy in the sky », comme promis ? Avec des chapitres de moins de 3000 mots que tu ne publierais pas tous les trois cents ans ?

ALRESHA ( avec un soupir ) : Entre autres.

LUCY : OldGirl t’avait même fait une magnifique couverture, et toi, tout ce que tu as trouvé à écrire, c’est deux misérables chapitres ! ( Prenant les spectateurs à témoin. ) Regardez, elle n’est pas magnifique, cette couverture ?

ALRESHA : Mais si, bien sûr que si ! C’est juste… compliqué.

9) Une fanfic impossible ?

ALRESHA : J’aimerais répondre « une histoire dans laquelle Lucy survivrait après ses dix-huit ans », mais…

LUCY : Mais quoi ? Ça me semble une excellente idée.

ALRESHA ( après une grande inspiration ) : En fait, « Lucy in the sky » parle exactement de cela : de ta résurrection. Je t’offre un moyen de survivre, un vaisseau, un équipage, des missions dangereuses, des amis exceptionnels et même une histoire d’amour, si tu veux.

LUCY ( suspicieuse ) : Je ne sais pas pourquoi, mais je sens venir l’arnaque…

ALRESHA ( l’air innocent mais détournant le regard ) : Je ne vois absolument pas ce qui te fait dire ça.

LUCY : Tu ne me regardes pas dans les yeux.

ALRESHA : Tu la veux, cette fic, ou non ?

LUCY : Bien sûr que je la veux !

ALRESHA : Cela impliquera certains sacrifices, tu en as conscience ?

LUCY : Quel genre de sacrifice ?

ALRESHA ( les yeux au plafond, l’air profondément embarrassée ) : Il se pourrait, par exemple, que le vaisseau dont il est question ne fasse pas partie de Starfleet. Que ton équipage soit composé d’une équipe hétéroclite de Klingons, Andoriens, Orions et humains un peu… spéciaux. Que ton histoire d’amour ne soit pas avec Fali. Et, oh, j’oubliais, que tu sois séparée de Spock. Pour très longtemps.

LUCY : Tu sais que tu m’as créée impulsive, particulièrement sensible à l’injustice et très douée en arts martiaux, n’est-ce-pas ?

ALRESHA : Pourquoi crois-tu que j’aie tant insisté pour répondre à cette interview en visioconférence ?

10) Les trois mots pour la définir ?

ALRESHA : J’aurais assez envie de répondre « le plancton », pour les fans de Kaamelott , mais je vais plutôt choisir « têtue », « loyale » et « ingénieuse ».

LUCY : Ne t’imagine pas que tu vas t’en tirer par cette basse flatterie.

ALRESHA : A toi de choisir tes trois mots.

LUCY : « Humaine ». « Illogique ». Et « fascinante ».

ALRESHA ( sur une impulsion ) : Lucy. Je suis vraiment désolée.

LUCY ( haussant les épaules ) : Tu sais ce qu’il te reste à faire pour te faire pardonner…

ALRESHA ( fataliste ) : Oui, je sais.

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C’était beaucoup trop adorable, mon cœur a fondu comme un marshamallow laissé sur le feu. :sob:

Et je me fais la remarque qu’on est très nombreux et nombreuses à avoir une relation… disons, « amour-haine » avec nos personnages ! :smiley: Se pourrait-il qu’il y ait des études sociologiques/anthropologiques/psychologiques à ce sujet ? :smirk:

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C’est faux.
J’adore mon OC et, si elle avait conscience que je suis là, elle m’aimerait aussi. C’est obligé ! :smiley:

Bon, sauf que j’ai pas fait mon coming-out, et du coup, elle pense encore qu’elle est maîtresse de son destin. :rofl:
Je n’ai pas hâte de lui casser ses illusions, elle est si mignonne.

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J’ai envie de faire l’interview de Raeni… mais j’ai déjà fait celle de Klothild… c’est tellement drôle à faire…

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Qu’est-ce qui t’en empêche? Moi je me tâte à faire celle de Kogan à l’occasion :slight_smile:

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Bon bah si on peut je la lui fais dans la soirée ! Elle va être ravie :joy:

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(Je suis tombée sur ce sujet plutôt intriguant et bien rigolo, donc, je vais m’essayer à l’exercice !)

Je vais inviter « L’empathe », de ma fic Arkenheart, sur le Hobbit. Elle n’est pas encore sur ce site, mais elle arrivera avec sa réécriture.


Un homme très âgé avance vers la scène, poussé avec beaucoup d’ardeur par une jeune femme.

DreamingHat : Allez ! Plus vite ! Tu ne peux pas passer ta vie dans une grotte !

L’Empathe : Partons ! Il n’y a rien de bon ici pour moi.

DreamingHat : Mais si ! Tu verras. Présentes toi, laisses-les te connaître un peu ! Qui sait, tu leurs plairas peut être ?

L’Empathe : Me présenter ? Je n’ai plus de nom à leur donner. Plaire ? Dans quel but ? Mon histoire n’est même pas présente ici.

DreamingHat : Ça viendrait plus vite si tu y mettais un peu d’effort ! Maintenant, on y va !

  1. Comment vous vous êtes rencontrés ?

L’Empathe : Rencontrés ? C’est ainsi que vous nommer cela ? Cela n’avait rien d’une rencontre. Il s’agissait d’une malédiction ! Ni plus, ni moins !

DreamingHat : (rire gênée) Ne l’écoutez pas, il était perdu. Il errait sans raison, je me suis approchée et je lui ai demandé un peu d’aide pour des amis.

L’Empathe : Des amis ?! C’était des nains ! D’effroyables nains, pleins de sombres pensées. Je regrette chaque jour d’avoir un jour suivit cette femme.

DreamingHat : Mais depuis tu as une raison d’être !

L’Empathe : Tout ce que j’ai depuis ce sont des maux de têtes et beaucoup de tourments !

DreamingHat : Aie, la vérité blesse. Je te promets un meilleur avenir ! (sourire innocent). Question suivante ? S’il vous plait…

  1. Potes ou pas potes ?

L’Empathe : L’amitié ne m’est pas permise. Je ne vis que pour moi-même, dans la solitude et dans ma caverne ! D’ailleurs, j’y retourne ! Il y a bien trop de pensées ici !

DreamingHat : (le retenant) Non, non ! Moi, je t’apprécie sincèrement. Je sais que tu as besoin d’être à l’écart de tout. Mais, je m’attache tout de même avec l’espoir que tu finisses par goûter à la vie.

L’Empathe : Je dois avouer, j’apprécie votre compagnie fortement éloignée.

DreamingHat : Du coup on peut compter comme potes ?

  1. S’il était une musique ?

DreamingHat : Hum, voilà une question bien compliquée.

L’Empathe : À quoi bon me faire souffrir la présence des vivants si vous n’êtes pas capable de répondre à leurs questions ?

DreamingHat : Fear the dark, d’Iron Maiden. Il a peur de tout ce qui vit, tout ce qui l’entoure. Tu sais, tu ne pourras jamais avancer si tu vis toujours en regardant derrière toi ?

L’Empathe : Très bien. Journaliste. Imaginez une comptine, une horrible comptine, celle qui reste dans vos mémoires et hante vos journées. Elle ne vous lâche plus, c’est bon ? Elle pourrit votre existence ? Et bien voilà, c’est tout à fait elle !

DreamingHat : Hmpf ! Je sais que tu as dit ça sous la colère. Je te connais mieux que ça. Passons !

  1. S’il était un film ou une série ?

DreamingHat : Deux frères je pense, l’un des tigres est comme ses mauvaises pensées, sa peur constante et son côté aigri. L’autre frère c’est son bon fond, qui au final, va apporter la paix au deux.

L’Empathe : Vous continuez de croire que j’ai un avenir malgré tout. Je ne crains que vous ne me rappeliez ce film : Nerverland. Vous êtes comme cet homme, toujours à sortir des histoires, des petits rien qui rendent heureux au lieu de voir les problèmes en face !

DreamingHat : Je ne sais pas trop si je dois dire merci ou pas, là ?

  1. C’est l’enfant de qui ?

DreamingHat : Oula, non, non fallait pas demander ça…

L’Empathe : Ah ! Voilà ! Nous revenons toujours au cœur du problème ! Qui-suis je ? Si seulement je m’en souvenais ! Si seulement j’étais plus qu’une âme meurtrie…

DreamingHat : Vite, vite la suite avant qu’il ne nous fasse un monologue !

  1. Pourquoi ce nom ?

DreamingHat : Mais,… Vous le faîtes exprès ma parole ?

L’Empathe : Ce n’est pas un nom, mais un titre voyez-vous. J’ai perdu mon nom en même temps que mes souvenirs. Lorsque je déambulais dans les ruines de la guerre, j’absorbais les souffrances des vivants et des morts. Tant de peine… Je suis comme une éponge au milieu d’un lac de larmes. Pitiez, que l’on m’assèche…

DreamingHat : (murmure) voyons voir si on peut détendre l’atmosphère… Et mon nom ? Sais-tu au moins d’où il vient ?

L’Empathe : N’avez-vous pas simplement levée la tête et aperçu votre couvre-chef ? Et votre couleur préférée, le vert. Le reste rejoint votre film !

DreamingHat : Ouais… Ouais… Tu sais, génial. Ça parait bof quand tu le dis comme ça.

  1. Pour ou contre les fautes d’orthographes ?

L’Empathe : Contre ! Une moindre faute dans une formule et vous faites brûler le village !

DreamingHat : Je vais dire contre aussi, mais j’en fais beaucoup malgré moi.

L’Empathe : (regard plein de déception et de jugement) Évidemment.

  1. Chapitres longs ou courts ?

DreamingHat / L’Empathe : Longs !

L’Empathe : Le plus long que faire ce peut. Le voyage doit continuer car lorsque l’on arrive à la fin, il n’en reste rien, il n’y a plus aucune saveur…

DreamingHat : Une fin est obligatoire, elle sera toujours un nouveau départ !

  1. Une fanfic impossible ?

L’Empathe : (les yeux plissés, un sourire moqueur aux lèvres) Une fanfiction terminée ?

DreamingHat : OH ! Oh ! Alors là ! Oh c’est petit ! Je ne m’attendais pas à ça venant de toi !

L’Empathe : Vous auriez du me laisser dans ma grotte si vous aviez peur des vérités.

DreamingHat : Des vérités !?! Pardon ! Je te signale que je viens de finir et publier une fic !

L’Empathe : Une réécriture, parce que vous avez une séquelle en tête. Donc, l’histoire n’est pas terminée… Et moi ? Nous attendons la fin de notre voyage depuis combien d’années déjà ? 6 ? 7 ans ? Allons, ne vous voilez pas la face…

DreamingHat : Aucune fic n’est impossible ! hum… Sauf peut-être du Fluff… Enfin, ce n’est pas le sujet !

L’Empathe : Si, justement, c’est là le sujet.

DreamingHat : Oh ! mais, Grr ! Je finirai ta fic ! Et tu sais que tu seras dans la suite !

L’Empathe : Encore une fois, une suite. Je connais les voies de l’avenir, et je sais qu’il y aura toujours, une suite.

Et le dernier qui conclut l’interview :

  1. Les 3 mots pour le définir ?

DreamingHat : Dépression, espoir et trans-fandom ?

L’Empathe : Trans-fandom ?

DreamingHat : Je ne te l’ai pas dit ? Je te prédis un grand avenir. Tu le rejoindra « Lui ».

L’Empathe : « Lui » ? Oh, tu as donc une si haute estime de moi ?

DreamingHat : (souriant à ce tutoiement) Oui.

L’Empathe : Soit, vous voulez trois mots ? Gentille, Panda, Dragon.


Et c’est ainsi que se termine mon InteRview avec l’Empathe. Je me suis beaucoup amusée, je reviendrais sans doute avec mon deuxième et dernier OC.

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Hello, j’avais promis l’interview de Raeni ? La voici ! (bon, y’a un petit spoil qui normalement ne doit pas avoir d’impact sur l’histoire mais j’en suis actuellement à me demander si je pourrais pas m’en servir plus tard…)

Fahliilyol : Viens Rae, on a une interview !

Raeni : [Occupée à jouer avec des chagons] Une interview ? Comment ça ?

Fahliilyol : Ton histoire a suscité un vif intérêt auprès de mon monde, alors un journaliste est venu pour nous interviewer pour en savoir un peu plus sur toi, sur notre rencontre…

Raeni : Oh, sympa ça ! Laisse-moi juste le temps de me débarrasser de ces trois petits monstres et j’arrive !

  • Comment vous vous êtes rencontrées ?

Raeni : Houlà… J’ai croisé Fah au détour d’une ruelle, quelque part à Skyëlta. J’étais un peu recherchée, elle m’a reconnue et m’a aidée à quitter la ville avec mes compagnons…

Fahliilyol :… et comme j’en avais marre de ma vie fade, insipide et ennuyeuse, je les ai suivis en mer. Ca a beaucoup plu que je sache lire et écrire, pour consigner leurs aventures et leur histoire sur papier.

Raeni : Et en plus, Ayrik l’adore.

Fahliilyol : C’est réciproque, il est trop chou ce petit bout !

Raeni : [rit] Oui !

  • Potes ou pas potes ?

Raeni : Potes, bien sûr !

Fahliilyol : Oui, potes. Et je pense que ça peut s’étendre à l’ensemble des Braises de Mililian.

Raeni : Hum, oublie pas Khalyssa.

  • Si elle était une musique ?

Fahliilyol : Heu… Chaque fois que j’entends Protectors of the earth, de Two Steps From Hell, je pense toujours à elle. Ca répond à la question ?

Raeni : Une mélodie eldalienne typique, chantée par un véritable Musicien eldalien : légère, pleine d’imagination, vive, avec parfois des notes sombres mais vite remplacées par des notes d’espoir et de courage.

Fahliilyol : [rouge comme une tomate] T’en rajoutes, Rae…

Raeni : Prends confiance en toi un peu…

Fahliilyol : Confi-quoi ?

Raeni : [avec un sourire amusé] Le même truc qui fait défaut à Faelor. Au moins avant qu’on quitte Khaëlentis. [soupir] Il me manque…

Fahliilyol : Vite, prochaine question s’il vous plaît !

  • S’il/Si elle était un film / série ?

Fahliilyol : Je partirais bien sur Hunger Games ou Peter Pan. Ou pirates des Caraïbes. Ou un mix des trois.

Raeni : Peter pan, c’est par rapport au rêve d’Ayrik ou…?

Fahliilyol : Son bateau volant, surtout.

  • C’est l’enfant de qui ?

Fahliilyol : Raeni est la fille d’une simple couturière elfe de feu et d’un ancien assassin alfombre.

Raeni : [bug] Attends, quoi ?!

Fahliilyol : [gênée] Mince, tu savais pas ? Ton père a bossé pour les thalëni pendant plusieurs années en tant qu’assassin. Il a arrêté quand il a rencontré ta mère et qu’elle est tombée enceinte de toi. Il voulait vous protéger toutes les deux. C’est entre autres pour ça qu’il a reçu un poignard pour services rendus à la ville quand t’avais six ans. Ses compétences lui ont permis de faire tomber un vaste complot d’assassinat contre un mage de passage à ce moment-là.

Raeni : [silence total, tête choquée].

Fahliilyol : Heu, question suivante s’il vous plaît.

  • Pourquoi ce nom ?

Fahliilyol : Parce que ça sonnait bien. Bon, plus sérieusement, de base, c’était le prénom que j’avais choisi pour une pirate jamaïcaine, quelque part entre 1690 et 1718. Un personnage de RP qui a finalement gagné de l’importance dans mon coeur et à Eldalis. Comme d’habitude, il m’a fallu un temps fou pour arrêter mon choix dessus et pas mal de recherches.

Raeni : [encore choquée par la révélation juste avant] Papa… assassin…

Fahliilyol : [câline Raeni] Hé, remets-toi…

Raeni : [ne répond pas]

  • Pour ou contre les fautes d’orthographes ?

Fahliilyol : Contre, encore une fois. Franchement, vous êtes qui pour imaginer la possibilité qu’on puisse être pour les fautes ? Ca tue la langue, et…

Raeni : C’est bon Fah, on a compris. Et tout le monde n’a pas ta facilité en orthographe. D’ailleurs, quand tu écris vite ou que t’es fatiguée, t’en fais aussi.

Fahliilyol : C’est exceptionnel…

  • Chapitres longs ou courts ?

Fahliilyol : Houlà. Plutôt long, je suis obligée d’en couper certains pour les publier.

Raeni : Des fois t’as du mal à remplir, hein.

Fahliilyol : C’est rare, en général j’ai plutôt tendance à me casser la tête pour ne pas dépasser les deux mille mots par chapitre…

  • Une fanfic impossible ?

Raeni : Une fanfiction où Fah ne martyrise pas ses personnages ?

Fahliilyol : [boude] Hé ! Vous vous êtes passées le mot avec Klothild ou quoi ?

Raeni : Si on est deux à le penser, c’est que ça ne doit pas être entièrement faux…

  • Les 3 mots pour la définir

Raeni : étonnante, imprévisible, imaginative.

Fahliilyol : intrépide, têtue, attachante.

Raeni : Têtue ? Moi ? Tu t’es pas vue !

Fahliilyol : T’es la pire de nous deux, hé !

Voilà voilà, ainsi s’achève l’interview de ma petite Raeni. J’espère que ça vous plaira ! Je me suis bien amusée en l’écrivant, autant qu’avec Klothild !

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Bon, vu que j’ai eu une petite baisse de moral ces derniers temps, je pense que ça me fera du bien de me changer les idées. Et justement, je gardais ce sujet sous le coude…
J’ai pas mal hésité sur le personnage avec qui je pourrais faire l’interview, et j’ai finalement opté pour Nemesi, que j’ai déjà présentée rapidement ici. J’espère m’en tirer sans dommages corporels… (Spoilers : non)

  • Comment vous vous êtes rencontrés ?

Nemesi : Je ruminais ma haine des Jedi tout en cherchant mon frère lorsque cet imbécile a débarqué et…
Zèd : Woah woah woah, comme tu y vas ! On dit bonjour, d’abord !
Nemesi : Chez les Sith, on se dit bonjour avec des éclairs de Force. T’as toujours envie ?
Zèd : Je suis presque sûr que tu mens… Mais je t’en prie, reprends ! Et pas d’éclairs par pitiééééééé…
Nemesi : Je disais donc que tu m’as interrompue dans ma quête de mon frère pour venir m’intégrer à tes bêtises d’histoire d’ampleur galactique. Et maintenant, j’ai aucune idée de comment je vais finir mais ça sera probablement pas en ayant atteint mon but… Vas-y, à ton tour de donner ta version.
Zèd : En réalité, Nemesi est arrivée assez tard sur mon projet et… Eh, pas d’éclairs ! Disons joker, alors !

  • Potes ou pas potes ?

Nemesi : Pas potes.
Zèd : Potes en devenir, j’espère.
Nemesi : Arrête de faire l’hypocrite. Te connaissant, au moment où je vais me rédimer, parce que je vais évidemment me rédimer, je vais avoir une mort horrible.
Zèd : Joker.
Nemesi : Eh, c’est ton deuxième !

  • S’il/Si elle était une musique ?

Zèd : Sans réfléchir, Fallen Angel de Three Days Grace.
Nemesi : T’es doué pour ne pas réfléchir, mais j’admets que ça me correspond bien. Tu m’aurais pas découverte en écoutant cette chanson ?
Zèd : Même pas ! C’est ma copine qui me l’a faite écouter, quelques temps après ta création !
Nemesi : Pour toi… Hier encore, de Charles Aznavour.
Zèd : Mais pourquoi ?! Elle est super triste, cette chanson !
Nemesi : C’est l’histoire d’un type qui fait des milliers de projets sans jamais se bouger pour les réaliser… T’es sûr que ça te rappelle personne ?
Zèd : Joker.
Nemesi : Ah non mais t’abuses !

  • S’il/Si elle était un film / série ?

Nemesi : Je commence ! Sans hésitation, Massacre à la tronçonneuse.
Zèd : Mais… Je suis pas un psychopathe…
Nemesi : Je te voyais dans le rôle de Kirk, en fait. Tu sais, le premier à mourir ?
Zèd : Eh ! Personnellement je me serais plutôt vu dans Moi, Daniel Blake par exemple, vu ma future orientation pro.
Nemesi : Pour que tu aides Daniel ? Ça supposerait que tu sois un minimum compétent dans ton boulot…
Zèd : … Bon, à mon tour.
Nemesi : Si tu dis 13 Reasons Why, tu vas te retrouver à manquer d’air façon Amiral Ozzel
image
Zèd : Gloups… Non, je pensais plutôt à La petite maison dans la prairie !
Nemesi : Je hais cette série.
Zèd : Justement, je t’imaginais apporter le chaos et la destruction chez les Ingalls.
Nemesi : Mmmh, ça me plaît…
Zèd, à part à l’intervieweur : On est d’accord qu’ils vont forcément la convertir au Côté Lumineux ?
Nemesi, à l’intervieweur : Pourquoi vous hochez la tête, vous ?
L’intervieweur : Joker.
Nemesi : Je vais tuer quelqu’un… Je vous jure, d’ici la fin de cette interview, je vais tuer quelqu’un.

  • C’est l’enfant de qui ?

Nemesi : De deux abrutis finis à la pisse.
Zèd : Attends, tu parles de tes parents ou des miens ?
Nemesi : Next !
Zèd : Pour une fois, je suis d’accord !

  • Pourquoi ce nom ?

Zèd : Ben “Nemesi”, du grec Némésis. On la voit comme la déesse de la vengeance…
Nemesi, le coupe : Ah ben bonjour l’inspiration !
Zèd : Non mais j’ai pas fini ! En réalité, c’est la déesse portant la colère divine, la “juste colère” en quelque sorte ! Némésis châtiait en particulier les mortels coupables d’hybris, c’est à dire de l’orgueil démesuré. Au vu de ta haine des Jedi, c’est un nom qui me semblait particulièrement indiqué.
Nemesi : D’accord, et la vraie raison ?
Zèd : J…
Nemesi : Fais très attention à ce que tu vas dire.
Zèd : Jjjjjjje le trouve joli ce nom, pas toi ?

  • Pour ou contre les fautes d’orthographes ?

Zèd : Je suis intransigeant envers moi-même et j’essaie d’être aussi tolérant que possible envers les autres.
Nemesi : Sauf si tu corriges une fic, là tu te comportes comme un Sith.
L’intervieweur : M’sieur Zèd, y a une sorte d’aura démoniaque qui émane de vous, c’est normal ?
Nemesi : Faites pas attention… Il essaie de m’amener vers la lumière, mais c’est moi qui finirai par le faire basculer dans l’obscurité.

  • Chapitres longs ou courts ?

Zèd : N’importe, tant que l’histoire est bonne !
Nemesi : N’importe, tant que je peux tuer l’auteur si l’histoire ne m’a pas plu !
Zèd : Vous pouvez couper ça au montage ?

  • Une fanfic impossible ?

Nemesi : Une ? C’est gentil, ça ! J’ai une meilleure question : une fanfic possible ?
Zèd : Mais…!
Nemesi : Réponds à ma question.
Zèd : Euuuuuuuuuuuuh… Sinon, tu as des pistes sur l’endroit où peut se trouver ton frère ?
Nemesi : Okay, cette fois ton compte est bon.
Zèd : Pas les éclairs, on avait dit pas les éclairs !

  • Les 3 mots pour le définir ?

Zèd : Implacable, perdue et désespérée.
Nemesi : Nul, nul et :black_small_square::black_small_square::black_small_square:.
Zèd : Il va être censuré, le dernier.
Nemesi : Un gros mot en trois lettres et qui te décrit à la perfection, crois-moi quand je te dis que tout le monde va trouver.
Zèd : Okayyyyyyyy, on a fini !

(Je précise juste que mon insulte n’est pas censurée par le forum, je l’ai fait moi-même – sinon mon gag tombait à plat :sweat_smile: Je le précise au cas où ça serait un oubli, parce que je m’attendais vraiment à ce qu’il soit censuré ^^ )

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loool ben faut croire que con est plus politiquement correct que ■■■ puisque lui est censuré (personnellement ce mot en trois lettres pour parler des fesses me paraît pourtant assez innocent!)

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Naaaaaaan XD Moi je dis, faudrait tester quels mots sont censurés, on pourrait avoir des surprises :sweat_smile:

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khof, oui bon bah je suis pas en avance, on sait…
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Jean désigne deux chaises de cinéma plantées devant une grande affiche bleu pâle qui spoile la fin. Oldie se demande comment elle a réussi à revendre les droits à un producteur (sans doute une productrice)… et hausse les épaules en repensant à Twilight. Maya regarde partout, et comme c’est juste une pièce assez vide, elle sort son briquet pour jouer avec. Elle ne fume plus mais ça lui donne quelque chose à faire.
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Jean : Bonjour, merci d’avoir répondu à mon invitation de dernière minute. Si vous le voulez bien, on va commencer tout de suite… Comment vous êtes-vous rencontrées ?

Oldie : Heu… Elle était sur un banc à cloper en cachette à deux mètres de mon personnage principal. Il me fallait une interaction qui montrerait le caractère et l’état d’esprit du héros. L’endroit était désert, elle a été embauchée immédiatement pour le rôle.

Maya : Ah ouais carrément !! Bah moi, j’ai été invitée par un mec journaliste au nom chelou, que je ne connaissais pas, pour une interview duo avec une dame que je ne connaissais pas. Je suis venue parce que c’était pendant l’histoire-géo…


J : Potes ou pas potes ?

Maya : (A Jean) Rapport à ce que je viens d’expliquer – et vu que ça fait deux minutes qu’on m’a dit comment elle s’appelait – bah… pas potes ! Par contre, vous vous êtes planté. Ché pas, mais ça doit plutôt être Odile, son prénom, nan ? (A Oldie) Vos parents, c’était des gens qu’avaient peur de rien… Odile-Nora ???

Oldie : Ils sont toujours en vie. Et ils n’ont pas choisi ça. C’est juste un nom de plume. Ça se fait chez les écrivains, pour avoir la paix.

Maya : Vous pouvez changer ou pas ? En deux secondes, je peux vous trouver un truc qui pète plus… Tenez « Paige Turner », c’est mieux non ? Pis ça fait un jeu de mot sympa.

Oldie : Mes lecteurs sont Français, je ne suis pas sûre qu’ils comprennent, tu sais. Pour moi, la réponse serait « potes » au fait. Parce que ça ne fait pas deux minutes, mais plutôt deux ans et demie…

Maya écarquille les yeux vers Jean, tournoie discrètement l’index au niveau de sa tempe, du côté pas visible.


J : Si elle était une musique ?

Maya : Non mais vos questions là ! J’en sais rien ! Un vieux truc, sûrement. Comment on dit ? Un classique vintage ?

Oldie :face_with_raised_eyebrow: : Deux fois vintage même ! Je vais répondre pour elle, « rapport à ce qu’elle a expliqué plus haut », et je dirais « Sleeping satellite ».

Maya : Connais pas. C’est qui qui chante ? C’est quel genre ?

Oldie : Tasmin Archer. Et c’est genre années 90.

Maya (s’étrangle avec un sourire admiratif) : Ouah mortel votre lifting, madame ! Vous pouvez me filer l’adresse pour ma mère ? Elle n’est ni sorcière ni vampire… Du coup, elle marque un peu, c’est normal.


Jean : C’est après la question sur les parents… Oldie, quelle chanson pour Maya ?

Oldie : Rho, j’en sais rien non plus !.. Au débotté comme ça, je dirais « Ironic » d’Alanis Morissette. Et pour Maya, j’ajouterai que c’est un spoiler.

Maya : Un spoiler de quoi ?

Oldie : De ton futur, tiens !

Maya : What ??? Vous avez voyagé dans le temps ?

Jean : Est-ce qu’on peut revenir aux questions ?

Maya : Non mais attendez, c’est vachement plus intéressant de savoir si ça existe les voyages dans le temps que vos questions bidons !

Oldie : C’est pas faux.

Maya : :grinning: Est-ce que je peux mettre « potes » à la question du début ? Alors dites, on pourrait aller voir mes parents quand ils avaient mon âge ? Parce qu’ils me bassinent tout le temps avec « Sunnydale » et ils sont un peu lourds avec ça…

Jean : La question sur les parents, c’est…

Maya : Mais on s’en foot, on n’a qu’à la mettre maintenant ! C’était quoi votre question d’après ?


Jean : « Si elle était un film ou une série »

Oldie : Ah bah là, c’est facile : « Buffy contre les vampires 2035 »

Maya :angry: : Mais comment ça se fait que vous connaissez ma tante ? Si vous venez aussi de Sunnydale, et que vous allez passer votre temps à vous extasier, je retire ce que j’ai dit. Monsieur Fanfisk, rayez, je vais remettre « pas potes ».

Jean : Très bien, je note ‹ pas potes › mais j’ai quand même l’impression que vous êtes pas les dernières pour papoter… … …

Oldie : Badoum, tshiiiih. (Jean fait la tête) Non, allez. Elle n’est pas si mal, j’aime la répartie.

Maya : Bon, c’est maintenant les parents ?

Jean : Donc… Comme ça, Oldie n’est ni un film, ni une série ?

Maya : Non. Ah si. P’têt. J’ai une idée : « Jurassic Park » ! :grin:

Oldie : Mhh, rapport au fossile bien conservé ?

Maya : Ha, vous êtes mentaliste ou un truc comme ça ? C’est exactement ce que j’allais dire !


Jean : Bon, c’est fini les digressions ? On est super en retard sur le timing… C’est la fille de qui ?

Maya : C’est ça, la question sur les parents ?! Bah bravo ! Mais je la connais la réponse ! Et pis madame Odile aussi. C’est nul de chez nul, vous êtes un vrai journaliste ?

Oldie : Note bien que si on avait fait l’interview l’an dernier, tu aurais répondu Andrew Wells pour ton père…

Maya : Mais c’est mon Papounet ! L’autre, c’est juste biologique. Il est comptable. Vous imaginez ?

Oldie : Ton père préféré, faudrait pas regarder de trop près à ce compte-là. Gestionnaire financier. Agent immobilier hors pair. Ancien archiviste spécialisé dans le surnaturel. Directeur d’école de Tueuses. Et il fait la vaisselle.

Maya : Ouais, c’est vrai. Mais avec lui, ça rend pas pareil.

Oldie : Mais la question de Jean n’est sans doute pas à prendre au pied de la lettre. Il veut savoir quel mélange de deux personnalités te définirait le mieux. Et si tu n’en sais rien, c’est pas grave, parce que c’est à moi de répondre…

Maya : Ouais allez, super. Encore un truc où je vais bien galérer quand ce sera mon tour… Et alors, si c’est pas vraiment mes parents qu’il faut dire… j’ai quoi ?

Oldie : Euh… Le problème, c’est que je n’ai pas du tout réfléchi en ces termes. Tu es un mélange de l’espièglerie et de la perspicacité de ta mère, avec le sens de la répartie franche de ta tante, la gentillesse et le côté affectueux de ton père, greffé sur un modèle d’ado de base que j’ai fini par ne pas trop garder. Et tu es intelligente. Trop sans doute pour ton jeune âge. Dommage, ça fait Mary-Sue.

Maya : Et ça, ça vient de qui ? :stuck_out_tongue:

Oldie (se racle la gorge) : Mh, ça vient de ce que tu es « observatrice »…

Maya : Ce qui me permet de réaliser que tu as répondu à côté ?

Oldie :sweat_smile: : Voilà !

Jean : Je vous le dis tout de suite, pour les suivantes, va falloir faire court…

Oldie : « En cinq mots ou moins » ? … Laissez tomber, c’est une catchphrase du fandom.

Maya : Mais c’est quoi un fandom ?


Jean : Rahhhhhhhh. Plus d’interruption ! Question : Pourquoi ce nom ?

Oldie : ça vient d’Hermione, que je voulais réduire en Mia, sauf que je le prononçais Maya.

Jean : Mais elle a rien à voir avec Hermione !!!

Oldie : Eh bah, allez interviewer sa mère ! Suivante.


J : Pour ou contre les fautes d’orthographe ?

Oldie : Contre.

Maya : Bah en même temps… quand on connaît pas les mots, c’est pas évident de savoir comment ils s’écrivent bien !

Oldie : Je sais. Ah, pendant que j’y pense, je suis pour la syntaxe aussi.

Maya : Ah mon parrain, il a parlé de ça, une fois.

Oldie : Ton parrain parle mal, il dit des gros mots et sort de l’argot aussi. C’est de ma faute s’il a l’air de se préoccuper de la syntaxe. Il ne devrait pas. Je l’ai rendu OOC… :grin:

Maya : Ché pas. Mais quand il écrit à ma maman en syntaxifiant, il y a plus de vocabulaire et c’est plus beau ! Après, je sais pas écrire des romans, mais ce qui est sûr, c’est qu’en vrai les gens parlent pas comme des bouquins… Pourquoi on a pas le droit d’écrire de la vraie façon qu’on parle ? Qui c’est qui dit : Que nenni que nenni, pourquoi n’aurait-on pas toute licence de s’exprimer, selon ce que le cœur et l’habitude nous dictent ? Quelle atroce manque de sincérité dans l’être ! Mais quel gâchis d’authenticité, madame ! :rofl: :rofl:
C’est TROP PAS moi, quoi !

Oldie : Ni toi ni personne… Mais c’est bien pour ça que je te laisse parler comme tu en as envie… Et je te félicite pour ton effort pompeux à souhait. Attends là, Jean va péter une durite…

Maya : C’est quoi une durite ?


J : Chapitre longs ou courts ?

Oldie : Longs mais je me soigne.

Maya : Moi, j’aime bien recevoir des longs mails de Spike ! Je les trouve toujours trop courts et…
Ok, ok.


J : Une fanfiction impossible ?

Oldie : Sherlock Holmes

Jean : Heu, c’est tout ? Juste « Sherlock Holmes » ?

Oldie : Oui.

Jean : Vous êtes vexée ?

Oldie : Non, je fais court.

Maya : Si vous l’avez vexée ! Pas grave Mme Odile. On parlera de tout ce qu’on a envie après ! Et toc.


J : Trois mots pour la définir

Oldie : Aimante. Piquante. Têtue.

Maya : Donc là en fait, c’était de vous que vous parliez ? Si j’ai bien compris qu’il ne faut rien prendre au pied de la lettre ?

Oldie (à Jean) : Vous voyez ce que je voulais dire à son propos ?

Maya : Et moi, j’ai le droit de jouer aussi ? Ou je servais juste de chaperon à votre rencard ?

Oldie (à Jean) : Vous voyez ce que je voulais dire ? Bis.

Jean : Vaguement. Mais ne vous en faites pas. S’il y a une prochaine fois, vous aurez peut-être un vrai journaliste, qui sait ?

Maya : Bon vous êtes vexé vous aussi ?!.. Hé monsieur Fanfisk, revenez ! C’est dingue comme vous êtes tous hyper susceptibles ! Faudrait pas prendre un tout petit poil de recul, non ?

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La porte de la salle se referme en claquant.
Maya se lève et sourit en regardant l’affiche où un couple s’embrasse. Mais il faut plutôt y voir… un élan. Rien à faire. Ces deux-là, en vrai, elle les shippe. Et elle s’en fiche que son nom ne soit même pas visible – alors que bon, tout le monde le dit – c’est elle qui est la vraie révélation de toute cette histoire…
Elle sort son téléphone et tape un petit message :
« Cher Spike, j’ai rencontré une meuf du futur qui dit qu’elle t’a rendu, je cite, haut haussé ??? Une idée de ce que ça peut bien vouloir dire ? »

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Mais naaaaaaaaaan :rofl:

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Je trouve le concept intéressant, du coup je me permets de « up » ce topic en y participant avec mon personnage principal de ma fanfic Zelda: Epon !

Epon: Euh… Okay ? Pourquoi pas ? :slightly_smiling_face:

  • Comment vous vous êtes rencontrés ?

Kam: La première fois, on s’est rencontrées sans se connaître lors d’une partie de Soul Calibur 2ème du nom (et ça remonte à trèèèèèèès longtemps). On a vraiment fait connaissance quelques années plus tard alors que je réfléchissais au scénario d’une histoire.

Epon: Autant dire que mon personnage est assez vieux, même si la fanfic dans laquelle j’interviens est plus récente. :slightly_smiling_face:

Kam: Récente… Il faut le dire vite. Ca va bientôt faire 4 ans que la légende du phénix bleu existe! :sweat_smile:

Epon: … Ah oui quand-même! :neutral_face:

  • Potes ou pas potes ?

Epon: Plutôt potes, même si je ne sais pas si Kam est la meilleure pote qu’on puisse avoir…

Kam: Hey, ça veut dire quoi, ça ? :frowning_face:

Epon: Autant tu peux être sympa avec moi et tes autres perso, autant tu peux aussi être hyper sadique avec nous.

Kam: Tu exagères un peu, quand-même !

Epon: Ceux qui liront ta fanfic s’en rendront compte, de toute manière. :unamused:

Kam: … Ok, question suivante! :sweat_smile:

  • S’il/Si elle était une musique ?

Kam: Si Epon était une musique, je dirais « Monster » de Skillet.

Epon: Carrément ?

Kam: Je trouve que les paroles de cette chanson collent bien avec ce que tu ressens à un moment dans ton histoire. Et puis le côté rock de cette musique va bien avec ton côté combattante déterminée. :grin:

Epon: Si tu le dis… :thinking:

  • S’il/Si elle était un film / série ?

Kam: La petite sirène ! :rofl:

Epon: T’es sérieuse, là ? :expressionless:

Kam: Nan, j’ai dit ça pour déconner. En vrai, je sais pas trop… Peut-être la légende de Korra ? (Dont je n’ai vu que les premiers épisodes, donc fiabilité 0 sur ce coup.) Je sais pas pourquoi, mais l’héroïne de cette série me rappelle un peu toi.

Epon: Je ne connais pas ce personnage plus que ça, donc bon. :sweat_smile:

  • C’est l’enfant de qui ?

Epon: D’une reine d’un peuple aquatique et d’un chevalier d’élite humain. :slightly_smiling_face:

Kam: Ok, ça, c’est fait !

  • Pourquoi ce nom ?

Kam: À la base, elle devait s’appeler Epona, exactement comme la jument de Link dans Zelda. Mais je me suis dit que ce n’était pas un si bonne idée que ça. Puis, j’ai pensé à Eponine… sauf que c’était un peu long à taper comme prénom. Donc j’ai abrégé en Epon, ce qui est très bien ! :yum:

Epon: J’aime bien mon nom, personnellement !

Kam: Tant mieux, parce que c’est un peu tard pour le changer !

  • Pour ou contre les fautes d’orthographes ?

Epon: Comment on peut être pour les fautes d’orthographes ? :face_with_raised_eyebrow:

Kam: Perso, je tolère les fautes d’orthographe quand elles ne sont pas graves. On en fait tous après tout! Après, ce n’est pas pour autant que je vais encourager les auteurs à en faire ! :smile:

  • Chapitres longs ou courts ?

Epon: Je ne suis pas écrivaine, mais je préfère lire les chapitres longs.

Kam: En tant que lectrice et auteure, je préfère les chapitres qui sont ni trop courts ni trop longs. Ceux tournant autour 4000 mots sont l’idéal pour moi. Au delà de 6000 mots, ça commence à faire trop long pour moi (sauf si c’est un one-shot) et en dessous de 2500 mots, je trouve que c’est trop court.

  • Une fanfic impossible ?

Epon: Comment ça?

Kam: Je pense que ça fait allusion au style de fanfic que je ne pourrais jamais écrire…

Epon: Si c’est ça, te connaissant, je pense qu’il t’est impossible d’écrire sur des choses que tu n’aimes pas, genre les romances guimauve et niaises, les relations abusives, les triangles amoureux, les lemons super détaillés, et d’autres trucs du genre.

Kam: Tu me connais bien de ce côté là! :joy:

  • Les 3 mots pour le définir ?

Kam: Si je devais choisir 3 mots pour définir Epon, ce serait brave, déterminée et têtue.

Epon: Et si je devais en choisir 3 pour qualifier ma créatrice, ce serait passionnée, tarée et sadique.

Kam: Mais je ne suis pas sadique! :confounded:

Epon: :expressionless:

Kam: Pas tant que ça!

Epon: :expressionless:

ENFIN BREF!
L’interview ce termine là-dessus. C’était vraiment sympa et drôle à faire! x)

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Hey ! Ça a l’air trop bien j’aimerais essayer mais je voudrais savoir : le personnage doit être inventé par nos soins ou pas ?
Merci d’avance !

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