[Rhythm Thief] fanfiction « La Menace de Chronos »

[manuemarie]

Bonjour tout le monde !

Après X temps, enfin, je suis très heureuse de pouvoir vous présenter ma plus grande fiction à ce jour ! Elle est sur l’univers de Rhythm Thief et les mystères de Paris (comme si c’était pas assez évident dans le titre, ah ah… ).

Bon, je commence par vous donner les infos, et on se retrouve ensuite !

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Titre de la fic : La Menace de Chronos

Type : il s’agit d’une séquelle/continuation, se déroulant un an après les événements du jeu.

Personnages principaux : Raphaël, Marie et Fondue dans ceux canons, et également des OCs ! Mais je pense qu’on voit un peu tous les personnages majeurs à différents moments.

Genres : Aventure (j’avais classé en Action, avant, mais à y réfléchir, ça ne correspond pas), Amitié. Ce sont les deux que j’ai mis sur le site, mais ça peut toucher à d’autres genres de temps en temps.

Rating : euh… Tout public (G), normalement, mais certains chapitres sont… plus difficiles (violences physiques et psychologiques, agression sexuelle, meurtres (oui, au pluriel, merci Hortense), etc.) que d’autres, donc bien évidement, je réhausserai le rating selon la maturité des chapitres.

Niveau de connaissance du fandom pour suivre : naturellement, c’est toujours mieux de connaître un peu l’univers, mais je pense que même sans avoir joué au jeu, vous serez en mesure de comprendre. La première partie avec Gwenny suit à peu près les événements du jeu (sauf quand elle met le bazar évidemment ). Donc vraiment, allez-y sans crainte, vous ne serez pas perdus (j’espère). Et si vous préférez avoir quelques repères, je vous renvoie à la présentation du jeu réalisée par mes soins, qui vous donnera les bases.
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Présentation :

Lorsqu’un soir d’été dans la capitale française, une jeune fille décide de retourner dans le passé et de modifier le cours des événements, elle déclenche une vive réaction en chaîne qui impacte de manière irréversible la vie de plusieurs personnes.

Commence alors pour un adolescent aux cheveux roux une aventure incroyable, où la notion de temps perd son sens et où il devra se battre pour sauver et protéger et tout ce à quoi il tient avant qu’il ne soit trop tard et que la vérité ne lui échappe.

Note de l’auteur : que dire ? J’ai beaucoup trop aimé ce jeu et je voulais lui offrir une suite (en attendant d’en avoir une officielle, je ne désespère pas). Cela a commencé tout bêtement, puis il y a eu des chapitres bonus, puis des scènes bonus (15 en tout, 5 par parties, merci le Nano !). J’espère vraiment que vous apprécierez, car ça reste mon plus gros projet à ce jour, et même si ce n’est pas mon premier, il a une place de folie dans mon cœur. C’est que huit-cent pages, forcément, on s’y attache, je crois que je n’écrirai plus jamais quelque chose d’aussi volumineux.

Lien : Ici !

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On commence donc l’aventure avec le – Prologue – (oui, c’est mieux de commencer par le début) !

Un soir de juillet à Paris. Un jeune rouquin accompagné de son chien se prépare à retrouver le lendemain une amie perdue de vue depuis trop longtemps lors d’un pique-nique surprise. Il ignore qu’il est espionné par une mystérieuse adolescente qui semble avoir un objectif en tête, et est bien décidée à l’accomplir.
De son côté, une violoniste qui ressasse de lointains souvenirs et espère le retour d’une personne qui lui manque terriblement, trouve un peu de réconfort dans les bras de sa mère.

Celui que vous pouvez lire est une version réécrite de l’ancien prologue que j’avais rédigé à l’époque (il doit toujours être sur DeviantArt, d’ailleurs), parce que l’ancien… ne me convenait pas, tout simplement. Donc exit, et place au nouveau !
(Entre parenthèse, j’ai laissé le premier chapitre en ligne, pour ne pas supprimer le commentaire qui y est associé)
On suit le point de vue de trois personnages successivement : Raphaël, le principal protagoniste du jeu, une mystérieuse fille encore inconnue pour l’instant, et Marie, la co-héroïne, si l’on peut dire !

Pour la chanson en italien, il s’agit de Miss You reprise par Hatsune Miku. je l’ai découverte il y a un moment déjà, et je l’ai trouvée sublime. Elle correspond surtout très bien au complexe, ce qui explique pourquoi je l’ai choisie. Je l’ai par contre un peu raccourcie, pour que le prologue reste court, mais si vous voulez l’écouter en entier, cliquez sur le lien ! Pour garder ce post court, je ne vais pas vous proposer une traduction de toutes les phrases, mais si ça vous intéresse, vous pouvez toujours me contacter par message privé !
Vous retrouverez de temps en temps, comme ça, des chansons dans mes chapitres, en français, en anglais, et même une en italien (encore), dont les paroles seront intégrées au texte du chapitre, donc ne soyez pas surpris ! Ce ne sera pas tout le temps, je vous rassure.
Une autre chose que vous trouverez également pour chaque chapitre et début de partie, c’est une citation ! Certaines sont anonymes parce que l’auteur est inconnu ; elles reflètent l’ambiance générale de chaque chapitre.

Passons maintenant aux détails d’ordre plus pratique.
D’abord, voici la « bannière » de ma fic, que je me suis amusée à bricoler !

Si j’ai le temps, un jour, j’essayerai d’en dessiner une vraie, mais j’ai trouvé ce site qui m’a aidée à la réaliser, donc ça fera l’affaire pour l’instant. La photo est de moi, et la mise en forme également.

Autre point, la publication des chapitres.
On ne va pas se mentir, jusqu’en mars, ce sera très hasardeux (vacances, concours, etc.) donc je préfère ne pas donner de rythme ou de date de publication du premier chapitre, pour ne pas les tenir au final. Chaque fois que j’en ajouterai un nouveau, je viendrai le préciser ici. On verra comment tout cela se présente !
Pour précision, la fanfiction principale a un prologue, deux interludes et un épilogue, en plus des quarante-cinq chapitres séparés en trois parties de quinze chapitres chacune. Les trois chapitres bonus arriveront à la fin de l’épilogue (pour la raison évidente de ne pas spoiler), et je vous préviendrai également lorsqu’il y aura des scènes bonus (que je publierai dans une fanfiction à part) ! Il y a un chapitre spécial Noël, aussi, mais j’attendrai là encore d’avancer dans l’histoire afin de ne pas gâcher le suspense.

Eh bien voilà, c’est à peu près tout ce que j’avais à dire (c’est déjà pas mal), on se retrouve donc dès que je suis prête pour le premier chapitre, et le tout début de l’action ! Si vous avez des remarques, questions ou autre, vous savez où me trouver !

Take care et see you soon !

[BakApple]

Ouiiiii enfin !!
Depuis combien de temps j’attends que tu mettes en ligne la nouvelle version ?
Je suis trop heureuse, j’ai hâte de (re)lire ta fanfic !
Merci pour la publication ! Et courage !!
(imagine ici le petit emoji fantôme qui fait un câlin)

[manuemarie]

C’est à nouveau moi !

Eh bien, on se retrouve plus vite que ce que j’espérais, ma foi, une semaine pile après le précédent chapitre ! Il est temps de commencer à rentrer dans l’action avec le – Chapitre I – de cette première partie, « Remonter dans le temps » (c’est pas très difficile de comprendre pourquoi il s’appelle comme ça) !

Paris, deux-mille-treize. Gwen, adolescente au caractère bien trempé, a rendez-vous avec une connaissance appartenant à une étrange organisation.
La raison ? Elle se prépare à revenir un an en arrière grâce à un ancien artéfact babylonien pour empêcher une succession d’événements de se produire, et permettre à Napoléon de reconquérir sa place légitime à la tête de France. Mais avant son départ, elle se récapitule les derniers détails, tout en profitant de ses derniers moments avec Isaac.

On fait donc connaissance avec l’héroïne de cette histoire, qu’on va suivre pendant de nombreux chapitres, j’ai nommé Gwen ! Elle s’est d’abord appelée Iris, puis Blanche, et maintenant… Gwen. Un prénom simple, court et efficace. Je voulais un prénom qui évoque le blanc/la pureté, or Gwen signifie justement ça en… breton, je crois ? « Blanc »,« heureux » quelque chose comme ça. Assez paradoxal vu qu’elle est loin d’être un ange (vous verrez cela dans les prochains chapitres, hihi), loin d’être super heureuse, et qu’elle est Parisienne, mais osef.
Je vous ai fait des petits sketchs pour vous donner une idée de ce à quoi elle ressemble ! Cela me permet de travailler un peu le dessin. J’ai aussi fait des dessins numériques, mais je ne les ai pas sous le coude, donc il faudra patienter, ah ah. J’ai aussi fait un dessin plus grand, mais je le garde pour une autre fois !

C’est aussi l’apparition d’Isaac ! Pas sa dernière, vous aurez l’occasion de le revoir d’ici quelques chapitres.

La chanson est On ira, du célèbre Jean-Jacques Goldman ! Encore une chanson, de variété française, mais il n’y en aura plus avant un moment, maintenant. J’avoue que dès que je l’entends, maintenant, je l’associe à ce chapitre et à Gwen, ça fait drôle. J’ai mis intégralement les paroles de celle-ci, contrairement à la précédente (je croyais que le prologue était court, j’ai vérifié, il fait treize pages, aussi long qu’un chapitre normal, au secours).

Bon sang, je me rappelle encore quand l’idée a commencé à se former dans mon esprit et que j’ai écrit les premiers mots, qui a cru que ça deviendrait quelque chose d’aussi conséquent…

J’hésite à vous dire qu’on se retrouve la semaine prochaine ; je vais tout faire pour, mais je vais m’abstenir de donner des dates que je ne saurais tenir.
D’ici là, prenez soin de vous !

[manuemarie]

Rebonjour !

On se retrouve aujourd’hui pour le – Chapitre II – !

De retour dans le passé, Gwen cherche à s’assurer qu’elle a bien atterri à la bonne date, le dix juillet deux-mille-douze. Cela vérifié, son premier objectif est de se rendre au couvent Saint-Louré, où elle a rendez-vous avec Jean-François, pincé comme toujours. Elle doit lui expliquer pourquoi l’organisation a échoué à prendre le pouvoir l’an passé, et détailler son plan grâce auquel elle compte empêcher un tel échec de se reproduire. Tout semble reposer sur la rencontre entre Marie et Raphaël.

Je n’ai pas grand-chose à dire dessus, si ce n’est qu’il s’agit d’un chapitre plutôt calme. On retrouve un lieu important du jeu, à savoir le couvent Saint Louré (j’ai toujours regretté de ne pas avoir un aperçu de l’intérieur du bâtiment), où vit notre chère Marie… qui n’est pas encore là, mais ça viendra d’ici quelques chapitres. En attendant, on a le droit à une discussion entre Jean-François et Gwen !
Je dois admettre que j’adore ces petites confrontations entre eux deux.

Il faudra attendre le prochain chapitre pour constater très vite à quel point Gwen va être mettre le bazar dans l’histoire originelle (c’est sa spécialité) mais je ne vous en dit pas plus ! Il marquera également la première apparition de Raphie.
La semaine prochaine sera celle de mon concours blanc, cependant, donc le chapitre (s’il arrive) arrivera plutôt en fin de semaine.

À bientôt ! Profitez du calme avant la tempête hihi~

[manuemarie]

Oh, une revenante !

Plus sérieusement, je vous avais prévenus dans le message précédent que le concours blanc prendrait mon temps, dooonc, voilà. Je récupère à peine, mdr.

Bref, ne perdons pas de temps, et let’s move in on up avec le – Chapitre III – !

Après une discussion tendue avec Jean-François, Gwen quitte Saint-Louré et commence sa mission. Son premier objectif : dérober le bracelet de Tiamat, ancien artéfact responsable en grande partie de l’échec subi par l’organisation l’an passé, avant Fantôme R. Et ce n’est que le début.
Dans les entrailles du Louvre, entre codes secrets et discrétion nocturne, se met en place une compétition pour savoir qui des deux adolescents récupérera l’artéfact en premier. Raphaël risque d’être surpris…

Que dire, sinon que ce chapitre marque le début de l’action !
Raphaël fait sa première apparition, Josette aussi parce que why not (cette fille mérite plus de reconnaissance), et les premières divergences par rapport au canon apparaissent ! Je n’en dirai pas plus ici pour ne pas spoiler, mais vous pouvez faire confiance à Gwen pour mettre le bazar, hihi.

Je me suis toujours demandé à quelle heure commençait l’histoire exactement. Si l’on prend l’année de sortie du jeu comme celle où se déroule l’histoire (ce qui, à défaut d’une date précise donnée dans le jeu, reste cohérent), on peut partir sur l’année 2012, et des éléments, plus un rapide calcul, suggèrent que Marie et Raphie se rencontrent le soir du dix juillet, mais il n’y a aucune heure. Sachant qu’il fait nuit et que la nuit vient tard en été, la soirée doit donc déjà être entamée. J’ai du mal à croire que Marie, qui vit dans un couvent, puisse se balader aussi tard le soir en ville, mais enfin. Cela fait partie du plan de Jean-Jean, j’imagine. Neuf heures et demie me paraît pas trop mal pour ma part.

Que dire de plus ? Au départ, Gwen devait se rendre au musée à pied, mais euh, après vérification, rue des Francs-Bourgeois, à peu près où se situe le couvent, et le musée, ça fait une trotte… Donc finalement… métro.

Voilà, dans le prochain chapitre (qui compte parmi mes préférés), Marie fera enfin son apparition, et oh mon dieu, vous allez voir Gwen plus sassy que jamais, vous n’allez pas vous en remettre. On croise les doigts pour que je puisse le poster la semaine prochaine, mais comme je l’ai dit maintes fois maintenant, je vais m’abstenir de tout délais, surtout avec le vrai concours à la fin du mois :-))))))

J’espère que vous aimez toujours autant, et à bientôt !

[manuemarie]

Bonjour à tous !

Nouveau post pour annoncer le chapitre suivant (pour quoi d’autre, me direz-vous ? Ah. Ah.) Cela faisait longtemps, j’avoue, et d’ailleurs Gwen me foudroie du regard dans son coin . Pardon pardon, jeune fille, on reprend tes aventures tout de suite !
Nous arrivons donc au – Chapitre IV – !

Le bracelet de Tiamat entre ses mains, Gwen se concentre sur la phase suivante de son plan : empêcher la rencontre entre Marie et Raphaël. Entre la violoniste qu’elle ne supporte pas, un rouquin perdu, et Napoléon qui est lui aussi de la partie, la soirée s’annonce mouvementée pour l’adolescente.
Une nouvelle fois, elle va devoir compter sur sa débrouillardise et son jeu d’actrice pour parvenir à ses fins. Et qui sait ? La confrontation avec l’empereur est peut-être l’occasion de s’amuser.

Un de mes chapitres préférés, comme je le disais dans le post précédent !
D’abord, on a l’apparition de Marie, my small girl too precious for this world. Première apparition de Bonaparte également (ça me rappelle les artworks de lui où il est sans son casque et ouah, j’étais pas prête).

Mais, ce que j’apprécie le plus, sûrement, c’est ce côté tellement insolent de Gwen envers Marie (pardon, Marie, mais qui aime bien châtie bien, hmm ?), intérieurement, alors qu’extérieurement, elle est bien obligée de jouer les gentilles filles, et c’est vraiment drôle. Je crois que ce chapitre est celui qui fait ressortir le mieux l’hypocrisie de Gwen, et god, j’aimerais presque que ce soit comme ça durant toute la fic, mais character development oblige, il faut bien que Gwennie murisse aussi (soupirs).

En attendant, je vous souhaite une bonne lecture ! On se retrouve dans pas trop longtemps cette fois j’espère - mais ça devrait le faire - pour le prochain chapitre, où il n’y aura pas tellement d’action, mais bon, une petite pause fait toujours du bien ! Et si tout va bien, vous aurez même droit à une petite surprise !

[manuemarie]

Coucou à tous !

On se retrouve aujourd’hui (un jour en retard, mais who cares) *pour le – Chapitre V – !
Mine de rien, sachant que chacune des trois parties comporte quinze chapitres, on atteint déjà quoi… 1/9 de l’histoire environ ? Et ça ne fait que commencer, on n’a même pas effleuré la surface.

Après une confrontation éprouvante avec Napoléon, les filles se mettent en route pour le couvent Saint-Louré, et discutent pour passer le temps. Elles sont accueillies par Jean-François, qui informe sa complice qu’elle partagera la chambre de Marie, ce qui déplaît fortement à l’adolescente…
Une fois l’énigme du violon découverte et résolue, Gwen se livre à une petite prestation musicale que la propriétaire de l’instrument apprécie beaucoup, et réfléchit aux événements à venir.

Un chapitre « tranquille », sans véritablement d’action ni de grande révélation (fun fact : à l’origine il était censé être plus court et s’arrêter après la scène de la douche but welp). Le savon avec lequel Gwen se lave est à la lavande ; cette plante est en quelque sorte son symbole - vous aurez l’occasion de le remarquer dans d’autres chapitres -, avant tout parce que la lavande a une signification très personnelle pour moi, ergo la raison pour laquelle je l’associe à ma petite protagoniste. Ce ne sera pas la seule personne à posséder un symbole, mais j’y reviendrai lorsque l’occasion se présentera.

Pour les curieux, voilà à quoi ressemble la Toccata et fugue en ré mineur dont il est question dans le chapitre (version violon, bien sûr) :

Toccata et fugue BWV 565 de Bach

Je vous avais promis une petite surprise, donc je m’y tiens ! Voici un dessin de Gwennie, réalisé au critérium il y a plusieurs semaines, pour fêter ce cinquième chapitre. Je n’avais pas de feutres sous la main, donc ça reste assez simple, mais à l’occasion je promets de vous offrir des dessins en couleurs et ceux numériques que j’ai faits également.

Elle a l’air en colère la miss parisienne… Quelque chose à voir avec le contexte social actuel peut-être ?

Sur ce, j’espère que cette histoire vous plaît toujours autant, et je vous dit à bientôt pour le chapitre suivant, axé notamment autour de la cathédrale Notre-Dame !

[manuemarie]

Hello !
Aujourd’hui est un beau jour pour une nouvelle publication, aka celle du – Chapitre VI –.

La chasse à la couronne du dragon commence ! Après un petit-déjeuner où Marie apprend avec bonheur de Jean-François qu’elle va pouvoir rencontrer sa mère, une célèbre duchesse, le lendemain, à la grande tristesse de Josette, elle et Gwen se rendent à la cathédrale Notre-Dame, afin d’y récupérer le diadème lui-même.
Elles le récupèrent grâce à la princesse de la lune, mais Napoléon et son armée de Chevaliers sont aussi de la partie… Le pouvoir d’un certain bracelet suffira-t-il à les aider ?

On commence donc une nouvelle journée, axée sur la recherche de la couronne du dragon à Notre-Dame ! Violon, (ré)apparition de Napoléon et émotions en perspective !

Et… c’est un peu tout ce que j’ai à dire concernant ce chapitre, ma foi.
Allez, un peu de princesse de la lune parce qu’elle est sublime cette mélodie :

Rhythm Thief OST DISC1: 24 Moon Princess 月の姫君をひけ

Pour vous hyper un peu, sachez que le prochain chapitre aura droit à sa première scène bonus ! J’en reparlerai plus en détail la semaine prochaine !

D’ici là, portez-vous bien et des bisous !

[manuemarie]

[Entre Gwen]

Bonjour tout le monde. D’habitude c’est Marie – l’auteure, hein, pas la protagoniste – qui présente le chapitre du jour, mais elle est visiblement occupée… (comme si moi-même je ne l’étais pas avec toutes ces galères que je dois vivre, mais bref) donc c’est moi qui m’en charge (soupire) (regarde sa feuille). Il y a déjà assez de retard, alors c’est parti pour le – Chapitre VII –

Désormais seule, Gwen en profite pour se diriger vers le commissariat et y coincer Fantôme R, ce qu’elle parvient à faire avec brio. Alors qu’elle retourne à Saint-Louré, Raphaël est placé en garde à vue, et ce n’est que le début des ennuis…
Dans l’après-midi, l’adolescente retrouve Léon pour faire le point, et est comblée d’apprendre qu’elle recevra bientôt la récompense qu’elle espère tant. Elle est aussi forcée d’aider Marie à répéter en vue de l’important événement du lendemain.

Alors (lit ses notes), ce chapitre est assez important dans l’histoire puisqu’il marque un nouveau changement par rapport au canon, à savoir l’emprisonnement de Fantôme R au commissariat. Waouh, j’arrive pas à croire que j’aie vraiment fait ça. Je me débrouille pas mal.
Et désolée, Raphaël. Je ne décide pas du scénario. Mais j’aimerais bien.

Hmm, il paraît qu’on en apprend un petit peu sur mes motivations, lors de ma rencontre avec Léonard, et aussi dans la scène bonus, mais je vais y revenir dans un instant… (fronce les sourcils) Fallait vraiment que je m’agenouille face à lui, d’ailleurs ? C’est ridicule.
L’histoire continue ensuite tranquillement, avec pour dernière étape que j’aide Marie – la protagoniste, hein, pas l’auteure – à se préparer pour la journée à suivre, où on sait tous ce qui va se passer.

Voilà pour ce chapitre. Bonne journée et à la semaine-- (regarde sa feuille) Ah, oui, j’allais oublier…

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Ce chapitre est particulier parce qu’il inclut la Scène bonus 1, la première des quinze scènes bonus prévues avec cette fiction, cinq par partie. Allez savoir quelle idée a piqué Marie – l’auteure, hein, pas la protagoniste --… Voici le résumé :

Juste avant le repas de midi, après l’arrestation de Raphaël, Gwen et Jean-François ont une entrevue dans le bureau de ce dernier. La blonde donne la couronne à Graf, qui n’est manifestement pas très heureux des événements s’étant déroulés le matin même.
Très énervée par ses critiques, la jeune fille y répond de manière assez insolente, ce qui met le patron du couvent dans une colère noire. L’homme n’hésite pas à lui rappeler que quelqu’un en payera le prix si elle n’obéit pas sagement.

Comme indiqué, cette scène bonus se concentre sur Jean-François et moi, et se déroule entre l’arrestation de R au commissariat et ma visite à Léon.

Pour précision, les scènes bonus sont des « à côté » de ce qui se passe dans les chapitres, donc des side-story de LMdC en quelque sorte, mais ça reste de la continuation par rapport au canon, bien sûr. Ces histoires seront courtes et tourneront autour de quatre pages. Elles impliqueront le plus souvent deux personnages, qu’ils soient canon ou non.
Dernière chose, ces scènes bien qu’affiliées à la fiction principale, n’y seront pas incluses, mais seront regroupées dans une nouvelle fiction. Contrairement aux chapitres de la fiction principale, elles n’auront pas de citation.
La scène bonus suivante apparaîtra d’ici quelques chapitres, vous le découvrirez en temps voulu.

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Pfiou, cette fois je crois qu’on est bons, j’ai ENFIN terminé (jette ses notes en l’air) ! L’auteure vous donne rendez-vous la semaine prochaine – si tout va bien… – pour un de ses chapitres préférés ! D’ici là, elle vous dit de prendre soin de vous et espère que vous appréciez toujours autant cette fiction !

Et moi je vais aller prendre du repos vu tout ce qui m’attend encore (soupire). Je ne suis pas assez payée pour ces délires.

[theforestspirit]

Tu va encore trop vite pour moi Marie ! Même si je te rattrape doucement

[manuemarie]

Hey Forest !
Pas de soucis, prends ton temps ! Les chapitres ne vont pas s’envoler, et de toute façon, tu vois, j’ai un retard monstre sur mon planning. Je compte faire une petite pause entre la première et deuxième partie anyway (wait, ça sert pas à ça l’interlude justement ?)
Ahem.

Sur ce, il est temps pour le – Chapitre VIII – !

C’est le grand jour ! Marie va rencontrer sa mère à l’Opéra Garnier. Mais l’entrevue se déroule mal et la jeune fille quitte les lieux en larmes. Témoin de la scène, Gwen, assaillie par les émotions, voit toutes ses convictions s’effondrer, et, le pendentif récupéré, file consoler son amie.
À Montmartre, les larmes séchées, les filles profitent de leur temps ensemble autour de boissons, avant de rentrer au couvent, où Jean-François, énervé, confronte sa complice sur son comportement.

Comme dit la dernière fois, il s’agit de l’un de mes chapitres préférés (et long ? Je pensais qu’il faisait treize pages, en fait c’est dix-neuf ? Le choc que j’ai eu mdr) ! Même dans le jeu, j’ai trouvé les scènes et les musiques très belles et il y en a beaucoup que j’aimerais mettre ici, mais ça deviendrait vite n’importe quoi si je les mettais toutes, ah ah.
Je voulais mettre un petit dessin aussi pour ce chapitre préféré, mais bon, ça attendra. Une prochaine fois, promis (au pire j’éditerai) !

Surtout, ce chapitre est important pour Gwen, pour qui il marque une véritable remise en question alors qu’elle-même ne s’y attendait pas, et avec les conséquences que ça va impliquer de trahir l’organisation, hihi.
Que dire de plus ? Tout est vrai, de la boutique située sur le côté de l’Opéra, jusqu’au fait que des Halles, il n’y a pas de ligne directe pour rejoindre Abbesses. Le café où les filles se posent place Saint-Pierre – le café Ronsard – existe bel et bien, avec une vue imprenable sur le Sacré-Cœur. Le manque de réalisme viendrait plutôt du côté du jeu – comment ça Marie est seule dans les marches dans la scène où Raphaël la console alors que l’endroit est toujours plein de monde ?!

(Une chose que j’adore faire maintenant que je suis à Paris et quand je peux, c’est me rendre sur certains lieux du jeu (la deuxième photo est de moi d’ailleurs). Y a pas à dire, ils respectent vraiment les décors.)

Enfin voilà. Je ne vais pas m’éterniser, et vous dis à bientôt pour le prochain chapitre (qui arrivera… quand il arrivera). Sortez vos plus belles tenues car vous avez rendez-vous à Versailles !

[manuemarie]

Deux semaines après, voici le – Chapitre IX – !

Alors que l’après-midi touche à sa fin, Gwen et Marie partagent ensemble leur repas et font une bataille d’oreillers, véritables instants de complicité entre elles. La seconde est déterminée à accompagner la première dans sa recherche du dernier élément de la couronne, ce qui est loin de ravir cette dernière.
Le lendemain, après une journée de recherches, il est temps de se rendre à Versailles. Grâce à Charles, les deux filles peuvent entrer, et se préparer avant de jouer avec l’orchestre.

Au programme donc, premier des deux chapitres se déroulant à Versailles !

Certaines scènes n’étaient pas dans la version originelle, à savoir celle du début où Marie et Gwen font une bataille d’oreillers, et celle le lendemain où elles discutent au café avant de prendre le bus. IRL, je suis déjà allée dans ledit café - comme le Ronsard pour Montmartre -, et les intégrer dans cette fanfic leur donne d’autant plus d’importance pour moi, ah ah.

Sinon, je vous remets ici Air sur la corde de sol, tiré de la BO du jeu, parce que c’est un très bel air :

Sinon voilà, on a nos demoiselles qui enfilent des robes et bijoux. D’ailleurs comme Gwen, je me demande bien comment Marie a eu les oreilles percées, puisqu’on la voit avec des boucles seulement dans un mini-jeu (et sûrement dans la scène où Raphie l’invite à danser, une des plus belles ah la la).
Et le chapitre se conclut donc sur notre duo qui s’apprête à jouer dans l’orchestre ! Que va-t-il arriver ensuite ? Nos deux amies réussiront-elles à récupérer la croix ? Suite au prochain numéro ! Je pense que vous n’êtes pas au bout de vos surprises.

Merci pour votre fidélité, toujours ! Je vous dis à bientôt pour le chapitre suivant ! Dernier se déroulant à Versailles, après quoi les choses vont commencer à monter crescendo (c’était déjà le cas, mais bon.)

Sur ce, je vous dis à bientôt pour le chapitre suivant !

[manuemarie]

Oh, une revenante !

Bon, je pensais pas traîner autant, mais encore une fois, bah, la vie quoi, je vous épargne les détails. C’est parti après trois semaines d’attente pour le – Chapitre X – !

La fête bat son plein à Versailles ! Après avoir joué avec l’orchestre, place à la danse ! Marie se trouve un cavalier, et Gwen elle-même se retrouve, à sa grande surprise, à valser avec Isaac, qui accepte de libérer Raphaël.
Vient ensuite la recherche de la croix du Roi Soleil dans les jardins… et Marie se fait enlever par Graf, au grand malheur de son amie.
Enfin, dans le château rôde une mystérieuse jeune fille, qui est amenée à discuter avec une personne non moins intrigante.

On a l’occasion de voir Versailles plus en profondeur, là où ça restait léger quand même pour le dernier chapitre.
On a donc tout ce qui fait Versailles, à savoir banquet, danse, etc.

L’idée de Gwen sachant valser m’est venue de l’animé Julie et Stéphane (aussi connu sous le nom d’Alpen Rose), où Julie, qui elle a tout oublié de ses souvenirs, alors qu’elle se retrouve embringuée dans un gala, est plus ou moins contrainte par son cavalier à danser… et réalise qu’elle sait valser parce qu’elle l’a appris étant petite. Gwen est dans la même situation, elle n’est juste pas amnésique.

Autrement, rien de particulier, l’histoire suit tranquillement son cours. Je trouvai intéressant d’avoir le point de vue de Marie kidnappée par JF, et encore aujourd’hui je n’imagine pas à quel point elle a dû se sentir blessée. La pauvre…

Et puis, tadam ! On finit ce chapitre avec un nouveau personnage (pas si nouveau parce qu’elle apparaissait déjà dans le prologue, mais bon) ! Vous aurez l’occasion de la voir réapparaître, eh eh, et croyez-moi, elle va envoyer du lourd. Du très lourd.
Promis, dès que j’ai le temps, je vous ferai un fanart d’elle !

(Au passage, je voulais mettre quelques photos du château de Versailles, pour l’ambiance, mais elles ne passent pas…)

Allez, on se retrouve au prochain chapitre, et pour la hype, sachez qu’il y aura une scène bonus ! La deuxième, avec Raphaël et Isaac !

P.S. : la chanson du chapitre est Writing’s On The Wall, de Sam Smith. C’est la chanson d’ouverture de Spectre [James Bond]

Sam Smith - Writing's On The Wall (from Spectre) (Official Music Video)

[manuemarie]

Bonsoir !
Cela faisait un bail depuis la dernière fois, mais oh la la, je n’arrive plus à être très régulière avec les vacances, ah ah…
Mais aujourd’hui je me suis dit qu’il fallait vraiment poster un nouveau chapitre. Donc, on va essayer de remettre de l’ordre dans tout ça !

Première chose, je suis une grosse quiche. Pourquoi ? Parce que j’ai complètement oublié que le dernier chapitre (le X) comportait une scène bonus ! C’est en regardant dans mes docs que je l’ai réalisé (soupir).
Donc, je vous propose de commencer avec la Scène bonus 2 que vous auriez dû avoir avec le chapitre précédent, mais que vous n’avez que maintenant, vraie gourde que je suis uwu

Après son enlèvement à Versailles, Marie croupit seule dans une geôle sous les Invalides, où Jean-François et ses comparses l’ont emmenée. Tandis qu’elle s’inquiète pour Gwen, une coccinelle lui tient compagnie.
Elle peine encore à réaliser la trahison dont elle a été victime lorsque Graf en personne lui rend visite dans sa cellule. S’ensuit une discussion, au cours de laquelle la blonde en apprend plus sur les projets funestes de son ancien tuteur, qui a la couronne entière entre les mains.

Cette scène a lieu entre les chapitres X et XI, et tourne autour de Marie et de Jean-jean. C’est… plus ou moins mon interprétation de ce qu’une discussion entre ces deux-là « post-trahison » aurait pu donner, parce qu’on ne les voit plus interagir tous les deux après ça (bon, ils sont ensemble à la Tour Eiffel, certes, mais ne se parle pas).
Je n’ai pas grand-chose à ajouter, sinon que big hugs Marie .

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Passons au – Chapitre XI – !

Exit Versailles, Gwen prend le RER direction les Invalides afin de secourir Marie. Par chance, elle parvient à libérer cette dernière, mais tout n’est pas joué pour autant. Les deux jeunes filles doivent pouvoir compter sur l’aide de Raphaël, libéré par son père.
Le trio élabore un semblant de stratégie et Gwen échange sa place avec celle de son amie pour éviter l’émergence des jardins suspendus. Il n’est plus possible de faire demi-tour, et l’adolescente doit encore parler à la duchesse…

Il retrace le départ de Gwen du château, jusqu’à son départ de chez Raphie (ça doit être la millième fois que je lui décris sa chambre, à lui), et entre deux, ça bouge pas mal.
D’abord, rv sous les Invalides via le RER C pour secourir Marie. J’avoue que ça m’a toujours intriguée de savoir où l’organisation l’avait retenue captive du soir jusqu’au lendemain midi environ. J’ai opté pour une solution qui me paraissait logique, et de toute façon on aura jamais la réponse, alors…
(Entre parenthèses, vous avez remarqué la récurrence de la coccinelle, entre la scène bonus 2 et le chapitre du jour ? J’en ai vu une aussi en me promenant à cheval aujourd’hui ! Ce n’est pas un hasard mais un symbole… Vous comprendrez mieux dans les chapitres suivants ! Je ne spoile pas.
Sinon, que dire, il y a eu de légères modifications par rapport au départ, mais ce n’est pas nouveau, eh.

Enfin, Scène bonus 3 ! Celle dont j’ai eu l’idée la première et qui m’a incitée à faire toutes les autres. Comme dit lors du dernier post, elle concerne Raphie et son père, Isaac, donc on se doute que ça va être compliqué.
Le pire c’est que je suis convaincue que c’est un gentil et qu’il a une raison pour travailler pour l’organisation, mais ça on saura que si SEGA se motive à faire une suite (Samba de Amigo a été remis au goût du jour, peut-être que… ?

Toujours enfermé au commissariat, Raphaël a la surprise de recevoir la visite de son père qui vient le libérer. D’abord méfiant, le jeune homme accepte finalement de le suivre, seule possibilité pour lui de regagner l’air libre.
Dans les couloirs, le rouquin ne se prive pas de questionner Isaac quant aux raisons de son départ et ses motivations pour travailler pour l’organisation. Il se heurte à un mur.
Enfin sortis, il apprend qu’il va recevoir de la visite, qui risque de changer sa vie.

Cette scène, à l’instar de la précédente, se déroule avant le chapitre XI, donc je ne comprends même pas pourquoi je la présente en dernier, mais enfin. C’est la fatigue.

Voilà, maintenant avec tout ça, vous êtes partis pour ne plus me revoir pendant des semaines ! Plus sérieusement, on a dépassé les deux-tiers de la première partie ! Sachez qu’on approche de la tempête désormais, ça va devenir beaucoup plus musclé dans les chapitres à venir !
Il reste deux scènes, dont la prochaine tombe avec le chapitre suivant !

D’ici là, j’espère que l’histoire vous divertit toujours autant !

[theforestspirit]

En vrai j’ai rien lu pour pas me faire spoiler mais je te rattrape vite ehe !

[manuemarie]

Prends ton temps, Forest ! Je dois toujours répondre à tes commentaires moi, eh eh. Ne t’inquiète pas, tu auras le temps de rattraper la partie I qui se termine bientôt si tout va bien !

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Bonjour à tous !

J’ai un jour de retard, surtout parce que j’ai eu une idée hier qui est assez conséquente sur l’histoire (pour l’un des personnages surtout, en fait), et du coup, hier j’étais un peu noyée dans mes headcanon, donc j’ai tardé à relire le chapitre et surtout la scène bonus liée.
Ne perdons pas de temps, et commençons la présentation !

Comme je l’ai dit la dernière fois (enfin, je crois ?), on approche des derniers chapitres. Sans compter celui-ci (et l’interlude), il n’en reste plus que trois avant de clore cette première partie !
Voici donc le résumé de ce qui vous attend dans ce – Chapitre XII – !

Gwen se rend chez la duchesse afin de la convaincre de quitter son manoir pour éviter d’être enlevée le lendemain. Par chance, l’aristocrate l’écoute, et les deux femmes ont une discussion à cœur ouvert dans la nuit. De son côté, une fille rousse a une conversation avec un interlocuteur mystérieux…
Le lendemain, alors que Gwen se fait passer pour Marie, son plan tombe à l’eau lorsque Graf la démasque, avec Marie et Raphaël capturés.
Bientôt, les jardins suspendus apparaissent…

IRL tu m’avais dit que tu voulais savoir à quoi ressemblaient les jardins, Forest ?
Mouahaha, tu vas bientôt le savoir ! Je pense que la toute fin de ce chapitre va te donner un avant-goût de ce qui t’attend pour la suite.

Car je vous avais prévenus, on approche de la fin de partie, et donc c’est le CHAOS surtout à la fin (ce chapitre fait près de vingt pages, un sacré morceau en somme). Gwen sent douloureusement son plan se retourner contre elle, et c’est bien fait pour elle parce qu’elle n’avait qu’à réfléchir avant de faire n’importe nawak, donc SOUFFRE maintenant, eh eh.
(Je rigole, la pauvre, elle en a déjà beaucoup bavé dans sa vie, c’est triste, mais désolée Gwennie, tu dois suivre le script. Je te promets que tu auras un happy end…
Nan, je suis pas gentille au point quand même.)
En vrai, ces derniers chapitres vont être l’occasion d’en apprendre plus sur ses véritables motivations ! Je n’en dis pas plus pour ne pas spoiler, mais j’espère que vous apprécierez ce que je vous prépare !

Et puis, il y a cette rouquine (vivement que vous sachiez son nom que j’ai plus à l’appeler comme ça). Au début, je ne l’aimais pas plus que ça, mais là je relisais le chapitre, et omg, elle est savoureuse. Avec elle je me lâche. D’ailleurs, dans ce chapitre-ci il y a du vocabulaire cru (et même plus dans le début du prochain chapitre…) donc je vais rehausser le rating en conséquence, je pense. N’hésitez pas à me dire si vous pensez que c’est trop faible !

Pour ce chapitre, Scène bonus 4 donc !

Conformément au plan de Gwen, Élisabeth se rend au commissariat afin de prévenir son vieil ami l’inspecteur Paul Vergier du danger qui menace Paris. Elle doit normalement y retrouver Fantôme R, mais ce dernier n’est pas présent au rendez-vous…
Seule, la duchesse demande à voir Paul, qui, dans un premier temps, a du mal à prendre au sérieux les avertissements de l’aristocrate. Un appel d’un de ses subalternes par radio à propos de Chevaliers semant la pagaille parvient à le convaincre.

Une scène qui se déroule pendant le chapitre XII, et tourne autour de Paul et d’Élisabeth. Même s’ils n’interagissent pour ainsi dire jamais dans le jeu, je headcanone (c’est pas un vrai verbe mais osef) qu’ils ont une belle et longue amitié tous les deux. Au départ, cette scène comportait le double des quatre pages habituelles, mais je l’ai raccourcie pour qu’on rentre dans le format.
La prochaine (et dernière) scène de cette première partie aura lieu au chapitre XV et concernera Gwen et un autre personnage que vous allez plus ou moins « découvrir » dans les chapitres à venir ! Mais vous verrez tout cela en temps voulu, eh eh.

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C’est tout pour aujourd’hui (et c’est déjà pas mal). Il va falloir que j’aille présenter ça sur Twitter maintenant-- pardon, X , et en plus j’ai toujours pas présenté ceux d’avant aaahhh.
J’espère pouvoir faire quelques dessins et vous les montrer à l’occasion.

D’ici là, prenez soin de vous !

[manuemarie]

Coucou à tous !

Nous nous retrouvons cette semaine pour le – Chapitre XIII –.

Deux petites filles se retrouvent dans une salle de musique, mais les choses tournent très mal lorsque leur gardien arrive. Un déferlement de violence commence, qui marquera à jamais les deux enfants.
Dans les cachots des jardins suspendus, Gwen reprend connaissance, et réalise vite que les ennuis ne font que commencer. Heureusement, Marie et Raphaël sont là aussi, mais ce dernier a eu connaissance du véritable objectif de la jeune fille, ce qui créé des tensions entre les trois adolescents.

Ce chapitre comporte deux parties. Je vais éviter le spoil, mais disons que la première partie est… très très crue, et encore c’est un euphémisme. Il y a de la violence, beaucoup, énormément de violence. Alors, ce n’est pas gore, pas de sang ni de tripes, mais c’est très violent. Il y a donc de la violence physique, et pas que.
Lorsqu’elle a été écrite pour la première fois, certains passages n’existaient pas, et la violence était uniquement suggérée et laissée à l’interprétation du lecteur. Depuis, j’ai réécrit cette scène, et là je pense que je dois au moins passer en M, par sécurité. Mieux vaut trop haut que trop bas, ce qui est sûr c’est que ça ne peut pas rester en G.

La deuxième partie revient à Gwen, qui réalise toujours plus la mouise dans laquelle elle se trouve (par sa faute, n’est-ce pas), et ça ne l’aide pas qu’une certaine rouquine ait expliqué la vérité (enfin, la vérité qu’elle a bien voulu expliquer) à Raphaël, qui du coup, en veut à mort à Gwen, et on le comprend.

Le prochain chapitre marquera le temps des explications ! La fin de cette partie se rapproche doucement. Si tout se passe bien, j’espère la clore d’ici fin août, mais avec juste deux chapitres restant, ça devrait le faire (ne sous-estimez pas le puissant pouvoir de ma procrastination, cependant).

J’espère que ça vous plaît toujours autant !

[manuemarie]

Bonjour à tous !

C’est avec grand plaisir que je vous retrouve pour l’avant-dernier chapitre de cette histoire, le – Chapitre XIV – !

C’est l’heure des explications pour Gwen, qui essaye comme elle le peut d’évoquer ses motivations à une Marie compréhensive et à un Raphaël pour le moins rancunier. Ils essayent de trouver un moyen de stopper les jardins.
C’est alors qu’ils sont amenés devant Napoléon et Jean-François pour connaître leur sort. Si Gwen ne manque pas d’aplomb au départ, elle déchante vite lorsque Bonar lui avoue une vérité dramatique… avant de viser la fille de la duchesse avec son pistolet.
Et de tirer.

Aaaahhhh, on y est ! Ce chapitre permet de découvrir une bonne fois pour toutes LA motivation de cette tête brûlée de Gwen…

… à savoir son adorable petite sœur, Clémence.

Cette mignonne choupette, vous avez déjà eu l’occasion de « l’entendre » dans le chapitre V (c’est elle qui demande à sa grande sœur de lui jouer du violon ). Elle était aussi présente dans le flashback du chapitre précédent, avec Gwen et Jean-François, si vous ne l’aviez pas encore compris.

Mais c’est la première fois qu’on connaît enfin son prénom ! Et qu’on sait avec certitude qui elle est par rapport à Gwen (sa lumière dans les ténèbres). Ça explique pas mal de choses, hein ?
Fun fact, Gwen était supposée être fille unique, au départ. Et puis, de fil en aiguille, sa famille s’est agrandie, et voilà le résultat !
Pourquoi Clémence d’ailleurs ? Bonne question, je ne me souviens plus vraiment, mais en tout cas, j’aime bien ce prénom, et faire preuve de clémence est qualité que je respecte énormément. En plus, sa fête est le 21 mars, pile le jour du printemps .

Cette première mention officielle de Clemy est extrêmement importante pour moi, du coup, j’ai retravaillé le chapitre, depuis que je l’ai écrit la première fois, jusqu’au dernier moment, et même maintenant je ne sais pas si je suis totalement satisfaite. Même si on n’a pas encore eu l’occasion de faire sa connaissance, cette princesse est tellement importante pour notre héroïne ! C’est une chose que Jean-Jean et l’organisation ont bien compris et ils en ont profité . C’est si facile de faire pression sur quelqu’un en s’en prenant à une personne qu’il aime…

Je dirais bien que j’espère que vous allez adorer Clémence, mais Bonar a l’air de lui avoir définitivement réglé son compte, donc malheureusement… vous risquez de ne pas la connaître de sitôt…

Bon, pour me faire pardonner, je vous poste une photo d’à quoi ressemble cette cutie mistinguette – ça faisait longtemps que je n’avais plus posté mon art !

Bon, c’est pas le dessin de l’année, mais je suis contente de pouvoir utiliser ma tablette ! Et ça vous permet de visualiser Clémence. Je me suis amusée à lui mettre des rubans dans les cheveux, et son symbole – la coccinelle – sur son haut.
J’aimerais avoir le temps de m’améliorer en dessin papier/numérique, mais euh, je l’ai pas, ni les moyens de me payer des cours, et toute seule je sais même pas par quoi il faudrait commencer donc euh, j’y vais un peu au feeling. L’important c’est de faire de son mieux comme on dit !
Bon, je vous offre une version papier, qui, est je pense un poil meilleure.

Vous aurez plus de dessins au prochain post, j’en ai encore sous le coude ! Notre golden trio (enfin, quatuor, avec Fondue) réussira-t-il à sauver la capitale, ou sera-ce la fin de Paris et du monde ? Accrochez vos ceintures pour le dernier chapitre !
(Et comme toujours, j’espère que l’histoire vous plaît toujours autant !)

[manuemarie]

Hello, how are you, dearest friends?

(Oui, j’essaye de varier les formules, parce qu’après autant d’interventions, on se répète.)

Bon, c’est la dernière mesure de ce premier mouvement, pour dresser une comparaison avec la musique ! Voici donc la fin de cette première partie, le – Chapitre XV – !

La course contre-la-montre est lancée pour sauver Paris ! Raphaël poursuit Graf et Napoléon, tandis que Gwen récupère aux côtés de Marie, Paul et Élisabeth.
Mais pas le temps de se reposer ! La violoniste part aider le rouquin qui a bien du mal à éteindre les jardins, tandis que son amie essaye de retrouver Charlie afin de lui demander son aide pour s’assurer que rien de grave n’arrive aux deux adolescents.
Nos héros réussiront-ils et sortiront-ils vivants de cette arme destructrice ?

Nos jeunes amis ne sont pas en très bonne posture, avec Gwen au bord de la mort, Napoléon et Jean-Jean qui se baladent dans les jardins, et aucun moyen de stopper cette arme destructrice. En un mot, c’est le chaos, non pas que ça ne le soit pas depuis que cette aventure a commencé de toute façon

(Et vous n’avez même pas vu le pire avec la rouquine, hihi. C’est pas prêt de s’arranger).

Heureusement, devinez qui est là pour donner un petit coup de main ? Clémence ! Elle et Gwen se retrouvent enfin après avoir été séparées, et c’est l’objet de la Scène bonus 5 – la dernière de cette partie.

Après avoir protégé Marie en prenant une balle pour elle, Gwen se retrouve dans un entre-deux. Complètement perdue, elle est sur le point de baisser les bras.
Mais alors qu’elle renonce, le moral au plus bas, sa petite sœur adorée, Clémence, apparaît devant elle, et lui demande de garder espoir et de ne pas abandonner – on compte sur elle pour sauver Paris ! Elle parvient à ouvrir un passage pour ramener Gwen dans le monde réel, mais cette dernière ne peut se résoudre à abandonner sa cadette…

Pour l’anecdote, cette scène devait faire partie intégrante de l’histoire, puis le chapitre étant déjà assez long sans, hop, j’en ai fait une scène bonus, et comme ça ça me fait mon compte de cinq pour la première partie.

Clemy aide sa grande sœur à sortir de « l’état » dans lequel elle se trouve, grâce au pouvoir de leurs pendentifs respectifs.
C’est bête, je n’arrive plus à retrouver ceux dont je m’inspire. Les premiers étaient ceux-là, mais j’ai changé ensuite, et impossible de les retrouver. Ils ressemblent plus à ceux-ci maintenant… Bref, les deux colliers réunis protègent Gwen de la mort comme le médaillon de sa fille protège Élisabeth dans le canon. J’adore les colliers spéciaux comme ça~

C’est aussi Clem qui encourage Marie et Raphie au cœur des jardins suspendus ! Décidément, notre trio a de la chance de pouvoir compter sur elle.

En parlant des filles, tiens, je vous avais promis un peu d’art, donc chose due !

D’abord, un dessin papier de Clémence, coloré cette fois ! J’ai… toujours du mal avec le coloriage, que ce soit crayon de couleur, feutre, aquarelle… À chaque fois j’ai peur de faire une erreur qui gâcherait le dessin à jamais en le rendant irrécupérable – surtout que je trouve mes dessins au crayon pas trop mal –, et c’est pour cela que le plus souvent, je laisse mes dessins papier non colorisés. Un jour viendra peut-être où je passerai le cap et où l’angoisse me quittera mais en attendant, hum, je privilégie la sécurité.

Sur ce coup-ci, j’ai tenté le feutre, parce que ça me paraissait plus simple que le crayon couleur, mais le résultat ne me satisfait pas, même si ça pourrait être pire – certains de mes feutres s’épuisent en plus. Enfin, je tente des choses pour trouver ce qui me correspond le mieux, je saurai pour la prochaine fois !

Anyway, enjoy Clémence faisant du shopping !

Gwen, viens voir ! Cette tenue est incroyable !

Ce haut et cette jupe lui font de l’œil, on dirait .

Et, le deuxième dessin est numérique, lui aussi en couleurs ! Et pour la première fois j’ai essayé de mettre un peu d’ombrage, yeah !

Il s’agit de Gwennie toute fière de présenter sa sœurette à ses amis de classe de primaire ! Ladite sœurette elle, est beaucoup moins ravie et ne trouve rien de mieux à faire que de jouer à cache-cache derrière le dos de sa grande sœur (en même temps, y a-t-il endroit plus protecteur ? )

Et OF COURSE smol Clemy a des barrettes papillon dans ses cheveux, ça accentue son côté mignon . En plus elle adore ça, je ne vous raconte pas comment elle a fatigué Gwen en voulant jouer à la coiffeuse sur elle, et la pauvre devait n’en plus pouvoir non plus quand il fallait passer des heures à démêler et coiffer les longs cheveux de sa petite sœur ).
Sur le premier dessin aussi elle a des rubans, j’ai tendance à lui en ajouter tout le temps maintenant, hihi…

Sur ce, parlons de la suite.

Je vais freiner le rythme – beaucoup. Il y aura l’interlude le 25 août (vous en saurez ce jour-là, car oui, il y a une raison) et ensuite, si on passe à un chapitre par mois ce sera déjà un miracle. Le XVI a besoin d’être relu et remanié (et sa scène bonus également), et je compte relire aussi tous les chapitres de cette première partie pour encore enlever des fautes s’il y a. Et euh, avec ma vie perso, ça va être compliqué de tout gérer et de faire vite. Sans compter que j’aime beaucoup LMdC, mais je voudrais aussi me concentrer sur mes autres projets… (Coucou, Qui Tu Es, Une volte-face différente et Si je n’existais pas, pardon de vous abandonner )

On mise donc sur ce rythme là, et on verra si ça tient ou pas. Sinon il faudra être très patient ! Mais ne vous inquiétez pas, vous retrouverez Gwen, Raphaël et d’autres pour la suite de leurs aventures bien assez tôt ! Ils vous attendront sagement !

Merci beaucoup de me suivre jusqu’ici ! N’hésitez pas si vous avez des retours, des questions, des suggestions, des demandes, etc. je les accepterai avec plaisir !

Je suis heureuse d’avoir posté cette première partie en entier, je n’avais jamais été plus loin que quelques chapitres ici sur fanfictions.fr. J’ai si hâte d’avancer ! Si vous saviez ce qui vous attend pour la suite…

À bientôt pour l’interlude~

[manuemarie]

Et bonjour !

On se retrouve aujourd’hui pour le premier – Interlude –, qui marque une pause entre la première partie et la deuxième ! Nous avons donc franchi un tiers de l’histoire… et ce n’est pas fini !

Il était une fois… un roi et une reine, qui vivaient dans un royaume, entourés de leurs sujets. Mais la reine ne parvenait pas à avoir d’héritiers, plongeant la contrée dans la tristesse.
Un jour, elle rencontra une grenouille - en réalité une magicienne victime d’un sort - à qui elle rendit son apparence. Pour la récompenser, celle-ci lui promit qu’elle attendrait des enfants.
Mais une vilaine sorcière décida de gâcher ce bonheur, et seul un chevalier pourrait sauver le royaume…

Ce chapitre transitoire raconte une histoire (dans l’histoire, finalement). C’est une histoire comme on en a tous lu quand on était petits, mais celle-ci sort tout droit de mon imagination, afin de coller au mieux avec la fic – en ce sens, la citation « Qu’est-ce qu’un conte, sinon une version différente de la réalité ? » est parfaite. J’ai néanmoins repris beaucoup d’éléments de contes traditionnels (le baiser à une grenouille, le doigt piqué et le royaume plongé dans le sommeil, la personne retenue dans une tour par une vilaine sorcière, etc c’est pas du tout novateur, vous en conviendrez).

Pourquoi poster aujourd’hui (bon, en vrai c’était censé être hier, mais life happened). Eh bien parce que d’une part, il faut bien poster un jour, mais surtout, le vingt-cinq est un peu spécial.

Le 25 août est en effet la date d’anniversaire que j’ai attribué… à Clémence !
Ce qui fait d’elle une Vierge (ascendant Gémeaux, par opposition à sa grande sœur qui est Gémeaux ascendant Vierge, ce qui vous donne une vague idée de la période à laquelle elle est née).

Pour célébrer ça, petit dessin de mon cru !
(J’ai été un peu prise de court, alors ce n’est pas parfait, mais j’espère que ça vous plaira quand même !)

— On allume les bougies Clémence ? Comme ça tu pourras faire un vœu.

— Oui ! Mais on les souffle ensemble, d’accord ? Et j’espère que tu as prévu plein de cadeaux pour moi !

— … C’est tout ce qui t’intéresse ? Les cadeaux ?

— Ah ah, je plaisante, Gwen ! Partager cette merveilleuse fête d’anniversaire avec toi, c’est ça mon cadeau.

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Oh, et je me suis amusée avec Fotor (un logiciel IA) à imaginer à quoi les filles ressembleraient, alors cadeau !

Gwen

Clemy

(Ici l’image vient d’un Picrew que j’ai soumis à Fotor, contrairement à Gwen, où l’image principale était de moi)

Et la rouquine !
(Quand je vais pouvoir enfin dire son prénom ce sera si bien).

L’image est juste un Picrew que j’ai utilisé – je n’arrivais pas à avoir une représentation satisfaisante d’elle avec Fotor. Mais là, elle correspond beaucoup plus à l’image que j’ai d’elle. Je ne l’ai pas beaucoup dessinée, et ouf, elle a un peu changé de style à chaque fois, mais cette représentation-là lui va bien.

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Sur ce, ce que j’ai dit pour la suite tient toujours. Le rythme de publication va être ralenti. On mise sur un chapitre par mois, sachant que le prochain est prêt, et sa scène bonus aussi à présent ! Mais inutile de se presser, d’autant que les prochains chapitres ne manqueront pas de passages à travailler.
En parlant de scène bonus, j’avais l’habitude de préciser à chaque fois les deux personnages impliqués dans la scène, mais je viens de me rendre compte que la prochaine (qui concerne la rouquine) spoile son nom qu’on ne connaît pas encore… Donc, exit les noms, et pour que ce soit pareil partout je vais les retirer des précédentes (quand je les relirai).

Comme toujours, je ne vous donne pas de date de prochain chapitre. Mais on se retrouve prochainement !

D’ici là, prenez soin de vous !