Écrire, oui. Mais partager?

Ben, bien je reviens là dessus parce que les interventions de Fahli et BakApple m’y poussent un peu… :smiley:

Partager mais avec qui ? Pas les proches ! Non pas parce que je ne voudrais pas, mais parce que ça ne les intéresse pas du tout.
Et il est clair que ça les ennuie quand j’en parle.

Dans le langage corporel (qui est si peu utilisé dans les fics ! :stuck_out_tongue: ) je remarque une nette distanciation, un « recul » physique, plissement de paupières, le regard se barre dans les coins, et ça opine du chef très rapidement, avec un sous texte clair : oui, oui, bon abrège, abrège, ça va, j’en ai assez entendu, merci…
(D’où peut-être la poursuite de publication en ligne sur plateforme dédiée)… :sweat_smile:

Les contraintes ne m’aident pas à écrire. Elles me freinent ou me mettent en cale sèche. Les défis me font cependant écrire un type de texte que je n’aurais certainement pas pensé à faire. Je m’y astreints à ne pas faire moins bien.

Dans le dernier défi, c’était moins bien. Mon commentateur me l’a signalé et… J’étais d’accord. :stuck_out_tongue:
Mais la contrainte : remise à telle date + implicitement « pas écrire plus de 7000 mots » --parce que c’est déjà long – m’ont conduite à bâcler la fin. Parce qu’il faut finir vite plutôt que parce qu’il faut finir bien mais peut être dans 15 jours.

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Mettre en ligne, c’est le niveau zéro (ou 1) du partage. On « offre à lire ».

Je pense que je partage avec une seule personne quand je suis correctrice ou surtout bêta. Car je fais des remarques/retours sur tout. Bon, pas tout, tout :smiley: car ça me prend de deux à quatre heures de corriger, commenter, donner impressions, sentiments, compréhension, réécriture démo…
(Et bien plus de temps si c’est ce sont des chapitres de dix pages ou quinze pages qui me sont expédiés tranquillou…).

Mais pour moi, le vrai partage, il est là. C’est une plongée dans le texte d’un autre alors que d’habitude, je crawle en surface…

Je pense que je partage uniquement quand j’échange et que ça va au-delà du « small talk » (on a parlé des anglicismes parasites, non ?) :smiley:
oui on peut faire du small talk en commentaire ! Évidemment !

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J’ai été sur le fandom Doctor Who aussi, j’ai compris au bout de 3-4 fics que l’idée d’occuper un autre créneau moins encombré, sur un autre duo Docteur/compagnon était une mauvaise idée en termes de vues. L’originalité n’a pas été payante.

J’ai donc écrit longtemps (1 à 2 ans) pour moi uniquement quand j’étais dans ce fandom mais en laissant à dispo pour les générations futures. :slight_smile:

6 « J'aime »

C’est un autre détail dans le partage, ça, tiens.
Peut-être qu’on ne connaît pas le succès qu’on aurait aimé avoir (et parfois/souvent, qu’on mérite) parce qu’on était un peu trop précurseur dans le domaine… :stuck_out_tongue:
Partager, c’est bien, mais il faut être patient. On plante notre petite graine dans le fandom (ou la communauté, le village, comme vous voulez :wink: ) et on la regarde germer, pousser, se développer. En revenant sur la page de notre fanfiction quelques mois/années plus tard, on peut se laisser gagner par la surprise en voyant que, finalement, elle a eu son succès, qui n’était pourtant pas là dans ses premiers jours !

7 « J'aime »

Ça fait un moment que je voulais répondre à ce sujet !

D’abord, je pense que les deux sont effectivement liés sans pour autant que l’un entraîne forcément l’autre. Je veux dire par là que, à mon avis, on peut tout à fait écrire sur un fandom sans forcément échanger avec sa communauté. Cela dit, je trouve ça un peu dommage d’écrire dans son coin sans échanger avec ceux qui connaissent l’univers traité.

Je pense que certaines personnes le font ici pour certains de leurs écrits et chacun est libre de faire ce qu’il veut. Pour ma part, quand j’écris, c’est surtout pour moi, mais je tiens aussi à faire voyager/rêver le plus possible les quelques lecteurs qui auront la bonté (et la patience) de me lire. Comme je dis toujours, je ne m’attends à rien en terme du nombre de lectures, tout ce que je sais, c’est que je ne suis qu’un petit gars qui veut raconter une histoire. Et j’écris aussi pour m’améliorer, soit en écoutant les potentielles critiques d’autres, soit en lisant.

Comme je l’ai dit plus haut, j’écris avant tout pour moi (et pour enfin sortir cette histoire de ma tête que je garde depuis plusieurs années) et pour la communauté du fandom (ou "extérieure). Je sais très bien que ce que j’écris et vais écrire ne va pas plaire à tous et tant pis. Il faut faire avec. C’est pourquoi j’estime qu’il faut avant tout écrire une histoire parce que nous l’aimons. En la publiant, nous trouverons forcément des gens qui partagerons cet avis !

Ce n’est pas du tout mon cas. Je suis même presque totalement l’inverse. J’ai plus tendance à me concentrer sur mes propres écrits plutôt qu’à débattre (parce que je n’en ai pas trop le temps vu le temps que l’écriture me demande). Du moins, pour l’instant.

Cela nous fait un point commun ! Par contre, je n’ai pas eu la chance d’avoir un blog d’écriture au collège ni même de prof qui m’ont suffisamment boosté pour m’y intéresser.

Tout à fait logique. Comme je te comprends :sweat:

7 « J'aime »

(bon, je suis enfin arrivée à condenser mon pavé intergalactique. Ça m’aura juste pris une semaine. Du coup, beh, autant le poster).

Oui. @myfanwi l’a très bien exposé. Ça va même plus loin, les fandoms eux-mêmes sont liés à l’interaction avec leurs communautés. Y’a qu’à voir le nombre d’œuvres modifiées par leur(s) créateur(s), parce que des fans ont râlé (à tort ou à raison).
Et si on prend en compte les sites de fanfictions (la publication « classique » est différente), bah, ces sites (qu’on a évoqué dans le topic AO3, Wattpad et compagnie) sont pensés ainsi.

Pour ma part, je n’ai jamais aimé l’aspect communautaire des sites de fanfics (pour ça, les forums sont très bien). J’ai déjà eu l’occasion de parler de pourquoi je n’aimais pas les commentaires.
Les interactions avec les différentes communautés ne m’intéressent que modérément (voir ce qui s’y passe, oui ; échanger directement, rarement l’énergie et le temps, sans parler de mon incapacité à structurer une réflexion).

Pour ce qui est de l’écriture en elle-même, pour moi, c’est une activité solitaire, mais il arrive un moment où on va forcément être bloqué sans vision extérieure (perso, je lis beaucoup sur comment écrire, échafauder des scénarios, créer des persos…)

Totalement, je ne pense pas. Rien ne se crée à partir de rien. Si on souhaite progresser, une vision extérieure finira tôt ou tard par être nécessaire (je classe le fait de lire des livres/articles dédiés à l’écriture dans « vision extérieure »).

J’ai commencé à écrire (comme d’autres) à une époque où on n’avait pas accès à internet, donc tout était sur des feuilles volantes qui se sont, bien évidemment, perdues. Bon, je ne vais pas regretter mes écrits datant d’il y a plus de vingt ans, en revanche, c’est moins vrai pour les plus récents. Même si je les trouve horribles, ils sont témoins d’une époque, d’une évolution. C’est la raison pour laquelle j’ai publié un écrit sur internet la première fois : pour ne pas le perdre (à l’époque, je n’avais ni ordinateur, ni internet ; je l’ai publié au CDI du lycée :laughing:)(sans parler de ma passion pour l’archivage + quelques considérations d’ordre philosophique).
Tout ça pour dire que partager mes écrits avec d’autres personnes n’a jamais été le but premier. Plutôt un effet secondaire.

J’entends l’argument des gens qui écrivent pour s’amuser et pas pour progresser, je le trouve tout à fait légitime, mais j’ai du mal à croire qu’on ne finit pas par s’améliorer par la force des choses. Quant à faire évoluer son écriture seul, je renvoie à ce que j’ai dit sur la « vision extérieure ».

Aujourd’hui, je dirais que je partage mes écrits (sur les sites de fanfics) plus par force de l’habitude (la première fois que j’ai posté un texte, c’était en 2011… ça fait… 10 ans :scream:), il n’est pas exclu que je cesse totalement un jour, pour me tourner vers de l’archivage pur.

Il n’est pas exclu non plus que si, un jour, par un alignement des astres totalement imprévisible (à ce stade, même une invasion extraterrestre est plus probable), j’arrive à pondre un texte travaillé (donc volontairement poussé à mes capacités max et non un petit texte (humoristique) « vite fait, bien fait » comme à mon habitude), je vienne quémander un avis sur la forme (parce que j’en aurait réellement besoin, à ce moment-là).

Mais comme dit, c’est très peu probable, j’écris de plus en plus rarement (la dernière fois que j’ai fini un texte (et encore c’était un tout petit OS, 1400 mots) c’était il y a… 1 an). J’ai toujours considéré l’écriture comme un hobby comme un autre : je cherche à m’améliorer et j’ai surmonté quelques-unes de mes difficultés, mais actuellement, je suis un peu face à un mur. Écrire un texte au max de mes capacités est trop énergivore et chronophage et mon perfectionnisme naturel bloque de plus en plus toute tentative de texte dit « vite fait bien fait »…

In fine, les seuls textes que j’aime partager sont les humoristiques, qui n’ont d’autre but que de faire rire (même si mon humour ne fait probablement rire que moi).

Sans parler de débattre (rapport à mon incapacité à structurer une réflexion), eh bien, je n’ai jamais rien posté ici en dehors des défis ('fin pas que je me souvienne… de toute façon, ça n’y est plus)).

7 « J'aime »

Très intéressant comme débat ! Les réponses le sont tout autant !
Dans mon cas, j’ai commencé à écrire de façon tout à fait personnelle. À l’origine, jamais je n’aurais pensé un jour partager mes écrits auprès d’une communauté (c’était même inconcevable, personne n’avait le droit de lire ce que j’écrivais :laughing:). C’était une démarche très intime et personnelle, un exutoire, un peu comme une bulle hors du temps, un genre de repaire dans lequel me réfugier. J’avais une réelle pudeur autour de mon travail. L’écriture c’était pour moi au début une forme de développement personnel plutôt qu’une vraie démarche d’écrivain.
Puis je pense qu’avec les années, et les chapitres qui se sont enchainés, c’est devenu un exercice réellement plaisant, un hobby qui me détend et dans lequel j’aime progresser. Je me suis vue devenir plus perfectionniste, chercher mon style, essayer de rendre ce travail « joli ». C’est alors qu’est arrivé la curiosité de savoir ce que vaut mon travail. Est-ce que ce que je fais est complètement pourri ou bien au contraire ce que j’imagine est suffisamment riche pour intéresser autrui.
Plus personnellement, c’était aussi une forme de concrétisation dans mon parcours et mon développement. Un peu comme un hommage, en quelque sorte.
Si je devais apporter une réponse à cette question aujourd’hui, je resterai tout de même dans l’optique que j’écris avant tout pour moi. Partager mon histoire est sûrement une façon de me rassurer sur la qualité de mon travail. Cela s’explique aussi par le fait que je suis plutôt lecteur qu’écrivain. Le fait de débuter en tant qu’écrivain sera sûrement l’occasion pour moi de découvrir toutes les merveilleuses facettes qu’offre le partage de fanfiction au sein d’une communauté, d’un point de vue d’auteur :slightly_smiling_face:

9 « J'aime »

Personnellement, je pense que l’écriture et le partage sont liés. Bien que je ne nie pas que c’est marrant d’écrire pour soi, c’est toujours sympa de partager pour trouver des gens qui partagent nos centres d’intérêts, ou des conseils pour s’améliorer.
Mais il faut aussi faire attention quand on commence à poster des histoires multichap’ où on délaisse notre projet et on laisse les gens attendre pendant des années une suite qui n’arrivera jamais.
Pour éviter ça, je conseille plutôt de finir la fic avant de la poster, quitte à trouver des correcteurs ou des beta-lecteurs en cours de route pour revoir les chapitres qui n’ont pas été posté si il le faut.
Je pense que j’ai aussi une approche assez « dessineuse » de la question, vu que je ne poste pas un dessin tant que je l’estime pas fini, puis prend les conseils pour les dessins suivants.
(bon, après, écriture comme dessin, mon art n’agite pas les foules non plus, mais c’est un autre problème)

4 « J'aime »

Bonjour

Allez, je prends deux minutes pour ajouter mon grain de sel !

Comme toi, @choco_ethan, j’ai attendu avant de partager.
Tu as grandi avec ton histoire, elle avait besoin de mûrir et toi aussi avant la publication. Je comprends parfaitement ta façon de voir, j’ai moi même commencé à écrire pour « guérir » d’une certaine façon. Rien d’aussi dramatique et triste que toi, mais pareil, publier une histoire, c’est se dévoiler en quelque sorte, c’est prendre la parole dans un groupe, c’est se mettre en avant. Je pense que, en ce qui me concerne, le couvert de l’anonymat me permet d’oser plus de choses que ce que la « vraie moi » serait capable de faire. :blush:

Partager une histoire, c’est aussi la donner aux autres, il faut s’en détacher car elle ne nous appartient plus, c’est duuuur !!! :scream:

Mais d’un autre côté, qu’est-ce que ça peut bien apporter de garder des mots bien cachés dans un ordi ? C’est d’un triste ! Enfin, c’est comme ça que je le vois … même si , voilà, je fais de la fanfic de qualité discutable, j’en ai bien conscience, ce qui ne m’empêche pas d’avoir tissé un lien particulier avec les chapitres que j’ai écrits.

Donc, oui, on écrit pour soi mais partager nos histoires leur donne vie et c’est vraiment une belle chose qu’internet !!! (Raaa, je me prends un coup de vieux dans les dents parce que j’ai connu le « Avant Internet » … :cold_sweat: Mais comment on faisait ??? :yum:)

Belle continuation !!!

7 « J'aime »

Sauf que certains s’appuient sur les retours pour avoir l’élan de continuer. Pour ma part, je vais toujours au bout de mes projets donc j’attends d’avoir quelques chapitres d’avance et je publie tranquillement, genre un chapitre par semaine ou tous les quinze jours.

7 « J'aime »

Hop, petit déterrage estival. Il n’a pas plu dernièrement mais par ici la terre est meuble, c’est un plaisir à retourner.:ok_hand:

Ces derniers temps j’ai eu l’esprit plus clair pour faire une petite rétrospective sur mon rapport au partage en ligne, point qui a toujours été source de conflit pour moi. Et j’en suis venue à la conclusion que je ne pourrai jamais résoudre l’équation… Depuis 20 ans que j’arpente le web, j’ai remarqué une constante chez moi : tout ce que je mets en ligne, je finis par le retirer tôt ou tard, si bien sûr j’en ai la possibilité. Certes, rien ne disparaît jamais vraiment de la toile mais à défaut, on peut retrancher du contenu de la visibilité publique, bien sûr sans savoir si le contenu en question n’a pas été téléchargé ou écran-imprimé derrière. J’ai toujours aimé partager mes textes et j’ai toujours ressenti beaucoup d’enthousiasme et de soulagement à le faire, sur le coup uniquement. Car plus tard, seulement plus tard, l’angoisse toujours finissait par me saisir : je m’étais exposée, je me sentais mal à l’aise, je devais faire machine arrière. C’est une névrose et une tension permanentes chez moi qui ai toujours eu horreur de me faire remarquer tout en voulant absolument sortir de la solitude dans laquelle cette position m’enferme – et aussi parce que je suis communicative par nature, nonobstant : partager libère et enferme tout à la fois, dans le regard et le jugement des autres, ou dans leur éventualité. Pour vivre et être libre, il faut rester caché.

Je ne sais donc absolument jamais sur quel pied danser avec la publication de mes textes (fics ou autres) en ligne. Si je me retiens volontairement, je me sentirai mal, et si je les publie, sur le moment, je me sentirai bien, seulement pour me sentir mal quelques jours, semaines après, une fois l’enthousiasme primaire passé. Quand bien même mon contenu n’a pas de visiteurs et reste peu ou pas accrocheur pour X ou Y raisons, m’exposer à la terre entière (je n’exagère pas car dans l’esprit c’est ça, Internet, le monde entier peut tomber sur notre contenu), sur le long terme, me plonge dans l’inconfort absolu.

Ce faisant, je me suis quand même fait la réflexion qu’en matière de fanfictions, si je pouvais écrire en anglais, j’aurais moins de scrupules à partager mes textes : la fanfic en anglais, c’est la garantie de se fondre dans la masse, et je crois que c’est ce sentiment réconfortant qui me manque, en tout cas pour ce qui concerne la fanfic.

Créer et partager c’est assez addictogène quand on y songe : on crée, on partage, on se sent immédiatement super bien, mais la libération de dopamine est de courte durée, et vite il faut recommencer : créer, partager, voire surveiller et répondre aux commentaires, bref interagir, avec le stress que cela amène (on a des commentaires, c’est chouette, mais sont-ils positifs ou négatifs ? Des compliments ou des critiques, parfois non fondées, voire dénigrantes pour l’auteur ? Tout cela ajoute une pression supplémentaire à un processus déjà chronophage et énergivore)… tout cela est sans fin, et je trouve que c’est fatigant, pour ma part, quand bien même m’abstenir de partager quoi que ce soit me frustre également beaucoup.

In fine, écrire, oui… mais partager… je ne sais pas, je ne pourrai jamais résoudre cette équation, et aussi longtemps que je partagerai, je supprimerai mon contenu au bout d’un certain temps :person_shrugging: . Pas sympa pour les quelques lecteurs que je pourrais avoir, mais nécessaire pour faire redescendre mon anxiété. De même, ce qui sous-tend cette insoluble dialectique, je pense, reste aussi cette question cruciale : nos histoires existent-elles réellement si on les garde pour nous au fond de notre tiroir ? Ont-elles autant de valeur que si on les partageait avec le reste du monde ? L’enthousiasme à écrire peut-il perdurer si on ne le fait que pour nous ? Ces interrogations sont peut-être d’autant plus importantes dans la fanfic que la nature de cet art est d’être interactif et inscrit dans la communauté même des fandoms, dans l’essence même de la culture populaire.

5 « J'aime »

Mais pourquoi ne les gardes tu pas en ligne ?

3 « J'aime »

En restant très terre à terre… tu te devoiles en écrivant, certes. Mais sous couvert de ton pseudo. Je veux dire, on se croise demain dans la rue, je ne saurai pas que c’est toi.
C’est Stelios Abaris qui s’expose. Pas vraiment toi en tant que personne.
Enfin, c’est comme ca que je le vois et le vis. Angel Dust d’un côté, moi de l’autre. Mais je ne suis pas inscrite sur d’autres réseaux sociaux. Ca aide peut-être à se sentir moins jugée.

5 « J'aime »

La réponse est dans mon post, je n’aime pas ça, je ne me sens pas à l’aise, et il n’y a pas d’explications à cela.

Je ne suis pas sur les RS non plus, donc pour ma part ça rien à voir avec cela, et hélas, même sous pseudo certains se prennent des vagues de cyberharcèlement voire sont victimes de doxxing (pour vraiment extrapoler aux cas les plus extrêmes que montrent parfois les RS…). D’un autre côté, je peux aussi me sentir jugée dans mon introversion si l’on essaie de me faire accroire que ma vision a juste un défaut de logique et qu’en appliquant cette dernière, je pourrais dépasser cela. Pour moi c’est viscéral, ça n’a pas de justification précise, et même si c’est frustrant, comme je l’ai écrit, c’est ainsi et même les arguments les plus rationnels ne sauraient me faire changer de ressenti.

5 « J'aime »

Ah non non, je juge pas moi :sweat_smile:, je donnais juste une piste comme ça et partageais ma façon, peut-être trop simpliste cela dit, de vivre la fanfiction, et ainsi de répondre à ton message. :hugs:

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