L’islandais c’est un concept oui ! Le finnois aussi : il a l’air méchant et ce nez n’est pas à son avantage…
L’italien est tristounet et a même un faux air d’Usul.
Le japonais bah… rien d’étonnant, et au moins ça change.
L’international je n’aime pas sa tête.
Dommage quand même qu’ils ne précisent pas que le québécois est aussi français, c’est la couverture de L’École des Sorciers dans la collection Folio Junior de Gallimard. Que de bons souvenirs, ces couvertures ! Avec la joie qu’était la sortie d’un nouveau tome de la saga !
Celle des Reliques de la Mort qui illustre le Harry Potter français est quand même très jolie. Honnêtement et tout chauvinisme mis à part, je trouve que c’est nous qui avons le plus bel Henri Potier, à presque égalité avec la version hongroise. Le danois se démarque en bien aussi.
Je trouve que la couverture américaine est assez représentative de la culture image made in US. Harry n’est pas vraiment beau dans l’histoire, et finalement la plupart des couv respectent le fait que c’est un garçon ordinaire et il serait passe-partout s’il n’avait pas sa cicatrice et la légende qui l’accompagne. Mais les américains il faut qu’ils fassent une version un peu « hollywoodienne » du perso.
Tout ce qu’on sait du physique de Harry c’est ça :
Au début de la série, Harry Potter est décrit comme assez frêle et chétif, à cause de sa malnutrition chez les Dursley. Il est assez petit pour son âge, avec des genoux noueux. À quinze ans, il est décrit comme étant pâle et légèrement maladif, comme une personne ayant « beaucoup grandi en peu de temps », et son apparence est négligée en dehors des périodes scolaires. Il a les mêmes cheveux noirs en bataille que son père et les yeux vert émeraude et en forme d’amande de sa mère. Il porte des lunettes rondes à monture noire et une fine cicatrice en forme d’éclair sur le front, souvent cachée par ses mèches.
(Oui j’ai tout pompé de Wikipédia ^^)
Les détails « pâle, légérement maladif etcetc » sont souvent donné en début de tome, donc à la sortie de l’été avec les dursley où il est maltraité, donc pas évolutifs dès qu’il recommence à manger à sa faim à Poudlard.
Quoi qu’il en soit, ça ne veut pas dire qu’il est moche, beau ou ordinaire. Je pense que ça a été laissé volontairement à l’appréciation du lecteur. Personnellement, j’ai tendance à préférer les illustrations américaine (même si on sent l’influence des dessin disney), suédoise ou hongroise, qui correspondent plus à ce que j’imagine du personnage.
Ça fait trop longtemps que j’ai lu les HP pour pouvoir argumenter là-dessus sérieusement, mais il me semble que le physique d’un personnage s’apprécie aussi par l’implicite et ce qui est tu.
Harry envie beaucoup Cedric dans les tomes 3 et 4 parce qu’il sort avec Cho, certes, mais aussi parce qu’il est beau gosse. Sous-entendu donc Harry est moins séduisant que Cedric. De manière générale, il n’a pas un succès oufisssime auprès des filles, indépendamment de sa célébrité, de son talent d’attrapeur (parce que ça, ça plait à certaines) et bien sûr du passage à vide dans le tome 5 où la moitié de l’école le prend pour un menteur. Ces trois variables n’aident pas à se faire une idée.
Mrs Weasley, je vous en prie, calmez-vous ! Je suis certes une « moldue », comme vous aimez à appeler les non-sorciers, mais ne vous en faites pas, j’adore les sorciers !
Bien vu ! Et pourtant ça semble évident maintenant qu’on a le comparatif sous les yeux.
De toute façon sur certains aspects ce sont des trames classiques de Bildungsroman, c’est archétypal et c’est pour ça que ça marche aussi bien et que ça parle à l’âme de tant de gens. Ce thème traverse toute la littérature et comme tu le suggérais ça permet aux auteurs en herbe de bénéficier d’une structure solide autour de laquelle articuler des histoires.
Oui, le voyage initiatique du héros, tel que l’analyse Campbell (on en a un peu parlé là) concerne toujours un garçon.
Conséquence d’un patriarcat dominant ? Constat : la capacité, le potentiel d’évolution personnelle n’est accordé qu’au seul héros mâle.
ou au contraire d’un matriarcat lui ayant précédé ? Constat : le héros doit quitter sa tribu d’origine pour trouver un destin/une épouse - l’exogamie est une obligation encore plus forte dans les sociétés matriarcales que dans les sociétés patriarcales. Et d’autre part les « récompenses » des diverses épreuves imposées au héros sont souvent un accès au pouvoir détenu par une femme.
Pourtant, il existe des exemples féminins, qui se multiplient. Ce n’est pas encore ça, mais ce schéma n’est pas « réservé » aux hommes. En revanche, les héros de voyage initiatique sont 90% du temps des hommes, c’est certain.
Optimiste : à moitié plein
Pessimiste : à moitié vide
Réaliste : verre d’eau
Physicien : gaz/liquide
Surréaliste
Relativiste : à moitié vite/à moitié plein
Utopiste
Sceptique : ce n’est pas de l’eau
Artiste
Eeeet l’auteur avec son verre de whiskey…
C’est très bien vu, hormis le relativiste, à mon avis.
Je dirais plutôt : Superposition de 2 verres, l’un plein, l’autre vide, l’état réel ne se révélant qu’au moment où l’on tente de boire…
Mais je pinaille…
Maintenant c’est mangez/bougez, mangez cinq fruits et légumes par jour, limitez les aliments gras salés et sucrés, stop à la consommation de viande… Mais il y a vingt-cinq ans, c’est vrai que la télé des enfants c’était plutôt ça oui.
Je lance Wow, je me rends à L’hôtel des ventes d’Orgrimmar ( Ma capitale vu que je suis dans la Horde. ) pour achetais des potions pour préparer mes donjons. qu’elle n’est pas ma surprise de me rendre compte que l’hdv c’est transformé en piste de dance. Les marchands ont disparu et on dance de force à l’intérieur. C’est très drôle mais sur le moment, moins quand ta besoin d’acheter des trucs.xD
Je sais que le jeu est vieux de 2011 mais ça tuera toujours. À ce demander si les développeurs de Dragon Age 2 ont pas généré son maquillage au pif. Il y a rien qui va. J’arrive pas à me concentrer sur les dialogues, je vois que ça et ça me fera toujours autant rire ( Alors que la quête est dramatique, esclavage, magie du sang, vengeance. )
Je suis certes une « moldue », comme vous aimez à appeler les non-sorciers, mais ne vous en faites pas, j’adore les sorciers !
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